C’est vrai que j’avais dit ne plus vouloir intervenir sur kikourou, mais mon compte n’étant pas clôturé et les derniers événements m’ayant dirigé dessus, je ne peux pas m’empêcher de mettre mon grain de sel à la lecture des interventions.
mauringuay a écrit:Nous avons eut l'occasion d'en parler en AG en octobre
Cette évolution de la Loi était selon nécessaire
En effet, dans l'état précédent des choses, un licencié échec ou pétanque (donc ayant fourni un certificat médical d'aptitude au échec ou à la pétanque) pouvait courir un 10km par exemple sous le couvert de son assurance fédérale qui en cas de pépin n'aurait bien sur rien assuré
Le coureur se serait donc retourné contre ... l'organisateur
Donc cette évolution de mon point de vue d'organisateur est une excellente chose
Maintenant pour les licenciés de disciplines à bases de course à pied telle que la C.O ou le triathlon, cela pose effectivement un problème.
De tête, le responsable fédéral présent avait dit qu'il essaierait de voir au niveau du ministère (puisqu'à priori il s'agissait d'une vive recommandation ministérielle) pour que ces pratiques soit prises en compte
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Si vous estimiez que cette évolution de cette loi était nécessaire, il n’y a rien qui empêchait dans ce cas là, le Bureau Fédéral de modifier et recommander dans ces textes internes la possibilité à
quelques licences affinitaires (C.O, Tri, UNSS, UFOLEP), de faire partie de cette évolution. Donc je te pose la question, pourquoi dans ce cas là, ne pas avoir prévu à l’avance un texte, une circulaire ou une recommandation prenant en compte ce cas particuliers ??? Hors, cela n’en a pas été le cas, rien ne l’empêchait de le faire, preuve qu’il y a une certaine hypocrisie là dedans et si cette évolution était nécessaire aussi, on voit bien qu’elle vient du milieu de l’athlétisme et non du Ministère comme certains pourraient nous le dire. Il s’agit plus d’une question de volonté et la volonté, cela, le Bureau Fédéral n’en a pas et que la Fédération est probablement derrière ces manigances !?
Et s’il s’agit « à priori » d’une vive recommandation Ministérielle, pourquoi ne pas avoir donné et diffusé le numéro d’attribution et le texte de la circulaire ?? Au moins, cela a le mérite de voir et savoir d’où vient l’origine d’un texte ! Quand on doit mettre des références sur les bulletins d’inscriptions, il faut bien les avoir, point de vue des organisateurs !
mauringuay a écrit:………………………………………………………………..
Enfin de mon point de vue (vous me direz que je suis licencié ffa), je ne vois pas où est le problème de fournir un certificat médical surtout sachant que normalement, un organisateur de course devrait :
- demander une preuve de votre identité
- demander une copie de votre licence (ne pouvant la vérifier) donc dans tous les cas, on devrait passer par la case photocopie ... (loi quand tu nous tiens)
enfin si cela peut vous éclairer ...
Attention aux nuances des termes concernant la loi et en particulier pour les licenciés, celui-ci dit :
Article L231-3
La participation aux compétitions sportives organisées ou autorisées par les fédérations sportives est subordonnée à la présentation d'une licence sportive mentionnée à l'article L. 131-6 portant attestation de la délivrance d'un certificat médical mentionnant l'absence de contre-indication à la pratique sportive en compétition ou, pour les non-licenciés auxquels ces compétitions sont ouvertes, à la présentation de ce seul certificat ou de sa copie, qui doit dater de moins d'un an.
Le médecin chargé, au sein de la fédération sportive, de coordonner les examens requis dans le cadre de la surveillance médicale particulière prévue à l'article L. 231-6 peut établir un certificat de contre-indication à la participation aux compétitions sportives au vu des résultats de cette surveillance médicale.
Ce certificat est transmis au président de la fédération, qui suspend la participation de l'intéressé aux compétitions sportives organisées ou autorisées par ladite fédération jusqu'à la levée par le médecin de la contre-indication.
NOTA : Ordonnance 2006-596 du 23 mai 2006 art. 11 : Les dispositions des titres III et IV du livre II de la partie législative du code du sport entrent en vigueur à la date définie au I de l'article 25 de la loi nº 2006-405 du 5 avril 2006. Cette date est le 1er février 2006On parle de présentation, c'est-à-dire montré, pas fournir, ce qui est deux termes différents et deux fonctions différentes entre je montre et je garde la licence sans en fournir de copie puisque j’ai déjà justifié par l’envoie d’un certificat médical avant d’obtenir la licence et je montre et je fournis pour que l’organisateur est une trace de cette justification. On notera que le terme présentation s’applique aussi pour les certificats médicaux, mais c’est surtout par rapport à la licence que je trouve aberrant cette histoire de fournir une copie, car autant dans ce cas là de ce contenter d’un simple certificat médical et non d’une licence, à moins de vouloir progresser dans un club. Si on veut vraiment mettre les bons termes par rapport à l’utilisation réelle sur le terrain, voici ce qu’il aurait fallut rajouter dans le texte :
Article L231-3
La participation aux compétitions sportives organisées ou autorisées par les fédérations sportives est subordonnée à la présentation et/ou fourniture de sa copie d’une licence sportive mentionnée à l'article L. 131-6 portant attestation de la délivrance d'un certificat médical mentionnant l'absence de contre-indication à la pratique sportive en compétition ou, pour les non-licenciés auxquels ces compétitions sont ouvertes, à la présentation et/ou fourniture de ce seul certificat ou de sa copie pour laquelle la discipline est mentionné, qui doit dater de moins d'un an.
Le médecin chargé, au sein de la fédération sportive, de coordonner les examens requis dans le cadre de la surveillance médicale particulière prévue à l'article L. 231-6 peut établir un certificat de contre-indication à la participation aux compétitions sportives au vu des résultats de cette surveillance médicale.
Ce certificat est transmis au président de la fédération, qui suspend la participation de l'intéressé aux compétitions sportives organisées ou autorisées par ladite fédération jusqu'à la levée par le médecin de la contre-indication.
NOTA : Ordonnance 2006-596 du 23 mai 2006 art. 11 : Les dispositions des titres III et IV du livre II de la partie législative du code du sport entrent en vigueur à la date définie au I de l'article 25 de la loi nº 2006-405 du 5 avril 2006. Cette date est le 1er février 2006Cela à au moins le mérite au niveau du texte d’être adapté à la réalité d’application du terrain enfin, c’est ce que je pense.
didierchfr a écrit:Effectivement au sein de la ffa il y a des anti trail , mais je te rassure au sein de cette même ffa il y a des lanceurs qui aime pas les coureurs de demi fond ,
2 solutions ou effectivement on juge que le trail n'a pas besoin de la ffa , mais çà me semble fort compromis
En effet,
"La Fédération Française d'Athlétisme (FFA) a reçu délégation du Ministère chargé des sports pour l’organisation de la pratique des disciplines de l’Athlétisme. En vertu de cette délégation, elle est notamment chargée pour l’ensemble des manifestations pédestres Hors stade de définir les règles techniques concernant cette discipline, conformément à l’article L. 131-16 du Code du sport.
Les manifestations pédestres Hors stade se définissent comme des courses avec ou sans classement et ou prise de temps se déroulant sur une route ou sur un chemin. Elles peuvent être organisées toute l’année."
il me semble bien que le Trail répond a ces critères non ?
Oui, la FFA reçoit bien délégation du Ministère,
mais pour les disciplines
qui sont mentionnés que dans
ces propres textes, ce qui est le cas du Trail, mais seulement depuis la fin de l’année dernière. Concernant la partie que je traite, qui est l’ADDM, elle ne traite que la surface route et que le 100 km et le 24 heures, ce qui représente 10% à 15% seulement des épreuves/surfaces de la discipline et ce qui veut dire quand on réfléchi bien, que nous pouvons gérer sans elle les autres types de surface et les autres épreuves qui ne sont pas dans son texte, tout comme on peut homologuer les bilans qui y sont réalisés !
taroc78 a écrit:Bonjour,
Te rejoins totalement Bertrand, ce besoin de couvertures permanentes devient une aberration totale.
Le certificat une ânerie de plus, il te donne ta forme à un instant T, l'instant d'après c'est déjà plus bon.
Maurin à trop vouloir te blinder tu risques de trouver l'effet inverse de ce que tu cherches, sur un OFF par exemple (même si ce n'est pas forcement le super exemple) chacun s'assume alors pourquoi tout baliser de cette façon. Même avec ton système de vérification double voire triple si un gars veut t'emmerder il le fera sans souci ce s'appelle, l'obligation de résultats alors décompresse lâche du lest et tu rendras du monde heureux avec leur système à la noix la FFA s'est retrouvée a 80 pour un France de trail !!!!!
Je te rejoins dans ce que tu dis Taroc.
DidierC a écrit:……………………………………………………………
Quant à ces bouts de papier, ils ne sont que le reflet de la société sécuritaire et légaliste dans laquelle nous vivons. Signons une décharge pour que l'organisateur n'ait pas de souci, et basta...
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Voir la réponse faite à benoit 11 (ndlr : pas le pape, merci), plus bas !
DidierC a écrit:………………………………………………………………………………
P.S: Agnès, je te rassure je n'ai rien contre le javelot, au contraire sûrement du sauteur en longueur (je crois) qui s'en ait pris un dans le bas du dos il y a quelques temps
(je ne me rappelle plus son nom...)
Salim SDIRI.
Olivier91 a écrit:…………………………………………………………………….
2- Il ne faut pas mélanger les responsabilités: la FFA est délégataire du ministère de Sports et ne fait qu'appliquer la loi, puisque la vérification du certificat d'aptitude à la course à pied en compétition est exigée par décret. C'est donc au ministère qu'il faut s'en prendre en la matière.
3- sur le fond je préfèrerais une législation qui impose à l'organisateur d'informer les concurrents des risques et à les encourager à la prévention, libre aux coureurs, en signant une décharge, de réaliser les examens nécessaires. Ce serait ainsi de sa responsabilité. Ainsi, les coureurs qui jouent le jeu de la prévention feraient des examens réellement utiles car réalisés pour des gens volontaires, et ceux qui ne veulent pas jouer ce jeu de la prévention n'encombreraient pas les salles d'attente des médecins et ne participeraient pas au trou de la sécu en réalisant des consultations inutiles car de complaisance.
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Je te suis assez sur ton intervention n°3, par contre sur ton intervention n°2, voir les réponses faites à Maurin et didierchfr.
mauringuay a écrit:Le problème n'est pas de vouloir ou pas se protéger,
Aujourd'hui une chose est claire quand on voit le départ des courses : on voit de tout et n'importe quoi (genre des mecs au départ d'un marathon avec un footing de 30' par semaine) à partir de là, les accidents arrivent
La problématique aujourd'hui est que lorsqu'il y a accident, il y a déclaration d'accident et donc enquête, et la responsabilité de l'organisateur est engagée
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Oulà ! Avant de dire cela, attention, personne n’a jamais dit qu’il ne fallait pas s’entraîner que 30 minutes ou moins par semaine avant d’aborder un marathon, encore que tout dépend aussi de la manière dont-on va aborder ce marathon, si c’est à fond, c’est sûre que l’on ne va pas loin, mais il n’a jamais été prouver que c’est ces personnes qui sont les plus à risques lorsqu’il y a des ACR et il a même était constaté qu’entre 70% et 75% des ACR était fait par des personnes appartenant à des structures encadrés, ayant une bonne expérience de la course à pied et des fois connaissant aussi le parcours pour l’avoir fait plusieurs fois, ce qui peut très bien m’arriver, comme cela peut t’arriver aussi ! En fait, rien ne peut préciser les personnes à risques, sinon, si ce n’est que de bien se connaître et écouté son propre corps à la moindre alerte, encore faut-il s’astreindre à cette discipline, mais chacun est responsable de soi-même.
mauringuay a écrit:………………………………………………………………………
A partir de là, l'organisateur doit prévoir tout ce qui est nécessaire pour ne pas finir en prison en cas de coup dur (d'ailleurs à l'occasion, discute avec un organisateur qui a eut un mort sur le terrain ...)
Donc à partir de là :
- l'organisateur doit prévoir les secours nécessaires
- en cas de pépin, il doit faire le maximum pour s'assurer de la bonne santé de l'athlète (et donc par exemple de l'accompagner jusqu'à un poste médical)
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Et encore, quand on dit que l’organisateur doit prévoir les secours, il y en a beaucoup qui sont loin du compte avec la nouvelle loi des Dispositifs de Premiers Secours de l’année dernière, car celui-ci oblige aussi à prendre en compte le public tout le long du parcours, qui je l’avoue, n’est pas adapté du tout par rapport au risque encouru, car le public est légèrement statique et agité et ne représente pas une population à risque, au contraire des personnes qui elle, court, donc mobile et très agité.
mauringuay a écrit:………………………………………………………………………
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Pour la copie de licence, c'est très simple, l'organisateur doit juridiquement être capable de prouver que le coureur n'étais pas contre-indiqué (donc certificat ou copie de licence), maintenant pour le papier, ce n'est effectivement pas appliqué
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Je pose donc la question, quel est donc le numéro de référence de la jurisprudence, circulaire ou recommandation qui oblige les organisateurs à être capable de prouver que le coureur n’est pas contre-indiqué ?? Je parle pour les organisateurs !!
sylvain_pva a écrit:à PV, jusqu'à présent, on acceptait les licences de type FSGT, UFOLEP, FSPF, FFCO, FFTri...
maintenant, étant donné l'évolution de la réglementation, va falloir qu'on se penche un peu plus sur le problème pour cette année
je poserai la question en // directement à la FFA, mais j'imagine déjà quelle sera leur réponse...
Si encore ils arrivent à te répondre, car j’ai posé 5 questions par E-mail et je n’ai jamais eu de réponse écrite de leur part, pas plus du Ministère de la Jeunesse et des Sports. La suite au prochaine épisode, j’ai envoyé une lettre en recommandé avec accusé de réception.
Benoit_11 a écrit:Bien souvent, ce n'est pas la victime qui cherche des responsabilités mais son assureur qui veut éviter de payer...
Et aux yeux d'un assureur, une décharge ne vaut rien.
Sauf si un texte de loi déchargait la responsabilité des organisateurs vis-à-vis des assureurs. De toute manière, en cas de sinistre ou d’accident, l’assuré payera toujours 1/3 de sa poche, même s’il est avéré que ce n’est pas lui qui a fait la faute ou s’il a fait le nécessaire pour éviter tous risques. C’est la même chose qui se passe au matière de sinistre par travaux par point chaud.
Oui, mais çà, c’est le Règlement intérieur de chez eux et un règlement intérieur est souvent des recommandations et non une loi, à moins qu’ils s’agissent de texte d’une circulaire, recommandation ou jurisprudence, sauf pour les quelques unes tirées de la loi et concernant les certificats médicaux, seule la loi prévaut, donc, mieux vaut que leurs textes réglementaires ne soient pas en contradiction avec la loi, gare à ne pas en abusé au niveau administratif, et si c’est une circulaire, recommandation, jurisprudence Ministérielle, celle-ci doit possédé un numéro d’attribution et la Fédération ce doit de fournir ce numéro, ce qui sur le terme « Athlétisme » est le cas, sauf si vous demandez à avoir une licence loisir ou compétition de la FFA. Je m’explique sur un cas concret que j’ai vu il n’y a pas très longtemps. Lors du cross de SCEAUX, les organisateurs mentionnent les références, ce qui est très bien, mais il mentionnait le numéro de texte de référence pour les licenciés, très bien aussi et pour les non licenciés, le numéro de référence du règlement intérieur de l’alinéa de la FFA avec le terme athlétisme, ce qui est une erreur, puisque le terme « pratique de la course à pied » est recevable au même titre que celui « d’Athlétisme », sauf que pour le dernier cité, il s’agit juste de le mettre pour ceux qui veulent une licence. Hors quelqu’un qui fournis juste un certificat médical, c’est quelqu’un qui ne veut pas de licence et je ne crois pas vu que le terme « Athlétisme » englobe toutes les disciplines dans les textes de la FFA, que l’on permet au non-licencié de faire de la piste ou du lancer de javelot, sinon, d’ici quelque temps, je sens qu’on va appliqué sur les terrains ce terme !!
Je m’excuse à l’avance si je suis un peu brouillon dans mes interventions, même si certaines n’ont pas trop à voir avec le sujet initial, mais les différentes interventions sont intéressantes aussi bien les unes, que les autres !
Sinon, je rejoins totalement Papy pour tous ce qu’il a dit, ayant vécu ces deux situations. Avant, il suffisait de juste signé une décharge sur le bulletin d’inscription avec la mention « je reconnais être en possession d’un certificat médical de non contre-indication à la pratique de la course à pied » et à partir du moment où on le signait, c’est qu’on l’avait et celui qui ne l’avait pas, et bien dans ce cas là, c’est ce qu’on appelle faire une fausse déclaration qui dégage de toutes responsabilités les organisateurs. C’est vrai que j’étais tenté un moment l’année suivante de ne pas le faire, vu la facilité, oui, mais voilà, je me suis responsabilisé en me disant, « oui, mais s’il t’arrive un problème ! ». A partir de là, j’ai même pris une licence avant la fameuse loi Buffet, mais depuis quelle est parue, je trouve que même avec une licence, elle nous enquiquine, alors autant me contentait d’un simple certificat médical, je suis beaucoup plus tranquille. Et même le Pass Running, à ces avantages et ces inconvénients finalement. Elle est du n’importe quoi, car combien de fois on voit la Maison Mère nous rabâché qu’elle offre l’avantage d’avoir son classement dans les données de Logica, le logiciel de la Fédération ! Oui, c’est vrai, mais ce qu’ils oublient de préciser, c’est que quand vous renouvelez votre Pass, votre numéro change et que les résultats de la l’année passé disparaissent !
Ce que je reproche à la Fédération et cela ne changera jamais, c’est de ne pas être très claire et précis dans leur explication quand ils font la promotion d’un produit, encore, faut-il qu’il marche, mais j’avoue que la manière, le comportement et les méthodes Fédérales m’ont plus fait fuir que venir vers un club, surtout quand vous vous entendez dire, « oui l’ultra ce n’est pas de l’Athlétisme », vous vous demandez dans quoi vous vous trouvez et où vous êtes. Attendez un peu, vous allez voir le drôle d’effet que çà vous fait quand vous vous entendrez dire, « oui, le Trail, ce n’est pas de l’Athlétisme » ! Evidemment, Tous les départements ne sont pas tous pareils et logé à la même enseigne, mais il y a bien des endroits où il y aura toujours ce genre de situation.
De toute manière, il ne faut pas être dupe pour voir que c’est juste une question de fric qui est derrière tous cela ! Ce que le Trail vie en ce moment, c’est exactement la même chose qu’à vécu une partie de l’ADDM il y a 27 ans, je dis partie, parce que si on regarde bien leur texte (FFA), même s’ils ont reçu délégation du Ministère pour la promotion de l’athlétisme sous toutes ces formes, quand on réfléchit bien, ils n’ont que la délégation des épreuves qu’ils mentionnent dans leur texte de Règlement, c'est-à-dire, les deux épreuves de 100 km et de 24 heures et que sur surface route, ce qui veut dire qu’on est largement en aptitude en respectant les règles & codifications Internationales, de gérer les autres épreuves sur les autres surfaces. Je me prenais la tête bêtement, mais quand on y réfléchi bien, on n’a pas besoin d’eux pour gérer le reste est accepté des résultats de course.
Bref, je radote aussi comme Papy, mais c’est vrai, qu’es-ce qu’on était bien avant, mais aujourd’hui, c’est aussi pour les autres qui viendront après nous que je m’inquiète !