Récit de la course : Trail Ubaye Salomon - 42 km 2017, par BOUK honte-du-sport

L'auteur : BOUK honte-du-sport

La course : Trail Ubaye Salomon - 42 km

Date : 6/8/2017

Lieu : Barcelonnette (Alpes-de-Haute-Provence)

Affichage : 2231 vues

Distance : 42km

Objectif : Pas d'objectif

16 commentaires

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Ah ce mois d’Août, je ne sais pas comment l’organiser sportivement parlant…

 

 

Inscrit le 25 décembre 2016 au 42 kilomètres de l’Ubaye en copiant Albacor Chasse-Neige Noruas

Inscrit « de force » à l’Echappée Belle 47 par l'ami Namtar

 

 

Je n’ai jamais fait autant de volume (Bouk 2017 devant Bouk 2016 qui était devant Bouk 2015 qui fumait Bouk 2014, on parle du jeu des 365h bien entendu), et paradoxalement : je suis toujours aussi lent !!!

 

 

Moralité, quelle stratégie retenir ???

Faire de l’EB 47 l’objectif majeur ? Et dans ce cas l’Ubaye 42 serait une « sortie choc » ? Ou alors se rabattre sur l’Ubaye 23 (mais déjà couru 8 fois, et là, le faire tout seul, bof, motivation moyenne...) ? Laisser la météo décider ?

 

 

Et finalement, ce sera comme toujours ce coquin de sort qui décidera : organisant ma semaine de vacances de fin Août, je me vois contraint de dire « euh, mais faut rentrer le vendredi j’ai une course le samedi », non non je peux pas imposer ça, donc l’EB47 on oublie, et l’Ubaye 42 devient objectif majeur !!!

 

 

Objectif majeur, sachant que je suis moins fort qu’en 2014, MAIS j’ai l’expérience de 2014 !



*PUB*

 



Samedi 15h30 : retrait des dossards, la bénévole éclate de rire (limité gênée !!!) en voyant le nom de mon « Team », je retrouve mon cousin et la famille Alba. On fait vite la visite de la ville avant de filer profiter de la piscine pour ce dernier jour de chaleur.

 


Samedi 19h : apéro à la terrasse ouest du Bowling de l’Ubaye, on savoure la Sauvage (la bière locale) en se projetant sur le lendemain… qui promet, car Christian semble déjà conquis par notre belle vallée ! (un trailer de bon goût)

 

 

Dimanche 7h30 : le Bouk est mort de stress. Petite photo quand même, par un « nantais-réunionnais » dont c’est le premier dossard de la saison ( !!), qui prépare sa seconde diagonale ( re- !!!!), ah on n’est pas dans le même monde, c’est beau !!! Trop sympa

 

 

Le ciel est nuageux, c’était ce qui était annoncé, reste plus qu’à attendre le soleil… Allez fin de l’attente, le « PAN » est enfin donné nous voici partis !!!

 


 

La plan de course quand même ?

J’ai regardé la veille ma trace 2014 pour essayer d’avoir des repères de chronos… Mais tu parles j’ai pas tellement retenu. Il n’y a que le parcours que je connais par cœur par cœur par cœur !

En plus, niais que je suis, j’ai en tête d’avoir mis 7h55 en 2014, donc j’annonce à tout le monde un chrono aux environs de 8h de course !!

 

 

Mort de stress au départ, classique photo avec mon albacor et rencontre avec un mec sympa champion trailer finisher de la diagonale mais nantais et dont c’est le premier dossard ! (oui je l'ai déjà écrit)

 

 

PREMIERE PHASE : LA MISE EN BRANLE

 

Les traditionnels 5.5 kilomètres de plat pour étirer le peloton de 525 coureurs ! On démarre dans Barcelo, n’étant pas trop loin d’Alba je cours idiotement tout à droite de la Rue Manuel pour qu’il me reprenne plus loin !

 

 

Sur la digue mon père est là pour prendre quelques clichés, heureusement qu’aujourd’hui j’ai opté pour le rose bonbon !!! Alba est déjà là, je le laisse filer, puis fais l’effort de le recoller 10 secondes, avant de reprendre mon rythme pépère de mise en branle.

 

 

Toujours horrible de parcourir ces premiers sentiers, avec le Chapeau de Gendarme majestueux qui nous nargue !! On quitte le golf pour la digue du Bachelard, à courir en peloton de 7/8, j’entends un « oh mince ils ont fait le trou » (c’est du lard ou du cochon !?), quand un mec trébuche et s’écroule sur ma gauche ! Sans lâcher un cri, il s’affale de tout son corps, la tête tournée mais touchant le sol caillouteux... On balise un peu, on le relève, il trébuche aussitôt de nouveau ! A peine merci, il repart, une nana lui dira en rigolant « au moins vous aurez les marques de la course » !

 



 

Une nana bien sympa… avec des bâtons dans le dos !!

« Mais c’est pas interdit »

« Si si mais c’est mon joker, car si je dois abandonner ils me serviront ! »

Elle voit même plus loin car me parle même de la descente possible en télésiège, « grrrr c’est quoi cette stratégie » lui dis-je rigolard

 

 

On arrive à Uvernet-Fours, snif ma grand-mère n’est point là, tant pis, on arrive au ravito 1, je salue Alain, toujours fidèle au poste « je te revois au Sauze ? », « ouais ouais », « enfin si j’y arrive ! »


 


 

Et nous voici parti pour la première ascension

 

 

DEUXIEME PHASE : OBJECTIF BAUME LONGE

 

Hou que je la connais par cœur celle-là… Parcourue en partie depuis l’enfance, et pour la 8ème fois lors du Trail Ubaye. Ca court encore un peu autour, moi je gère d’office donc c'est montée=marche !!

 

 

L’occasion de redistribuer les cartes, entre les chamois qui reviennent de l’arrière, et les optimistes des premiers kil qui décrochent. La nouveauté cette année hélas ce sont quelques choses pas agréables mais typiques de notre sport désormais :

                     -       les féminines accompagnées de leur garde du corps qui commente et qui bouche un peu, ne facilitant pas les dépassements

 

                     -       Forcément les déchets……. Atroce. Je me souviens il y a quelques années une photo de l’orga de la « patrouille » qui félicitait les 1.200 coureurs pour une dizaine de déchets seulement… Au cours de la course je ramasserai deux poches pleines, entre papier alu, embouts de p**** de gels, un paquet de pailles d’or ( !!), emballage de granny… Quand est-ce qu’on disqualifie ? Un coureur dira « et après on s’étonne que certaines courses n’ont plus les autorisations »

 

                -       Les adorateurs de la musique… en montagne ! La coureuse ramasse un dossard, crie « dossard », personne de devant ne se retourne, elle doit re-crier, du coup un coureur se retourne « mais je l’ai bien », en fait il doit tapoter le mec qui le suit qui du coup ôte un écouteur… Et reprend son dossard…

 

Ca c’était pour le côté négatif du jour !

 


 

On passe la Cabane de Badieu ou feu le Bouk dépassa la Corne en 2013, autre temps…

 

 

S’ensuit le long passage jusqu’à Coulenguiou où chaque année je me dis « putain c’est pas à côté » ! L’occasion de reprendre des coureurs et coureuses aériens en montée mais qui s’arrête dès qu’il y a une racine ou une pierre !!! Pas de bol, quelques gouttes tombent, bon…

 

 

Et on arrive au fameux mur final, où cette année un bénévole est présent. Je l’entends dire à mes poursuivants « C’est le km le plus dur », « de la course ? », « oui oui, de la course », et moi qui beugle « il a raison !!! »

 

 

Etonnamment je suis resté devant mes poursuivants, et nous sommes mêmes remontés à une chenille, enfin nous voyons la lumière, c’est Baume Longe, je remonte la chenille des 6/7 coureurs, rejoins une nana qui a fait pareil et nous filons… tout droit ! Sous une pluie battante…

 



 

TROISIEME PHASE : REJOINDRE LE VILLARD D’ABAS

 

 La nana est bien sympa, on discute un peu, avant de rejoindre un coureur qui met une veste, elle elle hésite mais franchement, il ne fait pas froid, et quelque part j’en viens même à me dire que je préfère ça à la canicule !!

 

 

Nous voici 3 puis 4 dans cette partie roulante, je passe les passages câblés avec une pensée pour ce parisien de 28 ans qui est décédé en octobre dernier sur ces pentes en perdant son groupe de randonnée.

 

 

La suite s’avérera un peu pénible, notre groupe de 5 rejoint un groupe de 3, qui bloque bien tout le monde mais qui ne s’écarte à aucun moment… Impossible de sortir du sentier pour dépasser… Moi, je sais pas, mais j’ai 7 gus derrière moi je m’écarte… Enfin l’un d’entre eux s’écartera et on ne le reverra plus…

 

Et arrive le Villard d’Abas : ce tronçon, interminable en randonnée avec ma cousine l’an passé, s’est fait avec grand plaisir facilement !

 

 

Trop bon : le ravito.

Hélas : les bénévoles sont rincés !!! C’est le moment où l’orage est le plus fort… Ils s’excusent même que les raisins secs soient mouillés, non mais allo !!! « On voulait une course nature on a une course nature ! ».

 

 

Je repars en refaisant mes lacets sous un porche, alors qu’un type épelle à sa nana « le villard d’abas » pour qu’elle puisse venir le chercher. Allez on repart

 


"oh putain ce qu'ils se prennent sur la gueule"


 

QUATRIEME PHASE : « MA » MONTEE A LA CROIX DE SAINT-MEDARD

 

20 fois ?

25 fois ?

Je me demande combien de fois je l’ai faite !

 

 

Après  la jonction sur bitume (avec le vent qui souffle, je me caille complet, où est-on !!!), on attaque le chemin, un peu déçu j’avais le secret espoir que mon grand-père soit là. Par contre une nana discute avec le signaleur, je les entends parler du 23 kil,

« tu veux abandonner ? »,

« ouais là je m’amuse plus j’ai pas envie de tomber »,

« ah ben ne va pas sur le 22 kil la descente c’est la guerre »,

« non non c’est vu le bénévole m’a dit que c’était bon »,

« je l’ai faite 8 fois dont 2 fois sous la pluie c’est la guerre, tu ferais mieux de descendre en stop »…

 

 

On rejoint la « maison des fleurs », l’ancien est là, la musique aussi, je lui dis chaleureusement merci, « toujours au poste !! »

 

 

Je vois deux bolides me revenir dessus, je m’écarte rapidement, mon frère me téléphone « t’en es où », il me fait réaliser que la pluie s’est arrêtée ! Et finalement non seulement personne ne me remonte, mais c’est moi qui vais chercher !

 

 

Un coureur est penché en deux, « ca va ? », « oui oui, je prépare la diagonale mais j’ai fait 6.000m de D+ cette semaine, du coup un peu mal », « ici, dans quel coin ? », « aux Arcs ! »

 

 


Et revoici une chenille, menée par une féminine et son bodyguard, et qui est en queue de chenille, mes bolides !! Ni une ni deux, cette montée offre de nombreux shunt et je profite d’un shunt pour prendre 8 places d’un coup !

 

 

On arrive à Cloche je rejoins ma féminine de Baume Longe (qui, elle, s’écarte !), direction la Croix de Saint-Médard avant le Col de Cloche, un ancien loin devant, personne derrière, je vais donc rejoindre faire le fier ( !!!) puisque l’on retrouve les coureurs du 23 kil !!

 

 

Hou que ça fait du bien de se sentir fort !!! Alors que je navigue autour de la 400ème place sur 500… !!!

 

 

Cette jonction est toujours aussi agréable, on domine Pra-Loup, on voit le golf passé ce matin, et ce Chapeau de Gendarme qu’il va falloir grimper.

 

 

Ravito 3, c’est la cohue, bien normal face à tant de coureurs mais les bénévoles sont des guerriers et assurent, je fais le plein puisque m’étant fait avoir en 2014 (le ravito 4 est… loin !!), et je file juste histoire de fuir le monde !

 

 

CINQUIEME PHASE : LE CHAPEAU DE GENDARME, MORCEAU DE BRAVOURE DU JOUR

 

Et qui je retrouve dans le début de cette montée ? Les bolides du Villard d’Abas ! Et même topo, ils partent fort, on rejoint une féminine, puis ils décrochent me laissant seul avec la féminine. Un peu plus loin, le sosie du Pharmacien de Scène de Ménages, mais habillé en trailer !!

 



 

Le rythme de la féminine me va très bien et je la suis un bout de temps, avant de prendre un relais et de filer un peu…

 

 

Incroyable cette montée : ne pas trop lever la tête (ça déprime !) mais que c’est chouette. Et sauvage ! On rejoint le classique photographe à un endroit improbable mais qui fait des clichés terribles du coup je prends la pause/la pose

 

 



Après ce passage à 4 pattes on déboule dans le « dernier vallon ». Je rejoins un type qui… n’a plus de genou, le pauvre, et le final est pire que tout, on est des zombies, à faire des pas de fourmi. Et depuis 5-10 minutes, voilà que j’ai la nausée. Moi !

 

 

Sommet atteint !!! Mais je ne me sens pas bien. J’espérais voir la famille d’Alba mais ils sont sans doute plus bas. Je me pose 5 minutes avant de repartir, hélas la forme n’est pas là je descends péniblement cette descente pentue et scabreuse, espérant vivement la montée au Col de Gyp ! Je passe la partie herbeuse, souvenir de 2014 où mon fan-club était monté !!!

 

 

SIXIEME PHASE : IL FAUT ALLER CHERCHER LE COL DE FOURS

 

Montée au Col de Gyp, je vois 3 personnes en haut, je beugle des « bouk » croyant voir cette fois la famille d’Alba mais déception, toujours pas eux… Et toujours cette nausée.

 

 

Bon.

Je sais que c’est « gagné ».

Je me pose franchement. Pompote, flotte, je regarde le Cimet devant moi, je laisse passer des flots de coureurs, j’ai bien passé 15 minutes assis. Un binôme s’est arrêté aussi, l’un a l’air « sec », l’autre répond « c’est parce que c’est ton premier », j’ai envie de demander premier trail ou premier 42, et finalement je repars en même temps qu’eux.

 

 

Qui aurait prédit la suite ? Alors que je suis péniblement le « beginner » durant le premier kilomètre, la nausée disparait, et je ne me ferai plus doubler de la course… !!!

 

 

A la faveur des descentes donc, je distance le beginner, et rejoins son collègue dans la montée au Col de Fours. Cette fois pas de blague, je sais qu’il n’y a pas de ravito, mais des pointeurs en pick-up. Je les salue, et profite de leur sac poubelle pour m’alléger des déchets ramassés… Et me renseigne, je suis 410ème. (et à + de 20 minutes de Bouk 2014)

 

 

Et surtout, SURTOUT : je SAIS comment j’étais, à ce moment-là, en 2014 : le début de l’agonie !! Une descente et un final quasi tout en marche, tandis que là, j’ai le jus ! Merci les bouchons, merci l’orgueil, merci la gestion, je vais finir tout en « plaisir »


 

SEPTIEME ET DERNIERE PHASE : ¨PROFITER"


Ca démarre par le pire endroit de la course : la descente des pistes de ski du Sauze… avant de rejoindre un single herbeux des plus séduisants de la terre !! Des bons moments puisque je reprends les coureurs un par un !

 


 

Je regarde ma montre constamment, je sais que le ravito est au kil33.

Je croise des piques-niqueurs, comprenant que je suis devant leur ami/mari/oncle/cousin, « il est loin derrière !! », l’une me répondra, au bout de sa vie, « ça fait 1h30 qu’on attend ! »

 

 

Et le voici le ravito ! Je retrouve Alain, « tu as 45 minutes d’avance sur la BH ! », et surtout j’ai plus que 10 kil à faire, et tout va bien ! Un bout de banane et je repars avec la dernière montée du jour, un petit mur pour rejoindre le Super Sauze.

 

 

L’occasion de rejoindre un coureur mais qui me colle aussitôt, je le laisse passer mais il ne veut pas « tu descends mieux que moi », et effectivement je file et ne l’entends plus, sauf au Sauze car son comité d’accueil est euphorique !!

 

 

On passe le Super Sauze, je reprends 5 coureurs, mais l’un a relancé (il est le seul) du coup on se motive mutuellement, on se rassure même puisque du coup on creuse sur tout le monde, avant le passage de vallon un peu interminable à passer. Vallon qui se passe bien, l’occasion de faire le point sur les écarts, devant c’est loin, derrière hormis mon rouge, aucun danger.

 

 

Je file toujours, pensant désormais à faire « une marque » sur ce 42 kil. Et voici la jonction avec le 23 kil, c’est tout bon, moins de 5 kil de l’arrivée, j’envoie 2 sms et file tout en calculant mentalement le temps final possible, et rejoignant les quelques coureurs à l’agonie façon Bouk2014.

 

 

La ravine, puis le grand champs, puis le final dans la forêt avant le stade, j’ai mal mais je suis heureux d’avance, je déboule au stade ça se voit qu’il est 15h il n’y a… personne !! Plus que 800m de bitume, derrière ça ne reviendra pas, devant je ne vois personne d’autre que la police et les finishers qui retournent à leur voiture (et qui encouragent), entrée dans le parc de la Sapinière euphorique, COOL j’entends mon pseudo c’est ma tante qui court et ma cousine qui sont là, j’en termine donc en un inespéré 7h18mn59sec j’ai pris 22 minutes à mon « bouk 2014 » !! Et 40 places glanées sur les 13 derniers kil.

 

 

 

Quelques statistiques…

Dans mon esprit (va comprendre…) j’avais mis 7h55… va comprendre

Au Villard d’Abas, 10 minutes de retard

Au Chapeau de Gendarme, 3 minutes d’écart seulement

Mais au Col de Fours, 20 minutes de retard

A l’arrivée : 2 minutes de mieux !


 


 

Merci l’Ubaye

Merci Albacor d’être venu

C’était trop bien

16 commentaires

Commentaire de Trixou posté le 09-08-2017 à 00:08:05

Un récit qui rejoint les standards du genre mais qui fait plaisir à lire. Un 42 fini sans agonie c'est que la forme revient !!!

Commentaire de BOUK honte-du-sport posté le 09-08-2017 à 21:20:55

Les 15 minutes de "pause" m'ont été bénéfiques !!! Bon sentier des ours à toi !!!

Commentaire de JuCB posté le 09-08-2017 à 09:08:17

"EB47 on oublie" : la déception a pris le dessus, impossible de lire un mot de plus.
C'est la 1ère fois que je bache un récit. :-(

Je retente demain ...

Commentaire de BOUK honte-du-sport posté le 09-08-2017 à 21:29:11

Tout ça c'est la faute de la Coccinelle..........!!!

Commentaire de JuCB posté le 10-08-2017 à 08:59:29

J'aimerais bien avoir la version de la Coccinelle (sans que tu pirates son compte...) ;-)

Excellent choix de couleur de t-shirt
L'Ubaye, c'est de la balle (aucun doute)

Profite bien des vacances et repose-toi, on sent la fatigue, tu vois des nantais partout. ;-)

Commentaire de Albacor38 posté le 09-08-2017 à 17:58:43

Sans le moindre doute l'un des plus beaux trails sur lequel je me suis aligné et en prime un séjour dans l'Ubaye où j'en ai pris plein les mirettes en continu. Quel beau coin de France !

Je reviens l'année prochaine pour un plus long séjour avec mon vélo de route car je sais désormais où se trouve le paradis du cyclo (Bonette-Restefond je te kiffe)

Commentaire de BOUK honte-du-sport posté le 09-08-2017 à 21:30:06

Ca c'est trop gentil !!!
Merci !!!
Et bravo, bien entendu

Commentaire de Cheville de Miel posté le 09-08-2017 à 23:13:15

Je sais comment t’arrive à te souvenir de tout ses détails!
Bravo, et tes illustrations sont toujours topissimes!!!
Par contre méga déçu pour ton bachage de l'EB!!!! ouh ouh ouh!

Commentaire de BOUK honte-du-sport posté le 10-08-2017 à 22:37:43

Tout le monde dit ça mais quand on se refait le film de la course on se souvient !

L'EB je suis encore bien trop jeune !

Commentaire de le_kéké posté le 10-08-2017 à 16:26:43

Le bouk qui prend du plaisir sur du (presque) long, et qui pensait presque enchainer avec l'EB des enfants, WTF ???!!!!!!

Commentaire de BOUK honte-du-sport posté le 10-08-2017 à 22:38:12

Bah je deviens de plus en plus lent...
Donc je fais de l'ultra
CQFD !!!

Commentaire de Benman posté le 10-08-2017 à 18:39:17

Ultra-Bouk nous rend visite et casse le chrono. Sympa de courir comme ça dans un coin familier. Bravo le Bouk

Commentaire de BOUK honte-du-sport posté le 10-08-2017 à 22:38:30

Merci mon idole !

Commentaire de OderF_06 posté le 11-08-2017 à 14:48:49

Bravo , quel récit :) que de details comment fais tu !!!
De mon coté nouveau décor total, Épique, du gros niveau, je n irai pas jusqu à grandiose, mais pour un 42k +2500m ca en jette grave.
La pluie puis la chaleur, j ai pensé à un moment qu on nous laisserai pas faire le sommet mais si. Trail complet on marche quand même pas mal. Ca roule aussi un final en vitesse tu crois voler.
De cannes aller par route napoleon castellanne col d allos et retour par la bonnette rien que le voyage en vaut le detour.

Commentaire de BOUK honte-du-sport posté le 11-08-2017 à 21:34:01

Cool que ça t'ait autant plu !!!
Comme je disais à un coureur (j'ai oublié de l'écrire) "c'est pas le genre de l'orga de recourir à un parcours de repli" !!!

Tu as encore la route du Col de la Cayolle :)

Commentaire de stphane posté le 21-08-2017 à 00:18:33

Parce que j'ai du mal à faire Dodo... Je lis du Bouk comme d'autres du Marc Levy, et ouais j'ose le dire j'adore ça !!

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