chantrail a écrit:En pensant à Super Collet, ce qui m'avait saoûlé l'année dernière, c'est l'accès difficile aux tables de ravitos sous les tentes, encombrées des coureurs et de toutes leur smala (famille, bobonne, le p'tit dernier, le neuveu et le cousin,....). Et encore il faisait beau, mais à ce stade du parcours et la fatigue accumulée, ça donne envie de faire voler quelques familles en éclat à coup de saucony !!
et je parle même pas du ton autoritaire de certains môssieurs à l'égard de leur dévouée assistance féminine #balancetonconnardensalomon
Pour Super Collet, ce qui n'a pas arrangé les choses, c'est la conjonction de deux facteurs qui n'existaient pas avant :
- le fait que c'était un ravito du 57, qui arrivait après 2h de montée, pour le "gras" du peloton et donc, de 10h30 à 11h30 du matin, y'avait foule. Les années précédentes, certes le Parcours des Crètes partait de là, donc ça mettait le bronx autrement, le ravito servant de "zone d'attente'", mais c'était surement moins marqué
- le fait que le 144 est arrivé quand même nettement plus tôt, ainsi que le 85, du fait du shunt du Morétan qui a quand même méchamment raccourci l'étape Gleyzin-Super-Collet
Tout cela s'est collisionné allègrement en milieu de journée. Cela a d'ailleurs sûrement continué avec le passage du "gras" du peloton du 85, sur le créneau 12h-14h
Avec les parcours normaux, ça serait sûrement moins marqué, le problème. Mais il est vrai que Super-Collet, eh bien c'est un peu limité : je regardais aujourd'hui.....où c'était le désert absolu....et finalement il n'y a pas tant de bâtiments que ça.
Imaginez que sur les 2 premières éditions, la base vie était.....en haut du télésiège !