L'auteur : leptitmichel
La course : Eco Trail de Paris® Ile de France - 80 km
Date : 16/3/2013
Lieu : St Quentin En Yvelines (Yvelines)
Affichage : 3391 vues
Distance : 80km
Objectif : Se dépenser
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Né en 2008, l'Ecotrail de Paris veut se positionner comme le grand trail parisien au même titre que Lyon et la Saintélyon
Moyennement attiré par le concept très commercial lors de son lancement, il faut reconnaitre que depuis, tous les retours que j'en ai eu sont plutôt positifs sur la qualité de l'organisation.
Initialement engagés sur les 24h d'Ay en Champagne, lorsque la course a été annulée j'ai décidé de me rabattre sur l'Ecotrail pour des raisons pratique d'un point de vue logistique
Cette année, pas de montée à la Tour Eiffel en raison de travaux, mais l'organisation promet à la place une arrivée "grandiose". Visiblement on a pas la même notion du grandiose, et c'est une arrivée honteuse qui nous sera proposée.
Point positif, la gentillesse et l'efficacité des bénévoles sur le parcours et aux ravitos !
Le CR de Michel
Ecotrail de Paname…
Lors de son lancement il y a 4 ans j’avais émis de gros doutes sur la qualité et sur les objectifs de l’organisation de cette épreuve… La course était clairement montée pour venir concurrencer la Saintélyon, (épreuve en pleine « dérive » commerciale, non sans quelques difficultés de calage d’ailleurs), et un coût d’inscription plutôt lourd (80 euros). Si beaucoup d'amégement (positifs) ont été apportés depuis la première édition, quelques éléments sont venu semé le trouble cette année
Lors de l'ouverture des inscriptions, le site internet communique toujours sur une arrivée à la tour eiffel avec des photos de coureurs grimpant la tour (la fameuse arrivée au 1er étage). Hors en tout petit, perdu dans le règlement, on peut lire que l'arrivée se fera au pied de la tour. 10 jours seront nécessaires pour que les organisateurs fournissent une réponse officielle. Effectivement, en raison des travaux en cours sur la Tour Eiffel, il n'est pas possible d'arriver au premier étage, mais une arrivée toute aussi grandiose sera proposée aux participants.
A partir de là les hypothèses vont bon train... Arrivée sur un bateau, à la Tour Montparnasse, l'arc de Triomphe... Du grandiose quoi... On verra ce qu'il en est à la fin du CR.
Dommage que les organisateurs n'aient pas eu le courage de jouer franc jeu dès le départ en annonçant clairement ce changement, la peur de perdre des clients... pardon je voulais dire des coureurs...
Du coup, je n'avais pas prévu d'y aller. Etant en pleine préparation pour le Morbihan, j'ai besoin de faire quelques sorties longues, et je me suis inscrit ce même WE aux 24h d'Ay en Champagne. Pas de chances, 3 semaines avant, la course est annulée. Je cherche dans le calendrier une autre épreuve et je vois que l'Ecotrail a lieu le même WE. Comme c'est à domicile, c'est facile côté logistique, et ça me fera toujours une sortie de 80km. Allez hop ! Un coup d'Internet et me voilà inscrit, prêt a retrouver ce parcour déjà fait en 2001 et à voir cette fameuse arrivée grandiose.
Un peu avant la course, Cathy, une de mes co-équipière au Raid 28 me demande si je peux accompagner un des élèves quelle coache. Thomas n'a jusqu'ici jamais fait de course de plus de 50km et elle le prépare pour le 80. Pas de soucis, on partira ensemble.
Vendredi 15 mars
Je passe chercher mon dossard au village de la course. Ca prend 5mn, puis en repartant je remarque qu'il n'y a à l'exterieur aucune infrastructure destinée à l'arrivée. Ni tente,, ni scène, ni podium...... Ah! Ah! Ah! Ce sera du grandiose monté au dernier moment (trop secret pour être montré avant la course).
Samedi 16 mars
J'arrive à l'hotêl Pullman à 9h00 pour stationner ma voiture. C'est le parking le plus proche du gymnase d'arrivée. Je retrouve Malte à qui je dois donner un dossard, puis je file prendre le RER en direction de St Quentin en Yvelines. Là sur le quai je retrouve la trilogie du 28 (Steph, Thierry et Jean-Yves) mais aussi toute une brochette de Kikoureurs, dont le Loup et le Papy. il faut dire que côté Kikourou, il y aura du monde sur toutes les épreuves.
Arrivés à St Quentin, un coup de navette et nous voilà à l'accueil départ, dans une stucture un peu "light" puisqu'il y a juste une petite tente pour abriter 2000 coureurs. Il fait frais et il y a du vent du coup on a vite froid. Heureusement, il ne pleut pas.
Côté parcours, il y a quelques légères modifications cette années qui portent le tracé officiellement à 76km
Par contre j'ai toujours de très très gros doutes sur le graphe du dénivellé tel qu'il est présenté. Bien sur il y a quelques "coup de cul", mais ce sont beaucoup de zone plate (ou presque) qu'on retrouve sur le parcours, zones qu'on ne retrouve pas vraiment sur graphique
Sur place, c'est l'occasion non seulement de retrouver le reste des kikoureurs, mais aussi de retrouver pas mal d'autres connaissances, comme souvent dans ces épreuves.
Je fais aussi la connaissance de Thomas avec qui je vais courir. Je profite de ce moment d'avant course pour lui donner quelques conseils d'usage et lui expliquer les pièges dans lesquels il ne faudra pas tomber, comme un départ trop rapide.
D'ailleurs sur ce point je vais tirer partie de la gestion de Sonia sur le raid 28... ralentir, ralentir et ralentir sur les 22 premiers kilomètres.
Les objectifs sont simples. Gérer calmement jusqu'au 22ème, puis assure le tronçon 22-56km qui est celui où se trouvent les principales difficultés, et une fois au 56 finir au train.
Pour moi la priorité est de courir un maximum, même lentement toujours dans l'optique de ma préparation à l'Ultra Marin en juin (177km non stop). Seules les côtes seront faites en marchant.
Un peu avant midi on nous fait rentrer dans le sas de départ. Avec Thomas on se met au milieu histoire d'être protégé du vent pas les autres coureurs
12h02 le départ est donné. On part tranquillement, l'objectif étant de ne pas nous laisser aspirer par les coureurs qui partent souvent trop rapidement sur cette première section relativement plate (j'avais fait l'erreur il y a 2 ans). On se cale donc sur un petit rythme, laissant passer ceux qui le souhaitent. On va essayer de viser un passage à Buc en 2h30-2h40, mais comme je ne compte pas utiliser la montre pendant la course, c'est surtout pour voir si juste aux "sensations" je suis capable de me réguler
Après 20mn de course, première pose technique (je me suis bien hydraté avant le départ), et surtout je retire mon coupe vent car maintenant qu'on est en course, ça commence à faire chaud.
On se fait tout le tour de la base de loisirs, puis on traverse un peu St Quentin avant d'entrer dans les bois. Pour le moment c'est toujours plat et Thomas se cale sur mon allure, même si parfois je dois le rappeler à l'ordre !
On traverse une zone que je connais bien puisqu'il y a pas mal de CO par ici et que c'est le terrain de jeu de mon club. On passe le bois et l'étang des Roussières, puis on retrouve un peu plus loin l'étang du moulin à renard. Là un peu avant de contourner l'étang il y a un truc étrange accroché à un arbre.
C'est en fait juste pour nous signaler un point photo spécial kikoureurs...
Je m'arrête quelques instants le temps de saluer Jay qui officie avec le Bagnard et on repart avec Thomas. On continue à progresser au train comme prévu surtout maintenant que le peloton commence à s'téirer un peu. Arrivé du côté des étangs de la Geneste, on va avoir le droit aux deux premières petites montées. On les monte en marchant et quelques mètres après la fin de la montée, on relance la machine doucement pour ne pas rester en mode marche trop longtemps.
Un peu plus loin on fait notre entrée au ravitaillement de Buc, km22.
Environ 2h40, donc on est pile dans les temps prévus et on a 45mn d'avance sur la barrière horaire. Là on refait le plein des poches à eau, on grignotte un morceau, puis on repart sur les étangs de la Geneste. L'arrêt a duré quelques minutes car j'ai expliqué à Thomas que ça ne sert à rien de s'attarder au ravito. Il vaut mieux partir et finir de manger et boire en marchant plutôt que de rester sur place.
A partir de là on rentre dans la section la plus difficile de la course avec quelques jolies côtes. Pour ma part, le fait de les monter en marchant fait qu'elles passent toutes très facilement. Je transpire un peu, d'accord, mais les cuisses tirent à peine. Thomas suit quelques longueurs derrières. Je ne suis pas un bon grimpeur, mais il semble avoir encore plus de mal que moi.
Les premiers kilomètres se passent pas trop mal, puis vers 30-35 km Thomas commence un peu à baisser en régime. Il se plaint de débuts de crampes. Je le fait boire, et je lui explique comment poser les pieds dans les montées boueuses (bien à plat).
On enchaine les petites côtes et plus ça va plus il prend de retard, surtout dans les montées, mais ça commence aussi sur le plat. J'essaye de le faire recoler au maximum pour pas qu'il lâche prise
Dans une montée, de nouvelles affiches Kikourou... Cette fois c'est Tonton Trailer qui est à l'oeuvre
Je vais le maintenir à niveau comme ça sur la longue section jusqu'à Meudon (km 44) où se trouve le point d'eau. Ce n'est pas un ravito à proprement parler, juste un point de controle et un point d'eau, mais ça permet de couper un peu la longue section de 33km habituelle. Contrairement à ce qui est indiqué sur la feuille de route, le point d'eau n'est pas à l'observatoire de Meudon, mais en face au niveau du village éducatif St Philippe.
Ce qui est intéressant c'est qu'à ce moment là, même si on n'a pas été très rapides, on a quand même gagné 170 places depuis Buc.
Là on se pose quelques instants, le temps de refaire le plein (je suis surpris d'avoir presque vidé ma poche à eau) et de laisser Thomas souffler quelques instants. Au moment de repartir, pour le rebooster, je lui propose de finir de se préparer en repartant et en marchant. Je prend son sac, le temps qu'il remette son coupe vent et ses gants et ça permet de le remettre en marche. C'est ici que j'ai aussi décidé d'enfiler le coupe vent car la pluie fait son apparition.
On contourne Meudon pour rejoindre l'observatoire, (là, pas de contrôle de matériel cette année), puis on fait une boucle dans la forêt de Meudon. Sur cette section, Thomas a de plus en plus de mal. J'essaye de le faire s'accrocher, ralentissant un peu l'allure, mais c'est difficile, y compris sur le plat. Les derniers kilmomètres vont être difficiles. il est dans le dur et je le sens lâcher prise. Je lui avait dit au départ que si il arrivait au 56ème ensuite c'était gagné... Je lui rappelle pour le motiver.
Dernière montée pour rejoindre le ravitaillement de Chaville (km 56). Je le tanne pour qu'il reste à mon contact, on termine la montée, je rentre dans la zone de ravitaillement, me dirige vers le ravito et là, quand je me retourne... plus de Thomas...
Je le cherche dans le ravito, mais c'est pas facile car il fait nuit, on a tous nos frontales et on est presque tous en noir. Ne le retrouvant pas je file me ravitailler, faire le plein de la poche pour tenir jusqu'à l'arrivée, puis regarde une dernière fois pour voir si je le trouve, mais rien.
A ce moment là je suis moyennement confiant. Malgré le coaching j'ai un peu peur qu'il lâche, même si je me doute qu'il a du s'installer quelque part pour se refaire un peu. En fait c'est presque ça. Il a simplement retrouvé son père et sa copine qui étaient à l'entrée du ravito et qui n'ont pas le droit d'entrer dans la zone réservée aux coureurs. Je décide de repartir espérant qu'il ne se laissera pas aller à un arrêt prolongé voir définitif
Là encore, même avec une progression difficile, on gagne un grosse soixantaine de places et qu'on a maintenant 1h15 d'avance sur la barrière horaire...
Je repars donc après un arrêt de 6mn chrono, bénéficiant directement de l'allure très modérée depuis Buc. Je suis bien. Pas de douleurs, pas mal nulle part, le seul truc, ne pas s'enflammer. J'ai un raid orientation dans 15 jours d'environ 10h et comme l'Ecotrail n'est qu'une sortie longue et pas un objectif, ça ne sert à rien d'accélérer de trop. Du coup je vaire repartir au train, mais là sans m'arrêter (sauf les côtes en marchant).
La seule entorse à cette progression se situera un peu avant le km60 à la traversée de la D985 où je profite de la devanture d'un magasin pour me mettre à l'abris et remplacer le coupe vent par la goretex. La fatigue, la nuit, la pluie qui s'intensifie font que s'est nécessaire.
Après les Fausse Reposes, on traverse rapidement Ville d'Avray avant de rejoindre le parc de St Clouds. C'est une zone que je connais bien pour venir y courir régulièrement, du coup, sachant où est le ravito je gère tranquillement la fin de parcours plutôt plate.
L'arrivée sur le ravito fait beaucoup de bien à la tête. Quand on est ici il ne reste plus qu'à descendre et longer la seine.J'arrive sur la zone plutôt calme et je file directement vers le ravito sans passer par le remplissage de la poche à eau. J'ai normalement de quoi tenir jusqu'à l'arrivée.
Sur cette section je remonte environ 140 places, et je suis au ravito avec désormais 1h30 d'avance sur la barrière horaire. Parfait !
Je me ravitaille en solide salé, mais pas en sucré. Je bois 2 grands gobelets de coca et un d'eau gazeuse. Ca fait du bien. Je retrouve ici Steph et Jean-Yves. On repart pratiquement ensemble mais je préfère rester mon allure sans me faire emporter.
La descente depuis le ravito se fait tranquillement puis on passe devant la manufacture de Sèvre. Là je connais la zone par coeur pour avoir travaillé quelques années à Issy les Moulineaux. J'entame la longue remontée vers la ligne d'arrivée visible depuis Meudon, mais désormais éclairée.
Assez rapidement je commence à avoir des mots de ventre qui vont rapidement m'obliger à marcher. Je ne sais pas si c'est l'abus de boisson gazeuse ou autre chose, mais alors que tout allait bien jusqu'ici, là ça devient cata. Passage dans l'ile St Germain où Bert (bravo pour ta victoire en marche nordique) à mis toute une série de panneaux pour encourager les kikoureurs, et je suis obligé d'alterner marche et course, refusant de m'arrêter, puis au moment de passer sous le périphérique, j'ai la tête qui tourne, et là ça fait tilt !
Je n'ai pas mangé de sucré depuis un moment, et mon principal apport qui réside habituellement dans ma boisson est tellement dilué par les rechargements qu'il n'y a plus que de l'eau. J'ai la présence d'esprit de sortir mon gel de secours, toujours dans le fond du sac au cas où, et je le descends entier. Un peu d'eau et je repars en marchant. Le mal de tête passe, mais pas les maux d'estomac. Pas grave du moment que ça me permet de terminer...
J'enchaine le quai de javel, puis l'ile aux cygnes avant de ressortir au niveau de Bir Hakeim... Là on attaque le quai Branly et je vois une espèce de tour eiffel rouge (en fait ce sont des ballons blancs avec des spots). A ce moment l'autre Tour Eiffel, la vraie, se met à scintiller. Il est 23h pile ! Je termine ma remontée, passe sous la tour eiffel (la fausse) et enregistre mon arrivée en 10h59'09".
Difficle cette fin de course, mes soucis de ventre m'ont fait perdre 40 places, mais je termine quand même en dessous des 1000, à 50 secondes de l'objectif fixé avec 2h d'avance sur la barrière horaire.
Je passe donc la ligne, là on me dirige vers une table où sont des bouteilles d'eau et on me dit que pour le ravitaillement il faut aller de l'autre côté du pont dans la tente de retrait des dossards... On me donne un TS, et puis... c'est tout ! ! ! Elle est où l'arrivée magique, fantastique, inoubliable promise ? Ah si il y a un point où ils ont dit vrai... c'est une arrivée inoubliable. Tristement inoubliable... limite du foutage de gueule !!!
Du coup je vais dans la tente de ravito. Pas la moindre ambiance. pas d'animation, ni de musique, juste des tables et un buffet. Je n'ai pas faim en fait mais je me fais un sandwich au saucisson sec et surtout je me prends une bière. J'avale tout ça, discute 2mn avec Bert, Land et une ou deux autres personnes, puis je file au gymnase chercher mes affaires.
Je rentre sur le stade Suffren, et là à nouveau, violents mots de ventre... Je me plie en deux et hop... Je donne à manger aux renards. Une fois, deux fois, trois fois ! Quand je me relève ça va nettement mieux ! Je marche un peu et 5mn plus tard je me sens totalement bien ! Il fallait que ça se vidange (c'est les renards parisiens qui vont être content).
Je monte récupérer mes affaires, je me change, et je reçois un sms de Thomas. Il a terminé en un peu plus de 11h30... Génial, il a tenu bon, il est reparti et il n'a rien laché. Bravo... Lâches pas tes prochaines courses, tu verras qu'elles passeront ! Ensuite, ce sera direction le parking, récupérer la voiture pour rentrer.
Petit bilan rapide : la gestion de course a été parfaite. Un peu lente entre le 35 et le 55, mais c'est peut-être aussi pour ça que sur la suite j'ai été aussi à l'aise. Donc je pense avoir trouvé un rythme de course qui me va bien pour le long. Les lenteurs du final ne sont dues qu'à un soucis passager, à corriger pour la prochaine fois.
L'entrainement a payé. 55 séances depuis le début de l'année, il n'y a pas de miracles !
Je dois faire attention à mon ravito, surtout au sucré (tu as raison Sonia !)
Pour le reste, c'était que du bonheur, surtout que le lendemain matin j'ai à peine quelques courbatures légères...
Content d'avoir pu croiser de vieilles connaissance, mais aussi quelques kikous que je ne connaissais qu'au travers des échanges sur le forum !
Bonne récupération à toutes et à tous
Le p'tit Michel !
Merci à Jay, au bagnard et à Tonton Trailer pour les photos.
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9 commentaires
Commentaire de Benman posté le 17-03-2013 à 22:54:25
Bravo pour ce coaching. Je trouve triste qu'une course si chère laisse un goût d'inachevé comme cela à l'arrivée... il y a beaucoup d'autres courses où c'est mieux et moins cher.. mais bon, on y croise moins de kikous. Merci pour ce récit.
Commentaire de RayaRun posté le 18-03-2013 à 01:26:12
L'année prochaine, au premier étage de la vraie Tour Eiffel ? Bravo en tout cas !
Commentaire de leptitmichel posté le 18-03-2013 à 08:01:32
@ Rayarun, peu probable l'an prochain... D'abord parce que j'y suis deja monté en 2011, et ensuite parce qu'en 2014, je retourne sur une discipline où je m'amuse bien... la CO... Et sur l'ecotrail, il n'y a pas beaucoup de balises à trouver !
Commentaire de PtitLudo posté le 18-03-2013 à 08:39:26
Bravo, et rendez-vous au grand raid du morbihan ;)
Commentaire de bubulle posté le 18-03-2013 à 09:34:13
Bravo Michel et merci pour ce CR. Content de t'avoir enfin croisé, au moins au départ.
Cet Ecotrail, effectivement, a sûrement plein de défauts mais c'est aussi un moment génial pour retrouver tous les copains kikous, c'est sûrement ce qui fait une part de sa magie, en tout cas pour nous. Il suffit de voir a posteriori le nombre de photos, commentaires, résultats....ou encore la gros nids de copains et copines qu'on retrouve au départ (même si certains étaient jusque là totalement virtuels).
En fait, c'est une grosse part de son charme qui me fera certainement ne pas le manquer sur les années à venir....même si les initiatives de l'orga sont parfois un peu pourries (cela dit, bon, ça doit être galère à monter une Tour Eiffel en ballons....mais ça fait quand même un peu "bof" comme arrivée, oui).
Commentaire de Tonton Traileur posté le 18-03-2013 à 11:14:36
BRAVO Michel. Quelle maîtrise ! Je t'ai trouvé d'une belle serennité dans les virages de "l'Alpe d'Huez" ;-)
Bonne récup et bonne continuation.
Il faudra que j'essaie la CO ... ça me titille de + en + c't'histoire ...
Commentaire de vinch64 posté le 18-03-2013 à 13:37:14
Bravo Michel, belle maîtrise de course pour cette belle sortie longue en vue du Raid du Morbihan.
On se recroisera peut être là-bas, je suis à 2 clics de m'inscrire sur le 87km.
A+
Commentaire de leptitmichel posté le 18-03-2013 à 17:25:51
@ bubule, quand je dis que je n'y retournerai pas, c'est en tant que coureurs. Ca ne veut pas dire que je ne viendrai pas soutenir les kikous présents...
@Tontontrailer, c'est quand tu veux pour la CO... Et en plus je te fais l'initiation à domicile !
Commentaire de Jean-Phi posté le 18-03-2013 à 18:44:58
Bravo et bien joué pour cet ecotrail !! Belle gestion de course ! Je te rejoins sur le graphe du dénivelé pour le moins fanataisiste. D'ailleurs je n'ai que 1130 de D+ sur la montre.
Bonne récup !
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