Récit de la course : Le Grand Raid des Pyrénées - Grand Trail 2009, par mic31

L'auteur : mic31

La course : Le Grand Raid des Pyrénées - Grand Trail

Date : 28/8/2009

Lieu : Vielle Aure (Hautes-Pyrénées)

Affichage : 4181 vues

Distance : 75km

Matos : L'envie et le plaisir

Objectif : Objectif majeur

11 commentaires

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Au royaume des lacs

Au Royaume des Lacs

 

Grand Raid des Pyrénées : Au Royaume des Lacs

 


Vendredi 28 Août, après avoir suivi le début de l'ultra sur le net et lassé de tourner en rond chez moi, je rejoins en début d'aprèm Vielle Aure.

 

Ça me laisse le temps de réaliser une "discrète" campagne de pub pour les Citadelles 2010 avant d'aller retirer mon dossard.










Je retrouve un à un le club des cinq, Romain, Yvan, Francis, Thomas, il ne manque que Steve qui n'a pas pu participer. Je revois aussi avec plaisir beaucoup de Kikous ainsi qu'Emmanuel, sur son stand Ufo, qui manquant d'entraînement ne fera que le 75km, si sa frontale veut bien fonctionner.






Avec Romain, à peine moqueurs devant le "rookie" de l'ultra en train de fignoler son sac.






Je bois un coup avec Yvan avant la pasta et je me laisse tenter par un demi-citron. Soyons fous !
Après la pasta où j ai aussi vu de nombreuses connaissances de trail, je cède à la tentation d'une petite crêpe au Nutella d'avant briefing. Soyons fous n°2.




En terme d'organisation tout se passe bien et les anciens combattants du GRP2008 ne reconnaissent pas le Vielle Aure de l'an dernier où rien ne montrait qu'une course se déroulait là. Cette année il y a tout, mais à une échelle humaine et conviviale qui me convient parfaitement.





Une petite partie de tous les Kikous rencontrés sur le GRP.







La nuit est courte mais je dors bien et à 3h je peux attaquer mon habituel petit dej. Ceux qui me connaissent savent combien ma prépa d'avant course est longue et d'ailleurs Yvan qui dormait à côté sur le parking part bien avant moi sur le site.









Sous une petite bruine, je retrouve sur la ligne de départ beaucoup de Kikous connus, ils semblent être presque tous là.







Romain, Yvan, Thomas, moi-même et Manu.







Avec le frangin, prêts pour le départ.








L'aventure commence dès 5h et déjà sur la portion de route, je laisse filer en masse les gens pressés.









Le défilé continue dans la montée en lacets mais je ne m'affole pas, mon plan de course est établi pour une arrivée en 14h et je crois que beaucoup beaucoup de gens partent trop vite. Je cause un peu avec les connaissances du Portet Trail Attitude qui me dépassent aussi, on rigole de ma course prévue en "négative split".








Dans la montée une frontale en face : le 4ème de l'Ultra arrive.









Quelques rares parties roulantes, ponctuées de passages de clotûres, dégourdissent les jambes avant de passer Espiaube et d'attaquer la grosse montée.







Première traversée de ruisseau, autant éviter de se tremper de suite...








Je vais effectuer cette montée en compagnie de Sébastien, du team "Droit dans la pente" ou quelque chose comme ça (si tu passes par-là, laisse l'adresse de ton blog…).


On discute beaucoup, c'est sympa et la montée se passe très bien, tranquille.








J'ai quand même l'impression de ramer et je pense être à la bourre sur mes prévisions, mais arrivé au ravito du col de Portet (200ème au km12), je suis à 3 minutes près dans les temps.
Parfait.


Je refais le plein d'eau, pique un bout de fromage et un peu de saucisson pour la suite et je trace.




Le chemin est bon mais la vue nulle, car le sentier en balcon au dessus du lac de l'Oule est pris dans la brume. Je mène un petit groupe où personne ne semble vouloir dépasser. Peut être se fient-ils au petit "Réussir son Ultra" accroché à mon sac…







La fille en bleu qui me précède prend une belle gamelle sur ce sentier pourtant sans piège, mais elle se relève et repart de plus belle.


Alors qu'on approche des lacs de Bastan, le brouillard se lève et le soleil commence à pointer. La lumière est très belle pour les photos et je m'arrête pour en claquer quelques unes.








C'est comme ça qu'Yvan me rattrape alors qu'il était parti devant (un peu vite pensais-je…) avec Francis. Après la pause technique qu'il vient d'effectuer il continue sa route, alors que je "perds" encore du temps à prendre des photos.

































Je passe ensuite le refuge de Bastan pour attaquer la montée vers le col de Bastanet au milieu des gros blocs de rochers.















Je suis surpris de voir arriver Caroux derrière moi, le sachant plus rapide. Il m'explique que suite à une panne de réveil, il a pris le départ avec une demi heure de retard. Alors il fonce, pour rattraper le temps perdu. Je n'essaie pas de le suivre, j'avance d'un pas sûr, marchant dès que ça monte et trottinant sur le plat.





















Derrière nous, la mer de nuages.



















Sous le col, je rejoins enfin Yvan et Francis. Je suis content de les retrouver, on se prend une belle photo avant que je leur fasse mes adieux en m'élançant dans la descente.






Au col de Bastanet, heureux !














Je dépasse Chabidou, la Kikoureuse en bleu et côtoie pendant un moment Stéphane que je connais des Citadelles et du Challenge du Sud Ouest.


















Arrivée sur le refuge de Campana.






Je suis prudent dans ma descente, j'évite de peu quelques glissades non contrôlées sur des pierres humides et je longe le lac de Grézioles sur les gros blocs .













Je passe le second lac avant de plonger en solitaire vers la vallée et la mer de nuages.











Alors qu'il faisait bon au soleil, la température baisse en même temps que la visibilité en approchant d'Artigues.











Dans la descente vers Artigues.








J'y arrive au bout de 5h33 (144ème au km30), encouragé par Badgone qui en repart après le passage de Martine, seconde.


Je bois un coca en faisant le plein d'eau, attentif à bien ranger mon verre, la bénévole qui est là ne plaisantant pas avec l'ordre.


Je retrouve aussi Mélanie la copine de Thomas, lui me suivant de loin, et je la verrai à chaque ravito puisqu'elle donne un coup de main en l'attendant.




Je repars, toujours en pleine forme, et je vois en contrebas arriver Yvan et Francis. Je leur pousse un cri, un signe de main et je continue ma route. Je suis content qu'ils soient ensemble, j'ai bien peur qu'Yvan pour son premier ultra ait quelques difficultés. En clair qu'il explose pour être parti trop vite…
Le Talisman de Torreilles



J'avais prévu d'appeler cette seconde partie le Talisman de Torreilles car j'étais persuadé que viendrait un moment où j'irais beaucoup moins bien.




En prévision de cette baisse de forme, alors que je bullais sur la plage de Torreilles en lisant l'Ultrafondus Mag qui causait de l'abandon, j'avais récupéré une jolie petite pierre rosée qui me relierait à ce moment et m'aiderait à terminer.



Le Talisman était avec moi sur le GRP mais je n'en ai jamais eu besoin. A moins qu'il ait agi sans que je le sente...










Après la première partie de course,  je repars d'Artigues en 144ème position, après 5h33 de course.









Le début de la montée s'effectue dans le brouillard mais il fait chaud et je retire les buffs de la tête puis du tour du cou. Ici comme ailleurs, les randonneurs croisés sont très sympas et généreux en encouragements.





Deux spectatrices attentives ?






En fait non, plutôt deux vigiles chargés de la surveillance du balisage.







On sort assez rapidement de la brume pour attaquer les vertes prairies qui montent vers le col de Sencours.

Je suis toujours en grande forme et je monte bien, à mon rythme, sans me cramer. Il est raisonnable de vouloir arriver à mi-parcours "frais" afin d'envisager la suite sereinement. Comme dans la montée du col de Bastanet, je reprends du monde sans me mettre dans le rouge.







Il commence à faire chaud et je remets le buff sur la tête pour me protéger du soleil. Pas le temps d'enlever mon sac pour récupérer la casquette, je pense le faire au ravito mais je l'oublierais.

















Je rattrape Laurent, le pote de Caroux, qui m'explique en détail leur départ différé suite à un téléphone déchargé qui n'a jamais sonné. On reste un moment ensemble à causer puis je poursuis jusqu'au ravito.













Un Vttiste lancé dans la descente.







Col de Sencours, km37, 127ème en 7h35

Je bois un peu de coca frais, quel bonheur, et j'en mets aussi dans le camelback pour donner du goût à l'eau.





Seule déception : je comptais revoir ici le bénévole qui m'avait "dorloté" en 2008 quand j'étais au fond du gouffre, tout près de l'abandon, mais il n'est pas là.





Je repars en courant dans la descente qui mène vers Tournaboup. Le retard de trente minutes pris au début me suit et je suis extrêmement régulier par rapport à mon plan, sans forcer ni retenir mon allure.










Je descends côtoyant deux Réunionnais, dont un habillé version hiver, avec casquette épaisse, gros gants et collant long sous le soleil !
La mer de nuages est à nouveau devant nous, le sentier est bon et la progression rapide même dans la brume.







Making of.







Superbes photos prises par les photographes officiels, Cap Action Nature.










A nouveau dans la brume.








Tournaboup, km45, 115ème en 8h38

A Tournaboup, je recharge en eau pour affronter la longue portion sans ravito qui m'attend. Je revois les gars de Saverdun, venus en supporters, et je cause un peu en mangeant une compote. Je vais toujours bien, ni envie, ni besoin de pâtes.





Je repars d'ailleurs en trottinant du ravito, un peu pour gagner du temps, beaucoup pour faire le cake devant le public assez nombreux ici.







Je suis de loin un petit groupe, toujours à un bon rythme, en attaquant la montée vers Aygues-Cluses.





Une petite pause "analyse d'urine" me permet de voir à la couleur, trop jaune, que je ne suis pas assez hydraté. Je mange et je bois régulièrement, peut être pas assez. Je passe donc de quelques gorgées bues toutes les 10 minutes à une fréquence de 5 minutes.








Sorti de la brume le soleil commence à taper et le sentier technique monte plutôt fort par endroits.




Je me sens un peu moins bien et je croque une tranche de saucisson avec du fromage. J'ai même embarqué une moitié de part de pizza, mais elle est inaccessible à l'arrière du sac.




Après ce ravito en vol, Laurent me rejoint à nouveau et le fait de monter en discutant avec lui me fait oublier la baisse de forme.











On se rafraîchit souvent en croisant des ruisseaux et je prends à nouveau une bonne allure.









Les sympathiques trailers de Portet, en pleine pause Snickers pendant leur Ultra.






Je passe à la cabane d'Aygues Cluses où de chaleureux supporters nous encouragent à l'aide de leurs voix et d'une cloche.






De suite après, c'est la grosse montée sur le col de Barèges et je reprends un à un de nombreux coureurs que j'avais croisés en arrivant à Tournaboup, environ 10 minutes devant moi.











Passage rapide au col, juste le temps de voir que le SL (Sentier Libre) que j'avais dessiné avec des cailloux lors d'une reco n'est plus là.







J'enchaîne aussitôt avec la descente, toujours fringuant, et je continue à remonter dans le classement.





Aux abords du lac, je ralentis pour faire quelques nouvelles photos, sans perdre trop de temps car le sentier est à nouveau technique.






Je bascule ensuite vers le laquet et la cabane métallique.





Je suis suivi par une femme que j'invite à me dépasser, mais elle me dit qu'elle s'accroche, qu'elle ne veut pas courir seule.





Elle me connaît mal, à une blonde exception près, je suis un solitaire en course.





Au niveau de la cabane rouillée, elle prendra un raccourci (honte à elle) et par la suite on se doublera plusieurs fois, sans chaleur particulière.










Je vais toujours super bien et il est vrai que je suis tellement passé sur cette portion qui mène au lac de l'Oule, que j'ai l'impression d'être un peu chez moi.





Le moral est excellent, je sais de toute façon que la partie est gagnée.







Lac de l'Oule, km58, 85ème en 11h44 (40 minutes de retard sur mon plan)

Au point d'eau de l'Oule, j'ai la surprise de trouver du Coca, ce qui est toujours un bonheur, et le plaisir de rencontrer Jacques, venu en bénévole, puis Emmanuel, le rédac chef d'Ultrafondus.






On en repart ensemble et on trottine bien sur la piste qui longe le lac.





Mais quand le faux plat s'accentue je cesse de courir et je le laisse filer devant, direction le col de Portet.







La montée de la piste de ski, sous la chaleur, est un peu pénible. Je me rafraichis au ruisseau plusieurs fois et heureusement je sais que cette côte ne sera pas très longue.





Guerrier en route pour la victoire.






Le longs des poteaux, la montée est ensuite régulière et moins pentue. Je discute avec un coureur à qui j'avais annoncé mon objectif de 14h. Il me dit qu'on est sur des bases de 15h, pas de 14.





Ca me plombe un peu le moral, c'est sûr que je traine toujours cette demi-heure "photographique" de retard et qu'arriver en 14h semble impossible.







Col de Portet, km62, 85ème en 12h41 (34' de retard)

Au ravito, je retrouve Emmanuel avec Sandrine, on cause un peu et il repart avant moi.




J'engage la conversation avec un autre Kikou, JC Duss, et on démarre la descente finale ensemble.














Le sentier descend peu et est très roulant. On avance à un bon rythme, tout en discutant de choses et d'autres.




Ce faux plat descendant dure et quand commence la vraie descente, un coup d'œil sur le chrono me laisse espérer une arrivée sous les 14h.







Je commence à accélérer, je double Emmanuel qui n'a plus de cuisses et je dévale les sentiers.




Je rattrape le "douteur" et je lui dis que 14h c'est possible. Il emboite ma foulée, mais je le sème en faisant une descente de malade dans la grande pente qui amène à Soulan.
Je traverse Soulan, il reste une demi-heure, je sais que c’est réalisable, j'ai fait le même coup pour finir sous 16h en 2008.
Je galope, je bois et je double plusieurs concurrents qui doivent se demander d'où vient cette énergie en fin de course.
Déception au dessus de Vignec, le sentier qui va tout droit est barré et il faut faire un détour par la route. Je joue le jeu, même si cet écart peut me coûter cher au chrono.
Traversée de Vignec, il ne reste que la portion de route jusqu'à Vielle Aure. J'envoie toujours, un œil sur le chrono, je peux le faire !


















Belle entrée dans Vielle Aure, barrières de sécurité, public et arches d'arrivée, on est loin de l'arrivée quasi anonyme de 2008.

Je passe la ligne, vite je fais bipper mon dossard alors que mon chrono annonce 13h58'55". Il était temps, le chrono officiel sera de 13h59'59" !!!

72ème sur 304 arrivants (335 partants).








Un bon chrono, mais je vais le payer plutôt cher : alors que j'ai fait une course parfaite, toutes les montées en marche rapide, toutes les portions plates ou descendantes en courant, sans aucun souci de santé ou de nutrition, cette descente finale m'a complètement vidé.
Je n'ai pas faim, je bois un peu de coca au ravito puis je commence à avoir froid.












Avec Emmanuel, arrivé un quart d'heure plus tard.


***


Je rejoins la voiture, me change et roule jusqu'aux douches. Je suis toujours en short et le froid me saisit dès que j'ouvre la portière.



Tout mon corps se met à trembler, je claque même des dents. Je suis mal, très mal.



Je reste assis, récupérant un peu, avant de trouver la force d'aller me doucher.



Je retrouve là Laurent qui a bien fini sa course, puis même sous la douche j'ai froid.



Je reviens à la voiture, bien couvert, et je reste là, mangeant enfin ma portion de pizza, arrosée de Coca et de St Yorre.


Je somnole un peu et je retrouve peu à peu un état normal.











Je reviens en ville où je croise Thomas qui a très bien fini sous les 16h, je vois aussi arriver les compagnons du matin Sébastien ou le Kikou Manu, je discute avec Jym qui est de toutes les belles courses, tout ça en attendant l'arrivée de Francis et d'Yvan qui ne se sont pas quittés.




Ils arrivent finalement sous les 18h, main dans la main et en bonne forme.




Trop crevé, je vais me coucher sans boire un coup ni attendre Romain qui lui aussi en terminera en 19h et des poussières.









Le lendemain la fête est belle sous le soleil, avec une grande remise des prix suivi d'un excellent buffet pour combler mon appétit revenu.






Que dire de plus après cette réussite ? J'ai parfaitement géré mon affaire, parti sur une base de 14h établie grâce à l' Estimateur de performances et à l'ami Rodio, qui avec ses chiffres m'avait remis les pieds sur terre (je n'ai pour le moment pas le niveau de 13h sur cette course).
Cette estimation associée à l'outil Softrun m'avait permis d'établir un plan de marche qui m'a paru aisé, je me suis souvent senti aussi à l'aise que lors des sorties d'entraînement, ce qui est nouveau pour moi sur longue distance.

En terme d'organisation, je me souviens de ma conclusion 2008 qui disait qu'une fois ses défauts de jeunesse gommés, le Grand Raid des Pyrénées deviendrait une grande course.



Et bien c'est fait, et très bien fait.

Tout était parfait, un accueil à la fois pro et convivial, des ravitos au top, un parcours toujours aussi sublime et le point noir du balisage parfaitement corrigé.

Et donc cette année j'ai à nouveau un souhait, celui que rien ne change, que la course reste à cette échelle, avec une ambiance aussi chaleureuse, loin du fric et des paillettes.

J'ai un copain qui a fini l'UTMB® et qui m'a dit au téléphone :



"C'était bien, mais là bas il y a tout ce qu'on n'aime pas."



***


Annexes


Le matos :



- mention spéciale aux Brooks Cascadia, de vrais chaussons et aucun souci sur ces 75 bornes.


- mon nouveau sac/veste Salomon, idéal pour quelqu'un comme moi qui suis toujours en train de manger. Seules les poches filets sur les côtés arrières sont difficiles d'accès (réservées aux gels, moins fréquents)



- pas de bâtons (il devrait y avoir un classement sans bâtons, je pense qu'avec Yvan on serait dans le Top10...)



- pour tout le reste je n'ai pas inové, tous les secrets de réussite sont dans
***




Un grand salut à tous ceux que j'ai eu le plaisir de croiser là bas (il faudrait un troisième chapitre pour tous vous citer), un grand merci à l'organisation dans son ensemble, un grand merci à Rodio pour son boulot d'évaluation des forces en présence, un grand merci à ceux qui nous ont soutenu, sur place ou derrière leur ordi et un grand merci à mon corps revenu au top, après m'avoir laissé croire que c'était fini lors de la phlébite de Novembre 2008.


A bientôt sur les sentiers (après la récup !)





11 commentaires

Commentaire de popov posté le 08-09-2009 à 15:14:00

Salut,

super cr merci pour le voyage


piver

Commentaire de Fibre posté le 08-09-2009 à 15:32:00

Bravo Michel,
Un très beau récit comme d'hab et illustré de très belles photos.
Je t'avais virtuellement suivi et je suis toujours bluffé par ta remontée.
Bonne récup et rdv à Nant
Un citadellien enfin réchauffé.
Fabrice

Commentaire de mic31 posté le 08-09-2009 à 16:09:00

Salut Fabrice,
Ce n est pas une remontée, j ai toujours gardé le même rythme, ce sont les partis trop vite qui ont reculé ;-)
On se voit à Nant.

Commentaire de frankek posté le 08-09-2009 à 17:15:00

super réçit avec de belles photos ! bravo et récupère bien.

Commentaire de Manuwak59 posté le 08-09-2009 à 21:51:00

Bravo pour la course et le récit. Quant aux photos, elles sont vraiment exceptionnelles, d'une rare qualité !!!!

Commentaire de taz28 posté le 09-09-2009 à 08:04:00

ça c'est du récit argumenté et joliment illustré !!!
Merci Mic pour cette belle aventure, tes photos sont magnifiques, waouh dès le matin, ça en jette !!

Bravo à toi pour ce grand raid des Pyrénées...

Taz

Commentaire de CROCS-MAN posté le 09-09-2009 à 10:38:00

Un MEGA récit over TOP, du beau travail.
BRAVO et Merci.

Commentaire de marioune posté le 10-09-2009 à 06:47:00

Très belle course Michel. Tes photos, magnifiques, me titillent et me conforte dans l'idée de faire cette course un jour. Bravo et bises à ta blonde, partenaire favorite de course...

Commentaire de millénium posté le 10-09-2009 à 08:07:00

bravo mic pour ta course. Quelle gestion pour finir sous les 14H !!!!
Et j'espère te (re)croiser bientôt !

Commentaire de Eric Kikour Roux posté le 12-09-2009 à 08:59:00

Félicitations pour cette course et ce CR! Tu ne laisses vraiment rien au hasard ... préparation aux petits oignons et chrono final à la seconde prévue, je ne crois pas que l'on puisse faire beaucoup mieux.
Te voila fin prêt pour le GRP grand format, dès 2010; j'espère que l'on pourra y partager quelques morceaux de sentiers ...
Encore bravo!

Eric

Commentaire de fab84 posté le 18-09-2009 à 13:14:00

bravo mic pour ta course , super cr et les photos donnent envie

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