L'auteur : Cédric74
La course : Saintélyon
Date : 6/12/2009
Lieu : St étienne (Loire)
Affichage : 4270 vues
Distance : 69km
Objectif : Objectif majeur
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5 décembre 2009, 23h50: dehors dans le froid (en fait pas vraiment froid pour un mois de décembre), je fais partit des 5000 coureurs qui attendent les douze coups de minuit pour voir les carrosses qui portent aux pieds se transformer au fil des heures à venir en citrouille, version purée, sous l'effet implacable des kilomètres de cette SaintéLyon, un mythe de la course à pied version « au delà du marathon ».
Eh, mais il manque un préambule à ce CR, je ne peux pas commencer comme ça. Avant toute belle histoire, il y a un prologue, un pourquoi.
Le mien commence le 7 décembre 2008. Accompagné de Nono et Titèle, je suis inscrit au relais X3, sur le relais du milieu, avec le but avoué de découvrir le parcours pour revenir en 2009 sur le solo. Belle expérience que cette course en relais mais franchement, tout les 3 pas emballé par cette course (ambiance et grosse composante bitume), j'abandonne l'idée de revenir en solo.
La saison 2009 se déroule, marqué par la MontagnHard et les Aiguilles Rouges: belle saison.
Alors, comment cela s'est il passé, comment me suis je retrouvé là, prêt à prendre le départ de cette SaintéLyon 2009 ?
Deux fautifs: tout d'abord Tercan, qui durant l' automne, aura l'idée saugrenue de me proposer de l'accompagner sur cette STL qu'il va effectuer avec une amie (Tyliana). Et pour corser le tout, ils ont décidé de la jouer course contre la montre pour rentrer dans les critères de la Sainté de bronze: <8h30.
Le second fautif: C moi et mon incapacité à refuser un défi, surtout s'il semble loin d'être gagné d'avance.
Finir la SaintéLyon: facile.
En – de 8h30: voilà un vrai défi pour un montagnard avec une VMA ridicule. Il faudra développer des vrais talents de coureur à pied, et ça, C pas gagné.
Donc, début octobre, on enclenche le plan prépa STL 2009 avec un objectif: améliorer cette VMA et se préparer à la composante bitume, assez absente de ma pratique habituellement.
Au fur et à mesure de l'approche de la course, celle qui devait être un objectif fun se transforme peu à peu en objectif majeur de l'année et c'est avec le couteau entre les dents que je retrouve Tercan et Tyliana dans le TER, direction Saint-Étienne.
Voyage sympa, on peaufine nos stratégies perso, on parle de tout et de rien, et surtout de trails.
Arrivée à la gare, il semblerait qu'on soit pas les seuls coureurs à avoir pris le train ce soir là... On suit le troupeau et on trouve facilement le parc des expo. Récup' des dossards, petit tour dans la hall et hop, direction l'AAB Kikourou, super sympa et orga au top, un bonheur (hormis un des serveurs du buffet, qui doit sourire quand il se coince les doigts...). On finit le repas et on passe dans l'entrée du Flore pour la session « équipement »: 30minutes de « qu'est ce que tu mets ? », « qu'est ce que tu prends ? », « ah ouais, pourquoi ? », « Eh ben moi je fais comme ça... » et autres « quoi, il pleut dehors ??? » Ce sera donc collant long et maillot manches longues, ceinture 2 bidons Salomon et du ravito pour tenir un siège... (d'ailleurs, je ne consommerai presque rien des gels que je prends et deux fois moins de liquide que planifié)
On quitte le resto dans nos habits de lumières (et effectivement sous qques gouttes de pluie, les seules de la nuit) pour aller rejoindre la hall. Dépôt des sacs dans les cars pour Lyon (jamais vu des cars remplis comme ça...) et on s'offre quelques dizaines de minutes de calme allongé au milieu de 5-6000 personnes avec un speaker qui braille... Autant vous dire que l'approche de minuit et la perspective de retrouver l'extérieur me ravissent.
On sort un bon quart d'heure avant l'heure fatidique, de quoi se retrouver en milieu de peloton, se qui convient tout à fait à notre stratégie. On a décidé de la jouer tranquille au début, de ne pas se faire emporter par la masse et l'excitation: en effet, un excès de zèle sur la 1ère partie jusqu'au 1er ravito pourrait avoir des effets désastreux sur nos chances de bien finir. Le but est de rester un max ensemble, et si l'un craque, on continue. Objectif 8h30. Le plan de route est fait, imprimé avec les horaires de passage pour 8h, 8h30 et 9h (merci Softrun), histoire de savoir où on va. Tout est calibré, soupesé, médité, anticipé: cette Sainté de Bronze ne peut pas nous échapper !!!
Bon ben, faudrait y aller alors !!!
0h00: c'est partit. L'organisation lâche 5000 furieux dans la nuit stéphanoise. On part sur ces avenues 2x2 voies en faux plat (alternance montée et descente) qui permettent de ne pas se marcher dessus malgré une masse impressionnante. Le rythme est rapide, on donne le ton avec Tercan, Tyliana suit, on alterne tous les passages en tête. Au premier pointage intermédiaire, on est sur la base de 8h30 mais bon, C pas avec facilité non plus... Cette section de pseudo-plat se termine, on arrive enfin à la montée: ça, nous traileurs, ça nous connait !! Mais comme si j'avais perdu mes repères de montagnard, je ne peux m' empêcher de courir... Tercan et Tyliana, passé en marche rapide depuis un petit moment me rappelle à l'ordre: oups, ils ont raison, ils restent encore un bon bout de chemin à faire, passage en mode éco...
Marche rapide en montée, course sur plat, on commence à prendre le rythme. Arrive les premières alternances de montées-descentes et les sentiers boueux; et c'est là qu'on voit que la STL est remplit en majorité de coureur et pas de traileurs: on bouffe des dossards à la pelle à la moindre descente !!! Obligé de courir dans les champs par moment pour éviter la masse qui s'englue dans le sentier !! Par contre, je me force à rester attentif aux appuis, parce que c'est très roulant mais piégeux parfois et une entorse maintenant, même si elle ne compromettrait pas la fin de la course pourrait être problématique pour le bronze... Heureusement, aujourd'hui, je suis dans un bon jour et je ne ferais pas une cheville, pas même une alerte. Je donne le rythme sur les sections descente mais je me force à ralentir, car si je retrouve facilement Tercan derrière moi, j'ai l'impression que Tyliana met un peu plus de temps et je ne veux pas qu'on se perde déjà.
Après une dernière montée, on arrive enfin à St Christo, 1er ravito avec bonne ambiance. Question temps: on boucle cette 1ère section en 1h43, contre 1h45 prévu: on est dedans mais faudra rien lâcher...
Comme attendu, ce premier ravito est une foire d'empoigne. J'avais prévu de le sauter, c'est définitivement la solution à adopter !! Tercan doit s'arrêter faire le plein de flotte, on se perd quelques minutes, mais un coup de fil plus tard on finit par se retrouver (rien ne ressemble plus à un coureur avec une frontale qu'un autre coureur avec une frontale...). En route pour la deuxième section et le point culminant de la course.
Cette section Saint Christo – Soucieux ne m'inquiète doublement pas. En effet, c'est la section que j'ai couru l'an dernier en relais 3, donc je connais le terrain. Et c'est une grosse section hors bitume avec une forte composante descente: je suis sur mon terrain de prédilection.
Donc départ tranquille pour cette section « plaisir ». Au programme, la montée jusqu'à Moreau. Et tout ce passe bien, je suis à l'aise. Les montées passent bien, je suis à l'aise dans les descentes. Rien de spécial à raconter sur cette section, juste une impression de « bien », la joie d'être là avec les autres, au milieu des autres. C'est d'ailleurs sur cette section que l'on commence à entendre au loin les GAUCHE-GAUCHE-GAUCHE. Et rapidement les premiers avions de chasse des relais 4 et 3 vont nous doubler, impressionnant d'aisance et de vitesse. La plupart des coureurs se jetteraient dans le caniveau pour ne pas les gêner et généralement, la cohabitation se passe bien. La course continue.
2H29 contre 2h33 prévu, on est toujours sur la base des 8h30.
Ravito encore un peu tendu: Tyliana se fera limite agresser par une bénévole parce qu'elle lui demande de l'eau pour son camel... Heureusement, ce sera notre seule expérience « pénible », les bénévoles étant habituellement charmants et très attentionnés, qu'ils soient ici remerciés. Devant la foire d'empoigne du ravito, je décide de ne pas recharger mon 1er bidon vide, 500ml restant pour 6kms de descente, ça suffira largement, passage à la vidange et c'est repartit.
On attaque la descente sur Sainte Catherine, ouverture des vannes et on double allègrement. Bonnes sensations sur cette section, arrivée au stade en 3h08 contre 3h16 prévu et passage au stand: le ravito est très grand, du coup on est assez à l'aise et on peut manger et boire sans problèmes. Je croise une collègue de boulot qui fait l'assistance pour les traileurs du Môle (tiens, ils sont derrière??). 4 minutes d'arrêt et on repart, d'abord tranquille, puis Tyliana décide de dynamiter la course: elle a mangé des Tucs et croyez moi, le Tuc, ça lui fait un effet dingue... Du coup, la côte qui suit le ravito de Ste Cat est avalée en 2 temps 3 mouvements, j'ai l'impression de suivre sur un rythme de 10kms...
Heureusement pour moi, l'effet des Tucs s'estompe progressivement et elle redevient humaine, d'autant plus que la descente du bois d'Arfeuille s'annonce. A nouveau, on double plus que de raison, j'ai vraiment l'impression qu'on envoie bien, (on perd même un peu Tyliana). Les kilomètres commencent à faire leur œuvre et la fatigue monte gentiment. Arrivée à Saint Genou après une petite côte qui me fait un peu mal et surtout, je ne retrouve pas mes repères de l'an dernier. La ferme a t' elle changé, l'arrivée se fait par un autre chemin, est elle plus loin ??? Je ne sais pas, toujours est il que je souffre un peu sur cette fin de section. Et c'est la douche froide: 4h18 contre 4h11 prévu !!! J'ai pourtant l'impression qu'on a rien lâché, mais là, sous l'effet conjugué de cette partie interminable avant le ravito plus la sanction du chrono, je doute tout à coup de nos possibilités de rentrer sous les 8h30. (En fait, il s'avèrera que le kilométrage ne correspondait pas entre notre planif et les données GPS, ce qui explique surement la grande différence chronométrique, mais ça, on ne le saura que le lendemain) Gros doute dans l'équipe à ce moment, d'autant que Tyliana commence a sentir son genou tirailler. On repart sans délais, d'ailleurs ce relais est terrible, un goulet vrai d'étranglement avec une foule assez impressionnante et un accès difficile aux tables.
Dans la grande section descendante sur Soucieu, on se détache progressivement. Tyliana reste à l'arrière, Tercan part devant et moi, je fais ce que je peux... Le retour sur le goudron ne me plait guère et je souffre en solitaire. Notre équipe vole en éclat sur cette fin de section. J'arrive à Soucieu en 5h18 contre 5h14 prévu: il y a du mieux mais la perspective de repartir seul et le fait d'être dans le dur ne me pousse guère à l'optimisme. 100M avant le ravito, coup de téléphone: c'est Tercan qui a finit son ravito qui veut savoir où je suis avant de repartir. Ben, ça tombe bien, je rentre sous la tente du ravito !! Il m'attends et je fais un ravito express de 2minutes et je suis prêt. Tyliana arrive, le temps de parler 2 minutes et c'est reparti. Du coup, elle fait un ravito encore plus express et on repart ensemble: C cool, on reste bien soudé dans la difficulté. Je sais que les choses sont loin d'être gagné mais je veux y croire.
J'ai une pensée pour nos plans d'avant-course, je me rappelle encore avoir dit de façon péremptoire « la course commencera à Soucieu, C à partir de là que ça se jouera »... Et ben, je peux vous dire que on en dit des conneries avant les course !!! Elle a déjà commencé depuis longtemps la course !!! « La course commence à Soucieu », je te jure, quelle connerie !!!
Autant j'étais confiant au départ de la section précédent, autant la, ce grand bout droit direction Lyon m'inquiète. Mon grief principal: les 25 kilomètres restant sont du goudron et moi, le goudron, j'aime pas.
Je fais cette première partie direction Beaunant comme un robot, objectif: ne pas penser, mettre un pied devant l'autre, si possible en courant. Doubler, se faire doubler, courir, serrer les dents, résister.
Le goudron devient majoritaire, les jambes souffrent, les esprits aussi. Tercan est devant, il fait le pacer. Je suis difficilement derrière, en faisant le yoyo sans jamais le perdre de vue. Quand à Tyliana, elle lâche, apparemment dans le dur et souffrant des chevilles et des genoux depuis plusieurs kilomètres. Peu de souvenirs de cette section.
Arrivée à Beaunant en 6h46 contre 6h45 prévu. On tient le bon bout, même si la fin s'annonce dure, une chance de réaliser notre objectif est encore possible. Tercan et moi sommes certains que Tyliana a lâché du lest, on fait donc un ravito rapide pour repartir au plus vite. 3 minutes et nous revoilà sur le départ. Et là, quel n'est pas notre surprise de découvrir une Tyliana somme toute pas si abimée que ça qui arrive au ravito !!! Comme me le dit Tercan, C vraiment un guerrière !! Elle fait donc un ravito encore plus express, et nous revoilà partis à peine 2minutes après son arrivée.
A partir de ce moment là, même si rien n'est dit entre nous, il est implicite qu'on va rester ensemble et tout donner pour aller au bout dans les temps voulus, et surtout ensemble.
Direction Lyon. Je coure autant que possible, je me prends à aimer cette côte (raide) de Fourvière où je peux enfin marcher (tiens, ça monte, on marche: enfin ça ressemble à un trail...) et redescente sur les pavés de la vieille ville. Passage du dernier ravito en 7h44, on ne ralentit même pas, notre salut est devant. Tercan est devant, il donne le rythme. On tourne à 8-9km/h pourtant ce passage dans la ville avec les virages dans les rues me donne l'impression de faire une corrida (enfin, une corrida où je serais cuit, version taureau avant la mise à mort...). Passage du dernier pont, descente sur les quais, putain, mais ça en finira jamais !!! Lors de la préparation, j'avoue avoir focaliser mon attention plus sur le reste du parcours que sur cette fin, du coup, je manque de repère et je subis ma course. La prochaine fois, je reconnaitrais mieux l'intégralité du parcours sur GoogleEarth !!!
Tercan met en place un rythme « 1km course / 200m marche ». Bonne idée, oui mais non en fait: la marche ne me soulage plus vraiment et je maudis Tercan chaque fois qu'il nous lance « allez faut recommencer à courir ».
Je cherche à me distraire tant que je peux en regardant partout et nul part: ne pas penser, ne pas penser... Et ce tic tac qui martèle notre avancée, les kilomètres passent et la Sainté de bronze semble à peu près acquise.
Enfin, on rentre dans le parc de Gerland. La fin est là, à portée de main, on voit le palais des sports. J'adore ces derniers instants. Je ne sens plus les jambes, courir, je déroule enfin dans cette allée finale, entre des souches d'arbres qui se consument, les barrières, les spectateurs, le dernier virage, l'entrée dans le palais des sports...
8h22 au temps officiel, 8h19 sur mon cardio et le Garmin de Tercan. Enfin. Libéré. On passe l'arche main dans la main. C'est fait, on l'a fait !!!
Le flot incessant des coureurs nous poussent gentiment vers la sortie de la zone d'arrivée. Récupération du T-shirt (pas besoin de le regarder, je l'aime déjà). Et montée au premier étage pour s'étirer un peu et souffler. Réaliser ce qu'on vient de faire, ce que je viens de faire. Repasser le film de la course. Profiter, tout simplement. Récupération des sacs coureurs, douche (froide, tiède, chaude finalement) et direction la Part-Dieu pour prendre le train de 11h (avant, arrêt au Mc Do pour déjeuner... Faut pas se laisser aller !)
Alors que penser de cette SaintéLyon.
Tout d'abord, que les choses soient claires: c'est vraiment une course de coureur, pas de traileur. Le profil, les coureurs, l'ambiance, le terrain: tout rappelle la course et en tant que traileur, j'apprécie par toujours tout: le comportement au ravito, l'absence de remerciement aux bénévoles de beaucoup de coureurs, le silence en permanence.
Le gros point positif, c'est cette course d'équipe. Nous avions un objectif commun et on a su faire face ensemble la plupart du temps pour tenir et finir dans nos objectifs. Merci à Cyril et Nath pour ces instants partagés.
Ce qui est sur, C que l'an prochain, pour notre nouvel objectif (hein Cyril...), je reviendrais mais en runing, pas en trail, on souffre trop sur les derniers 25kil de goudron.
Merci encore à mes deux compères, à l'organisation (sans faille), aux bénévoles (toujours disponible), aux spectateurs (toujours étonnant le monde qu'on croise à ces heures) et aux autres concurrents, souvent sympa mais très absorbés par leur course!
Edit du 1er janvier: ça y est , j'ai enfin trouvé le temps de mettre en forme mes notes, 1 mois pour faire un CR, c'est un peu long !!!
Après 3 semaines de récup, l'envie est là et les objectifs de 2010 conséquents, en nombres et volumes si tout ce passe bien.
Donc, retour à l'entrainement, leitmotiv cette année 2010: « Go hard or go home »
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7 commentaires
Commentaire de Mustang posté le 02-01-2010 à 11:03:00
merci Cédric pour ce joli récit sur une course en équipe!
Je suis d'accord avec toi avec tes appréciations sur les coureurs dans ton "après"
cela dit, c'est quand même une bien belle course!
Commentaire de Lation posté le 02-01-2010 à 17:25:00
joli course et beau recit
merci et bonne annee
Commentaire de l'ourson posté le 02-01-2010 à 19:23:00
Merci pour ce 1er CR 2010 de la Saintélyon ;-) et bravo à tous les 3 pour cette Sainté de bronze bien méritée :-)
L'Ourson_TAF_DAK_avec_toi_pour_le_choix_des_pompes!
Commentaire de Tercan posté le 02-01-2010 à 22:58:00
Heureusement que tu vas plus vite en course qu'en CR, sinon le bronze on l'aurait jamais eu :)
Pour ma part, je suis assez surpris d'avoir bc aimer cette course. C'est surement du au groupe qu'on était et au défi de toujours relancer... toujours relancer...
Mais je suis assez d'accord avec tes conclusions : niveau ambiance, c'est assez différent de ce que j'ai l'habitude de voir avec un dossard :)
Cela dit... RDV en 2010 pour les 8h
Commentaire de DJ Gombert posté le 03-01-2010 à 21:41:00
D'accord avec toi sur la population majoritairement de coureurs, mais en même temps je n'ai jamais rencontré autant de kikoureurs. En tout cas belle course pour vous trois et ravi d'avoir fait votre connaissance à l'AAB.
Commentaire de Tyliana posté le 04-01-2010 à 09:02:00
On l'a attendu ce CR mais BRAVO, il reflete bien notre course...A agender en 2010 pour un objtectif encore plus audacieux!
Commentaire de Belet posté le 20-01-2010 à 17:49:00
Comme j'avais dis à Tercan, pas facile de faire course commune surtout que ce n'est pas votre terrain habituel.
Mais cela semble vous avoir aidée dans les moments difficiles. Il va falloir être bien synchro sur l'allure l'an prochain, si vous voulez récidiver l'arrivée simultanée sous les 8h.
Arnaud.
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