Jay a écrit:Garlik a écrit:Pourquoi prendre un médicament qu'en on est pas malade?
A mon avis moins tu prend de truc mieux tu te porte.
comment font les cyclistes avec leur liste de medocs longue comme leur cadre de vélo au départ du tour ?
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Encore et toujours les cyclistes qui trinquent
J'aimerai que l'on regarde avec le même zèle la trousse à pharmacie de nos footeux et autres tennisman?
Quant un footballeur ou un tennisman se fait faire une infiltration avant un match on dit "bravo, même blessé il joue quand même"
Quand c'est un cyclisme c'est un Sal..d de tricheur! mince à la fin.
Pourtant le sujet est intéressant, car tous à notre niveau on a envie de repousser nos limites, avec ou sans artifice.
Le sport et vie 129 (nov/dec 2011) traite de ce sujet dans un article intitulé "Tais toi ma douleur"
Le sujet des analgésiques est approché :
"une expérience récente consistait à prescrire du Fétanyl (un dérivé de morphine) chez des coureurs cycliste avant un test contre la montre de 5km. Le fait de ne pas ressentir les douleurs musculaires habituelles leur ont permis d'être plus rapide dans la première moitié du test. Ensuite, ils étaient obligés de ralentir à cause d'une fatigue prématurée et ils réalisaient in fine un moins bon temps qu'en situation de contrôle. La preuve que tromper son système nerveux central n'est pas nécessairement un bon calcul."
Une autre expérience avec le paracétamol, n'a pas validé cette première expérience mais quoi qu'il en soit, il s'agit de mon point de vue d'une pratique dopante (même sans gain). Après chacun place le curseur où il veut
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