Récit de la course : Eco-Trail de Paris® Ile de France - 30 km 2015, par Bérénice

L'auteur : Bérénice

La course : Eco-Trail de Paris® Ile de France - 30 km

Date : 21/3/2015

Lieu : Meudon (Hauts-de-Seine)

Affichage : 3221 vues

Distance : 30km

Objectif : Pas d'objectif

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Arrête-moi si tu peux... (sans Leonardo Di Caprio !)

    ECOTRAIL DE PARIS – 30 KM – SAMEDI 21 MARS 2015

 

 

Juste avant de commencer mon récit je voudrai dire combien la préparation de ce trail a été agréable cette année. Depuis janvier, j’ai fait 3 sorties par semaine et pas une seule fois je n’ai eu une averse. Souvent le soleil était présent en forêt et cela donnait une lumière magnifique qui passait à travers les arbres sans feuille, sublime ! Chaque entrainement m’a régénéré et j’ai eu cet hiver une formidable énergie qui m’a poussé à faire 1000 choses. Bref j’aborde la course avec un bien-être intérieur super et la sortie reconnaissance parcours avec Bertrand, il y a tout juste 2 semaines m’a mise en confiance.

 

Le jour J est enfin arrivé ! Virginie nous dépose Fabien et moi à Meudon avant de partir s’entrainer pour son marathon du 12 avril Sourire. Je retrouve avec joie Bertrand, son pote Hakim et Christian (alias Bubulle) et on se prend en photo. L’ambiance est cool et sympa hormis le froid, qui ne fait que nous rendre plus impatient de démarrer…

 

On part dans la 3ème vague de 10h10 et déjà Fabien file devant. Bert’ est sur le côté pour m’encourager et me crie une dernière fois « pas trop vite ! ». Promis je vais gérer cette année… Je démarre, juste contente d’être là et on se retrouve vite à passer devant l’observatoire avant d’attaquer  la forêt, j’ai le nez sur ma montre pour ne pas aller plus vite que 7 mn le km et c’est très dur, impression de devoir freiner tout le temps ! Je repère une fille cool et je la suis pendant les premiers kms. J’adore ces petits chemins et tout ce tapis de feuilles mortes par terre. Au bout de quelques kilomètres je me fais la réflexion que j’ai l’impression de beaucoup descendre et les montées je ne les vois pas ! Pourtant elles sont là !

En peu de temps on se retrouve déjà au km 5 en passant sous la N118 et ça « roule ». J’aime courir dans ces lieux si connus. Je m’amuse à observer les autres coureurs et je me fais doubler par un mec avec des bâtons de marche accrochés à son gros sac à dos !!!! Ce n’est tout de même pas pour les 3 malheureuses grosses côtes de la course ?? Je le doublerai beaucoup plus loin avec ses bâtons dont les dragonnes lui tapent dans la tête et je le verrai arriver une demi-heure après moi !! Cette année, je me suis fait pas mal la réflexion que certains sont super mal équipés et surement pas assez entrainés (on ne doit pas en voir sur le 80km ces coureurs au look touriste…). J’ai aussi vu 2 mecs assis sur un tronc d’arbre qui avaient enlevé leurs chaussures et qui discutaient de la chaussette que l’un tenait à la main ! C’est cocasse d’observer tous ces petits moments ! J’ai aussi vu 2 personnes se baisser pour ramasser des gels vides et les mettre dans leur petit sac à déchets : respect ! En attendant, je suis doublée par des dizaines de coureurs, comme d’habitude, pendant que je double 2-3 personnes mais cette année j’attends mon heure sur les quais ! Première grosse côte pour atteindre la tour Hertzienne et ça passe nickel. Puis on se retrouve à un endroit que j’aime bien car le terrain est en pente avec un petit côté aventurier et fait une grande boucle ce qui permet d’apercevoir la file de coureurs habillés de toutes les couleurs devant moi. Un bien joli spectacle. Km 8 : une jolie montée avec cette fois 3 jeunes filles dont une qui porte un sweat à capuche en coton et pas de sac à dos ! Elles papotent et pourtant elles ont toutes les 3 le bracelet de « l’open bar » donc ce sont forcément des participantes…On atteint la barrière indiquant km 9 pour nous (et km 56 pour ceux du 80 km !!) et je me sens super bien. Puis la grande descente dans Chaville où je me lâche pour me faire plaisir : impression d’une foulée aérienne et de voler, trop bon ! En bas un petit gel et hop j’attaque la  2ème grosse côte d’un bon pas. Première surprise : je trouve pleins de coureurs qui marchent doucement alors que j’ai envie d’attaquer à un bon rythme. J’avoue que cela m’agace (oui je sais, c’est pas bien !) car j’ai l’impression de perdre mon rythme et du coup je me place juste derrière une fille qui trace et double pendant que j’applique la méthode « Sab » : mains sur les cuisses, je souffle bien et je mets de l’énergie pour monter d’un bon pas. Ça marche super bien et je repars en courant avant la fin du sommet pas trop essoufflée (quel contraste avec l’année dernière au même endroit !).

 

Km 10,5 : j’aperçois à la fin du pont Nadège avec son mari et sa fille. Quelle joie ! Je trouve le temps de lui serrer fort la main en la remerciant d’être venue. Je regrette un peu de ne pas m’arrêter mais je suis en pleine descente alors je file. En bas on est un petit groupe à foncer dès le feu vert piétons pour continuer et on attaque la 3ème côte (500 m de distance et60 m de montée !). Je l’attaque encore très bien et je me paie même le luxe de trottiner dans le petit tunnel, soyons fou ! On traverse une route et on continue la côte. Là je vois une affiche des Kikourous qui nous souhaitent la bienvenue dans le domaine des Fausses Reposes. Allez go ! On est presque une centaine de membres du site Kikourou à être inscrits sur les 4 courses de la journée et c’est une communauté super sympa. Cela me donne le sourire et du courage pour grimper. Un peu plus loin, le chemin se rétrécit et ça bouchonne, je suis d’autres coureurs qui tracent un peu à côté… Encore plus loin, autre affiche kikourou : « Profitez bien de la fin de la course !! »  Il nous reste environ 18-19 km sur les 30 !!! Ce message doit surement concerner les trailers du 80 Sourire.

 

Km 12 : nous voilà aux étangs de Ville d’Avray. Je me revois à cet endroit avec Bert’ il y a 15 jours discuter tranquillement en courant de l’orientation scolaire de nos enfants !! Là je profite du paysage… Après l’avenue de Versailles, on traverse et on attaque une bonne côte que je monte en courant jusqu’à la moitié ! Un petit gel et c’est reparti. Arrivée en haut, on est dans un endroit magnifique : la brume dans les arbres donne à la forêt une ambiance un peu mystérieuse et il y a plein de tas de stères de bois sur les côtés. C’est juste beau ! On arrive dans Marnes la coquette – Ville d’Avray et j’ai un petit pincement au cœur de penser que les enfants ne sont pas là cette année. On rentre dans le parc de St Cloud, cela fait 1h53 de course (pour un objectif de 1h55 à cet endroit !) et j’ai envie de bien profiter des derniers km dans la nature en attendant le retour à la civilisation et à la pollution ! Cela se passe encore super bien et je vois des coureurs qui commencent à marcher sur le plat, je me dis que les pauvres ne sont pas arrivés à la tour Eiffel… Je sens que les cuisses commencent un tout petit peu à se faire sentir mais tout va bien. Je suis si heureuse d’être là en train de courir avec ma musique adorée qui m’accompagne à chaque instant (d’ailleurs c’est quoi encore cette idée débile d’interdire la musique pour la course à pied car ce serait soi-disant dopant…du grand n’importe quoi !).

 

Km 20 : j’arrive au ravitaillement et je suis en train de me demander si je prends quelque chose quand je vois Bert’ débouler me demandant si je ne me suis pas perdue… Moi : ??? Ben non ! Là, j’apprends que des centaines de coureurs n’ont pas pris le bon chemin, que les marcheurs nordiques sont perdus et en tant que membre de l’organisation, je le sens contrarié de ce méga-incident. Puis il est content de me savoir en forme, surtout que je lui mets ma montre sous le nez pour lui indiquer fièrement mon allure de 7mn02sec le kilomètre ! Il me dit des paroles qui vont me porter pour la suite : « Super, tu es en train de faire une course d’enfer…Allez file et repars ! ». Je prends juste un petit morceau de banane et je repars galvanisée. Vers le bas, il y a un mini changement de parcours par rapport à 2014 qui nous fait prendre la descente là où il y a des pavés tout pourris. En bas du parc, je vois sur le côté Dolly et Pacaud et c’est encore génial. Je m’arrête 5 secondes  et je pousse  Christophe à m’accompagner quand je vois ses chaussures de running aux pieds. Il démarre malgré son mal de dos et vient courir avec moi. On papote un peu et c’est super sympa. Il m’encourage avant de s’arrêter devant le musée de Sèvres.

 

Km 21 : C’est le début des quais de Seine et ses travaux interminables le long des berges, sa poussière et ses voitures. Je suis sûre que dans 2-3 ans ce passage de l’Ecotrail sera bien aménagé et beaucoup plus agréable !! On a des passages bien étroits mais le plus important pour moi c’est que je sens que j’en ai sous le pied dans tous les sens du terme : j’ai de la réserve dans les jambes mais je sens aussi une douleur sous le gros orteil, signe d’une grosse ampoule qui me fait mal à chaque foulée et je fais « glop » de penser que cela pourrait me gâcher mon plaisir des derniers kilomètres. Bien la peine d’avoir « noké » les pieds ce matin ! Par contre le cardio est excellent et les cuisses tirent mais je gère. Je me mets en mode accélération dès que je peux et là j’avoue savourer un moment génial : je double des coureurs !!! Parce que c’est bien gentil le début où tous les coureurs filaient comme des fusées mais c’est un peu vexant tout de même ! Je me fais aussi doubler par un mec habillé en militaire avec rangers aux pieds, il marchera un peu plus loin puis me redoublera et rebolote un peu plus loin ; je le lâcherai enfin au km 24 ! Oui ça fait avancer aussi la fierté et l’orgueil ! J’atteins l’ile St Germain et je me réjouis des pancartes personnalisées de Bert’ ; le message me concernant est carrément hilarant : « Bientôt l’UTMB !… ». Même pas dans mes rêves les plus fous ! Il reste 5 kms et je décide de tout donner car je suis convaincue que je peux encore dépasser mes limites en m’arrachant. Je réalise que, depuis petite, j’ai été habituée à lutter contre l’adversité et à trouver du plaisir dans l’effort alors je me sens en terrain connu dans cette lutte. C’est surement ce qui anime beaucoup de coureurs : ce dépassement de soi pour aller chercher au plus profond  nos petites victoires respectives. Chacun met le curseur où il peut.

 

Km 26,5 : Pont de Mirabeau. Je vois Frédéric qui m’attend à la sortie du parc André Citroën, super ! Je ne veux pas m’arrêter alors je l’enjoins à courir avec moi, ce qu’il fait avec ses beaux mocassins pas du tout adaptés ! On discute un peu et cela fait encore du bien. Il me laisse et je repars en accélérant.200 mètres plus loin je vois une femme juchée sur ses talons qui traverse en courant le parcours pour ne pas gêner les coureurs ; je reconnais ma copine Marie !!! J’ai envie de rire… D’un côté Marie et de l’autre Souad avec son portable pour prendre des photos, je ne sais pas de quel côté aller et je ne sais même plus ce que je leur dis, à part que Frédéric est juste plus loin et qu’elles devraient l’appeler sur son portable… Je file pour ne pas perdre mon rythme. Je vois sur ma montre que mon allure moyenne au km est doucement en train de diminuer pour passer des 7mn02 à 6mn55 sec. Trop bien ! Cela confirme mes sensations et me conforte d’accélérer encore. Au pont de Grenelle, je contourne et fais la petite montée en courant avec le sourire car je sais que les photographes sont en haut et je ne veux pas avoir la même sale tête que l’an passé quand j’étais à l’agonie… Cette année, plutôt mourir que de marcher un seul pas dans ces derniers kilomètres ! Et sur le pont, un autre photographe, je m’amuse à mettre mes mains devant mon visage souriant pour montrer mon beau vernis bleu vif posé hier soir à 23h pour me donner de l’énergie ! Oui je sais : une vraie fille ! Et encore, j’ai oublié de préciser au départ que mon coupe-vent est exprès assorti à mes lacets…

 

Km 29 : L’allée aux cygnes qui est bien longue…Au bout : les marches et encore une petite revanche : l’an passé j’étais accrochée à la rampe pour monter et là je décide de monter en courant. Je suis à fond dans ma musique et je plonge le nez dans les marches. Arrivée en haut je lève la tête et tombe nez à nez avec Laurence. Carrément la grosse surprise ! Elle m’encourage et je sais que c’est bientôt fini. Et puis là, déception : le parcours nous fait redescendre sur les quais. Nan, mais c’est quoi ces conneries ! On est cerné par des nuées de touristes, des poussettes… et aucune arche d’arrivée au loin. On va où comme ça ? On passe sous le pont d’Iéna, on se coltine les marches pour faire une boucle, en haut encore un autre virage et plus loin je vois enfin une arche de nain avec le mot arrivée ! Pleins de gens qui crient sur les côtés et un tapis rouge pour les 50 derniers mètres. Je laisse exploser ma joie, je souris, je lève la tête au ciel, je ferme les yeux un instant pour gouter ce moment et j’arrive !! Chrono : 3h 31mn 56 sec. Le rêve ! 15 mn de mieux qu’en 2014 et je découvre en même temps qu’on a fait 30,6 km. Ces 600 m supplémentaires m’ont empêché de passer sous la barre des 3h30 ! Quoi : il va falloir revenir en 2016 pour le faire ! Classement : 1989ème sur 2720 (430 places de mieux qu’en 2014 !) et 322ème féminine sur 623. Je m’empresse d’appeler Bertrand pour lui annoncer la bonne nouvelle et il est super content pour moi.

 

Conclusion : Une très  belle course qui me remplit de joie et qui récompense mon entrainement. Je me sens comblée au niveau sensation ! J’ai été heureuse du premier au dernier kilomètre. Envie de poursuivre dans la voie du trail tellement agréable avec ses changements de rythme et être dans la nature et en même temps j’avoue l’envie de faire un marathon. Les 2 sont surement compatibles… Je vais potasser des calendriers de course ! Pour l’avenir proche je vais savourer cette victoire pendant quelques jours puis je vais suivre passionnément Bert’ sur son marathon des sables dans 2 semaines Sourire.

 

Evidemment un immense merci à tous mes amis qui m’ont soutenu pendant ma préparation, pendant ma course et qui m’ont envoyé pleins de sms ce matin et aussi à l’organisation (malgré les ratés de cette année pour le parcours) qui offre ce trail aux portes de la plus belle ville du monde avec une arrivée si magique à la tour Eiffel.

 

 

Epilogue : Après la course, je retrouve Laurence qui nous prend pour des fêlés de courir comme ça mais qui voit ma joie et comprend mieux ! Je vais chercher mon sac pour me couvrir rapidement (c’est super galère à atteindre…) et je refais le chemin en sens inverse avec Laurence et Fabien (il a rempli son contrat de moins de 3h mais se demande s’il va être disqualifié vu sa petite erreur de parcours dans le parc de St Cloud avec la confusion au niveau balisage, sans compter que sa montre l’a lâché et qu’il n’a même pas sa trace pour comprendre ce qui s’est passé !). On se dépêche de revenir au pont d’Iéna pour assister à l’arrivée de Bubulle promis à la première place en marche nordique. Super contente pour lui !!

 

Le soir je vais avec Fabien sur le pont d’Issy à 20h à la sortie du parc de l’ile St Germain pour soutenir les coureurs du 80km, si admirables ! Les rôles changent et je leur propose avec enthousiasme  des bonbons : fraises Tagada et bouteilles de coca (oui pas brillant pour une dentiste ! mais avec l’excitation je suis sure qu’ils auront l’énergie de se brosser les dents avant de se coucher). C’est vraiment une ambiance particulière et on voit des dizaines de coureurs passer avec leur frontale. Ils n’ont pas tous la même énergie et on soutient ceux qui semblent les plus fatigués pour qu’ils s’accrochent. Certains s’arrêtent et nous remercient. On les encourage pour finir (ils doivent monter les marches jusqu’au premier étage de la tour Eiffel pour finir leur course). Ils sont fous de faire une course pareille… ! Je suis super contente car je vois Caro, une héroïne de la course à pied, qui prend le temps de s’arrêter Sourire et Sab, que je suis si heureuse de serrer dans mes bras, toujours aussi formidable et courageuse Sourire. Bref une jolie façon de finir la journée et à 20h50 on quitte le pont d’Issy pieds et mains gelés. Quelle adrénaline toute cette journée !!

 

PS: toujours pas foutue de mettre des photos...

14 commentaires

Commentaire de Bert' posté le 24-03-2015 à 23:29:57

Bravo pour très belle progression !
Le Marathon est à ta portée... Et l'UTMB attendra juste un peu ;-))

Enfin le plus important est le plaisir pris pendant toute cette journée :-)

Suite à la prochaine sortie !

Commentaire de Bérénice posté le 25-03-2015 à 09:15:13

Merci Bert'
Je suis tellement contente de partager des choses avec toi en CAP. Mes débuts de supportrices pour toi m'ont donné envie de persévérer !
Maintenant je réfléchis marathon: où et quand ?

Commentaire de bubulle posté le 25-03-2015 à 07:10:38

Alors là, comment je suis content.

Enfin, il n'y a plus qu'un seul zinzin qui se rappelle tous les détails des parcours (j'exagère, y'a aussi Jacques). J'ai revu toute la course dans te description si précise (et juste !). Comme quoi la fâcherie féminine avec la cartographie n'est qu'une légende urbaine (illustrée, certes, par quelques exemple frappants que nous connaissons bien).

Bon, sinon, la gestion de course, au top. Le pacman final, au top. Le coupe-vent rose assorti aux lacets, au top.

Et merci pour les encouragements à l'arrivée (que j'ai juste à peine exagérés dans mon propre CR).

Bon, par contre, maintenant que j'y pense, le coup du brossage de dents le soir, je suis pas sûr que j'y ai pensé (mais je n'ai pas pris de Tagada, moi).

Commentaire de Bérénice posté le 25-03-2015 à 09:17:25

Merci Bubulle ! Un compliment sur la cartographie venant de toi et j'en rougis de plaisir !

Pour les encouragements j'ai une petite tendance à devenir hystérique quand je vois quelqu'un qui fait un truc super ! C'est trop fun de redevenir un enfant.

Je pense que les ponts de Paris vont être plus faciles en juin...

Commentaire de lapuce92 posté le 25-03-2015 à 07:13:12

Génial ton récit! On est avec toi, dans ta course, de bout en bout! Bravo pour ce méga chrono! Le marathon n'a qu'à bien se tenir maintenant! ;)

Commentaire de Bérénice posté le 25-03-2015 à 09:19:30

Merci à toi. Tu sais ça m'a donné un coup de fouet ton récit du marathon 2014 et j'espère avoir vite l'occasion de te voir en vrai ! même si tu es dans la cour des très grands...et du coup des grands trails !

Commentaire de matmat39 posté le 25-03-2015 à 09:06:30

Bravo Bravo Bravo,

Chaque coureur se bats contre lui même, tu peux être fiere de ce que tu as réalisé!

Comme bubulle je trouve ta mémoire du parcours proprement exceptionnel... ton récit m'a fait me souvenir de passage qui ne m'avait pas marqué mais je cherche encore le petit tunnel... ^^

Peu importe les course ou les distances, continue à t'amuser, à garder ta fraicheur et ton enthousiasme.
C'était beau à lire^^

Commentaire de Bérénice posté le 25-03-2015 à 09:22:15

Merci beaucoup pour ton message. Oui chacun son Graal !
Pour le tunnel il est minuscule et le train passe juste au-dessus... C'est juste après le début de montée sur le bitume avec au choix les marches ou la pente douce !Si tu ne te souviens plus tu n'as plus qu'à te réinscrire en 2016 !!!

Commentaire de Arcelle posté le 25-03-2015 à 12:52:57

C'est agréable de lire un récit qui transpire le plaisir de courir et de partager ces moments avec ses amis et sa famille.
Bravo pour ta course !

Commentaire de Bérénice posté le 25-03-2015 à 18:26:39

Oh merci Marie-Laure ! Je progresse tranquillement à mon rythme au fil des années et c'est vrai que je suis très contente d'avoir monté une marche cette année. C'est vraiment chouette de développer l'endurance. A une prochaine dans la forêt de Meudon ?

Commentaire de Roni75 posté le 26-03-2015 à 00:31:08

Sympa ton CR! Bon, dommage ,j'ai rate les fraises et les bouteilles de coca. une motivation supplémentaire pour s'entraîner dur la prochaine fois

Commentaire de Bérénice posté le 26-03-2015 à 08:28:53

Merci ! Oui je reviendrai l'année prochaine avec plus de fraises Tagada car je me suis retrouvée en rupture de stock dès 20h45 !! et il suffit juste que tu améliores ton temps de 1h30 !! Enfin déjà un grand bravo à toi d'avoir fini car tout finisher du 80 est un héros !

Commentaire de caro.s91 posté le 28-03-2015 à 21:47:42

je suis super contente pour toi !!! Belle course que voilà. Jolie progression, l'entraînement paye !
Et puis un énorme merci pour être revenue avec les fraises tagada. C'était très agréable.

Bises,
Caro

Commentaire de Bérénice posté le 28-03-2015 à 22:47:56

Merci à toi pour tes encouragements quand on s'était vu en forêt de Meudon ! c'est formidable de rencontrer des personnes comme toi très ouvertes aux autres. A bientôt :-)
Bises

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