Récit de la course : Les Aventuriers du Bout de Drome - 100 km 2009, par DamienES26
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…Un truc de fou…
…Un truc de fou… Prologue : Tout à commencer en mai 2008 à l’arrivée du marathon, déjà chez ce bon vieux Jack. Il me demande mes impressions lors de mon passage sur le podium : « alors après le semi et 2 marathons ici à Crest, tu as fais 100km en plusieurs fois, donc il ne te reste qu’à le faire d’un jet ! » Euh…attends Jack ! Comment te dire que t’es un doux dingue…Bon, je récupère mes esprits, je vais faire la 6000D (55km et 3050m D+) et puis on en reparle, d’ac ?! Quelques temps après, je prends la décision de me lancer ce défis : Les Aventuriers du Bout de Drôme…un truc de fou…Rappel : 100km avec 5000m de dénivelée ! Au niveau préparation, je décide de suivre les conseils (très avisés de Bertrand « Héméodrôme ») en toute confiance, vu le profil du bougre…ça devrait le faire. En plus, il était prévu de faire des sorties « OFF » avec Jack him-self sur les 3 Becs donc je me prépare au mieux de ce que je peux faire. Petit regret que mon « Ptijean » ne puisse m’emmener sur ces terrains de jeux favoris faute à une blessure…Enfin, Maria, Ptijean (toujours lui) et Mica n’ont pas été avards de bons conseils…en avant ! Sans oublier le soutient sans faille de chère petite femme, qui fera le semi, pour battre encore une fois son chrono. Quelle santé ! La course :…un truc de fou… Après quelques courses de préparation, et des « OFF » me voilà fin prêt en ce début mai 2009. Bien sûr j’ai les pétoches, bien sûr j’ai l’impression de ne pas en avoir assez faits mais autour de moi, tout le monde me rassure…ouf ! En plus j’ai survécu au « YETI » enfin, j’me comprends (Hein, Jack ?!) Vendredi soir, repas spaghetti chez mon pote Fred (ancien vainqueur sur le marathon de Crest) et nuit courte en prévision…qui fut…courte. Bon pas grave, il parait…Nous déjeunons légèrement et partons à Crest.Arrivé dans la salle où nous retrouvons 110 coureurs au moins aussi « stress » que nous, bon Fred blessé décide de faire la course avec moi (merci) juste histoire de voir du pays…il restera 1H30 avec moi avant de décider de partir à son rythme, son genou ne le gène pas plus que ça. 4H30 et des brouettes, nous nous ébrouons à travers les ruelles de Crest encore endormie…faut le voir une fois dans sa vie, ça papotte encore, ça commence à rire jaune en prévision de la journée. Et Jack de nous dire « que du bonheur, bon run, profitez… » J’ai modestement essayé de prévoir un minimum ma journée en 3 tiers comme à mon habitude, ce qui me réussi souvent : 1°/ départ jusqu’à la Raye (pylône) au km33 2°/ Raye juqu’à Saillans km653°/ Sailllans juqu’à Crest. Première partie de la journée se passe assez tranquille, on se suit tous en rang bien ordonné, Les uns discutent, les autres se gamellent sur les crêtes, enfin les oiseaux de nuits gazouillent…trop top ce départ de nuit…un truc de fou…Bon an mal an, nous voilà sur les contreforts du Vercors au niveau de Barcelonne et la Baume-Cornillanne, où un copain de l’ASPTT Valence est venu m’encourager (il fera pas mal de bornes à plusieurs reprise de la journée…merci Moises). Ca sent bon, les monotraces ne sont pas encore trop technique, je déroule et essaye de trouver mon « rythme » de croisière en pensant à bien me ménager. En effet, Bertrand me rappela en partant « si t’as l’impression de ne pas aller vite et bien ralenti encore, fois de cenbornards ! » . Bref, j’avais pleins de petites voix dans la tête pour m’aider à avancer. Premier ravito à Barcelonne, où je me suis senti fatigué, plus un manque de sommeil qu’autre chose..km25 allez hop, du pain d’épice, le plein liquide et les bons mots de Patrick, infatiguable bénévole (alias « Samontetro ») pour rebooster le moral. J’avis prévu d’y être en 3H30 et m’y voilà en 3H35 donc super. Bon maintenant le peloton est super étiré, je me retrouve seul, avec de temps en temps, un compagnon de route. En fait j’en mène pas large car au loin j’apperçois le « pylône », première grosse difficulté de la course. On va prendre 800m D+ sur quelques 6/7km !!! Faut pas s’affoler mais quand même… Là, les pistes deviennent plus techniques, les premières drayes dans les buis arrivent, du pur Vercors dans le texte…un vrai grand huit pour atteindre le pylône…ça sent bon, le decors est grandiose, la vue sur la plaine de Valence magique : en plus la météo est avec nous…un truc de fou… Me voilà bien dans mes sensations, tout en retenue, la route est encore longue…juste au moment où je me dis que nous voilà au 1/3 de la course, nous terminons la montée sur la Rayes pour passer sous le pylône (yessss !!!)…je prends conscience du chemin encore à parcourir. En effet, ici, nous voyons les 3 Becs au loin dans une autre vallée…gloups !!! Place à la descente sur Cobonne km40, qui sera mon premier gros ravito, où Ptijean et Bertrand m’attendent de pieds ferme pour les prémices d’un coaching sans faille… Seconde partie de la journée : Cobonne, où comme sur le marathon l’an passé, je décidaisd’arriver le plus frais possible, histoire de me rassurer. Alors là, je fus servis car mes deux coach m’ont envoyer une vague de bonne onde positivement positive en me voyant débouler à une vitesse folle dans les superbes ruelles…au moins 10km/h brigre !!!! Je voulais m’y poser au bout de 6H30 d’effort et là ! ça fait 6H30 !!! (re-yessss !) Bref, remplissage de bidons, beaucoup de conseils de mes ailleux, because il commence à faire chaud, je grignotte, je ne bois pas mon coca que j’aurais bien apprécié (j’ai qu’à arriver avant, y en avait plus !)…un truc de fou…Je me fais quasiment mettre hors du village par mes suiveurs me voyant bien dans ma tête…merci les gars… Place à 25km pas facile car ce sera assez roulant pour arriver à Saillans afin de faire le point .Ici, ce fut super beau, terrains très variés, senteurs étonnantes, toujours petits zozios et toujours ces fameux 3 Becs en fond d’écran…Boudiou, vont pas se rapprocher un jour !!! Heureusement je chemine avec 2 gars qui connaissent le parcours, cela passe plus vite. Dans ma tête ça commence à gamberger car après Saillans…un truc de fou…nous attends. Ayé, fait chaud là…je commence à sentir un peu de faitgue, d’autant que le ravito de Mirabelle semble ne jamais arriver…km55…Euh, au fait dans quelques hectomêtres je bas mon records de distance !!! Pour info je passe le km50 en 8H pile, j’aime les choses « rondes »…un truc de fou…Voilà un petit raidillon que je reconnais pour l’avoir vu en vidéo et je sais le ravito au bout…j’en profite rapidement mais j’ais pas le goût de repartir car les 3 Becs nous regardent toujours…ça psychote encore. Bon je redonne un dossard ramassé 5km avant, histoire de faire ma BA du jour, suprise, le coureur l’aillant perdu est là à lutter contre ces premières crampes…mais…euh…je le connais…et il est super content que ce sois moi qui l’ai retrouvé…un truc de fou…On se donne du courage et me voilà reparti. Je lui souhaite du courage, car je le sais non préparer et déjà mal en point (il finira dernier mais respet). Je repard donc, pour 12km de sentiers bien secs sous des petits arbres sans feuilles, avec un bon 500m de D+ à se repartir en plusieurs bonnes côtes, tout en relance nerveuse. Je commence à sentir quelques contractures aux Ischios (pas trop inquiétantes car elles passent dans les descentes). Au fait j’ai quand même pousser mon petit cris de joie quand j’ai dépassé les 55km (fais à la 6000D) bein quoi ?!...Aller on reste concentré et on avance toujours !Tout d’un coup, un petit coup de mou…et là magie du trail : coup de fil de mon Petijean pour me dire que Mica est parti de Saillans pour me rejoindre sur 4/5km afin d’arriver sur la grosse base de vie avant les 3 Becs…un truc de fou…Ayé le voilà tout frais et dispo à me redescendre sur Saillans en me rassurant sur mon état que je ne trouve pas assez frais, difficile d’évaluer sa forme et sa gestion de course…bref « devant » me dit-il « y en a déjà beaucoup de cramés, plus des abandons, c’est tout bon »… Dernière partie de la journée. Arrivée à Saillans digne du tour de France où tous les copains/coach sont là…un truc de fou…quelle ovation, j’en frissonne encore…Ici, j’ai pas maitrisé grand chose : Mica au conseil trail (gestion de douleurs…) Ptijean aux petits soins pour mon ravito, sandwich, coca, saucisson, bref zero défaut le bougre, l’expérience ça paye sur le long. Je lui fais 300% confiance. Au fait je voulais arriver en 11H et là, j’y suis en 10H50 donc ça va le faire…je lis ma propre détermination dans le regard de mon entourage. Fred est là, super content pour sa course et ravis de me revoir ici aussi en bon état. Bon, je me fais soigner quelques ampoules, pendant qu’autour de moi se prépare le départ d’un « pacer » ; en l’occurrence Françoise qui va aider un petit groupe afin de passer la fin de course ensemble…super idée managée par Bertrand. Mais ici…un truc de fou…j’ai littéralement débranché le cerveau car ça y est nous y voilà : km65 et 2850M de D+ avec aucun droit de rester là même si j’en pense pas moins…je ne sais pas si je serais capable d’affronter le Pas de La Motte, et oui…1200M de D+ en quoi… 5/6km plus les grimpetttes horribles en direction de la Laveuse (km75)…un truc de fou…véritable juge de paix de cette course. Bref, je change de t-shirt, de chaussettes et de chaussures, un brin de toilette et hop dehors ! Vindiou que c’est dûr de repartir après 30’ de pause…toujours sans trop réaliser que je retourne au combat. Ptijean est toujours là pour me motivé et c’est dans ces yeux que j’ai compris que j’en étais capable…un truc de fou…Qu’aurais-je fais sans eux ? Dernière partie de course pour de bon.Fini de rigoler, je retrouve les sentiers parcourus cet hiver en reco avec une bande de « Kikoureur » mais là pas question de monter trop vite. Le petit groupe se tient assez bien dans les premières pentes mais très vite ça s’étire. Quelques petites poses, où bizarement j’ai des petites nausées, elles passent en fait assez vite (pô bien compris). Là ça commence à grimper dûr, et des débuts de crampes aux quadri arrivent, alors je m’agrippe à mes batons pour soulager la bête…va falloir sortir le gros moral car ça tire de partout !!! Françoise est au petit soin avec un des gars du groupe en plein « coulage de bièle » ou gros coup de pas bien si vous voulez ! Greg un autre gars est parti devant…un costaud ! Bref chacun pour soi afin de sortir de ce maudis Pas de La Motte. Comme je connais, je gère mais ça passe au moral, là aussi je débranche car je sais qu’une fois sorti du Pas rien n’est fait…reste 2km hyper raide et cassant où il nous faudra quasi 1Hpour arriver au fameux rocher de La Laveuse…cet hiver nous étions accueillis par des chamois…un truc de fou…C’est ici le plus dûr mais c’est aussi là le plus beau de la course…imaginez-vous à 1300m d’altitude (environ) 75km dans les cannes (4000m de D+ !!!) avec en fond d’écran cette fois la Raye (et son pylône) où nous étions le matin…ou le midi…ou dans une autre vie …sensation bizarre d’être hors du temps…Au fait je pensais arriver ici en 14H et damned… m’y voilà en 14H, quand ça veux sourir…(spéciale dédicasse à mon papa, qui se remet d’un pépin…) En plus ici aussi, grosse, grosse émotion, car « bip » « bip » un SMS de mon Ptijean qui me souhaite plein de bonnes choses pour la fin de course…un truc de fou…j’en ai les larmes aux yeux…Allez je me reprends, mais pas pour longtemps car je décide d’appeler ma chérie et super ça passe !!! Elle me renvois des très très bonnes ondes, pleines d’amour…un truc de fou…Bon là ayé les larmes roulent sur la joue…grosse sensation…le mistral fait son œuvre et sèche cette perle de bonheur…un truc de fou…Plus rien ne peut m’arriver j’ai vaincu les 3 becs…Les douleurs se calment c’est magique… le groupe n’en est plus un, et au poste de pointage, je sens que si ne rentre pas seul à ma main, ça finira mal…Voilà le moment où je décide de manger le sandwich du Ptijean, un coup d’eau et hop : dré dans le pentu en direction de la combe de la mort, digne d’un décors de Jurasik Park, brrrrr !!!!! faudrai pas y passer la nuit. Donc s’en suit 6km de caillasses posées n’importe comment, des lianes, des rochers en forme de sales bêtes (non, non, je ne fatigue pas !!! euh en fait si j’hallucine…) des arbres en travers, mais que fais Jack !!! c’est pas net ici, bigre… Mine de rien, me voilà avec 82/83km dans les gambettes et les crampes ont disparu à la faveur de cette descente prudente, ouf. Vivement le ravito. Tiens mais qui vois-je au bout du chemin, l’un dandinant ça frêle carcasse, l’autre dandinant ça grande carcasse : Bertrand et Ptijean (encore eux)…trop content de les voir ici…et eux trop content de me voir là, ça tombe bien, non ?! Purée j’en reviens pas de l’état dans lequel je suis encore après + de 16H d’effort…Donc de nouveau un ravito mené de main(s) de maître(s) et pratiquement par un maître de deux mêtres (…ouf bien placée celle-là !) enfin, j’me comprends ! Ici aussi mes « pacer/coach » m’ont fait comprendre qu’il ne fallait pas trainer et profiter de ma forme…Tiens Greg est là en train de manger une gamelle de pâtes…repartirais-je de ce ravitos un peu léger ?...Non, Ptijean me fait le plein, je regrignotte et je revoir dans le regard de mes anges gardiens cette lueur qui va bien et qui me redis « plus rien ne peu arrivé » dixit Bertrand. Maintenant, c'est 18km « facile » au sens où il ne reste que 400/450m de D+ en plusieurs petites fois et hop c’est tout shuss pour rentrer au bercail…Par contre, la nuit va venir, et je ne voudrais pas me perdre, d’autant qu’il n’y a pas encore de rubalise fluo…pas glop !!! Bon, le Pas du Faucon se passe hyper tranquille et je rallume la frontale pour descendre. C’est bizarre avec la fatigue, elle n’éclaire pas tant que ça…Mais c’est pas fini. Je me dis que le dernier ravito au km92 ne doit pas être loin et commence à réaliser l’ampleur de cette course…un truc de fou… Je suis surpris de courir autant sur le plat bien sûr mais même dans quelques petits faux plats, personne devant, personne derrière, je suis seul au monde mais tiens, pour le coup ça sent vraiment les écuries…donc le ravito au centre équestre doit être dans le coin ?! Bingo, je le vois donc reste 8km…vite un mini plein, 2/3 bricoles à picorer, hop hop hop !!! on se rentre…tiens Greg est revenu le bougre, par contre il reste un peu plus au ravito. Je file à une vitesse supersonique (8/9km/h, la vache !!!) en avalant les coup de cul sur les derniers km…Tiens je rattrape un gars, puis un autre qui est un « Kikoureur » (Rapace74) super cool qui m’aida bien à finir, car et aussi bizarre que ça puisse paraître, là je fatigue vraiment, bein quoi ?! …un truc de fou… Reste genre 2km, et j’en profite car Crest est en vue depuis un petit moment, je cours, je vole, je suis porter par la réussite, la merveilleuse gestion de mes pôtes lors de mes ravitos, j’apprécie le calme des derniers hectomêtres…mais je ne me rends pas bien compte de ce que je viens d’accomplir…500m avant l’arrivée, déjà ?!!! …un truc de fou… Me voilà 18H12minutes plus tard dans les bras de ce bon vieux doux dingue de Jack, les yeux remplis d’images folles et de larmes…j’ai réussi un truc de fou. Epilogue : Quelques heures de repos, dans le gymnase, après avoir revu mes anges gardiens, en attendant de revoir la blonde chevelure de ma chère petite femme, m’ont fait un bien fou. Dimanche matin, j’ai réalisé un peu plus en la revoyant, il y a des étincelles dans certains yeux qui ne trompent pas…merci à tous…ce fut devinez quoi ?! …un truc de fou… Merci de m’avoir lu DAMIEN
15 commentaires
Commentaire de nono_la_robote07 posté le 13-05-2009 à 07:31:00
Bravo Damien et merci pour le cr.
Le lendemain tu planais littéralement, du bonheur plein les yeux, plein la tête, avec scotché sur le visage une banane. C'était génial de te voir ainsi.
Bonne récup
Caro_admirative
Commentaire de millénium posté le 13-05-2009 à 07:37:00
ta joie faisait vraiment plaisir à voir...Un vrai gamin ! Que c'est beau un tel exploit !
Bravo collègue (et néanmoins ami , lol)
Commentaire de kikidrome posté le 13-05-2009 à 07:38:00
Te féliciter, tout simplement, me parait un faible mot. Que d'émotion dans ton récit. Bravo Damien, c'est grand ce que tu as fait ce week-end !
Commentaire de ptijean posté le 13-05-2009 à 08:58:00
...et comment un truc de fou peu changer la perception que l'on à de sois....pouvoir se dire: j'ai été capable de le faire,n'est ce pas ça la vrai victoire?????
Bravo mon gars
Commentaire de phildeval posté le 13-05-2009 à 09:05:00
Un récit à la hauteur de ta course.
Chapeau bas super Damien !
Commentaire de samontetro posté le 13-05-2009 à 09:59:00
Bienvenue chez les fous, Damien, bienvenue chez les fous!
Et continue à croire que tu peux y arriver a faire des trucs pareil, parce que tu y arrives, tout simplement!
Bravo!
Commentaire de Françoise 84 posté le 13-05-2009 à 16:32:00
Mais non, t'es pas fou... juste un peu malade!!! Bravo à toi, bises!
Commentaire de jack26 posté le 13-05-2009 à 16:36:00
Bienvenue chez les 100 Bornard un truc de fou !!
Pas si fou que cela les larmes de bonheur à l'arrivée que nous avons partagé.
La vie et simple quand les barrières tombent, que nous sommes face à face avec soi même, avec nos douleurs et demons, et que nous revenons humain.
Félicitation !!!
Jack
Commentaire de hemerodrome posté le 13-05-2009 à 17:28:00
Continue de planer encore un peu,
Tu l'as fait et bien fait le truc de fou !!
Bertrand_très_fier lol
Commentaire de Mustang posté le 13-05-2009 à 21:05:00
Bravo pour toi, avec le partage des mêmes galères!!
oui, une réelle joie que de finir une telle épreuve!
Commentaire de rapace74 posté le 13-05-2009 à 21:25:00
bravo pour avoir fini ton premier 100 bornes!!!!
manu
Commentaire de ema posté le 14-05-2009 à 13:25:00
comme tu l'a dit... c'est un truc de fou.. bien venu chez nous, (hihihihihhi) tu te rend compte tu vas être encore de meilleur conseil au magasin... (déja qu'il n'y avait pas grand chose a dire)
un vrai challenge que tu as reussi.. bravo damien.
bises maria
Commentaire de Stéphanos posté le 14-05-2009 à 21:33:00
BRAVO, trés trés bien géré, ta joie à l'arrivé faisait vraiment plaisir à voir! félicitation
Commentaire de martinev posté le 17-05-2009 à 21:38:00
BRAVO pour cet exploit, car finir cette course de fou en est un.
Je te revois encore la veille de la course, stressé et le lendemain, presque 24 h après, les yeux remplis de joie et de bonheur.
FELICITATIONS pour cette course
Commentaire de TomTrailRunner posté le 06-04-2012 à 20:32:47
Les foulées, comme les écrits demeurent....
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