Communauté des sports d'endurance

La foulée des Monts Mordor.

Il est l’or Monseignor, c’est la première course de l’année.

Vous en êtes sor, tout à fait sor. Il faut aller au Mont d’Or.

25 bornes avec le froid (-4°C), pas beaucoup de kilos d’entrainement (pas loin de zéro en 2017), trop de kilos tout court (au moins 4), cela va être une nouvelle fois dur pour moi (comme d’hab).

J’ai déjà fait cette épreuve en 2005, j’avais un peu plus la forme.

 

Nous sommes un peu plus de 400 au départ. Je n’ai pas vu Tidji.

Couzon : jusqu’à là, tout est bon.

Jean Phi me rattrape,  on tchatche un peu, nous sommes à Fleurieu, nous sommes heureux.

Albigny, là encore je ris.

Neuville sur Saône et son fameux trail givré.

Cury et son épicerie bar O’ Mont d’Or.

Les montées arrivent.

Saint Germain, ça va un peu moins.

Poleymieux, ça redescend, ça va un peu mieux.

La côte suivante fait mal, 520 m là haut. C’est là qu’on tournait pour aller à la base de Lyon.

On taille tout droit.

Halte là, halte là, halte là, le parking des montagnards est là. Ravito.

C’est le relai pour ceux qui font la course à deux. 1h23’.

Tout droit dans la descente ensuite, j’adore, jusqu’à St Didier au Mont d’Or.

St Cyr, faut pas être sorti de l’école pour savoir que cela va remonter.

Ouf ouf, ça yoyote.

Collonges, ça se prolonge.

Ravito. Un gars nous demande s’il nous faut une permission longue durée pour repartir.

Rires. Encore un militaire qui gagne une tringle à rideaux.

Fontaines, je ne boirai pas de ton eau.

C’est bientôt le chaos en passant devant la demeure de St Romain.

Revoilà Couzon et son orchestre du coin ou au coin avant de tourner vers l’arrivée.

2h presque 54, pas tout à fait 24 bornes.

On ne va pas en faire un fromage, mais le tour des monts d’Or est une belle épreuve sur route de début d’année.