L'auteur : Jerome_I
La course : Saintélyon
Date : 5/12/2010
Lieu : St étienne (Loire)
Affichage : 4442 vues
Distance : 68km
Matos : Brooks Glycerin 8 - collant long - 1ère couche Millet - 2ème couche micropolaire kalenji - veste 3ème couche goretex lafuma - porte bidon - gels Enerviten - guêtres Quechua
Objectif : Battre un record
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Par quoi commencer? Cette course je la connais depuis des années. Originaire de la région, on a toujours parlé de cette course.
Mais remontons seulement en 2006. On me parle de l’U.T.M.B. ® au bureau au printemps et je décide d’essayer de courir la C.C.C.® l’été suivant en 2007. Je commence à me documenter et je lis le livre de Dean Karnazes « Ultramarathon man », mas commence à lire les forums de discussion : Kikourou et Ultrafondus. J’augmente les distances d’entrainement et cours un peu en montagne. En Décembre 2006, je suis donc au départ de mon premier Ultra. Malheureusement ma cheville part dans la descente du bois d’Arfeuille et je sers les dents jusqu’à Beaunant, résultat 5heures de course pour 57km et une grosse entorse. Ce fut aussi mon premier récit:
http://www.kikourou.net/recits/recit-2581-saintelyon-2006-par-jerome_i.html
2007 grosse saison (Marathon en 2h48, Grand Raid 73, Verdon 100km, C.C.C. ®, Marathon de New York…). Pour finir la saison je vais enfin terminer cette course finissant à Villeurbanne pour une fois et 69km de couru en 6h8min et un diplôme de Sainté d’Or (http://www.kikourou.net/recits/recit-4189-saintelyon-2007-par-jerome_i.html). Il faisait beau et j’ai couru en short.
2008 une saison encore plus grosse. Je progresse mais en Juillet je suis déjà fatigué et vais bâcler la saison en abandonnant sur l’UTMB et sur la Saintélyon (http://www.kikourou.net/recits/recit-6780-saintelyon-2008-par-jerome_i.html). Enfin en 2008, j’ai vraiment tout fait pour abandonner cette course. Ce fut vraiment une succession de choses à ne pas faire. Mais ce fut un super weekend entres potes.
2009, pas de Sainté, je zap, une semaine avant je courais le marathon de Florence en 2h38’.
2010, la saison est orientée marathon avec Berlin en objectif numéro 1. Pour la fin de saison, j’ai envi de courir la Saintélyon de nouveau en essayant de la courir vite. Berlin est passé à coté, début Novembre je cours l’Ecomaratona d’Alba en course test. Finalement ca devient pendant la course un objectif et je réussis à tenir la troisième place du podium devant Paolo Rovera. J’ai toujours mal aux cuisses depuis début Septembre donc je ne vais pas pousser l’entrainement mais plutôt privilégier la récupération et les sorties longues de nuit sur la colline.
Ou sorties dans la neige:
J'ai fait la reconnaissance entre Sainte Catherine et Soucieux (en aller retour depuis Soucieux). Mais cette Sainté il faut la finir, sur trois participations, j’ai abandonné deux fois et c’est déjà trop !
Une semaine avant la course, la météo s’emballe. Des dizaines de centimètres de neige s’abattent sur la région lyonnaise. Les sentiers entre Saint-Etienne et Lyon se blanchissent et certaines congères arrivent à 1m de haut. Cette année pas de repas d’avant course ni de discussion avant course avec les potes. Je reste au calme chez mes parents et mon cousin. J’arrive Vendredi matin chez mes parents sous la neige et je vais me reposer et continuer la charge glucidique. J’ai juste une hésitation sur la tarte aux poireaux mais je me laisse tenter par une part, pas deux ! Je passe rapidement aux 70ans de mon oncle où toute la famille est réunis le Samedi à midi, mais ne prends qu’un jus de fruit laissant le punch aux autres ! Je rejoins mon cousin à Gerland et nous partons pour Saint-Etienne sous le soleil. La Sainté sera son premier ultra, lui qui court déjà les marathons. Le parcours et la neige ne lui faciliteront pas la tache ! Les coureurs de la Lyon-Saintélyon ont de la chance il vont profiter de l’aller sous un soleil resplendissant. Nous prenons les dossard en début d’après midi (nous sommes seuls et perdons 1 minute car j’avais oublié la photocopie de ma licence !). Nous allons nous coucher chez son fils à Saint-Etienne. Un diner vers 20h30 et nous préparons nos sacs / porte bidon. Il fait froid et nous arrivons vers 23h15 au palais des expositions. Je fais la queue pour donner mon sac un quart d’heure et je rejoins la famille au chaud. Je mets les guêtres et suis prêt au départ !
A 23h45, on se quitte et mon cousin va se mettre sur la ligne de départ, j’ai la chance d’avoir un dossard préférentiel et je vais m’échauffer sur la ligne droite devant le départ. Je croise les copains et on déconne un peu. Golum a fait sa « trouillotte » et ne prendra pas le départ. Il n’aime pas le froid et la neige ! Manu le « Rapace » quand à lui ne peut louper ce départ de la Saintélyon. Il affectionne cette course tout particulièrement ! Je suis un peu absent, je ne sais pas trop ce que je vais bien pouvoir faire. Le départ me convient, donc je vais « pousser » jusqu’à Sorbier et on verra ensuite. On se place sur la ligne de départ, et sur fond de U2, à minuit c’est parti.
Le premier virage est rempli de glace et ca frotte un peu donc le départ n’est pas si rapide que ca ! Je suis à coté de l’ancien cycliste Brochard. Devant un coureur est échappé mais on est un bon groupe. Je suis derrière alors que je vos Yannick qui zig zag pour se placer devant le groupe en chasse pendant quelques centaines de mètre. C’est sa minute de gloire ! Puis je commence à remonter le groupe qui s’allonge doucement. Puis on arrive à une vitesse de croisière de 16km/h. Je cours à coté de Philippe Rémond le grand marathonien qui comme moi ne souffre pas de ce départ alors que certains dans le groupe soufflent fort. Les premiers 5km passent en 19’ donc je suis dans le rythme. On arrive au bas de Sorbier et la température est annoncée à -8°C. Dans la monté vers Sorbier je me mets à mon rythme pépère et laisse partir. Ca part vite, très vite, trop vite ? En arrivant au dessus de Sorbier j’ai une gène aux mollet !? Je m’arrête pour desserrer les guêtres. Un kilomètre plus loin la gène devient douleur et ce sont 2 poignards plantés dans les mollets. Je m’arrête et enlève les guêtres. J’ai jamais couru à 16km/h avec les guêtres et les lanières en cuire qui passent sous les semelles m’ont pas fait du bien. Je continue mais ma foulée devient vraiment pataude. Il ne faut jamais essayer en course un système jamais essayé à l’entrainement. Courir en trail à 5km/h n’est pas comme courir sur la route à 16km/h, et je l’ai découvert dans la douleur. Que faire attendre Bruno le cousin ou continuer en espérant que ca passe ? Allé hop hop hop on continue, on verra plus tard !
Arriver à St Christo, je fais le plein et je vois Matthieu qui voit bien que ca va pas ! Je repars avec Maud Girod, mais dès la première cote elle part ! Prochain objectif : rejoindre Saint Catherine. Les passages sur les crêtes est magique. En se retournant on voit le ballet des frontales. La neige recouvre ces chemins qui sont recouvert d’habitude pas la boue. Cette portion est longue et en arrivant à Moreau au km22, c’est Matthias qui me rejoint. On discute un peu et je lui dis d’y aller. En me laissant il me dit à plus tard car il pense être parti vite !? Allé bonne course Matthias on a encore 46km ! On arrive au point haut de la course à 850m d’altitude et cette neige nous permet de voir à des kilomètres. C’est superbe, la beauté de la course fait que j’oublie la difficulté.
Je ne double que les randonneurs partis avant minuit. Les coureurs me doublent par dizaines. On m’annonce plus de 130ème en arrivant à Sainte Catherine. J’ai reconnu cette portion jusqu’à Soucieux et cela m’aidera. D’habitude au bord du lac sont garés les bus pour ceux qui abandonnent. Cette année aucun bus juste 2 pères Noel. Je bois mon thé en marchant et me dis que je ne peux pas abandonner. Il faut donc avancer. Souvent un coureur m’encourage, c’est sympa mais je n’y suis pas. La montée après Sainte Catherine sera un calvaire mais je ne me fais pas trop doubler. On arrive enfin au dessus du bois d’Arfeuille. Dans la descente ca envoie du gros, et mes slicks ne sont pas facile à maitriser. Je préfère ne pas mètre les chaines, après ma mésaventure avec les guêtres. A la sortie du bois, on nous annonce 200ème. Et bien ca ne s’arrange pas. Un coureur chute lourdement sur une plaque de verglas après un virage. Ces plaques de verglas sont dangereuses ! Il me dit de continuer que ca va, juste le choc ! Il faut rester attentif, je ne cours plus pour une performance alors autant perdre quelques secondes pour éviter ces plaques de verglas ! On arrive à Saint Genou et déjà 3h41’ de course. J’ai oublié ma feuille de route et de toutes façons je suis bien au delà du scenario le plus lent ! Un bénévole met de la paille au sol sur l’épais verglas qui recouvre le sol au ravitaillement. Je ne pensais pas doubler les coureurs de la Saintéxpress avant Beaunant mais nous les doublons déjà ! La montée suivante est encore difficile, mais dans la longue descente vers Soucieux je reprends la forme. Il y a deux ambulances, et je pense qu’un coureur a glissé sur le verglas. Il faut vraiment rester attentif. Les organisateurs auront surement beaucoup de travail sur des fractures qui remplacent les entorses habituelles ! Je recommence à doubler et les douleurs commencent à disparaitre. A un croisement vers le restaurant « Du coté de Marjon », il faut prendre le petit sentier sur la droite mais je vois des dizaines de coureurs continuer sur la route. Il ne faut pas suivre les frontales, mais prendre à droite. Je les appelle, et comme un écho, les coureurs appellent ceux devant eux qui ont pris la mauvaise route. Je suis seul sur ce chemin et ne vais doubler des randonneurs que quelques minutes plus tard. Les randonneurs de la saintexpress sont les moins facile à doubler marchant souvent de rang et il faut aussi faire attention car ils tiennent souvent leurs battons vers l’arrière ! Je continue de doubler et j’arrive à Soucieux. Je remplis rapidement le bidon et repars en continuant de doubler. J’ai du gagner une vingtaine de places depuis le bas du bois d’arfeuille voir plus si beaucoup de coureurs se sont trompés à Marjon ?
J’ai bien fait de reconnaitre cette portion. Je pensais que la descente vers la rivière était rapide après Soucieux mais nous sommes trois coureur à envoyer et je la trouve interminable. Je rattrape une dame qui glisse sur une plaque de verglas et continue mon chemin. Nous descendons vers la rivière et je double de nombreux coureur dont une petite blonde qui devait surement être la deuxième féminine. La remontée se fait dans la boue. Je sais que nous auront une autre cote avant de redescendre vers Beaunant. On arrive dans Chaponost. Nous sommes un groupe de 10 coureurs mais plus de pancartes. Nous arrivons par le haut alors que le parcours arrive par le bas. Nous sommes dans le parc de Chaponost changé en patinoire. Puis nous arrivons dans ce fameux parc du château avec les marches très hautes. Je pense que certains trailers s’en rappelleront ! Puis enfin cette cote, qui veux dire que nous allons redescendre vers le dernier ravitaillement. Les bénévoles ont mis des cônes pour éviter le verglas, et c’est tant mieux. Par contre le chemin qui coupe le dernier virage est complètement gelé. C’est une patinoire et je pense que de nombreux coureurs ont du en faire les frais ! Je me rattrape de justesse au grillage et mon coude effleure la sonnette. J’espère que je n’ai pas réveillé les voisins à 5h42 ! Le petit garage est remplis, ca va être sport pour remplir le bidon. Tient je retrouve Matthias, il remplis son bidon et me dit : « J’y vais tu me rattrapera ! » Je remplis mon bidon et dès le début de la cote je le rattrape.
Cool je ne vais pas finir seul, « allez Matthias on finit ensemble ». On va discuter une grande parti. C’est cuit pour la Sainté d’Or mais on va arriver sans problème à accrocher la Sainté d’Argent ( moins de 7h30 !). Matthias ne se satisfait pas et me dis, on va finir en moins de 7h, pas en moins de 7h30. Le panneau nous annonce les 10 derniers km, et nous avons un peu plus d’une heure. Donc dès la fin du mur on relance doucement à 9km/h, avec la descente on a un peu de marge, mais il ne faut pas trainer en route. On relance dans la descente et je suis à 10m derrière. Matthias relance fort mais on aura encore 5-6km de plat pour finir, il ne faut pas tout donner maintenant. On arrive enfin à Perrache et après le pont, sur le qui on passe le panneau 5km. On double quelques coureurs mais la fin sera longue. Il faut aller au bout du confluant. En passant sous l’autoroute on voit le confluant à près de 500m et Mathias a un petit coup de mou, surtout avec ce vent de face. Je ralentis car ne veux pas le laisser si près du but, mais reste à 10m. Dans ces moments là les mots sont difficiles à trouver. Pour ma part je préfère le silence. Je vais trouver cette fin sur le verglas interminable. Nous avons cette fois le vent dans le dos mais nous devrons redescendre sur le quai d’en face chaque mètre couru vers le Nord. Nous montons sur ce pont Pasteur alors que quelques coureurs nous doublent. Il nous manque encore deux kilomètres. Nous serons sous les 7h, c’est l’essentiel. Nous redescendons de ce pont vers les quai. Tout est verglacé il faut continuer à être attentif. La seconde féminine nous double alors que nous entrons dans le parc fluvial de Gerland. Puis un spectateur nous annonce 700m. On se méfie car ca porte parfois à confusion. Puis virage à gauche vers le palais des sports. Nous voyons les panneaux 100m, 70m et nous entrons enfin dans ce palais des sports. Nous franchissons main dans la main cette ligne d’arrivée en 6h52’. Matthias est 130ème et je suis 132ème !? Ca doit venir du temps de franchissement de la ligne de départ.
Voici un petit comparatif :
2006 2007 2008 2010
32’44’’ 07,0 km - Sorbier
1:16’34’’ 1:17’02’’ 1:18’11’’ 1:19’43’’ 15,5 km - St Christophe
1:51’19’’ 1:54’07’’ 1:55’20’’ 21,5 km - Moreau
2:18’40’’ 2:21’42’’ 2:24’51’’ 2:29’34’’ 27,1 km - Ste Catherine
3:09’14’’ 3:42’37’’ 36,0 km - St Genoux
3:54’49’’ 3:52’59’’ 4:36’25’’ 4:31’17’’ 46,0 km - Soucieux
5:10’29’’ 4:59’52’’ 5:42’41’’ 56,0 km - Beaunant
6:08’24’’ 6:52’59’’ 69,0km - Lyon
Je récupère mon sac enfoui sous une montagne de sac et vais prendre une bonne douche chaude. Le seul inconvénient est qu’il faut traverser la rue pour aller prendre la douche, mais si c’est pour avoir de l’eau chaude ca vaut le coup. Je croise un bus de gens ayant abandonné et finalement je suis mieux qu’eu ! Après la douche je discute avec un coureur Italien. Le monde est petit car c’est Paolo Rovera, qui finit juste derrière moi à Alba. Il a pris sa revanche car a terminé en 6h33. Il loupe la Sainté d’Or sur une erreur de parcours.
Je vais attendre mon cousin qui terminera son premier ultra en 8h49’, bravo Bruno, tu as bien mérité ton Maillot Finisher, ca sera plus facile en 2011 sans la neige !
Après une heure de repos, je retrouve les copains pour un repas d’après course bien mérité.
La saison 2010 est terminée. J’ai progressé, mais pour cartonner sur la Saintélyon il faut en faire un objectif, et arriver frais. J’y reviendrais, pour une perf (il faudra bien que j'arrive à passer sous cette barrière des 6 heures, voir 5h30!), une ballade, mais surtout pour partager un weekend à Lyon avec les amis ou la famille.
Merci à ceux qui ont fait les photos que j'ai volé ici ou là!
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17 commentaires
Commentaire de béné38 posté le 12-12-2010 à 22:05:00
Bravo Jérôme, un récit qui montre le battant que tu es, et le mental qu'il faut et que tu as pour terminer. Contente de t'avoir revu même pas longtemps.
A bientôt et bonnes fêtes !
Commentaire de Mustang posté le 12-12-2010 à 23:40:00
Tu es bien parti cool à 16 à l'heure!!!! °°
Belle course bien gérée!! Bravo jérôme!!!
Commentaire de LtBlueb posté le 12-12-2010 à 23:55:00
salut jérome, pas eu le courage de rester sur place jusqu'au départ, bref je t'ai loupé (:
sinon je suis persuadé que tu dois effectivement pouvoir t'approcher tes 5h30/5h40...
bravo pour t'etre acccroché . @+
Commentaire de rapace74 posté le 13-12-2010 à 07:08:00
bravo quand meme!!! pour ta course !!! l'année prochaine je te poutre les doigts dans le nez ;-)
Commentaire de Le Lutin d'Ecouves posté le 13-12-2010 à 07:54:00
Et moi, je ne fais même pas 15 à l'heure en short !
Tu vois, tu as poutré le Lutin !
Bon, tu ne m'a mis que 3h30 dans la vue après tout !
Bravo à toi et aussi à Mathias qui est un sacré trailer !
Commentaire de brague spirit posté le 13-12-2010 à 07:58:00
Meme,si l'objectif premier na pas été atteint,tu as trouvé la motivation pour aller au bout.
Bravo,et bonne continuation.
Commentaire de Mamanpat posté le 13-12-2010 à 08:18:00
Bravo Jérôme !
Vivement le récit des 5h30 !
La petite blonde doublée avant Beaunant, 2ème à cet instant, a fini aux urgences à mes côtés à Lyon Sud... Faute à une plaque de verglas à Beaunant...
Commentaire de fulgurex posté le 13-12-2010 à 09:13:00
Ah! si un jour j'arrivais à faire aussi bien que tes mauvais temps...
Merci pour ce CR.
Commentaire de taz28 posté le 13-12-2010 à 09:20:00
Quoiqu'il arrive, tu es trop rapide pour moi petit !! :-)))
Ils ont voulu te ralentir avec l'option patinoire, ils n'ont qu'à peine réussi !!! pfff .....
Bravo à toi, car tu n'as rien lâché, tu es un warrior !!
Enfin, quand même vivement le soleil et la crème qui va avec ;-))
Gros bisous
Taz
Commentaire de laurent05 posté le 13-12-2010 à 12:32:00
bravo jérome d'avoir eu le courage d'aller jusqu'au
bout ça va finir par payer sur cette course
bonne récup
à bientôt
laurent
Commentaire de eric41 posté le 13-12-2010 à 12:47:00
Pour quelqu'un qui était cloué sur place vers le dixième,c'est une sacrée perf. Bravo Jérome pour cette ténacité et félicitations pour ta superbe saison.
Eric
Commentaire de Goldenick posté le 13-12-2010 à 18:21:00
Vu le résultat, la prépa était meilleure en 2008 ;o)))))
Superbe année pour toi en 2010 avec ce fabuleux record sur marathon. 2011 sera l'année de la confirmation, j'en suis sur.
Commentaire de akunamatata posté le 13-12-2010 à 20:17:00
Bravo Jerome pour t'etre accroche, meme mal tu finis 130eme !
marrant que tu commences par remonter le temps au debut de ton CR
c'etait mon premier long en ...2006...deja rapace etait la dans le resto kikou.
Commentaire de tidgi posté le 13-12-2010 à 22:32:00
Ah les marches du château ! Les cuisses s'en souviennent oui.
Bravo pour ta course...
Commentaire de calimero posté le 13-12-2010 à 22:55:00
Bravo pour ton courage et ta ténacité après cette saison plus qu'exceptionnelle!
Tu auras encore progressé de manière incroyable en 2010, dommage que nous n'ayons pas pu nous revoir à BERLIN!
Commentaire de franchino posté le 14-12-2010 à 14:16:00
Bravissimo Jerome!
Hai corso tanto in questo anno e in una ultra a fine anno puoi sentire un pò di stanchezza. Adesso relax e poi i cross? A presto per correre di nuovo insieme, ciao!
Commentaire de JLW posté le 15-12-2010 à 22:01:00
Je n'ai qu'un mot à la bouche, Bravissimo, ton chrono ? Même pas en rêve !
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