Modérateur: Modos
tricky a écrit:Personnellement j'ai arrêté d'en faire car ça demande 10-20 fois plus de temps que de filmer !
jano a écrit:J'ai pas abandonné les films mais l'idée de faire des supers vidéos.
J'ai pas de stabilisation, pas de logiciel performant, pas trop de temps et pas l'envie de faire un format teaser.
Certains comme poulo font vraiment des vidéos qui me font hésiter à faire les miennes.
En fait, je continue avec l'envie de garder une trace de certaines courses donc c'est de l'assemblage assez basique, des séquences souvent longues, assemblées avec movie maker et toujours là même transition et sans effet de style.
Je compte sur les paysages pour l'intérêt et je cause de plus en plus à la caméra... MDS 2018 à venir (ouais, je sais, quasi 2 ans après)
truklimb a écrit:Je profite du sujet pour poser une petite question : est-ce que vous auriez des tutos en ligne ou des bouquins à me conseiller qui traitent à la fois de la prise de vue et du montage vidéo ? Pour le montage, je ne parle pas de l'utilisation d'un logiciel précis mais plutôt des "règles de l'art" pour monter correctement.
Autant je trouve facilement des infos et livres sur la photo, autant sur la vidéo je trouve rien de terrible...
Quelques conseils:
1 - Laisser un peu«reposer» le montage, un jour ou deux. Avoir du recul est très précieux pour se rendre compte si une séquence «tient» ou non.
2 - Faire visionner le film à des amis, de préférence étrangers au projet, à des étapes clés, et avec des questions précises. Cela permet de savoir si le montage fonctionne, si l’on s’attache aux personnages…
3- Relire les notes d’intentions écrites avant le début du tournage.
4- Couper l’image et n’écouter que le son:
Le son est une vraie «musique» du rythme du film. Cette astuce peut mettre en évidence certaines longueurs à élaguer.
5- Couper le son et ne regarder que l’image
Cela donnera également des indications sur le rythme, et peut-être de nouvelles idées de montage.
6- Ne jamais jeter les rushs
Remarque: Le montage se fait souvent à deux, en collaboration étroite entre le monteur et le réalisateur. Avantage: le monteur a un regard neuf sur les rushs. Il peut voir des choses que le réalisateur ne voit pas, et est aussi détaché de l’émotion du tournage, de l’attachement aux personnages. Il peut plus facilement faire le «deuil» de certaines scènes ou personnages.
Le monteur fait des propositions au réalisateur, et ce dernier accepte parfois des solutions complètement différentes que ce qu’il avait initialement imaginé pour son film.
Mazouth a écrit:jano a écrit:J'ai pas abandonné les films mais l'idée de faire des supers vidéos.
J'ai pas de stabilisation, pas de logiciel performant, pas trop de temps et pas l'envie de faire un format teaser.
Certains comme poulo font vraiment des vidéos qui me font hésiter à faire les miennes.
En fait, je continue avec l'envie de garder une trace de certaines courses donc c'est de l'assemblage assez basique, des séquences souvent longues, assemblées avec movie maker et toujours là même transition et sans effet de style.
Je compte sur les paysages pour l'intérêt et je cause de plus en plus à la caméra... MDS 2018 à venir (ouais, je sais, quasi 2 ans après)
Comme toi. Et maintenant c'est même très rare que je mette de la musique car je manque parfois d'inspiration et d'autres fois je tombe sur des soucis de droits d'auteur.
J'ai plein de films de vacances que je n'ai jamais montés, alors que sur les films de courses je ne lâche pas l' affaire, mais il ne faut pas que ça me prenne plus de temps que ce que ça me prends déjà, donc je fais simple... c'est mon style![]()
Côte matos je suis largué depuis que j'ai ma GP Hero 4, je ne sais plus ce qu'il y a sur le marché.
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