Bon_bé_Ya+K a écrit:Merci encore pour ce magnifique livre que je ne regrette pas d'avoir commandé!!
Merci
Jaguar blanc a écrit:Merci Bruno pour la livraison très rapide et la dédicace sympa.
J'ai juste eu le temps de feuilleter le livre et je peux déjà dire que la mise en page donne vraiment envie de le lire. C'est aéré, ça semble très clair, et les quelques phrases que j'ai commencé à lire ont bien failli me mettre en retard tellement j'avais envie de lire la suite.
Merci
Jaguar blanc a écrit:Juste une surprise quant à la présence de quelques pages de publicité. Bon il n'y en a vraiment pas beaucoup, elles semblent ciblées et en lien avec le texte mais c'est assez peu courant dans les livres pour que je me demande quand même la raison de ces pubs. Franchement c'est plus par curiosité qu'autre chose. Est-ce imposé par l'éditeur ? un reste de sponsoring ? une vraie volonté propre ? une simple question de financement ?......
La présence de pages (4 sur les 376) avec des visuels de sponsors est effectivement une question qui peut être posée. Cela est due à la fois une démarche de l’éditeur qui entretient des liens privilégiés avec des marques sportives et une acceptation de l’auteur à qui on a rien imposé.
La raison est simple, le financement de l’ouvrage est assuré pour une part par ces annonceurs qui sont aussi des partenaires qui achètent des livres avec cet accord de partenariat et contribuent à la diffuser en en faisant cadeau à leurs clients, contacts, associés.
Bien entendu, comme tu le soulignes, il n’est pas question de faire de la pub pour la dernière voiture de chez Citroën. Il s’agit de produits liés avec le texte et testés pour leur efficacité.
(exemple : Akileine pour la préparation des pieds)
Sans ces apports financiers et en passant par la voie normale des distributeurs, la vente de cette première édition de 2500 exemplaires ne rapporterait pratiquement rien à l’auteur. Ceci est bien évidemment à mettre en parallèle avec le travail fourni pour concevoir (maquette, photo..), écrire, lire, relire l’ouvrage.
Oualà