Récit de la course : Le Tour des Glaciers de la Vanoise 2007, par Bourdonski

L'auteur : Bourdonski

La course : Le Tour des Glaciers de la Vanoise

Date : 1/7/2007

Lieu : Pralognan La Vanoise (Savoie)

Affichage : 2800 vues

Distance : 72km

Objectif : Pas d'objectif

10 commentaires

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Le Trail des Glaciers de la Vanoise 2007 de Bourdonski

Le TGV, un acronyme archi-connu qui désigne également un trail de toute beauté avec tout ce qu'on aime : ça monte beaucoup et haut, ça descend itou, des chemins variés, c'est long avec, cerise sur le gâteau, de belles et vraies montagnes, des glaciers et même de la neige sous nos pied. Je connais le coin, à part le col de Chavière, pour l'avoir parcouru quelques années en arrière à pied et à ski de rando. Je garde le souvenir d'un tour relativement facile, si fait en plusieurs étapes, avec une grosse montée vers le col de la Vanoise puis du relativement plat avant de remonter sur Chavière et finir. Souvenirs trompeurs car ça grimpe bien plus que ça mais comme d'hab, on oublie vite ce qui est dur pour ne garder que le bon côté de l'aventure.

 

J'aborde donc ce TGV relativement confiant malgré mon échec au Mercantour 15 jours plus tôt vaincu par des problèmes d'alimentation. Confiant car mon abandon n'était pas lié à un problème physique, bien au contraire car j'avais encore de bonnes jambes. Je me sens en forme après une semaine de repos et une semaine très tranquille (3 * 40 minutes cool). Je suis relativement optimiste mais pas trop : prudence cette fois, j'ai l'intention de partir tranquille et de bien veiller à m'alimenter régulièrement. Contrairement au Mercantour, je n'ai pas fait de prépa diététique particulière : pack UTMB de Authentic à commencer 15 jours avant. Les 2 fois où je l'ai utilisé, UTMB 2006 et Mercantour 2007, j'ai connu en course des problèmes digestifs avec écœurement au sucré et même à toute alimentation me contraignant à l'abandon. Rien de tel aux Templiers et Ardéchois avec une prépa classique : régime hyperglucidique + recharge glucidique comme sur un marathon. Donc j'abandonne les potions "magiques" pour ce TGV et j'adopte la boisson marathon de Fenioux en prépa et en course. Je partirais avec la poche à eau en Fenioux gout neutre. Je n’utiliserais pas de gels en systématique, type toutes les heures, mais uniquement en cas de coup de pompe ou avant une difficulté. J’aimerais bien finir en 14 h !

Le briefing refroidit un tout petit peu l'ambiance : trail dur, pas de balisage, vous serez livré à vous même pour résumer. Ca semble un peu exagéré mais il est bon de rappeler que ce trail se déroule très haut, loin des voies de circulation avec des passages hautes montagnes. D'ailleurs, des CRS de montagne sont prévus aux points clés du trail. Par contre, je ne retiens pas la suggestion de Delachenal de partir sans bâtons. Je préfère les emmener quitte à les mettre dans le sac s'ils sont vraiment inutiles. Les montées sont longues et je risque d'avoir besoin des bâtons sur la dernière au col de Chavière (1000 m D+). De plus les barrières horaires sont assez justes : 7h15 virtuel à la Vanoise au 7 eme km, 9h30 à l'Arpont au 21 eme km : il ne va pas falloir lambiner en route. 

Court départ tranquille dans les rues de Pralognan avant d'attaquer la montée vers le refuge Félix Faure du nom d'un ancien président monté jusque là. Je suis bien, beaucoup mieux qu'au Mercantour. Les jambes sont légères, je ne sens pas le poids du sac et je suis capable de relancer sans difficulté. Pas de bâtons pour le début de la montée, le chemin n'est pas large et nous sommes nombreux.

 

Tout à fait par hasard, je fais la rencontre de notre fameuse Agnès. J'avais repéré depuis quelques minutes cette belle jeune femme qui parlait avec gouaille tout en montant facilement. Son léger accent inspirait immédiatement la sympathie et lorsque j'ai entendu quelqu'un l'appeler par son prénom, aussitôt j'ai tilté : "Bonjour, tu est Agnès Haribo ?". Oui, c'était bien elle, que le monde est petit car le peloton comptait quand même 540 traileurs et c'est un coup de bol. La vraie Agnès est, je vous le jure, encore mieux que l'Agnès du forum. Le genre de personne que l'on est heureux de rencontrer : vive Kikourou !

Pour ma part, les jambes et le souffle sont toujours là, je suis heureux. Les mètres défilent rapidement et on se retrouve déjà au lac des vaches.

 

La Grande Casse se profile à l'horizon, le refuge n'est plus très loin où j'arrive en 1h45.

 

 J'avais prévu 2 h de montée, je suis allé un peu plus vite mais sans plus. Rapide ravito en liquide : beurk quelle saloperie cette vichy énergétique ! Ca sera la fausse note de l'organisation. Pourquoi n'avoir pas prévu tout simplement de la Vichy nature ?

On commence par traverser une sorte de plateau peu vallonné. Je pense être plutôt en queue de peloton car je rattrape beaucoup de concurrents qui n'ont pas l'air très à l'aise pour courir sur des chemins assez techniques. Dès que ça descend un tout petit peu, on les sent en difficulté. La foulée n'est pas assurée, ils piétinent à chercher où poser leurs pieds. Ca ne doit pas être la même chose devant. Je double un concurrent qui a du décider de faire ce TGV en marchant car il porte un jean et des chaussures de marche. Sur ces parties plates, il essaie de courir mais pas évident dans sa tenue. Par contre, il doit grimper vite pour se retrouver à cet endroit !

Cette partie est assez sauvage mais il n’y a pas de risque de se tromper comme d’ailleurs sur la majorité du parcours. Il suffit de suivre le balisage du parc en direction des différents refuges.

Je pensais avoir lâché notre Agnès mais après avoir traversé un névé descendant, je me retourne pour prendre la photo et j’aila surprise de la voir concentrée dans sa descente. J’avais pourtant l’impression d’avoir bien carburé sur cette portion plutôt plate et elle est juste derrière moi ! Elle a la caisse notre Agnès !

J’arrive au refuge de l’Arpont assez vite, pour moi, vers 9h00 : 30’ d’avance sur la barrière, je suis dans les temps. Le ravito s’effectue sous les boniments d’un bénévole marocain perdu dans les montagnes savoyardes : « Goutez ma soupe, elles sont bonnes mes dattes » ! J’essaie de tester encore le breuvage Vichy mais il est définitivement dégueulasse par contre, les dattes sont excellentes. Agnès arrive avec ses compagnons de chemin, petit encouragement réciproque, elle va bien mais me dit ressentir dans les jambes son dernier marathon. Heureusement que ce marathon l’a un peu limité car vu la suite du programme (elle finit en 12h45), elle nous aurait proprement enrhumé !

Je repars tranquillou du refuge pour digérer mon ravito. La grimpette de 250 m se passe plutôt bien même si je commence à ressentir un début de baisse de régime. Je pense ne pas avoir assez bu entre les ravitos. La longue traversée plate est un peu casse patte et j’avance plus lentement.

 

 Heureusement la descente arrive et je retrouve mes jambes. Je recommence à doubler du  monde. A un embranchement, alors que je consulte les panneaux indicateurs et ma montre, le toubib de la course, assis au bord du chemin me rassure : « c’est bon, tu est dans les temps ». Après cette bonne descente, la remontée vers Plan Sec se déroule tranquillement même si elle n’est pas du gout de tout le monde, beaucoup râlent sur ce refuge qui n’arrive pas ! Pourtant, il est bien la au bout du chemin vers 11h55 : j’ai maintenu et même augmenté mon avance sur les barrières horaires (13h00).

La fatigue commence à se faire sentir ainsi que les effets de ma relative déshydratation. Je décide de passer un petit quart d’heure au ravito pour récupérer. J’avale plus difficilement les solides, mon petit sandwich jambon-fromage ne passe pas. Je me contente de fruits secs et frais. Je recharge un bidon mais pas la poche qui est encore à moitié pleine : je n’ai vraiment pas assez bu. Agnès me fait un petit coucou d’encouragement et me dit qu’elle repart, ses jambes vont beaucoup mieux. Je pensais être largement devant elle et je ne l’ai pas vu me dépasser, une belle fille comme elle, se remarque. Elle a donc du arriver juste après moi au ravito qu’elle va faire très court. Dommage pour moi car c’est la dernière fois que je la verrais.Le redémarrage à 12h15 est plus que difficile, les jambes sont là mais le moteur ne répond pas franchement. Il commence à faire très chaud. En descente, ça passe mais la moindre remontée me scotche au chemin. Je décide de dérouler tranquille en marchant jusqu’au bas du col du Barbier pour digérer et récupérer.

 

 Heureusement la vue est magnifique sur les 2 barrages aux eaux turquoises. La montée du col se fait très lentement mais surement puisque j’arrive quand même au col sans trop de dégât horaire.

 

La prise d’un gel en cours de montée se fait maintenant sentir et j’avance en courant sur la partie balconnée, ce qui me permet d’arriver assez vite au sommet de la première vraie descente en forêt en direction de l’Orgère.J’ai fait d’énormes progrès en descente, j’arrive à dérouler facilement et bien relâché une bonne foulée qui me permet de descendre vite, sans fatigue excessive et en reprenant beaucoup de monde. Il n’y a pas à dire mais à condition physique identique, il vaut mieux bien descendre que bien monter. Le gain de temps est plus appréciable. Par contre, la descente sur ce type de terrain nécessite une concentration de tous les instants. Je ne vais pas tarder à en faire l’amère expérience.Je suis dans une descente assez raide en lacets en pleine forêt. Afin d’assurer un bon finish vers l’Orgère, je décide d’avaler un gel tout en courant. La partie gel sera réussie par contre en sortant mon bidon d’eau pure pour le faire passer, je tape sur une pierre en sortie de virage et je pars en vol plané dans le talus en contrebas. Heureusement, c’est un pierrier et j’ai la présence d’esprit de réussir à me retourner pour atterrir sur le ventre. Après un gros juron, la glissade dure 2 à 3 m avant l’arrêt plus bas. Déjà 2 traileurs que j’avais dépassé plus haut, sont là pour me récupérer. Pas de casse à part quelques démarbrasions et quelques coupures. Je remonte tout seul en haut du pierrier en récupérant au passage mes 2 bidons. Même pas peur ! Je rassure les autres concurrents et je me nettoie rapidement. Je saigne au niveau du poignet gauche à cause d’une bonne coupure. Je la joue Rambo, je desserre ma montre, je plaque un mouchoir en papier et je resserre la montre pour faire compression. Je repars aussi vite même pas échaudé par cette chute. Il faut dire que celle-ci est due à une grosse connerie et pas à un problème physique : à vouloir gagner 20 sec, j’ai perdu 2 minutes au final ! On est quand même pas sur un  marathon, j’aurais du prendre le temps de m’arrêter pour me ravitailler.Je profite de la source un tout petit peu plus bas pour me rincer et me nettoyer.Juste avant d’arriver à l’Orgère à la sortie de la forêt, nous sommes accueillis par une sympathique famille qui nous offre à boire grâce aux plus jeunes bénévoles de la course. Je lâche mes collègues sur le plat et la montée qui mène au refuge où j’arrive vers 14h30. Pas mal car au vu de mon état en quittant Plan Sec, j’avais tablé sur 3 heures.

La pluie commence à tomber : elle rafraichira un peu l’atmosphère dans cette dernière montée redoutée. L’Orgère est une zone critique pour le moral des pas en forme à ce moment là. La navette est juste à côté et des concurrents qui ont abandonné, attendent le départ. Ca me rappelle de mauvais souvenirs (UTMB et Mercantour). Je compatis mais je préfère me concentrer sur mon ravito. J’avale une soupe avec des Tucs et un morceau de fromage, pas mauvais. Je ne bois pas trop car j’ai peur d’un trop plein vomitif. Je fais le plein de ma poche : il reste environ 250 ml sur 1750 ml au départ. Je ne met que 500 ml car après le col, c’est fini.

Je sors la veste car la pluie tombe drue maintenant et attaque la 1ere partie de la montée de 1000 m. C’est en effet très raide et j’avance difficilement malgré les encouragements des randonneurs qui descendent. Je trouve une frontale Tikka, un randonneur me dit qu’il l’a vu tomber du sac d’un concurrent devant. Malheureusement, aucune description et vu mon rythme, je ne risque pas de le rattraper ! Je laisserais la frontale à l’arrivée au speaker. J’avance lentement et je me fais doubler par des concurrents. Les bâtons sont d’une aide précieuse car ils permettent de limiter l’effort de poussée sur les jambes. Le dénivelé défile mais pas assez vite. Je ne suis pas bien mais je m’accroche. J’applique alors ma technique de base quand ça coince vraiment en montée. A défaut de MP3, je baisse les yeux, tant pis pour le paysage, et je compte chaque pas jusqu’à 200 avant de relever la tête pour voir ce que j’ai fait !

J’arrive enfin sur la partie plate au bout de laquelle se profile le col de Chavière. J’arrive à distinguer les coureurs sur le névé final, il ne doit donc pas être trop loin : si !

 

Un gel m’a redonné le punch car maintenant, je marche à grandes enjambées et je remonte des coureurs qui m’avaient dépassé plus bas. D’ailleurs, à partir de là plus personne ne me dépassera jusqu’au col.

Le col se passe bien finalement, les appuis sont bien assurés dans la neige et une corde est là pour les moins sûrs. Je ne me rappelle pas de mon temps mais j’ai été agréablement surpris. La descente de l’autre côté est plus périlleuse que la montée. La fatigue aidant, je préfère utiliser la corde pour passer rapidement ce tronçon. Nouveau et dernier gel pour affronter la descente.

Pas de balisage ensuite et il faut chercher son chemin au milieu des multiples traces de pas dans la neige mais la direction générale permet de se retrouver sur le chemin menant à Péclet Polset. Les jambes sont à nouveau là et je dévale la descente vers le refuge en enrhumant au passage quelques randonneurs et concurrents. Accueil très sympa sous la pluie (La Souris ?), j’essaie d’avaler quelque chose mais ça passe moyen, je préfère ne pas insister et de toute façon l’arrivée est proche. Même HS, je ne peux que finir. Je me lance dans la descente sous la pluie vers 17h25 et je décide de jouer mon va tout. Je n’ai rien à perdre car je finirais, sauf accident.

J’allonge la foulée, les sensations sont là et je dévale la pente malgré les pièges du chemin. Je me rapproche des moyens et ceux-ci ont donc le même niveau que moi, je rattrapes donc moins de monde. Mon souffle est court car je descend vraiment vite et j’ai conscience que je grille mes dernières réserves. Je me dit que si je ralentissais, il n’est pas sûr que j’économise suffisamment d’énergie pour finir plus tôt. J’en profite donc pour me faire plaisir et lâcher les bourrins : qui vivra verra ! En effet dès que la pente s’adoucit, ça devient plus difficile et le rythme baisse. Je rejoins un concurrent aux Salomon rouges et maillot blanc et je décide de rester dans son sillage pour assurer. Nous sommes croisés plusieurs fois depuis le départ, il montait plus vite et je le rattrapais en descente. Nous continuons ensemble à un petit rythme régulier jusqu’aux Prioux. J’ai fait l’impasse sur les 14 h, mon but est d’arriver en moins de 15 h maintenant.

Bien après le village, une bénévole nous annonce encore 3 km à parcourir, mon moral en prend un coup car je pensais qu’avec ma descente, j’avais parcouru une bonne partie des 12 kms. De plus une dernière petite côte se profile où je coince, mon compagnon de chemin me propose de m’attendre mais je lui dis de continuer sans moi. Je profite de cette pause pour enlever la veste et boire un coup. Tant pis pour les moins de 15 h mais il faut absolument que je finisse en 15 h. Sur le point de démarrer, un concurrent me rattrape et m’annonce : « on est bon pour les 14 h » ! Quel con, j’ai fait mes calculs persuadé que nous étions partis à 4 h du matin (la fatigue sans doute) ! Mon moral se regonfle à bloc et nous voila parti sur la piste. Les kms défilent plus vite, je lache le concurrent, je traverse le camping et me voila à l’entrée de Pralognan. Ma foulée est rapide et je franchis la ligne en 13 h 53.

 Objectif TGV atteint et transformé. Il me reste de belles images d’un trail magnifique et un peu spécial : pas de balisage et une bonne partie du parcours (57 km sur les 72) à plus de 2000 m. De belles rencontres comme toujours et des bénévoles tout à notre disposition : un grand merci à vous tous qui nous permettez d’aller au bout de notre passion. Pas de doute, j’inscris le TGV sur mon planning 2008.    

10 commentaires

Commentaire de akunamatata posté le 08-07-2007 à 18:24:00

Belle revanche sur le Mercantour, on revit bien la course au travers ton récit. Bien aussi de voir que les kikoureurs se reconnaissent entre eux.

Commentaire de vboys74 posté le 08-07-2007 à 19:03:00

Bon ben après avoir lu un paquet de CR de la course 2007 et en particulier le tiens, je l'inscris a mon planning 2008!
Pleins d'émotions, de paysages et de Kikous! Merci pour ton CR et bravo!
seb

Commentaire de LtBlueb posté le 08-07-2007 à 21:11:00

Salut,

bravo pour ta course et ton récit

dommage qu'on se soit loupé à plusieurs reprises ces derniers temps (saintélyon, ardéchois, tgv) d'autant plus qu'on a l'air d'être pas trop loin l'un de l'autre ; la prochaine fois essayons de faire un peu de chemin ensemble, on se racontera nos trucs lié à l'aimentation et l'hydratation en ultra ;-)))

bon courage pour l'UTMB

L'Blueb

Commentaire de JLW posté le 08-07-2007 à 22:15:00

Bravo bourdonski pour ce récit qui rend très bien compte de la difficulté du parcours et de ta volonté de finir. Tout l'esprit du trail en somme.

Commentaire de Philippe8474 posté le 08-07-2007 à 22:21:00

Pas mal le coup de compter 200 pas avant de relever la tête pour voir sa progression... De mon côté j'utilise la technique les yeux dans la visière de la casquette... Mais quand même c'est tellement mieux quand tout va bien et qu'on peut profiter du paysage et de tt le reste!!!
En tout cas bravo pour ta course
Philippe

Commentaire de Khanardô posté le 09-07-2007 à 21:46:00

Bravo à toi, et merci pour ton récit !

Je te verrai donc en 2008, si on n'a pas eu l'occasion de faire connaissance auparavant, car avec tous vos récits, vous me donnez tous bien envie d'y aller, sur ce fameux TGV !

Alors à bientôt, au plaisir de te rencontrer !

Alain

Commentaire de timoca posté le 10-07-2007 à 13:03:00

félicitations pour ta course et ton récit superbement illustré qui donne bien envie d'aller y faire un tour

Commentaire de jongieulan posté le 11-07-2007 à 15:14:00

bravo pour ta course et ton superbe cr illustré!!...

Commentaire de philkikou posté le 12-05-2008 à 14:49:00

C.R. très intéressant et instructif sur ce qui m'attend pour la vanoise 2008..merci

Commentaire de agnès78 posté le 21-05-2008 à 12:49:00

oups oups et reoups... heureusement que le spleen du trail me fait me replonger dans cette merveilleuse course car cela me permet de lire ce magnifique récit agrémenté de photos non moins splendides... Ma seule excuse, une semaine après le TGV toutes mes pensées étaient tournées vers un bel ostéo que je venais de rencontrer... mais je m'égare... Mille excuses msieur. sincèrement... merci de nous avoir fait partagé tes émotions et tes sentiments tout au long de ces 72 kils de bonheur. Et un grand BRAVO! Tu y retrournes cette année? Encore désolée et à très bientôt, j'espère
grosses bises

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