L'auteur : poucet
La course : Paris-Brest-Paris
Date : 18/8/2019
Lieu : Rambouillet (Yvelines)
Affichage : 2488 vues
Distance : 1250km
Objectif : Terminer
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9 autres récits :
Paris Brest Paris 2019
Et voilà un troisième PBP bouclé. Cette fois je n’avais pas de plan de route et je l’ai suivi à la lettre. Ce fut à nouveau une belle aventure, un bon plan.
Il me faut toujours un peu de temps pour laisser infuser le truc avant de pondre mon CR. Mais comment raconter ça, après tous les récits déjà diffusés ici ou là ??? Why not au feeling, à l’image de mon vécu sur ce PBP 2019, je vous déballe mes souvenirs comme ça vient …
Pour partir tranquillement j’avais coché la case départ 5h30 Lundi 19/08, ce qui m’a permis d’arriver seulement la veille. A peine 2h30 de train depuis Sélestat pour rejoindre la Gare de l’Est avec une SNCF en pleine bourre (quand ça fonctionne bien, il faut le dire aussi). Après une traversée de Paris sans encombre le Dimanche matin et un petit coup de chaud à Montparnasse pour trouver le bon quai, je suis rentré dans le Paris Brest en même temps que dans le TER pour Rambouillet, bondé de vélos et de cyclos du monde entier …
Après le Palais des Droits de l’homme et le Vélodrome National a St Quentin le site de départ était fixé cette année dans la cadre prestigieux du Parc du Château de Rambouillet. J’avais tracé au plus court pour rejoindre la Bergerie Nationale. Avec les averses de la veille c’était en fait une mauvaise idée, les allées du parc étaient transformées en grosses marres gadouilleuses et après cette mise en jambes graveleuse mon vélo était déjà dans un drôle d’état pour le contrôle, sur le coup de 12h30 …
L’avantage à cette heure c’est qu’il n’y a aucune attente pour sacrifier aux traditionnelles formalités de départ. L’inconvénient c’est qu’on ne peut profiter des stands et animations du Samedi, en particulier du fameux Concours des Machines relancés par le magazine 200.
Par la suite je retrouverai successivement les amis engagés sur ce défi mythique, Catherine, Miguel, Alain, Stéphane, Yann et son papa accompagnateur pour quelques instants partagés sous le grand chapiteau surchauffé faisant office de réfectoire, autour d’un plateau repas sans aucune mesure avec le buffet royal de l’édition 2015 …
Accueilli comme il se doit par une triste machine dans un Ibis Budget sans âme situé a quelques kilomètres de là, j’y ai croisé les fières légions romaines déjà en route pour les premiers départs. A mon réveil après une grosse sieste la très exotique colonie hindou avait remplacé les italiens et investi les lieux …
J’avais prévu de retourner à la Bergerie pour encourager quelques copains aux départs en fin d’après-midi. Bloqué par les files d’attente vers les Sas j’ai eu bien du mal à retrouver mes petits et a simplement comprendre le principe des opérations. Bien m’en a pris, c’est là que j’ai compris qu’il me faudrait anticiper et faire un grand détour le lendemain matin pour aller déposer mon sac à la consigne situé au pigeonnier, au cœur de la Bergerie. Quelques panneaux indicateurs n’auraient a mon sens pas été inutiles.
Ce nouveau site de Rambouillet est-il réellement pérenne ? Sur ce sujet comme sur d’autres j’ai lu beaucoup de commentaires sur les réseaux et les forums. Les organisateurs seront bien assez grands pour faire le bilan. Il est clair que ce ne doit pas être une mince affaire que de trouver des infrastructures adaptées en région parisienne pour recevoir une telle organisation. Mais bon, à l’heure où l’on parle de favoriser l’usage du vélo dans la capitale pourquoi ne pourrait-on pas rêver d’un départ devant un monument emblématique de Paris ??? Idée farfelue ? Et pourquoi donc ...l’EcoTrail de Paris a bien établi son arche d'arrivée au premier étage de la Tour Eiffel !!! Franchement, ça aurait de la gueule un vrai départ de Paris, non ?
Bon, voilà déjà une page d’écrite et je n’ai toujours pas pris le départ. Cela risque d’être un peu long si je vous raconte chaque kilomètre. Ou même simplement chaque étape … De toute façon avec tous les récits diffusés ici ou là, tout le monde connait parfaitement les moindres détails de ce parcours qui est loin d’être le plus réjouissant du monde, mais qui reste cependant le Graal pour toute la communauté pédalante de la Terre entière.
J’y ai roulé pratiquement toujours seul, à mon rythme, accrochant occasionnellement quelques groupes pas trop rapides pour quelques kilomètres. Je n’ai pas l’impression d’avoir tant lambiné que ça, notamment a l’aller en m’appliquant à ne pas trainer sur les points d’accueil, profitant au maximum de ma sacoche de guidon pleine de victuailles (de la vraie bouffe : moricetttes, saucisson, incontournable gâteau de semoule maison, gaufres liégeoises, Mars) et en passant la première nuit sur le vélo. Sans rêver à mon chrono de 2011, j’imaginais pourtant bien améliorer mon temps de 2015. Il n’en a rien été et je n’en suis même pas déçu.
Le jour pointait à peine et nous avions à peine fait 50 bornes que les motards de l'ANCR me demandaient déjà s'il y avait encore beaucoup de monde derrière moi … Je ne devais pas être bien loin de la queue du PBP !!! J'ai souvent lorgné sur le Garmin en attendant le passage psychologique des 100 bornes. Après, ça défile plus facilement je trouve. Ceci dit la route est longue jusqu'à Brest, il faut profiter d'avoir les yeux bien en face des trous pour respirer l'esprit de cette épreuve incomparable ...
Plutôt qu'un (ou des) peloton(s) structuré(s) c'est bien une ribambelle de cyclos qui progressent de manière plutôt désordonnée sur les routes et animent les nombreux villages traversés. De nombreux randonneurs portent fièrement leur maillot national mais les équipements plus ou moins loufoques ne sont pas rares. Les sportifs affutés comme une lame côtoient des randonneurs élevés au houblon, j'ai fait quelques kilomètres avec un groupe de molosses danois au coup de pédale atomique. Obélix sur PBP c'est possible. Si si ... Avec mon format Astérix, sans potion magique, je n’ai pas pu les suivre bien longtemps.
Les représentant des pays du soleil Levant sont souvent très emballés, certain ont des allures de Toutenplastik. Parmi eux il y a pas mal de filles. J'ai aperçu quelques jolies poupées en tenues moulantes sur des vélos carbone dernier cri avec des pédales plates et des basquettes façon Barbie … Certains ont des écouteurs dans les oreilles, mais la dernière tendance est semble t il de porter un radio cassette dans un sac a dos et de mettre la zique a fond, histoire d'en faire profiter tout le monde.
On devine que certain n’iront pas au bout. Le gars qui tirait déjà sur la clope avec le smartphone a l'oreille a la sortie de la forêt de Rambouillet n’aura certainement pas vu Fougères. Mais globalement ça roule plutôt correctement. Je prends toujours plaisir à observer tout ce petit monde, à la fois surprenant, original, décalé et improbable. Nous sommes tellement diffèrent et pourtant nous partageons une même aventure et quelques valeurs … Courage, ténacité, dépassement de soi, convivialité.
l y a 4 ans j’avais un simple compteur, trois copains CCK et deux accompagnateurs pour partager l’aventure. J’étais réfractaire au GPS et aux réseaux sociaux. Cette fois j’étais seul, en mode Geek, avec un Garmin Edge sur le cintre, la Fenix au poignet et le smartphone dans la poche. Avec une prise de recharge sur mon phare Luxos alimenté par un moyeu SON, il ne faisait aucun doute que j’allais pouvoir recharger mes appareils et garder une belle trace Strava. Malheureusement cette prise n’a pas fonctionné. J’ai rapidement laissé tomber le Edge et j’aurais du pouvoir préserver la Fénix avec une batterie annexe embarquée dans ma petite sacoche de cadre. Mais je n’ai pas été attentif à l’alerte de batterie faible et la montre est tombée en rideau peu après la mi-parcours. Tant pis pour la fierté d’afficher ces 1200 bornes mythiques sur Strava … J’ai quand même réussi à préserver le smartphone en activant le mode avion et pris plaisir a partager cette aventure sur FB lors de mes arrêts sur les points de contrôle.
Après avoir roulé l’aller sans dormir, le sommeil m’a rattrapé à la seconde nuit. J’ai dormi deux heures en vrac au retour sur le point d’accueil de Carhaix. La température glaciale de cette seconde nuit était une excuse parfaite pour m’accorder un petit rab d’une heure dans un Sas de banque chauffé … Là j’ai été réveillé par un cyclo indien qui voulait visiblement m’expliquer que nous risquions d’être en retard au contrôle de Loudéac. Tout ça en anglais, avec un Poucet vaseux, vous imaginez le dialogue … Bref j’ai enfilé tout ce que j’avais dans la sacoche, regrettant amèrement de mettre délesté la veille du départ de mon sur-pantalon et des mes sur-gants puisqu’en principe il ne devait pas pleuvoir. En réalité j’ai bien pris une averse a l’aller avant d’arriver à Tinténac.
Le soleil a pris tout son temps avant de réchauffer l’atmosphère. Ce n’est qu’à Loudéac en fin de matinée que j’ai pu débâcher. Nous étions alors au 3èm petit matin et c’est à ce moment que le vent à eu la très mauvaise idée de tourner pour contrarier notre progression. Une nouvelle nuit sur le vélo était donc inévitable pour rentrer à Rambouillet dans les délais, et surtout pas trop tard, pour me permettre de chopper mon train retour. Heureusement il a fait moins froid et j’ai pu négocier avec le marchand de sable deux fois 1/2h de sommeil à Villaines et à Mortagne, avec un bonus intermédiaired’1/4h sous un abri bus …
Si jusque-là j’avais assez bien réussi a sauvegarder mes fesses en me tartinant régulièrement de Cétavlon, les frottements se sont fait ressentir côté face et les pauses pipi sont devenus un calvaire nécessitant d’infinies précautions pour limiter les brulures … Dans les longues lignes droites râpeuses nous conduisant vers Dreux, j’ai eu un moment de doute, m’interrogeant sur l’intérêt de rouler sur un parcours aussi tristounet, vent pleine tronche. A défaut de jambes de feu c’est bien les boules que j’avais en feu !!!
Evidement je n’ai pas trainé a Dreux, trop pressé de boucler cette ultime étape, content de retrouver quelques bosses et enfin la Forêt de Rambouillet.
Il faudra encore se taper quelques gros pavés pour rentrer dans la cour en terre de la Bergerie sur le coup de 13h00, entre deux haies compactes de spectateurs enthousiastes et enfin passer sous l’arche d’arrivée. C’est là qu’on oublie toutes les souffrances et que le bonheur d’atteindre une nouvelle fois le Graal submerge tout.
Quelle surprise de retrouver là Yves Parisse qui avait eu la gentillesse de venir m’attendre. Puis de saluer un peu plus tard quelques amis encore sur place, Thierry St Leger le roi du fixie, les chéris Séverine et Didier, le King Richard Leon, la banane de Jean-Pierre Cellier et ses bons plans … Merci encore Jean-Pierre de m’avoir indiqué cette douche "secrète", tellement bienfaisante avant de prendre le chemin du retour.
Je n’avais pas envisagé de mettre autant de temps. Mais bon, d’un autre coté mon chrono me laisse encore suffisamment de marge pour envisager terminer à nouveau dans les délais la prochaine édition en 2023. Et puis quelques soit le temps réalisé, si les délais sont respectés la médaille finisher est bien la même pour tous. Je n’accorde aucune importance à ce gadget et vais donc pouvoir la fourrer au fond d’un tiroir. Elle ne remplacera jamais les images et les émotions qui resteront a jamais gravés au fond de mon cœur. A la limite le bidon offert au départ est plus utile puisqu’au moins il pourra servir sur une prochaine randonnée.
Tous les 4 ans le Paris Brest Paris alimente les discussions, le succès populaire de cette randonnée mythique est indéniable. A ma connaissance c’est la première fois que l’épreuve affiche complet, après que l’organisation ait pourtant augmenté le nombre de dossards pour répondre a la demande. Le principe séduit.
Le Règlement de l’épreuve et la communication de la Fédération Française de Vélo et l’Audax club Parisien autour de l’évènement est sans ambiguïté : " le Paris-Brest-Paris Randonneur n’est absolument pas une compétition, mais bien une randonnée portant avant tout les valeurs de respect, de partage et de découverte. C’est un beau défi personnel que chacun se lance à son rythme, sans classement, et surtout une expérience unique et intense pour des cyclotouristes de tous horizons".
Pourtant PBP est aussi plein de paradoxes, voulus ou pas …
Alors qu’on doit se qualifier sur des brevets réalisés en autonomie, l’assistance est autorisée pendant l’épreuve. Elle est même très codifiée pour ceux qui ont fait le choix d’en "bénéficier". Visiblement certains pays organisent même des transports de bagages sur les points de contrôle aloors que le principe de drop bag pour les individuels est exclu ...
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Avec autant de cyclos sur la route et sauf si l’on part avec une bande d’ami ou une tribu, il est difficile de de trouver et de s’accrocher a un groupe qui roule de manière cohérente. Il faut bien l’avouer, on est ensemble mais une fois sur le vélo c’est un peu chacun pour soi …
On peut payer son petit déjeuner 9€50 à l’aller et 3€50 au retour, sur le même site. On peut faire la queue pour accéder au seul sanitaire hommes encore en état, aller chez les dames pour y remplir son bidon. Ou bien comme à Villaines la Superbe trouver des installations a la mesure de l’évènement et tout le confort nécessaire.
Tout ou presque est payant sur les points d’accueil officiels ou il est possible de trouver l’essentiel pour subvenir à ses besoins. Les nombreux bénévoles qui s’activent et se relaient durant toute la durée de la manifestation méritent évidemment tout notre respect et notre gratitude. Mais ce que l’on apprécie encore plus c’est la chaleur humaine que l’on découvre dans les villages, autours de ces petits ravitaillement offerts avec générosité par des familles, des associations, des mairies, les tapes dans les mains des gamins, les mots échangés avec les gens qui suggère que notre société sait être solidaire et bienveillante parfois. Ces moments font vraiment du bien.
Si PBP n’est clairement pas une compétition, nous sommes tous ravi d’afficher notre temps, de le comparer à nos anciennes "performances" ou a celles ces copains … A partir du moment ou les temps sont publiés, il est toujours possible de "construire" un classement, d’y trouver un premier ou pire d’avancer que le "record" n’aurait pas été battu …
Le seul record qui parle s’est bien celui de la participation. Et celui là il a largement été battu … Pour le reste Paris Brest Paris est seulement le reflet de notre société, ou l’on a toujours besoin de se comparer les uns aux autres, ou quel que soit le sujet l’on est toujours en avance ou en retard sur quelque chose, plus ou moins bien noté. Comme si tout était sujet à "faire la course" . Dans notre petite communauté de sportifs accros il n’ a qu’a voir le principe de Strava et de ces KOM purement virtuels …
Cela fait une semaine que je suis arrivé au bout de ce 3ème PBP, sans véritable bobo ni mal aux jambes. J’ai bien dormi depuis, je dois être a jour avec le marchand de sable … Aujourd’hui mon genou gauche me titille, peut-être une conséquence à retardement ? Quoi qu’il en soit j’en suis très contrarié et l’enchainement prévu avec l’Ultra Tour Monté Rosa la semaine prochaine est un peu compromis …
Bon voilà, il est temps de boucler cette affaire. Merci aux courageux qui auront lu jusqu'au bout, un PBP ça se mérite dans le texte aussi. Si la santé est toujours là je vous donne RV dans 4 ans pour je l’espère un 4ème Paris Brest Paris encore plus magique.
Dimanche 18 Aout, traversée de Paris sans encombres … Je déguste
Le TER pour Rambouillet … Bienvenue au PBP 2019
Le Château de Rambouillet …
Le cadre est vraiment sympa ….
Hello Catherine ….. – avec Catherine Wachel.
Déjeuner sous le chapiteau avec les copains ... – avec Stéphane Gibon et Yann Stibler.
Les stars de la radio et de la télé …. – avec Alain Nizette, Miguel Brichant et Catherine Wachel.
Impeccable le parc à vélo surveillé …
Eh oui, y a du paveton pour rentrer a la Bergerie ….
Le phénomène Luc Dumont St Priest … il est bien sur venu de Dijon a vélo avec la tente sur le porte bagage …
Avec Alain Laumaillé que j'avais rencontré quelques semaines plus tôt sur la Diagonale du Vide – avec Alain Laumaillé.
Les départs du dimanche soir ….
Eric et le beau maillot Randonneurs France – avec Eric Bainier.
Joli maillot a triste Ibis
Lundi matin après avoir déposé mon sac à la consigne du pigeonnier
Ca y est …. je suis dans "mon" Paris Brest Paris …
On voit toute sorte de montures, des trucs bizarres … Le gars devant avait des prolongateurs sur un VTT a gros pneus …
On n'est pas rendu ….
Moricette d'Alsace + saucisson Lorrain , c'est bon ça …
Quel plaisir de traverser tous ces villages qui se sont coupés en 4 pour nous accueillir …
Géniale cette famille et ses crêpes faites avec amour … Je m'y suis arrêté a l'aller ET au retour !!!!
Le suivi live avec les puces a parfaitement fonctionné cette année, mais le tamponnage du carton de route reste un incontournable de PBP
Le suivi live avec les puces a parfaitement fonctionné cette année, mais le tamponnage du carton de route reste un incontournable de PBP
J'avais décidé de prendre le temps … je l'ai pris …
Petit clin d'oeil à Geox Yannick Chevance au traditionnel "contrôle secret" dans son village de St Nicolas du Pelen
Le passage au Roc Trevezel est toujours un grand moment …
Réconfort au petit matin … une dame avait laissé un thermos de café et des fruits devant sa maison …
La joyeuse équipe de la Tannière …
J'infuse le PBP, c'est bon ça …
Plateau repas à Villaines la Superbe, avec l'assistance de ces gentilles petites miss …
avec Thierry St Leger, fixie men – avec Thierry St Leger.
C'est toujours un plaisir de retrouver les copains – avec Jean-pierre Cellier et Richard Leon.
Avec les chéris Didier et Séverine – avec Séverine Devolder.
Il faut rentrer, les abords de la Gare à Rambouillet …
TER on y retourne, avec le sourire !!!!
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7 commentaires
Commentaire de ch'ti lillois d'vizille posté le 01-09-2019 à 10:27:18
Bravo Gilles. Chaque PBP est différent et l'essentiel est d'être au bout dans les temps en se faisant plaisir.
Commentaire de poucet posté le 01-09-2019 à 18:44:37
Merci beaucoup. Comme tu dis l'important c'est bien d'arriver au bout ... Tu n'y étais pas cette année ???
Commentaire de philkikou posté le 01-09-2019 à 11:57:59
Profité d'un dimanche matin pour boucler la lecture de ton récit PBP ( tu n'as pas eu le temps d'insérer les photos dans ton récit, opérations loooongues sur Kikourou :-( )
Il faut un sacré grain de folie, de courage, de volonté, de ténacité pour se lancer dans une telle aventure, et arriver au bout !!!! Bravo, chapeau et merci pour le récit toujours aussi plaisant, même en vrac foutrac au feeling
Commentaire de philkikou posté le 01-09-2019 à 12:04:42
Vu quelques photos ?.... Jean-Pierre Cellier, croisé lors d'Ardéchoise en plusieurs jours : un cycliste extra-terrestre sympa et volubile !!
Commentaire de poucet posté le 01-09-2019 à 18:47:38
Ben si Philippe, toutes les photos sont inserées, c'est un copier coller du forum CCK ... Je les vois bien toutes. Mais j'ai déjà eu des remarques sur ce sujet ... je pense qu'il faut laisser un peu de temps pour le chargement de toutes les images. Eh oui le Jean Pierre, un sacré gaillard, pas compliqué et roule toujours ... Toujours plaisir a le retrouver ici ou là. Merci à toi d'avoir assurer le service PBP sur Kikourou !!!
Commentaire de Benman posté le 12-09-2019 à 07:38:55
Bravo pour cet enchaînement avec l'utmr et cette course mythique réalisée en toute simplicité. Nous t'avons suivi grâce au suivi live assuré par Philkikou, merci à lui au passage. Pour le chargement des photos, c'est effectivement inégal...
Commentaire de SonnyCrazyfull posté le 19-04-2020 à 15:06:21
Very nice story! And congratulations for your PBP! I seem to relive it in your words...
I look at the picture on the finish line, do you know who is the photographer?
I ask you because I remember a man that took a picture of me at the arrival, but I have not his contacts to ask him for the picture...
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