Récit de la course : Trail d'Ecouves - 35 km 2010, par fulgurex

L'auteur : fulgurex

La course : Trail d'Ecouves - 35 km

Date : 6/6/2010

Lieu : Radon (Orne)

Affichage : 3136 vues

Distance : 33km

Objectif : Pas d'objectif

18 commentaires

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Le 6 juin : je débarque en Normandie


  

«Nunc, circumpaedit nostra Ecouvia magester sylvia est»
(maintenant, viens faire un tour pour voir comme notre forêt est magnifique)
comme disait déjà Lutinus l’ancien à Fulgures l’écervelé, au tout début de notre ère

 

Tout commence en mars lorsque le célèbre Mustang et le célèbre Lutin proposent de venir au non moins célèbre trail de la forêt d’Ecouves.

La perspective d’une ambiance joyeuse l’emporta sur l’entraînement à l’UTMB.


Début juin, finalement, je suis bien comptant d’aller trottiner tranquille avec le Lutin sur ce 35 km pour me remettre de ce mois de mai assez chargé : 220 km de course à pied dont 95 en compétition et 5300 de D+. La pause s’impose !


Vendredi 4 juin

Dernière vérification, le chien est en pension… ok

Dernière vérification du contenu du sac............ ok

Dernière vérification des habits pour demain… ok

Dernière vérification des billets de train…..pas ok !

La date indiquée sur le billet me fait voyager il y a une semaine! Ce sont les cordonniers les plus mal chaussés. Il est 22 heures. Pas la peine de retourner en gare faire un échange de billet, on décide de mettre le réveil un peu plus tôt et de prendre un nouveau billet avant le départ du train de 8h00.


Samedi 5 juin

7h00.

Le chien a peut être fait du bruit à 6h30 comme tous les jours, mais on ne l’a pas entendu, puisqu’il est en colo. Le réveil n’a pas sonné ! Il reste à peine une demi heure pour se préparer et changer nos billets. Coooooooooooool ! On prendra le train d’après, on a deux heures de rab pour se préparer.


10h00

Le TGV nous amène tranquillement et en toute sécurité pour un prix modique vers Paris. Nous arrivons à l’heure, comme d’habitude.


11h40

Le bus surchauffé de la RATP nous secoue violemment, mais nous arrivons finalement gare Montparnasse.



Après avoir admiré les œuvres d’art du terminal 2, on achète un petit casse croûte que nous dégustons dans l’herbe, sous les arbres dans le parc situé au dessus des voies. On redescend d’un étage pour aller prendre un café dans les 10 minutes qui restent. Je décide de le boire, Jupette préfère se le renverser encore brûlant sur le Tee Shirt et le pantalon. Bien sûr c’est l’heure d’aller prendre le train ! Elle arrivera donc déjà en tenue sportive à Alençon.


15h00

Le Lutin nous attend en gare pour nous convoyer jusqu’à chez lui. Nous sommes accueillis comme des princes et Jupette se sent tellement à l’aise qu’elle utilise déjà le lave linge.


16h00

Un petit tour de visite historique nous permet de profiter de la terrasse ancestrale de ce bar à bière. Puis nous allons visiter les jardins, sans oublier de saluer Monsieur le Maire. Il faut dire que notre Lutin est une sommité locale, connu et reconnu de tous. Nous saluons quelqu’un tous les 20 m.


18h00

Nous sommes de retour à la maison pour un « petit » apéro. Nous retrouvons les autres kikoureurs. Il y a donc vraiment plein de kikoureurs à Alençon. Moi qui croyais que le Lutin se connectait sous plusieurs pseudos, je fais la connaissance de Bambi, Tiga, moune78, Riah 50 , l'essuin, la mouette…. (J’arrête, je vais vous saouler). D'ailleurs, en parlant de ça, le Lutin n'est pas que joueur, il est machiavélique! Et vas y que je t'offre de cette bière, puis de celle ci, sans parler de celle là... « Et le coteau du Layon de Benos, tu connais? »... Quelle hydratation préventive ! Sans compter que Josette s'était plié à son jeu! Vous pensez, il y a tant de connivence entre eux deux! Elle nous a préparé des quiches, cakes, tomates, gâteaux apéro...


le Lutin machiavélique


la cana


19h30

On a été sauvé par le gong de la pasta party, mais j'ai cru qu'il faudrait tout finir.

On est donc parti rejoindre l'aire de départ de demain. Qu'elle organisation, des tentes sont installées pour l'arrivée, le podium, le ravito final, les distributions de dossards, la tente de la pasta...

C’est sous cette dernière que nous nous sommes retrouvés entre kikous, devant des bouteilles de vin! Incroyable! Le Lutin avait du soudoyer l'organisation (ou peut être son compère le Mustang).

Ce n’était pas du bourgogne, mais on est dur au mal! Beaucoup sont ultra coureurs et savent résister à la douleur. On a donc fini notre bouteille!

Par contre, j'ai eu un peu de mal pour les pâtes, pourtant très bonnes, mais je m'étais un peu trop régalé avec les cakes tout à l'heure.


L'animateur organisait un petit tirage au sort pendant le repas. Chacun avait un numéro sous son assiette et pouvait être appelé pour gagner un lot. Je ne sais pas comment il s'est débrouillé, mais comme il faisait la bise aux femmes, elles ont majoritairement gagné. Alors, bien sur, coté kikous, c'est Vetchar qui a gagné 2 magnifiques gourdes en terre pour son prochain ultra.


Mustang lui en explique le fonctionnement.


J’hésite un peu sur le dessert : du Napolutin et une crème beige, bizarre !


L'ambiance est sympathique, on pourrait danser, mais par respect pour Eric41, on va se coucher tôt...enfin on rentre chez le Lutin. Là, on discute encore un moment dans la chambre d'Eric41 pour être sûr qu'il soit à égalité avec la Mouette qui nous a dit aller en boite!


Finalement, on se couche.


Dimanche 6 juin, the D day!

On se lève tranquillou quand on entend du bruit. Mais le Lutin est déjà allé à la boulangerie et a ramené des croissants, du pain... et tout ça sous la pluie.

Bin oui! Il pleut! C’est la Normandie !

Se pose alors les questions habituelles: veste ou pas veste, tee shirt sans manche ou manches... je décide finalement de prendre la décision moyenne: ce sera un tee shirt avec manche sans veste. Il ne devrait pas pleuvoir et, au pire, je sais que la pluie est supportable avec ce tee shirt qui sèche très vite. (Je l'ai très bien expérimenté l'an passé).


On est covoituré jusqu'au départ. L'accueil est poussé jusqu'au choix du numéro de dossard qui nous permet de faire notre numéro de département.

21: Côte d'Or


On tournicote un peu, Le Lutin salue tout le monde, j'ai bien du mal de rester vers lui. J'ai perdu de vue le Mustang et son appareil photo.


C'est l'heure du départ. On est à gauche et Le Lutin me dit d'aller à droite pour être sur les photos.

Pan! C'est parti! Premier objectif: aller à droite. On coupe toute la masse du départ pour changer de coté. Original. Mais on arrive à être pris en photo.




On fait le tour du pré, on repasse sous l'arche. C'est déjà fini? Non, il reste 34 700 mètres; Ah bon!


Je cherche déjà mon Lutin du regard. Il traîne un peu derrière.


En tout cas, ça me change de mon habitude, moi qui démarre toujours comme un c.., me voilà en footing. Donc, on trottine. Je ne cesse de me retourner, mais mon Lutin lutine: et vas y don' que je te cause à droite, à gauche... J'ai du mal de faire battre mon cœur à un rythme de course.

Je rattrape Bambi et je tente d'entrer en contact. Sans résultat, elle est déjà dans sa course.

Je vois moune78, j'accélère pour la rejoindre. Mais cette accélération me chatouille les mollets: j'ai du mal de les contenir, ces bêtes là, elles veulent partir, ce sont de vraies bêtes de course. J'arrive à les contenir le temps d'échanger un tout petit peu, mais rapidement, je me dis que si je ne cours pas avec le Lutin, autant y aller.


Avec un numéro de dossard comme ça !



Et c'est parti!


Une course toute en finesse, toute en gestion.


Première heure: je gère ma fréquence cardiaque


Je démarre ma course après 1,8 km d'échauffement et presque 10 minutes de retard. Mais ça me fait un échauffement. C'est peut être une première.

Mais maintenant, je file! Je double à droite, à gauche. J'essaye de me raisonner: « tu n'es pas sur le court de la semaine dernière! Il reste du chemin à faire »

Pour éviter les concurrents, je passe bien sur le coté, au bord des arbres et dans les branches. Technique habituelle, je profite de ma casquette kikourou pour foncer tête baissée. Je relève a tête. Ce n'était pas fini: je me prends une branche sur le nez! Je ne sais pas si je saigne, mais ça a tapé fort. Y sont malins ces Lutins, ils mettent des pièges à Fulgur!

On arrive sur une côte. Le groupe culotte et se met à marcher. J'en profite pour doubler. J'ai un sentiment de puissance; Sûrement le même qu'a un coureur savoyard sur une course en côte d'or. De toutes façons, je suis là pour travailler les cuissots (prépa quand tu nous tient!); Donc je monte toutes les côtes en courant, même si ça tire, on verra plus tard pour gérer!

Au bout d'un petit moment, j'arrive dans mon groupe de niveau et on fait le yoyo avec quelques coureurs.


Deuxième piège du Lutin : une rubalise se jette à mon cou, s’enroule et essaye de m’étrangler en plein élan. Heureusement, elle lâche prise avant de m’achever.


Je me suis vite rendu compte que le terrain était gras, mais je suis quand même surpris qu'il soit aussi mouillé. J'ai confiance dans mes chaussures et mes chaussettes, c'est décidé, ce n'est pas l'eau qui me fera changer mes trajectoires. Floc! Floc! Floc! Ça rafraîchit les pieds. Parce que côté tête, ça chauffe! Finalement, il ne pleuvra pas et même, le soleil tapera assez fort. On est bien dans le bois.


Ça monte, ça descend, Floc! Floc! Floc!


Dans une descente, je perds mon bidon. Arrêt, immédiat, remontée et ramassage. Je place maintenant le petit élastique sur le bidon. C'est plus embêtant pour boire, mais c'est plus sûr.


On traverse quelques routes désertes, toujours bien protégées par des bénévoles.

La forêt est jolie et exotique pour moi. Le sol est soit granitique et plutôt sec, soit gréseux et Floc! Floc! Floc! Mais pas toujours, des fois, il y a aussi des fossés ou des ruisseaux. Floc! Floc! Floc!



De temps à autre, on se retrouve sur des routes et sur ces grandes lignes droites, je ne vois pas grand monde devant. Mais impossible d'avoir une idée de mon classement.


Deuxième heure: je gère ma place


L'air est agréable, le sol est comme il faut, ni trop dur, ni trop mou. La boue n'est pas collante comme notre boue argileuse, c'est plutôt une espèce de sable. Floc! Floc! Floc!

Lorsqu'on place bien le pied, il n'y a pas de retour dans la chaussure et même avec le choix (merci Lutin) de n'avoir pas mis mes guêtres, je n'aurai pas une seule fois à me déchausser pour enlever un caillou.

On zigzague entre les fougères et les myrtilles, on frôle les genêts, on se faufile dans les bois.

 

Le paysage est très varié et très agréable. Ça monte, ça descend, Floc! Floc! Floc! En montée, je suis très à l'aise et j'en profite souvent pour doubler.



Comme j'avais prévu de courir avec mon Lutin, je n'ai quasiment pas regardé la carte et j'avance vers l'inconnu. La seule chose que je sache, c'est la distance totale. J'ignore le nombre et la position des ravitos, le trajet...


Ah! mais voilà une belle pelouse qui doit être anglaise, on arrive à la Verrerie. Voilà un ravitaillement.

J'y fais une courte pause pour boire un coca et manger une orange. Et c'est reparti;


je ne resterai pas une minute de plus dans cet endroit où on enferme les Mustangs.

les p'tits gars du 61 et les randonneurs en contre sens


J'ai rattrapé le parcours du 61 et je double maintenant beaucoup de coureurs du long. J'essaye de les encourager « allez les gars, c'est bien » mais vu la différence de nos vitesses, j'espère qu'ils ne prennent pas cela pour une moquerie. On croise aussi les marcheurs. Ça c'est sympa. Ça anime la course et leur marche. Surtout que la sortie de la Verrerie est une loooongue montée en faux plat. J'aime, je remonte, je remonte.

Je n'ai toujours pas regardé ma montre pour connaître mon chrono. Je joue le jeu: je fais mon maximum de toutes façons, on verra à l'arrivée.

 

 

troisième heure: je gère les crampes


Je fais tellement mon maximum que j'ai quand même un peu tendance à m'emballer.

Je me sens bien, alors, je surveille quand même ma vitesse, ne pas dépasser les 14 km/h! Et j'y arrive!


J'y arrive jusqu'à ce que ce bénévole m'annonce ma 13ème place!


Du coup, je cherche à doubler les deux qui sont devant moi. J'y arrive dans une descente assez raide et plutôt technique. Un vrai Dawa! Je suis 11 ème!


Et j'ai maintenant à vu le concurrent N°10. Si je le passe, je suis 10ème. Encore un et je terminerai avec une place à un chiffre, ça ne m'est jamais arrivé. Je le pourchasse. L'animal se sent traqué, il ne se retourne pas mais sent le souffle chaud de la bête avide de victoire. Il traine les jambes en côte, il essaye de relancer, je le remonte petit à petit, il est perdu, il le sent et dans un dernier effort vital, il accélère sur le plat. Et là, sournoisement, avec à peine 25 km de charge, mon mollet gauche me fait « coucou! ». Zut! Je sens la crampe imminente, je laisse l'animal filer; Boire! Prendre un gel! Abandonner la traque pour l'instant! Je réattaquerai plus tard! L'animal est faible lui aussi, mais il est nu! Pas de ceinture, donc pas de gel. J'ai toutes mes chances de l'avoir dans cette bagarre aux mollets.

 

je devrais penser à changer d'appareil photo! 

 

Je sors ma gourde et m'aperçoit avec stupeur qu'elle est presque pleine! « Bougre d'imbécile » pourrai je me dire, si je n'avais pas une aussi haute vénération de ma personne. J'ai bien mis régulièrement la gourde à la bouche, mais je n'ai finalement pas bu assez. Qu'elle erreur de jeunesse! A quoi cela sert il de travailler autant! Alors, je bois! Et je ralenti.


Du coup, je repasse 13ème. Mais ils ne l'emporteront pas au paradis. Le temps de me remettre et d'ici 5 minutes, c'est reparti.

...

5 minutes plus tard, toujours pareil, voire pire. Non seulement, les crampes ne partent pas, mais je les sent venir... quand soudain, je suis obligé de sauté souplement au dessus d'un tas de branchage. Clac! Clac! Ça y est! Elles sont là. Mince!

Plus question de courir en montée, il faut être raisonnable. Je profite de toutes les montées pour tirer sur mes crampes...et me retourner. Je vais essayer de garder ma place! Finalement 13, c'est bien!


Et sur les 7 kilomètres restant, je garde cette tactique nouvelle. Heureusement, la lutte est relativement facile, l'écart avec mes poursuivants est important.


Comme on est maintenant sur le circuit du 16 et que je soupçonne Jupette d'être assez proche du serre file, je me mets à espérer tomber dessus et finir la course avec elle. Si c'est le cas, tant pis pour la place... enfin, surtout si c'est dans le dernier kilomètre. Perspective inutile, je ne rattraperai jamais le 16.


Voilà maintenant les hauts parleurs de l'arrivée. Dernier effort, on refait un demi tour de pré, mais dans l'autre sens; Je cherche Jupette du regard pour lui faire signe... mais je ne la verrai qu'après l'arrivée.



Finalement, je suis 15ème. C'est bien. Je ne sais pas combien il y avait de concurrent au départ. Je suis satisfait, je ne pouvais pas faire mieux avec mes jambes du moment. Il doit quand même y avoir une certaine fatigue du mois dernier. Il va falloir gérer ce mois de juin pour ne pas arriver fatigué en juillet au TGV. Enfin, après la semaine prochaine, parce que dans une semaine, c'est la crocofolie!


Jupette a l'air contente de sa course, mis à part l'eau et la boue, elle a pleinement apprécié sa balade.


Je profite du soleil et du massage avant d'aller me mettre dans l'herbe dans le coin des kikoureurs, où je bois de l'eau. Si! Si!


quand je pense que Vetchar boit une Guiness!

 


On grignote un peu en rigolant beaucoup.


Malheureusement, le train est à 16h38. Il est temps de rentrer se laver et se changer. Josette fait le taxi.


Vraiment, un WE bien agréable avec une course bien sympathique, et vice versa!

 

 

 

 

 

il reste tant de chose à découvrir, on reviendra!

18 commentaires

Commentaire de MOUNE78 posté le 08-06-2010 à 21:37:00

il est génial ton commentaire, je ne vois pas grand chose à rajouter sur le récit que je compte faire. Tu as raison on a passé un we merveilleux et surtout nous avons été reçus par des kikourous plus que très gentils et accueillants. Je les remercie encore énormément.

Commentaire de Eric Kb posté le 08-06-2010 à 21:43:00

Et moi qui pensais que c'était en région parisienne... très chouette Cr et quelle ambiance !!!

Commentaire de intuitiv posté le 08-06-2010 à 21:52:00

Toujours aussi percutant le Fulgu.
Bravo pour ton parcours. Comme tu le signale Calmos apres la croco , sinon le TGV ne sera pas a l'heure

Commentaire de Mustang posté le 08-06-2010 à 22:47:00

Bien content que toi et Jupette ayez passé un bon moment en Ecouvies!!!

Superbe récit, quelle poilade!!

Commentaire de Le Lutin d'Ecouves posté le 09-06-2010 à 00:31:00

Tu es 15ème sur 162, quelle perf !

Et quel récit ! Tellement Fulgur que je n'oserai pas le copier, ce serait singer...

Vraiment, nous sommes très contents de vous avoir reçus et nous nous reverrons...

Commentaire de CROCS-MAN posté le 09-06-2010 à 06:55:00

Une Super course et un Super récit. Courir en Ecouvie n'est pas si simple semble t'il.
BRAVO. Et puis FULGURO-CRAMPES, même Goldorack ne l'avait pas!!!

Commentaire de francois 91410 posté le 09-06-2010 à 08:53:00

Récit Fulgurant pour une course au profil fournisseur officiel en crampes. J'espère que nous pourrons nous y retrouver l'an prochain !

Commentaire de la panthère posté le 09-06-2010 à 09:16:00

ravie d'avoir fait la connaissance de Fulgurex la flèche et de Jupette, deux dignes représentants du 21!....un superbe récit pour une superbe course, à déguster sans modération, comme , comme.....mon coca!

Commentaire de Mame posté le 09-06-2010 à 10:27:00

En Ecouvie, l'on ne badine pas avec le nettoyage soigné des bouteilles de bière !!! superbe week-end...

Commentaire de RogerRunner13 posté le 09-06-2010 à 10:56:00

Malgré tous les pièges tendus par notre Lutin national "LOL" tu t'en es sacrément bien tiré et merci pour ce beau récit..... et une belle perf.

Commentaire de frankek posté le 09-06-2010 à 14:13:00

Sympa ton aventure en Ecouvie. J'y suis allé souvent quand j'habitais pas très loin. Faudra soigner ton hydratation pour le TGV:) floc, floc, floc...

Commentaire de MC 21 posté le 09-06-2010 à 16:10:00

Un CR rafraichissant...de bière. A priori, on sait recevoir en Ecouves. Bravo pour le chrono !
Tu seras peut être fatigué à la crocofolie. LOL

Commentaire de le Styx posté le 09-06-2010 à 17:58:00

Super Cr, super course... comme d'hab quoi ! Pour les crampes : de la sporténine-de-ci, et de l'eau-de-là selon un conseil du sage riri51 !

Commentaire de Gibus posté le 09-06-2010 à 18:46:00

Bravo fulgu
belle course malgré les crampes

Commentaire de Astro(phytum) posté le 09-06-2010 à 21:56:00

Moi qui m'attendais à une bagarre au couteau entre toi et le lutin ;-((
Bravo pour ta course .

Commentaire de eric41 posté le 11-06-2010 à 14:42:00

Très bien résumé ce beau weekend.
Merci Reynald et encore bravo pour ta course.

Eric

Commentaire de LtBlueb posté le 12-06-2010 à 00:21:00

mais c'est que non content de nous faire de jolis CRs, le fulgu court vite également ! en plus il a l'air affuté ! ca promet pour la suite de la saison !

Commentaire de Bambi posté le 13-06-2010 à 21:56:00

bravo pour cette course si bien reussie, merci pour ce superbe recit et ravie de vous avoir rencontre toi et Jupette
biZ
N

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