Au sujet du fichier cote de la course....
Avant le coup je savais que quelques coureurs planqueraient leur jeu . Tous ceux qui te disent, je suis pas en forme, ça va pas le faire... en général, ils vont mettre la gomme.
D'autres étaient de véritables énigmes ambulantes. Les deux co-organisateurs de l'ultratémon du Lioran :
Malbo et Borel. En 2009,
Christian Malbo avait touché 1400 par deux fois, dont une fois sur une épreuve de montagne. Depuis il était franchement rentré dans le rang. Mais s'ils ont lancé le truc, c'était peut-être que...
Mais impossible avec mon système de les surévaluer "subjectivement" à partir de ces éléments trop anciens pour être validés. Idem pour
Grégoire Millet qu'on m'annonçait au taquet à l'entrainement...
Globalement j'ai donc sous-coté pas mal de coureurs "quéplans". Malgré cela je viens de vérifier mon taf et j'obtiens :
cote moyenne réalisée (par tous ceux qui ont 5 montées mini) = 1070
cote moyenne estimée avant le départ = 1053
17 points de spread, soit moins de 2% d'erreur. Tarif syndical obtenu.
La quasi totalité des spreads positifs (cote réalisée > cote probable) sont des "gestions de course".
Spread "montée la plus rapide / montée la moins rapide", très faible, avec augmentation de la durée à chaque montée supplémentaire. Parmi les exemples :
Rachelle 1122 vs 1000. Spread des montées = 5'37
Virginie Mathey 1070 vs 990. Spread des montées = 4'16
Le seul negativ split réussi :
Lucia Tribouley. 925 vs 900. Difficile de tirer des enseignements à partir d'une seule réussite. L'hypothèse selon laquelle le negativ split est juste une technique pour réaliser ce que l'on vaut avant la course n'est pas infirmée.