Modérateur: Modos
DidierC a écrit:Personnellement j'ai assez vite compris que mon corps ne pouvait pas supporter + d'un certain nombre de courses longues par an.
Depuis un an ou 2 je tourne à 2 trails de moins de 40 kms en préparation au printemps, un trail moyenne distance en été ou début automne (50 à 60kms), et un seul ultra d'environ 100 kms.
Et je coupe totalement environ un mois chaque automne, lorsque je sens que mon corps me le demande et que la motivation n'est plus là.
Flo2Cannes a écrit:Dans le numéro 78 Avril 2011 du magazine Ultrafondus, il y a un dossier (4-5 pages) de Guillaume Millet (Team Lafuma et chercheur en physiologie) sur
Physiologie : étude UTMB
Quelles conséquences sur l'organisme ?
janolesurfeur a écrit:je suis globalement d'accord sur la nécessité d'être bien préparé, de ne pas en faire trop, tout ça.
maintenant que les jeunes s'y mettent (y'a pas que jornet, hein), on voit bien que faut pas 30 ans (ou même 10 ans) de pratique pour être endurant et performant.
thomas69 a écrit:Pas de casse pour moi mais :
pas beaucoup de course par an (l'entraineur ne veut pas). 1 seul objectif par an (un ultra), et deux ou trois courses de prépa dans l'année dont un 10 km.
Beaucoup d'entrainement croisé. En ce moment en période de préparation générale, 2 séances de VMA sur piste, 2 séances en salle et 1 séance de ski de rando. Au printemps je remplace le ski de rando par vélo 1 à 2 fois par semaine.
je pense aussi qu'une bonne gestion sur l'année est importante pour éviter la casse. A ce niveau un entraineur permet d'éviter les erreurs
petit franck a écrit:bonjour
pour eviter la casse les coureurs eux memes doivent eviter d'enahienr trop rapidement les competitions et menager des phases de repos pour permettre a l'organsme de recuperer entre les competitions
bonne annee
bonne journee
franck derrien
huralp a écrit:Eh Franck tu fais dans le comique maintenant !!! !
peky a écrit:janolesurfeur a écrit:je suis globalement d'accord sur la nécessité d'être bien préparé, de ne pas en faire trop, tout ça.
maintenant que les jeunes s'y mettent (y'a pas que jornet, hein), on voit bien que faut pas 30 ans (ou même 10 ans) de pratique pour être endurant et performant.
A voir sur le long terme justement. Ce post est sur l'observation de blessure. Peut être que le ressenti de fatigue, besoin de récup, par les jeunes coureurs est moindre (pour l'instant?)
jpoggio a écrit:Je n'ai pas d'infos utiles, mais à titre de retour d'expérience, après le TOE j'ai fait un mois d'août calme, repris la VMA, le Trail de Viroflay assez rapide (pour moi) début septembre et un bon temps (pour moi , le meilleur depuis cinq ou six ans) au semi de Boulogne...puis plus rien. Gros coup de mou en décembre, et reprise laborieuse en janvier.
Le Loup a écrit:On appelle cela la sélection naturelle, non ?
crabe a écrit:pour ma part, saison 2011 beaucoup trop longue (nuit des ruthenes,occitane, transju, toe, infernal trail, hospitaliers et abandon sur la saintelyon a 8 km du but sur soucis gastriques. Résultat apres moultes analyses et consult chez gastro. Lui en a déduit que mon foie n est pas arrivé a éliminé tous les résidus (acide lactique et autres) que je lui ai mis tout au long de cette année. voilà pour moi.
xaxa a écrit:Courir des distances aussi importantes, avec la charge d'entrainement qui va avec,
Japhy a écrit:j’ai quand même été capable de comprendre que monter très progressivement en charge est souhaitable.
fulgurex a écrit:xaxa a écrit:Courir des distances aussi importantes, avec la charge d'entrainement qui va avec,
Il me semble que c'est ça la clef! il ne faut pas se concentrer sur les distances de compétition uniquement qui sont la face découverte des distances parcourues. Combien de coureurs font (trop) d'entrainement?
Certains suivent des plans qui les font arriver fatigués le jour de l'épreuve.
fulgurex a écrit:
@ Lutin (pour me permettre de savoir si je pense juste):
tes blessés sont ils de "vieux guerriers"?
et je serais curieux de savoir combien de km/semaine ils ont l'habitude de faire.
lalan a écrit:Sujet passionnant
Nous sômmes beaucoup à courir sans "coach".Le soucis viens peut être de la
Japhy a écrit: un entraîneur pourrait trop demander, et ne pas forcément tenir compte des coups de mous, même passagers. Du genre "il faut mériter son chrono etc". Bref, je ne suis pas sûre qu'un coach soit une garantie.
Japhy a écrit:lalan a écrit:Sujet passionnant
Nous sômmes beaucoup à courir sans "coach".Le soucis viens peut être de la
Franchement je suis plutôt d'avis contraire. Tout dépend de qui l'on est. Si on est un chien fou ou un stakhanoviste de l'entraînement, tu as peut-être raison, encore que comme tu le dis, je connais beaucoup de gens qui ont eu leur première expérience de blessure après être entré en club, l'intensité des séances étant généralement beaucoup plus élevée que celles qu'on s'infligerait tout seul.
Mais pour beaucoup d'autres, pas trop costauds, plus souvent fatigués que d'autres pour des raisons variés, n'ayant pas forcément trait à la course, un entraîneur pourrait trop demander, et ne pas forcément tenir compte des coups de mous, même passagers. Du genre "il faut mériter son chrono etc". Bref, je ne suis pas sûre qu'un coach soit une garantie.
Galaté57 a écrit:
La difficulté est que dans notre société de consommation et de paraître, beaucoup ne s'écoute plus et le seul objectif et "de l'avoir fait".
aroche a écrit:Galaté57 a écrit:
La difficulté est que dans notre société de consommation et de paraître, beaucoup ne s'écoute plus et le seul objectif et "de l'avoir fait".
Je ne crois pas que le paraître soit lié à notre société , chez les grecs et les romains le paraître était bien présent ...
Pas la peine non plus de jouer dans la cour d'une société de consommation ou celle du microcosme des sportifs pour être dans le "paraître" , la coquetterie est du pur paraître .... et la femme coquette (une vraie qualité à mes yeux ....) existe depuis la nuit des temps ....
Sur le "je l'ai fait" je reste plus modéré !
J'aime un compétiteur lorsqu'il a des ambitions ... lorsqu'il se fixe des challenges !
En quoi est-ce gênant sur le plan éthique ou moral de se dire après un trip un peu hard :
"Yes je l'ai fait"
Pourvu que lesdites ambitions soient :
1. saines et avec un esprit d'éthique et de respect de l'adversaire
2. raisonnables au regard de son potentiel pour ne pas partir dans des plans délires ouverts à toutes formes d'excès ou de dérives
Alain
Utilisateur(s) parcourant actuellement ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 21 invité(s)
Accueil - Haut de page - Aide
- Contact
- Mentions légales
- Version mobile
- 0.01 sec
Kikouroù est un site de course à pied, trail, marathon. Vous trouvez des récits, résultats, photos, vidéos de course, un calendrier, un forum... Bonne visite !