Triathlon Moyenne Distance de Cublize
Dimanche 19 juin 2005
Distance :
Natation : 2,500 km
Vélo : 100 km
Course à pied : 18 km
Départ et arrivée de Cublize (Rhône)
Heures de départ : 9 heures 30
Aujourd'hui c'est du costaud,
ce sera un premier test pour savoir si je vais m'aligner sur l'Embrunman, car j'hésite encore, j'ai peur d'être trop juste en vélo. J'ai fait de gros progrès, du à mon travail sur home traîner de l'hiver, mais la distance me fait encore peur.
D'un autre côté, il me reste encore un mois et demi de préparation.
Je prendrai ma décision finale au soir du 10 juillet, car ce jour là je ferai le brevet cyclo montagnard de Manosque, 230 km avec 3000 mètres de dénivelé.
Il fait un temps magnifique dans le Rhône, nous sommes arrivés vendredi en début d'après midi, et le soleil tape dur, le temps d'installer le campement de base
et je pars reconnaître la boucle de la course à pied, 6 kilomètres avec la fameuse "Monstress".
Le parcours est magnifique, au bord du lac, en sous bois, pas mal d'ombre, il serait presque super, s'il n'y avait pas la fameuse "Monstress". En soi pas plus dure que la montée au sommet de l'ancien village au j'habite, même beaucoup plus courte, mais, j'aurais fait avant, 2,5 kilomètres en nageant et 100 en pédalant, et en plus faudra que je me "la monte" trois fois.
Je me lance le défi de la monter les trois fois en courant, on verra bien.
Le samedi matin, je pars de bonne heure reconnaître la boucle de 50 kilomètres de la partie vélo, que nous aurons à faire deux fois.
Ben c'est du costaud, pas de gros pourcentage, pas de très longues montées, mais il n'y a peu de possibilités de récupération, car les descentes aussi sont techniques, et puis il y aura la chaleur, car si, en faisant ce repérage, je passe dans des bois de sapin où l'air est frais demain ce sera plus tard que je passerai là donc je crains que ce soit dur.
Je mets 2 heures 25 pour faire ces 50 bornes,
je m'inquiète un peu car j'ai prévu, sans connaître le parcours, de mettre 4 heures pour ces 100 kilomètres, bon on verra demain.
Ca y est c'est le jour J, j'ai passé une bonne nuit, j'ai bien chargé la "mule" en sucres lents pendant ces quelques derniers jours, donc aléa jacta est.
J'ai, comme toujours préparé toutes mes affaires la veille, aussi je me présente sur le parc à vélo de bonne heure, et mets tout en place tranquillement, hormis la partie natation, pour laquelle j'ai prévu de remonter au camping pour me préparer tranquillement, car le départ est prévu à 9 heures 30, et nous devons libérer le parc à vélo à 8 heures trente.
Je vérifie que tout est bien en place, j'ai choisi au dernier moment de ne pas partir avec la tri fonction du club, mais plus tôt avec un cuissard et un zip de LanceSports, car il y a deux poches supplémentaires sur le cuissard, qui me permettront d'amener un peu plus de ravitaillement. Je crains également une saturation au sucre, et comme j'ai oublié de prévoir du salé, j'emporte simplement 4 ou 5 tranches de pain de campagne acheté sur place.
Allez, savonnage, "enfilage"de la combi, pour éviter les brûlures du au frottement de la combinaison sur le cou, je mets de l'élastoplast sur celui-ci.
Je descends tranquillement au départ, la combi mise à moitié, je finirais en bas, je vais nager dans la partie du lac réservée au enfants, comme ça j'aurais pied
je teste mes lunettes, c'est parfait pas de buée, visibilité parfaite.
Je me sens parfaitement bien, et m'avance donc vers l'aire de départ, où fidèle à mes habitudes je me place bon dernier, je plaisante avec un autre triathlètes en lui disant qu'on voit de suite les bons nageurs, ça nous fait rire un bon coup, car lui aussi est aussi réaliste que moi sur ces compétences "natatoires".
Le départ du Courte Distance est donné à 9h15, puis les fauves du Moyenne Distance sont lâchés à 9h30.
Je pars dans les tout derniers,
et trouve de suite de très bonnes sensations, même si je me sens un peu oppresser par ma combi, j'y vois bien, les bouées sont très visibles, j'ai des trajectoires très bonnes, je suis juste derrière le peloton, je vois les derniers quelques mètres devant, moi, j'hésite à accélérer pour les rejoindre ou garder mon rythme, faudra peut être un jour que je fasse preuve d'un peu plus de témérité en natation, car cet hiver j'ai beaucoup travaillé et donc bien progressé, j'ai de superbes sensations de glisse, et un souffle qui commence à bien se développer.
Mais, je préfère garder mon rythme, je vois bien les bouées, j'essaie d'avoir des trajectoires les plus courtes possibles, il me semble que j'y arrive, je rejoins rapidement un ou deux concurrents, mais reste à l'arrière du peloton sans jamais réussir à m'accrocher. Je nage de concert avec un concurrent qui alterne brasse et crawl.
Je me sens très bien, j'ai bon espoir de faire les 1 heure que j'ai prévu de faire.
Ce parcours natation est sans fin, pourtant, ce lac des Sapins est assez remarquable dans son environnement, mais c'est lassant, le tour prévu est un peu biscornu avec 10 bouées à passer par la gauche, je nage bien, et me sens surtout bien, je n'essaie même pas d'accélérer, je vois au loin l'arche d'arrivée et suis un trajectoire qui me semble bonne, je sors de l'eau et regarde de suite mon chrono 1 heure 04, je suis un peu déçu.
La transition pour rejoindre le parc à vélo est très longue, et comme les organisateurs n'ont pas prévu de chaise, je choisis d'enlever ma combi dans l'herbe à l'ombre, dès que je suis sorti de l'eau, mais il y a 300 bons mètres à faire avant de rejoindre le parc à vélo.
Comme toujours, je prends mon temps dans cette transition, casque, casquette pour le soleil, gants, ravito, bidons, lunettes de soleil, et c'est parti.
La veille j'ai vu que la sortie du parc est aussi très longue, sur un chemin avec une bonne petite montée sur un chemin de terre, j'opte donc pour un départ chaussures aux pieds, et comme d'habitude aussi, j'ai un peu de mal à retrouver mon souffle, mais les 5 premiers kilomètres sont assez plat, je vais donc me refaire vite.
Comme d'habitude aussi, je me fais rattraper assez rapidement par deux concurrents, et du coup je ne dois pas être loin du dernier.
Je mesure aussi maintenant l'erreur que j'ai faite de mettre de l'élastoplast sur le coup, parce que dès que je baisse la tête sur le vélo, la colle me tire la peau, ce n'est pas douloureux mais c'est génant.
Le parcours est superbe, de petites routes tranquilles bien sécurisées par de nombreux signaleurs à tous les carrefours, pas beaucoup d'ombre, comme je le prévoyais.
La première montée sur la Chapelle de Mardore, n'est pas très exigeante en soi, arrivé au premier ravitaillement, je ne m'arrête pas, mais prends le temps de boire de l'eau et du Coca donné par les bénévoles.
C'est un enchaînement de "montagnes russes", avec des paysages magnifiques, je ne tourne pas trop mal les jambes, et, miracle je ne mets même pas mes deux pignons de "montagne" les 26 et 29 dents, je tourne sur un 39*23, ce qui est assez remarquable pour moi.
Je me lance un petit défi sur cette première boucle, de ne pas me faire rattraper par les premiers, et ça va être dur.
Je m'arrête aux deux ravitaillement suivants en prenant mon temps comme d'habitude, au deuxième, je discute avec une charmante jeune fille de la chaleur, et je lui dit que, bien qu'habitué, j'ai du mal, car la chaleur ne semble pas la même que dans le Sud.
Je la sens qui me chauffe les bras, pourtant je m'arrose régulièrement et bois régulièrement, mais j'ai chaud.
Après le dernier ravitaillement du col de la Cambuse, j'envoie la sauce, car j'ai peur que les premiers arrivent rapidement, à fond à fond, j'adore ce genre de descentes, bien nettes, sans trop de difficultés majeures, je roule à 50 en permanence, et j'arriver à la fin de ma première boucle en 2 h 12 minutes, à peu près bien sur, car j'ai pris les temps sur mon chrono, je suis très content, bon chrono et pari tenu, je récupère tranquillement pour attaquer la deuxième boucle.
Mais, je sens que la fatigue est là, dès que la route commence à s'élever, je n'ai pas la même aisance qu'au début, mais j'avance malgré tout pas trop mal. Au premier ravito, je m'arrête plus longuement, pour remplir mon bidon d'eau et mettre du sel dedans pour éviter les crampes, et aussi pour changer un peu du sucré, bu et mangé en permanence, au grand étonnement d'une des bénévoles d'ailleurs qui me regarde avec suspicion :
"pitaing sont fous dans le midi, y z'ont la mer à côte et en plus y boivent salés
"
Je repars un peu inquiet, car je sens que ça devient dur, et la confirmation de mes craintes arrive rapidement, de suite après Cours le Ville, un petit raidard annonce la montée sur le col du Pavillon, et je reste scotché sur la route, je réussi à reprendre un petit rythme dès la fin de cette difficulté, mais j'aborde la suite, dans les sapins, en mettant cette fois-ci mon 26 dents.
Et une nouvelle fois, je suis un habitué cette année, je me fais rejoindre par la voiture balai qui roule derrière moi, et ça me GONFLE d'entendre dans un aussi joli cadre un bruit de moteur diesel avec son ventilateur qui déclenche en permanence. Heureusement, le chauffeur semble avoir pitié de moi, et il s'arrête régulièrement pour discuter avec les signaleurs, ce qui me laisse un peu de répit.
Au début de la montée du col de Favardy, j'aperçois au loin un concurrent. En moi-même je le vois comme mon échappatoire pour ne plus entendre ce bruit de moteur, j'accélère doucement, mais je suis à fond, un coup sur le 29 dents un coup sur le 26. J'arrive à le rejoindre péniblement, je discute un long moment avec lui, il est "cramé" et plein de crampes.
Au hasard d'une portion un peu plus roulante, je le lâche, sans regret, pas pour lui, mais pour la voiture balai, et je le plains sincèrement.
Plus loin encore, peu avant le col de la Cambuse, je vois une ambulance arrêtée au bord de la route avec un cycliste. Je crains le pire, car il fait très chaud, mais ce n'est pas si grave que ce que je craignais, une triathlète pleine de crampes elle aussi, je discute aussi avec elle, et l'encourage à surtout ne pas être imprudente, et ne pas prendre de risque inutile.
Bon quant à moi, je réalise que je risque d'être hors délai, car il me semble que je dois rentrer avant 15 h 15.
Alors c'est encore la course contre la montre, je fais une fin de course d'enfer, c'est facile ça descend
je suis à fond de train en permanence, je me "régale" cela fait maintenant trois fois que je passe sur cette route, et je commence à bien la connaître, alors j'envoie tout.
J'arrive à Cublize, je descend du vélo à 15h15 exactement, je demande au bénévole chargé de contrôler, si je suis bon, il me dit que c'est bon
alors, je prends le temps de récupérer, car je suis cramé, il faut bien le reconnaître. Je rejoins en marchant mon emplacement, me prépare rapidement pour la Course à Pied, et au moment de partir, je vois arriver les deux concurrents que j'ai doublé, j'attends pour prendre de leurs nouvelles, mais la fille prend son temps, et le gars passe devant moi en me rassurant un peu et en me disant de ne pas l'attendre.
Ce que je fais, et attaque la première boucle tranquillement fidèle à mon habitude, c'est un peu la pagaille car il y a des concurrents de tous les côtés, je m'arrête au premier ravito et prends le temps de boire, même si je sens déjà poindre, ce qui m'arrive depuis quelques temps déjà, un rejet du sucre, je m'aperçois que j'ai oublié les dernières tranches de pain dans mon sac, tant pis, je vais faire avec, car il n'y pas de salé sur les ravitaillements, c'est un tort.
Au détour d'un virage, je m'arrête quelques secondes pour expliquer à ma femme que j'ai un peu "explosé" sur la deuxième boucle du vélo.
Le parcours course à pied, est comme je l'ai déjà dit, superbe aussi, des sous bois, au bord du lac, bon, le public se fout un peu de ce qui se passe et continue soit à se baigner soit à faire cuire ses grillades, ce qui est assez démoralisant.
Je prends mon train assez rapidement, et pense déjà à la "Monstress", comment vais-je l'aborder ? Je doute réussir mon défi de la monter trois fois en courant.
Les bénévoles sont vraiment toutes et tous très sympas, et au petit soin pour nous. Je prends le temps de papoter un peu avec eux, bon on n'est pas aux pièces quand même !!
Au détour d'un chemin j'en profite pour faire un petit pipi, qui prouve quand même que je me suis bien hydraté, puisque j'avais déjà fait un arrêt similaire en vélo, c'est un bon signe, même si je commence à m'inquiéter sérieusement, car j'ai du mal à ingurgiter du liquide.
Les organisateurs ont la bonne idée de nous donner des chiffons en éponge, que je choisis d'accrocher derrière la casquette, pour éviter une insolation.
Bon, elle est là devant moi, la "Monstress", 13 % sur 500 mètres c'est ce qui est annoncé, je commence à la grimper, tranquillement, tous les autres concurrents marchent, mais au 2/3 je flanche,
j'aurais peut être pu la monter complètement, mais j'aurais sûrement payé ça plus tard, je n'ai pas de regret de ne pas avoir réussi mon pari, la prudence est de mise dans des cas comme ça.
L'ambiance entre bénévoles et concurrents est super, les plaisanteries fusent, et je finis tranquillement mon premier tour, je n'ai même pas regardé le chronomètre, je suis incapable de dire mon temps, et je m'en fous royalement, ce n'est pas mon but, même si, naïvement, je m'étais fixé comme but de faire 7 heures, 1 heure de natation 4 heures de vélo 2 heures de course à pied, je sais depuis longtemps que ce sera irréalisable.
Je continue mon petit rythme tranquille, je m'arrête une fois ou deux par tour, à l'ombre pour récupérer un peu, pas longtemps, je souffle bien, pour ne pas laisser la tension nerveuse prendre le pas.
Deuxième tour pareil, je prends toujours le temps aux ravitaillements, je bois lentement, car de toute façon, je suis obligé de me forcer pour avaler. Je m'hydrate régulièrement avec des verres d'eau et l'éponge fournie.
A la deuxième "Monstress" j'essaie de courir, mais là j'arrête à moitié, pas de risque non plus, je profite de la descente dans les sous bois qui la suit, pour récupérer.
Au ravitaillement à côté du podium, je fais la bise, aux dames, car c'est la dernière fois que je les verrai, ben c'est l'organisateur qui a dit de le faire le matin au micro, c'est pas moi
Quelle bonne ambiance, je sais que je suis capable de courir plus vite, je n'ai absolument pas les jambes fracassées, même si je suis fatigué c'est évident, mais à quoi bon, je pourrais aussi ne pas m'arrêter si longtemps aux ravitos, mais à quoi bon aussi, je savoure ces contacts cette chaleur humaine, je remercie encore toutes ces personnes d'avoir sacrifiés une partie de leur dimanche pour nous, je serre beaucoup de mains et fais quelques bises par ci par là.
La solidarité entre les derniers commence à se faire sentir parce que la densité de concurrents commence à s'éclaircir, du fait de l'arrivée de nombre d'entre eux, et les claques dans les mains et les encouragements fusent, je préfère finir dernier avec une telle ambiance que noyé au milieu de la masse.
Je croise ou vois régulièrement les deux concurrents doublés, je vois que la jeune fille a du mal elle gémit de douleurs avec ses crampes. Avec un autre concurrent on l'encourage dans la dernière "Monstress" et on la chambre aussi un peu pour la faire rire.
A la fin de cette dernière montée, je prends mon temps je plaisante avec la bénévoles qui assure la moto balai, et fais semblant de monter à sa place sur la moto, et lui dit de courir à ma place
Au loin je vois arriver un concurrent avec lequel je me retrouvais régulièrement aux ravitaillements, je décide de l'attendre, dès qu'il arrive je le laisse se ravitailler et lui propose de finir avec lui, je le sens fatigué, il est du club de Valence, c'est marqué sur son maillot.
On papote un peu, pour les derniers kilomètres, sur le parcours de ce tri Sapin, avec toujours la moto qui nous suit en demandant aux gens qui promènent, de s'écarter.
Nous arrivons sur la fin et mon collègue est pris de crampes assez violente l'obligeant à s'arréter à 200 mètres du but.
Il soufre je le vois, il me dit de finir sans lui, mais je ne vais pas le laisser là si prêt de l'arrivée, cela me semble impensable, je ne connais pas ce garçon, mais je ne me vois pas le laisser là, les derniers ont aussi leur solidarité, est ce que les premiers en ont d'ailleurs, j'en doute.
Avec beaucoup de courage, il reprend à marcher, car il ne peut plus courir, il se force à franchir en "courotant", la ligne d'arrivée bras dessus bras dessous avec moi
Nous avons la chance de tomber pendant la remise des prix des premiers, et avons donc notre petit succès.
Nous passons l'arrivée tranquillement en 8 heures 8 minutes
J'arrive relativement frais sans fatigue profonde, genre à me coucher de suite, ou partir sous la tente des pompiers, comme mon compère d'arrivée d'ailleurs l'a fait hélas pour lui.
Il n'y a plus rien de salé au ravitaillement de fin de course, ça je n'apprécie pas du tout, il reste juste quelques petits paquets de chips, c'est pas très sympa.
D'autant plus aussi que je réalise quelques temps après, qu'on ne nous a pas donné notre tee-shirt, je pense que nous l'avons bien mérité. Je vais donc le quémander auprès des organisateurs, NON mais
Je me fais une bonne petite séance d'étirement en attendant le kiné, lequel me fait beaucoup de bien par ses massages.
Voilà un peu déçu par cette fin, bien que cette course soit superbe.
Mes temps :
Natation 1 heure 04
T1 10 minutes
Vélo 4 h 33
T 2 5 minutes
CaP 2 h 15 minutes
3 commentaires
Commentaire de joy posté le 23-06-2005 à 10:20:00
BRAVO christian a bientot pour ton CR.
Salutations
JOY
Commentaire de hérisson posté le 23-06-2005 à 15:29:00
salut Cigaloun,
je t'ai cherché au départ du ld et t'ai repéré ds les derniers du peloton juste avt que l'on se jette à l'eau : j'aurais bien aimé te saluer mais bang ! le départ !
je termine en 6 h 16 sans être entré dans le rouge ; j'essaie de faire un cr prochainement...
Bravo pour ta course !
hérisson
Commentaire de emond posté le 01-07-2005 à 16:11:00
salut Christian,
bravo pour ta course et surtout pour ton état d'esprit remarquable de solidarité. Je serai à l'Embrunman, j'espère que je t'y verrai, je fais aussi partie de ceux qui prenne leur temps. J'ai vu que tu avais un 39x29, si tu en as la possibilité change ton plateau pour un 36 et même un 34 (voir si tout est compatible avec ta cassette) parce que le parcours d'Embrun (je l'ai fait l'année dernière) comporte des pourcentages + importants que Cublize et bien sûr c'est plus long (presque le double) mais c'est faisable! bonne continuation dans ta prépa.
A + Yv78
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