Récit de la course : Raid 28 2008, par Olivier91

L'auteur : Olivier91

La course : Raid 28

Date : 19/1/2008

Lieu : Epernon (Eure-et-Loir)

Affichage : 3200 vues

Distance : 85km

Objectif : Pas d'objectif

16 commentaires

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Barrières horaires: essayer de finir dans l'étang!

Décembre 2006, 24h des Ulis,

une tendinite sévère au releveur me conduit à m’arrêter à la huitième heure… Janvier 2007, j’accueille à la maison les membres de mon équipe pour le raid28 … et je les laisse partir s’amuser tout seuls dans la nuit et la boue, mas tendinite n’est pas guérie.

Quand je vois la solidarité et l’amitié qui sont nées parmi les membres de l’équipe (qui ont la gentillesse de m’associer à eux dans leur pensées), quand j’entends les récits des différents concurrents, je me dis que décidément il se passe quelque chose de différent dans cette course d’orientation par équipe partiellement nocturne…. Et je décide que l’an prochain, j’y serai. Je me dis que c’est aussi l’occasion de courir longtemps avec quelques potes de notre groupe de course, le Top Gang des Véloces Villebonnais (TGV Villebonnais).

Banco, je constitue l’équipe, avec Guillaume et Philippe, du TGVV, et Michel, le père d’une copine de ma fille, avec lequel j’ai sympathisé après deux UTMB courus dans les mêmes eaux, et dont j’ai flairé le goût pour les bonnes bavantes. Si Michel est un habitué de l’ultra, Guillaume est un quasi débutant avec deux ultras à son actif, TGV et CCC et Philippe, coureur rapide, sportif de très bon niveau dans plusieurs disciplines (VTT (coupes de France de VTT marathon), escalade (niveau 8a+ !!!!), alpinisme (Drus, Grandes Jorasses, …)), bien placé dans les trails courts auxquels il a commencé à participer depuis 1 an et demi, n’a couru que deux ultras (Templiers un certain nombre d’années plus tôt et trail des lacs (54 km) en 2007) avec un sentiment mitigé pour le très long.

Nous sommes donc 4 coureurs à découvrir le raid28, 4 coureurs, mais aucune féminine du TGVV se sent de nous suivre dans la boue francilienne. Je fais alors appel aux bonnes volontés sur Kikourou et Ultrafondus … sans grand espoir tant les concurrentes féminines sont denrées rares pour ce raid. Coup de chance j’ai tout de suite 2 candidates, Solo et Ema. Très rapidement, Sonia (Solo) nous confirme qu’elle pourra être avec nous. Elle quitte pour cela son équipe dotée de 2 féminines. Qu’elle en soit remerciée ... mais sur le moment, je me dis qu’il ne faut surtout pas que je me plante, car Sonia est une sportive de haut niveau ancienne internationale de demi-fond/fond, vainqueur de plusieurs trails en 2006 avant une saison quasi blanche en 2007 (blessure et opération suite à l’UTMB 2006, fini dans la souffrance), je n’ai pas envie de l’attirer dans un guet-apens où elle regretterait son équipe initiale. Il faudra que l’équipe soit présente, à la hauteur, l’orienteur, surtout, sur lequel repose une responsabilité importante … et l’orienteur, c’est moi !!!! J’ai donc réussi de ce fait à me mettre une pression max pour une course que je considérais au départ comme une simple ballade entre copains.

Juste après avoir confirmé à Sonia, voilà-t-y pas que Koko, l’UFOtte emblématique au sourire ravageur et aux poches toujours pleines de potions magiques bios (dont le fameux extrait de pépins de pamplemousse, l’élixir absolu !), m’écrit qu’elle viendrait bien faire la féminine avec nous ! Arggghhh ! Trop tard, cela m’aurait vraiment fait plaisir de partager cette longue course avec Corinne qui est d’une compagnie réellement agréable. Mais Sonia a dégainé plus vite … et elle s’avérera aussi d’une compagnie plus qu’agréable !

 

L'équipe est constituée

 

Bref, maintenant faut assumer, sauf que, mi-décembre, lors de mon footing de reprise après une période de récupération nécessaire après une saison chargée, je ne fais que 800m avant d’être contraint à rentrer chez moi en boitant bas, douleur au mollet oblige. Pas forcément très grave, je vais simplement prolonger ma période de récupération. Je reprends ainsi début janvier pour avoir quelques km dans les pattes avant le raid 28 … et paf, lors de notre sortie de prépa avec Guillaume et Philippe, 15 jours avant la course, le mollet relâche : aponévrosite du jumeau externe. 15 jours de repos. Décidément, le raid 28 est une course maudite pour moi !! Pas grave, ce n’est pas objectif pour moi, pas grave, sauf que sur cette course nous sommes en équipe et je ne veux pas décevoir les autres. La situation me tarabuste. Je suis tant bien que mal le protocole de soins (sauf la kiné, pas de place dans la semaine !) et je me dis que je ferai un test le plus tard possible.

Comme la raison n’est pas toujours la principale caractéristique des coureurs d’ultra, ma reprise-test pour le mollet sera une séance de fractionnés en côte avec les copains du TGVV qui préparent le marathon de Paris ou de Londres (dont ma petite femme Alice). Banco, çà se passe sans problème ! Ouf, je serai au départ samedi 19 à 22h. Tiendra, tiendra pas ? Au moins je peux me lancer dans l’aventure.

Dominique, notre pote du TGVV, handicapé depuis plusieurs semaines/mois par une déchirure ( ?) aux ischios, qui ronge son frein, s’inquiétant d’une reprise compatible avec le marathon de Londres, a la gentillesse de nous servir de chauffeur jusqu’à Epernon.

 

Enfin la course!

 

Nous arrivons dans le gymnase où nous faisons connaissance avec Sonia venue avec son ancienne équipe. Le contact est immédiatement sympathique. Sonia semble sur la même longueur d’onde que le reste de l’équipe. Le gymnase est plein de connaissances UFOs et Kikoureurs : 3 années à écumer les ultratrails cela crée des liens. On dirait qu’ils sont tous venus au raid 28. Quel plaisir d’aller de l’un à l’autre, échanger quelques mots, quelques sourires !

Elle me met en contact avec une de ses copains orienteurs qui me fait une formation accélérée 1h avant le départ (5 minutes en tout !). Puis c’est le départ, les road books nous sont délivrés.

Rappelons que le raid 28 est une course d’orientation de 70 km environ avec 160 balises à trouver (80 dite obligatoires, 80 optionnelles). Les balises obligatoires loupées coûtent des pénalités en temps, les balises optionnelles offrent des bonus en temps. Le classement se fait sur le temps compensé. La course doit être réalisée en 18h maxi (une latitude d’une demi-heure est accordée avec pénalité). 12 Points de Contrôle obligatoires jalonnent le parcours. Les PC 7 et 11 présentant une barrière horaire dont le dépassement conduit à l’élimination.

Il y a une nouveauté cette année : les 11 premières balises peuvent être recherchées en 2 demi-équipes jusqu’à regroupement au point de délivrance du premier carton de pointage. Nous décidons que Guillaume et Michel partiraient tout de suite pour prendre 6 ou 7 des balises pendant que nous reportions les trente premières balises sur les cartes avant de rejoindre les autres en pointant au passage les balises restantes sur ces 11 premières.

Dans la fougue de la jeunesse, Michel et Guillaume oublient qu’il faut récupérer des indices sur les 11 balises pour localiser le lieu où récupérer le carton. Prévenus par téléphone, ils arrivent tout de même à récupérer le minimum nécessaire pour que nous puissions poursuivre sans l’aide de l’enveloppe de secours dont l’ouverture nous aurait coûté une grosse pénalité.

Le rythme de la course s’engage, il nous faut nous maîtriser pour rester dans une allure compatible avec la longueur de l’épreuve.  Les premiers km se font dans un croisement continu avec les autres équipes. Nous nous surprenons à trouver les balises relativement facilement, j’avais peur que ce ne soit plus difficile. Nous passons au PC 1 en 18 ème position, sans avoir loupé une seule balise. Tout va bien.

L’ambiance dans le groupe est bonne, nous ne sommes pas très bavards, concentration et obscurité obligent. En particulier, je suis un peu dans ma bulle, essayant d’anticiper les options d’orientation. En doublant régulièrement des équipes, je me satisfais d’avoir pris le temps de reporter beaucoup de balises avant de partir, et surtout d’avoir établi une stratégie de progression permettant d’optimiser le trajet cumulé. Le croisement avec des équipes qui reviennent en arrière faute d’avoir réalisé ce travail préalable me conforte dans mon choix.

Plus la course avance, plus nous constatons les conséquences des pluies abondantes des jours précédents : la boue est présente partout et souvent profondément. Je la goûte de près en m’affalant de tout mon long dans la première heure.

La balise 21 nous pose quelques problèmes. Nous errons avec de nombreuses équipes pour trouver la borne armoirée qui est sensée la porter. Pas de borne. Après avoir perdu trop de temps de recherche, nous renonçons, première balise non pointée.

Une spéciale dans un marais est l’occasion d’un chassé-croisé de coureurs. Les bras difficilement franchissables des bras d’une rivière sanctionnent les équipes n’ayant pas anticipé les contraintes liées à leur franchissement. Celui-ci peut se faire à deux endroits, sur deux échelles en alu jetées par-dessus l’eau. Leur flèche nous impose un bain de pied quand nous en franchissons le milieu. Ce n’est qu’un hors d’œuvre. Un petit incident me trouble : il n’y a pas de pince sur la 27 pour pointer. Va-t-on nous la compter quand même ? J’en informe l’organisation au PC suivant. Ce n’est pas important pour une équipe comme la nôtre, ne visant pas une place, mais dans le feu de l’action, cela prend malgré tout une petite proportion.

Ce passage très ludique dans le marais a permis aux langues de se délier et nous profitons de plus en plus de notre course d’équipe. La répartition des rôles étant claire et partagée, le niveau étant relativement homogène, notre entente se raffermit de minute en minute. Heureusement, car peu de temps après, il faut que l’un d’entre nous se jette à l’eau pour atteindre une balise. Le niveau monte jusqu’à la ceinture. C’est Philippe qui s’y colle sans tergiverser. La vase remuée par les concurrents libère une odeur pestilentielle ... que les courageux coureurs aquatiques transportent avec eux.

Nous nous enfonçons dans la forêt. Les chemins boueux nous portent avec difficulté. La course, la marche même, sont pénibles et épuisantes avec les appuis fuyants et les chaussures alourdies. Les franchissements de fossé sont souvent difficiles tant les remontées en sont glissantes. L’entraide s’impose.

Etonnamment, les périodes de trafic intense autour de certaines balises alternent avec des périodes où nous sommes seuls. Le silence de la forêt est impressionnant, mais avancer en équipe est rassurant. Nous n’entendrons qu’en deuxième partie de nuit les hululements des chouettes et hiboux.

La recherche d’une balise sur un chêne remarquable nous fait perdre de nombreuses minutes, nous sommes sauvés en surprenant la conversation de 2 équipiers s’informant de la position de la fameuse balise. Nous ne l’avons pas provoqué, mais ce petit espionnage nous est bien utile !

Pendant cette recherche un peu longue, les premiers signes de fatigue apparaissent dans l’équipe. Dans cette course en autonomie, où l’attention des coureurs est très concentrée sur l’orientation et la recherche de balises, il importe de demeurer lucide pour penser à s’alimenter et s’hydrater.

Dans les phases courues, j’entends mes coéquipiers discuter entre eux, les rires fusent, l’ambiance devient franchement chaleureuse. Je suis un tout petit peu en retrait, accaparé par ma tâche d’orienteur, mais je savoure le moment et la qualité de notre équipe.

Guillaume scande nos passages dans les ronces, dans les mares et les rus par de tonitruants : « C’est des MALADES ! » et nous annonce à chaque fois que je reporte les balises, qu’il connaît un chemin plus court pour rentrer à Bures. La bonne ambiance règne.

Michel est tel un chien fou et donne du rythme à nos recherches, Philippe tait ses douleurs aux tendons pour foncer dans toutes les circonstances, carton de pointage à la main, sans tergiversations, Sonia court, court, court. Rythme impeccable, elle vient nous encourager tour à tour, trouve des balises de loin … et telle une indienne sur le sentier de la guerre me communique ses trouvailles en chuchotant, il ne s’agit pas d’aider nos concurrents !

Nous croisons régulièrement les mêmes équipes, il est difficile de savoir comment en s’en sort, le calcul des pénalités et bonus étant le véritable juge de paix de cette course.

 

Première barrière horaire: tout va bien

 

Nous franchissons le PC7, première barrière horaire avec 2 heures d’avance et seulement 2 balises bleues oubliées. Nous sommes les 24èmes à passer, mais notre récolte de balises devrait nous permettre d’être mieux classés.

Dans cette deuxième partie de course, les spéciales s’enchaînent. Une spéciale CO bien menée nous permet de recueillir en une demi-heure 8 balises bleues et une verte. Les options prises sont bonnes. Le jour est arrivé et il réveille Guillaume qui courait la dernière heure de nuit les yeux mi-clos. Michel et moi, plus habitués à ces course longues et nocturnes passons sans encombres cette difficile période avant l’aube. Les douleurs au genou de Philippe vont et viennent mais ne semblent pas empirer. On sent qu’il commence à trouver le temps long, lui qui aime la vitesse, mais il ne se plaint pas et joue à fond son rôle. La qualité d’une équipe tient aussi à ce genre de « détails » : les individus taisent dans la mesure du possible leurs états d’âme, leurs faiblesses passagères pour rester au service des autres. Cela a formidablement fonctionné entre nous. Sonia servant de lien infatigable.

Deux portions de course d’environ 2 km me conduisent au bord de l’hypoglycémie. Comme en plus je cours en regardant les cartes, j’ai tendance à demeurer en arrière, où bientôt Michel me rejoint, victime à son tour d’un petit coup de moins bien.

Je demande un arrêt pour réapprovisionner mes poches de chocolat et lait concentré et changer de bouteille d’eau sur mon sac. J’en profite pour changer mes chaussettes : mes guêtres ont lâché depuis longtemps et la boue entre abondamment dans les chaussures, formant des amalgames sous les chaussettes rendant les appuis douloureux et déséquilibrés. Les chaussettes propres, les semelles nettoyées, je peux repartir de plus belle, la course redevient plus facile.

Peu après les sources de l’Yvette nous croisons deux équipes dans lesquelles je reconnais quelques copains dont certains gisent assoupis dans l’herbe. Toutes les équipes semblent marquer le pas.

Mais le temps passe et nous commençons à percevoir que nous devons renoncer à prendre toutes les balises bleues, car nous risquons d’arriver hors délais. Il n’en est pas question ! Donc nous commençons à tracer un itinéraire plus direct. Je repère les balises les plus dans l’axe de notre progression. Nous les prendrons, laissant les autres de côté. Je suis même conduit à renoncer à 7 balises vertes pour avoir le temps de prendre les dernières dont la pénalité serait de 60’ et qui se trouvent sur le lieu de nos footings habituels, donc a priori faciles à trouver. Nous accélérons la course pour frôler les 10 km/h, traversant des groupes de promeneurs du dimanche qui nous regardent passer, les yeux écarquillés, la bouche bée lorsque, répondant à leur question on leur dit d’où nous venons et depuis combien de temps nous courons.

 

Fin de course: tout va encore bien!

 

Les minutes s’égrènent, la fin de course approche. Et c’est en accélérant encore que nous traversons Bures. Florent, mon fils et Manon la fille de Guillaume viennent à notre rencontre. Il nous reste 2 minutes pour finir dans les temps - en fait dans l’étang, puisqu’il nous faut franchir l’Yvette quelques mètres avant la ligne d’arrivée, au droit d’une corde tendue d’une rive à l’autre, corde retenant la dernière balise, la 160ème, record du monde battu du nombre de balises sur une CO d’une étape.

Toute l’équipe se met à l’eau et tirés, poussés, nous franchissons la berge opposée, verticale et glissante, sous les ovations d’un public amusé par cette fin originale. 15h59 !! Nous arrivons dans la dernière minute, quelle optimisation !! Nous avons pointé 137 balises sur 160, performance qui nous convient, à nous débutants, et qui nous permet d’accrocher une belle 21ème place.

Nous nous regroupons avec émotion pour une photo collective où les visages apparaissent à la fois fatigués et heureux, nos tenues maculées de la boue omniprésente lors de cette édition.

Un repas d’après-course sympathique clos cette superbe journée, nous sommes fiers de nous, et surtout heureux du parfait équilibre de notre équipe qui ne s’est jamais départie de sa très bonne ambiance.

Merci à Sonia, Michel, Guillaume et Philippe. Vous m’avez donné du bonheur pendant ce we. Merci d’avoir joué le jeu dans un esprit d’équipe impeccable. On se la refait l’année prochaine ??

16 commentaires

Commentaire de Belet posté le 23-01-2008 à 16:27:00

Pas mal pour une "balade". :)
Fécilitations à tout l'équipe.

Arnaud.

Commentaire de Tamiou posté le 23-01-2008 à 16:43:00

Très belle perf, Olivier, bravo pour ton orientation, ça laisse quand même de beaux souvenirs ce Raid 28.
On devait être dans ceux que tu as croisé, arrivés à la 11 on s'est aperçu qu'on avait pas de carton de pointage, 2 km A/R dès le départ.

Dis moi, quel est ton secret pour que les tendinites passent si vites, je suis preneur.

Patrice

Commentaire de sonia. S posté le 23-01-2008 à 16:53:00

Bien sûre Génial Capitaine,, à l'année prochaine.
Merci à Michel, Guillaume et Philippe.
Vous êtes formidables
Sonia

Commentaire de joy posté le 23-01-2008 à 17:15:00

B R A VO !!!

Commentaire de nicou2000 posté le 23-01-2008 à 18:35:00

Bravo pour votre perf d'équipe! Je suis content que tu aies comme nous apprécié cette belle course!! au plaisir de te croiser!

Commentaire de agnès78 posté le 23-01-2008 à 18:40:00

très contente de constater que le moral va mieux. Un très grand bravo à toute l'équipe! bises
agnès

Commentaire de Coach Cyril posté le 23-01-2008 à 20:53:00

Super pour un début !
félicitation que de finir à 1 minutes des pénalités !!

++ a l'an prochain

Cyril Gang des Allumés 5eme.

Commentaire de JLW posté le 23-01-2008 à 21:21:00

Un bien beau récit, très bien écrit pour une perf tout aussi honorable et un esprit d'équipe qui fait plaisir à voir, enfin je veux dire à lire.

Commentaire de gdraid posté le 23-01-2008 à 21:32:00

Merci Olivier pour ton bon récit.

Existe-t'il une course d'orientation aussi cauchemardesque, de nuit, et de jour sur plus de 80 km ?

Bravo et respect pour tous.
Vous souhaitez déjà, vous retrouver dans le prochain raid28 2009. C'est aussi un exploit !

Je me rend mieux compte du mérite de grande sportive, d'une amie comme Sonia "Solo".
Elle vient d'assumer son 3ème raid28, et elle en redemande !!!
JC

Commentaire de NoNo l'esc@rgot posté le 23-01-2008 à 21:59:00

Bravo et merci Olivier !
Magnifique ton récit autour de cette équipe soudée...
Félicitation pour la performance pour un coup d'essai !

NoNo_encore_plus_envie_d'y_aller_en_2009 !

Commentaire de LtBlueb posté le 23-01-2008 à 22:41:00

MDR pour la formation rapide en CO dans le gymnase de départ !!!! il faut être sacrément zen pour embarquer une équipe en tant que pitaine et orienteur quasi débutant !! bon au moins pas de prise de tête entre le pitaine et l'orienteur !!
au final une grosse grosse perf !

Bravo et merci pour le récit
L'Blueb

Commentaire de sarajevo posté le 24-01-2008 à 19:41:00

super Cr .... rien de plus a ajouter ....
pierre

Commentaire de rapace74 posté le 25-01-2008 à 00:24:00

merci pour ton CR olivier et bravo pour ta course je vois que tu commence tres bien la saison 2008 !!!(je vais encore en ch.... pour essayer de te suivre)
manu

Commentaire de _azerty posté le 25-01-2008 à 08:35:00

Bravo Olivier
C'est une très belle performance que vous avez réalisé.
Tu as les épaules solides et le charisme pour voyager loin avec cette équipe.


A+
Domi

Commentaire de yoyobesac posté le 25-01-2008 à 22:48:00

plutot réussi pour une équipe de "débutant"...un grand bravo à vous tous, et un récit très bien écrit!

Commentaire de nicnic38 posté le 29-01-2008 à 23:43:00

Toujours aussi sympa tes CR... ça a pas l'air d'avoir été si dur que ça ;-)

tu l'auras finalement fait ce raid!!!

Chapeau bas!

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