L'auteur : vial
La course : Les Templiers
Date : 28/10/2007
Lieu : Nant (Aveyron)
Affichage : 5364 vues
Distance : 67km
Objectif : Pas d'objectif
Partager : Tweet
254 autres récits :
A Félix
Me voilà sur la route qui me conduit à travers les paysages d’Auvergne et de Lozère vers la grande course des Templiers. Bien que je ne l’ai pas étudiée (j’ai encore le souvenir de ma première participation en 2005) la course est bien présente depuis plusieurs semaines, et m’occupe l’esprit de ces derniers jours. Je sais que des kikous, y’en aura tant en course qu’en bordure de parcours. D’ailleurs premier message de Tégé qui signale des Kikourous déjà présents sur le stand des Citadelles avec pasta à 18h30. En roulant bien je devrais combiner retrait du dossard et premier service avec le groupe. Après avoir glisser mon petit véhicule-dortoir parmi les imposants camping-cars, je fonce au dossard, puis file à la pasta après une brève confirmation des horaires auprès du permanent du stand des Citadelles. Brève négociation avec la charmante hôtesse pour négocier l’horaire d’une réservation de dernière minute le vendredi soir. Lui signalant mon désir de rejoindre un groupe kikourou déjà présent elle accepte pour le service de 18 h30.
Grâce à la magie du buff kikourou, je localise le petit groupe : Tégé, Isard66, Corto et les autres. Difficile de retenir tous les pseudos. Après le repas nous retrouvons quelques autres : Khanardo, Françoise, Benos…..Rapide échange et il est temps d’aller faire dormir les yeux. Dans la fièvre du samedi matin, j’ai complètement oublié les gateaux-énergie à la maison. Tégé me dépanne avec une belle part d’un gâteau Fenioux au parfum poire : la matinée s’annonce plus belle. Je regagne mon espace, installe à la frontale mon campement, prépare les affaires pour le départ et voilà une bonne nuit qui commence. Dommage que la ville de Nant n’ai pas pensé à éteindre le lampadaire d’en face. C’est bien pour installer le couchage dans la voiture, beaucoup moins bien pour dormir. Réglage des sonneries à 4h, après m’être assurer auprès de mes voisins du bon réglage de l’heure : ah ce maudit changement d’heure, nous faire ça le jour d’une telle course, alors qu’on a bien d’autres soucis en tête ! Bon cette fois-ci on gagne une heure de sommeil, et il ne fait pas trop froid. Un petit tour au toilettes à 2 h du mat me confirme : la température est bonne, il ne fera pas trop froid.
4 heures : Un étrange remue-ménage agite le quartier : il faut sortir le bout du nez du sac de couchage, enfiler les chaussettes, la tenue, les maillots, ne rien oublier, et cela tout à la frontale …. Le réchaud ronronne, un peu de chaud fait du bien, accompagnant le bon gâteau : merci Tégé. Préparer les bidons, le camel-back. Tout vérifier et on lève le camp. De partout convergent des petits morceaux d’étoile brillant dans la nuit. Mais où courent-ils ? Ils ne courent pas, pas encore. Pourtant ils sont déjà des centaines massés sur la place. Il faut être complètement secoué pour partir sur une telle course. Ce doit être la raison de la présence du camion pub Orangina ! Trop de monde, tant pis je triche et saute par-dessus la barrière. On attend on discute pour faire tomber la pression. Le micro crache la légende de l’arche du sanglier, les noms de la future tête de course. Soudain je vois passer un groupe Kikourou, je crois reconnaître Tototte01, je tente un cri « kiKourou ». Trop loin de la barrière, trop de bruit, masqué par Orangina : loupé, les Kikourous s’éloignent.
La Course. L’air magique des Templiers s’èlève dans la nuit. Grosse émotion. Un claquement et les arbres centenaires de la place s’embrasent de la lueur des torches rouges. Combien ont-ils vus défiler de coureurs ? Aujourd’hui nous sommes 3000 à nous élancer dans la nuit. Tout Nant est présent, dont les ¾ sont bénévoles. Merci pour eux, bénévoles, matinaux aux fenêtres, aux balcons et tout le public massé sur les trottoirs. Flashes, applaudissements, l’ambiance n’a pas raté le changement d’heure et l’heure du réveil.
Les dernières lampes de Nant et dans la campagne s’allonge le serpent magique : ne pas partir trop vite, ne pas se laisser prendre au jeu des premiers kilomètres trop faciles.
Une petite étiquette sur un sac à dos : mon premier kikourou Eric41 dossard 577, qui pour sa première participation, m’indique « venir de la plaine ». Je lui glisse quelques conseils et nous ferons un bout de chemin ensemble. Dans les premiers bouchons, plus loin un bonnet orange et toujours la même petite étiquette : Il va tranquille car il se classe « marcheur ». Les lampes dansent dans le brouillard. Les premières lueurs du jours tentent de percer la brume matinale. Nous allumons de nouveau les frontales pour passer les tunnels d’une voie ferrée construite pour rien : lors de ma précédente édition on m’avait relaté cette anecdote à vérifier: cette voie ferrée n’a jamais été utilisée, pour notre plus grand bonheur car nous la parcourons sur plusieurs km !
Eric est toujours là lorsque nous arrivons sur Sauclières. Un spectateur pointe les coureurs : 739 ième (classement non garanti mais de toute façon provisoire !) Beaucoup plus loin un autre pointage me placera 660 ième. Rapide ravitaillement en eau, dans les ruelles du petit bourg envahi par le public et les habitants. Je passe Eric en train d’informer Olycos des différentes positions, car je sais qu’il me rattrapera plus loin, ce qui fera alors que j’aide un concurrent en panne de boisson. Plus rapide que moi et plus en forme je ne le reverrais pas ! C’est parti pour de nouvelles hostilités. Les bois alternent les grandes étendues herbeuses des Causses. Je rencontre Akumatata qui me semble courageux d’être parti si j’en juge le grand pansement qu’il porte à un des genoux. Il me confirme son manque de prépa et espère réussir tout de même. L’ascension du mont Saint Giral se poursuit, les zones ventées faisant regretter à certains d’avoir déjà tomber une épaisseur. Par expérience, même si le soleil semble vouloir poindre, je sais qu’il vaut mieux garder la petite laine jusqu’à Dourbie.
La descente sur Dourbie s’amorçe, longue et douloureuse. Suis-je parti trop vite comme me l’indiquera plus tard Tounik, ou bien est-ce les (trop ?) nombreuses courses de ma préparation. Pourtant je suis dans les temps de 2005 et j’étais arrivé assez frais à Dourbies. Pour l’instant Tounik, retardé pour porter aide à un concurrent blessé (c’est cela l’esprit trail…) me conseille de lever le pied, m’annonçant sur les bases actuelles un chrono de 8h/8h30 contre 9h dans mes objectifs. Je limite la casse, gère la descente. L’arrivée à Dourbies a eu raison de mon moral : Jambes fracassées, épuisé, j’envisage l’abandon, me rappelant les conseils de mon ami Eric aveyronnais et ayant plusieurs Templiers à son actif : « Si tu arrives cramé à Dourbies tu ne finis pas ! ». Il devait m’attendre à Dourbies pour l’assistance : personne et c’est tant mieux car je crois que je grimperais immédiatement dans sa bagnole ! Je paie peut-être une erreur : celle d’avoir mis seulement de l’eau plate dans le camel et un ½ litre de boisson énergétique boisson que je n’ai pratiquement pas utilisée. J’ai bien ravitaillé en eau plate (au camel-back une pompée tous les quart d’heures est conseillé car on boit peu à la pipette), mais je dois être en début d’hypo ? Je me ravitaille solide (ce que je fait rarement) appréciant la bonne soupe, et une tartine de fromage, quelques barres énergétiques. J’essaie de me limiter pour ne pas trop me charger l’estomac. Je vais m’asseoir un peu. Au ravitaillement camel-back je trouve Estive73 qui m’incite à continuer après une pause de récupération. Il fait bon et le soleil est là, ainsi que Golum et sa petite famille. Je lui indique que je suis cassé, que je pense m’arrêter. Même conseil : « trop bête de s’arrêter là, le plus long est déjà faitt».
A Félix
Je décide de repartir. Je n’ai jamais abandonné une course jusqu’à présent. Je pense alors à mon ami Félix, parti trop tôt il y a deux semaines d’un longue maladie, le dernier combat qu’il a perdu. Est-ce son prénom Félix qui lui laissait toujours un petit air heureux et malicieux ? Félix C. un gars au caractère aussi rude que le climat franc-comtois de son pays natal du haut Doubs. Félix, qui n’abandonnait jamais quant tous avaient baissé les bras, Solidaire comme notre organisation, autogestionnaire et toujours révolutionnaire, sa porte ouverte pour les bons et les mauvais moments, tout comme les portes de la trop petite église de Saint Fons pour tous nous accueillir, avec un prêtre fustigeant la politique actuelle laissant trop de gens sur le côté du chemin. Et nous demandant pour le départ de notre ami, des applaudissements. Applaudissements aussi nourris que ceux qui nous accueillaient à l’entrée de Dourbies, en grimpant le raidillon et les marches du village… Comme toi Félix « toujours y croire, ne jamais abandonné ».
Me voilà parti sans courir, mais en pressant le pas, marche forcée. La longue marche de Mao avec moi et tous les autres…Car la montée vers la crête du Suquet va être longue et difficile. Ne rien lâcher et toujours se battre contre le chrono. La forme et le moral sont de nouveau là, merci Estive73 et Golum. La descente s’effectue dans de bonnes conditions et les kilomêtres s’enchaînent. Rien n’est gagné mais le pari semble jouable : je devrais terminé. Le portable sonne pour la deuxième fois : le temps d’appeler mon copain Eric et un bon paquet de coureurs filent devant : dommage car je menais bien un groupe « grignoté » par les bords du sentier, et qu’il va falloir repasser. Au passage d’une petite rivière, juste avant d’attaquer une nouveau parcours taillé droit dans la pente, je suis interpellé par un « allez kikous » lancés par deux charmantes spectatrices. Peut être se reconnaîtront-elles ? J’aime pas les rivières car ensuite il faut remonter….le nouveau parcours est raide casse pattes, mais nous sommes un bon groupe d’où jaillit parfois l’accent chantant italien : les Templiers ont gagnés leurs lettres de noblesses internationales. La descente sur Trèves est technique avec passage délicat. Juste avant d’arriver à Trèves un organisateur parti chercher du secours nous annonce l’arrivée du premier : il est midi moins quart. Je ne lui déclarerais pas la guerre car nous arrivons à Trèves. Je propose simplement à mes voisins de lever le pied car la première place est déjà prise…Et le second n’est pas loin ! Il nous reste la 3ième place pour nous consoler ! Un petit couloir sur route limité par des cones de signalisation, quelle joie d’aller plus vite que les voitures bloquées dans les embouteillages des Templiers. Arrivée sur Trèves, vers midi ravito. Je manque de nouveau la jonction avec mon copain assistant (j’apprendrais plus tard qu’il ne m’a pas ciblé ni à Trèves ni à St Sulpice). Et c’est de nouveau parti, le moral gonflé à bloc : cette fois-ci on tient le bon bout, rien ne pourra nous arrêter avant Nant. Je prends le temps d’admirer le paysage, le soleil a chassé la mer de brouillard qui couvrait les vallées précédentes, la région est vraiment splendide mais les vues se méritent car dans ces zones là Dame Voiture ne passe plus. Je me ravitaille régulièrement, alternant le liquide tous les ¼ d’heure avec les gels à chaque heure. Dès que la pente s’affaiblit je relance en courant, le Causse noir s’offre à nous, avant de dévaler ses pentes jusqu’à St Sulpice, dont on aperçoit dans le lointain les grandes tentes blanches du ravitaillement. Passage sous le pont, sous les bravos du public perché sur le tablier, une nouvelle montée sèche vers la zone de ravitaillement pour éviter la route jugée trop dangereuse. Dévers et des verres : c’est le ravito de St Sulpice et il est environ 14 heures.
La dernière ligne droite avec un nouveau parcours jusqu’à Nant. Nous ne connaitrons pas la longue remontée dans les rochers moussus du Roc Nantais. Mais cette nouveauté a durci la course, et le délai pour couvrir la nouvelle section devrait s’allonger. Dès la sortie de St Sulpice je reprends la course, pris en charge par les encouragements d’un spectateur ayant lu mon prénom sur le dossard. Je grimpe sous les « allez Michel » remplacé lorsque je lève le pied par des « Michel je te vois encore, t’arrêtes pas ». Un peu plus loin dans les chemins forestiers j’encourage ceux qui ne veulent plus courir, et ils sont nombreux.. L’un m’interpelle pour savoir comment je fais pour courir encore. Je lui indique mon truc ; un pied devant l’autre en accélérant le pas !! Le moral est bon, les jambes suivent sur un circuit totalement inédit, et toujours les bénévoles (j’ai décompté plus de 30 PC poste de contrôle sur l’ensemble de la course) à nous encourager alors qu’ils ont déjà vu passer 500, 600, 700, 800 concurrents ?.Nous nous élevons vers l’Arche et je n’ai toujours pas pu déterminer si nous avons passer la cerise sur le gâteau final : j’ai cru comprendre qu’un bon raidard sans répit nous attendait avec 600 m de dénivelé. Sur cette fin de course beaucoup n’ont plus envie de se battre, le ressort est cassé et je comprends tout cela l’ayant vécu avant Dourbies. J’encourage et je passe. Surprise qui a dit que le trail n’attirait pas assez de jeunes ? Un tout jeunot est devant moi, je le passe et lui demande de me suivre. Il accroche et après chaque montée je relance et l’encourage. Ah l’insolence de la jeunesse lorsqu’il refuse de mener le train, en m’indiquant qu’il passera devant dans la descente ! Nous arrivons au chemin forestier 3,9 km de l’arrivée et le rythme ne faiblit pas. Puis c’est la descente technique sur Nant et le « gamin » se volatilise. Une bonne relève puisqu’il m’annoncera à l’arrivée, avoir participer récemment à un 120 km ! Certains annoncent leur déception de ne pas rentrer sous les 10 heures, d’autres les consolent d’être encore en course. Cailloux, marches, racines prudence ce serait trop c… de se fracasser maintenant. Chacun le comprend et la file descend sagement les dernières difficultés avant de longer le grand muret qui nous conduit à la route. Les crampes commencent à passer d’une cuisse à l’autre : l’arrivée s’annonce impitoyable.
Bingo à peine sur la route, le petit passage du pont et me voilà clouer par la douleur. Je m’arrête, étire un peu, repart en changeant le rythme, rien n’y fait mais je ne peux m’arrêter : terminer coûte que coûte. Le chrono court et moi je marche ! En essayant de faire bonne figue mais je ne voudrais pas voir ma tête. La dernière montée et toujours les encouragements qui vous portent jusqu’au bout…jusqu’au tapis rouge ou je trouve encore la fierté d’esquisser un sourire : celui d’avoir fini FINISHER comme inscrit sur le maillot remis à l’arrivée et vite enfilé tant par fierté que par prudence. Parce qu’il nous fait tellement chaud tant au cœur qu’au corps ce maillot ! 10 h 30 mn 48 s et 848 ième. Contre 9h escompté, mais avec un final durci..Sans regret. Je retrouve mon ami Eric. Au hasard de l’arrivée, j’ai entendu un « allez kidou » alors que je foulais le tapis rouge , je croiserais Pilate, accompagné de Clovis34 ?.
Je tente un passage chez les kinés –trop de monde – j’envisages un passage sous les douches –annoncées trop froides -. Je décide de filer à la voiture accompagné de mon ami et d’Estive73 pour me changer et récupérer le ticket repas. Après le difficile exercice du retrait chaussures-chaussette- bas contention- nous filons vers la restauration, en laissant Estive73 à la recherche d’un kikoureur détenteur de ses effets personnels. Las de l’attendre, je décide de commencer le repas sans lui. En quittant le grand cirque de Nant et des templiers, j’aperçois dans la lueur des phares un buff kikourou Totote01, heureuse aussi d’en avoir terminé, accompagné de Golum et toute la petite famille.
Les Templiers ont tenu leur promesse, mais avec 5000 coureurs sur deux jours, dont 3000 sur les Templiers, difficile de se retrouver. Le progrès a aussi ses limites, avec un réseau téléphonique saturé, où seuls les messages passaient.
Quel message ajouter ? Peut-être que les Templiers, d’une organisation sans faille, atteint peut-être ses limites pour celui venu réaliser un chrono, sauf à se placer très tôt sur la ligne de départ. Que cette course est mythique et que pour cette seule raison, l’accrocher à son palmarès récompense tous les efforts de préparation nécessaires à une telle distance.
Recommencer ? Je dirais presque : place aux jeunes !
Accueil - Haut de page - Aide
- Contact
- Mentions légales
- Version mobile
- 0.13 sec
Kikouroù est un site de course à pied, trail, marathon. Vous trouvez des récits, résultats, photos, vidéos de course, un calendrier, un forum... Bonne visite !
13 commentaires
Commentaire de calimero posté le 29-10-2007 à 19:49:00
Tu donnes envie!
Bravo pour ta course et ta performance!
Les jeunes comme tu dis n'ont qu'à bien se tenir!
Commentaire de titifb posté le 29-10-2007 à 20:47:00
Merci Michel pour ce très CR ! Tu as couru au courage et en plus tu as rendu un très bel hommage à ton ami disparu en franchissant la ligne d'arrivée. Finisher, ça veut dire quelque chose pour ceux qui sont allés au bout. Comme toi.
Commentaire de Le Lutin d'Ecouves posté le 30-10-2007 à 08:09:00
Bravo pour ta course qui me paraît nettement plus dure que celle que j'ai faite il y a 5 ans. Bel hommage à ton ami ...
Commentaire de akunamatata posté le 30-10-2007 à 09:31:00
très beau CR Michel, joli style. Le spectre de l'abandon t'a guetté mais tu n'as pas laché en la mémoire de ton ami, bravo. Par contre je n'avais pas de bandage au genou ?!? Même si j'ai eu mal au genou à Dourbies (necessité de passer voir les docs)
Commentaire de Khanardô posté le 30-10-2007 à 14:28:00
Bon, ben on s'est déjà presque tout dit au tél., je t'adresse une fois de plus toutes mes félicitations, car même si je mets une heure de plus que toi, j'ai eu moins mal, et en tout cas pas au point d'envisager l'abandon. Chapeau à toi !
A bientôt !
Alain
Commentaire de Françoise 84 posté le 30-10-2007 à 16:39:00
Sympa de s'être croisés , même si ce fut bref ! Bravo pour avoir surmonté ton mauvais passage ... et pour ton temps à l'arrivée ! A une prochaine ?
Commentaire de philkikou posté le 30-10-2007 à 18:30:00
Bravo d'avoir bien gérè léo et les bas...(en parlant du dénivelée et du moral..!!!)
et c'est sur que la perte de qqn relativise nos petits souci et douleur de Koureur !!!
Commentaire de nicou2000 posté le 31-10-2007 à 15:02:00
bravo à toi pour cette belle performance!!
Commentaire de Tege posté le 01-11-2007 à 09:20:00
Salut Vial, merci pour ce très beau CR qui me replonge vraiment dans l'ambiance et au plaisir de te retrouver sur une nouvelle sortie.
Commentaire de eric41 posté le 02-11-2007 à 21:22:00
Bravo Michel pour ton courage et merci pour tes conseils.
Eric
Commentaire de tounik posté le 06-11-2007 à 16:06:00
Superbe, j'étais un peu inquiet pour toi, mais je vois que tu as surmonté une faiblesse passagère pour arrivé au bout.
Commentaire de phil77 posté le 09-11-2007 à 11:44:00
Bravo Michel pour ta perf et pour l'hommage rendu à ton ami. Comme tu le dis pas facile de trouver des kikous parmis les 3000 trailers ! On fera mieux la prochaine fois ;-) Sinon l'historique de la voie ferrée m'a aussi interpellé tu peux trouver pas mal d'infos sur http://pagesperso-orange.fr/yp.passet/Untitled-4.htm
Merci pour ton CR
Philippe
Commentaire de totote01 posté le 15-11-2007 à 16:05:00
comme quoi il faut jamais abandonner sur un coup de tête. il faut se donner du temps, se refaire une santé, et ensuite envisager l'arret.
bravo pour ta course et ton CR très agréable à lire.
à bientôt, michèle
Il faut être connecté pour pouvoir poster un message.