L'auteur : thunder
La course : Le Tour du Plan d'Eau - 12 km
Date : 2/9/2007
Lieu : Les Roches De Condrieu (Isère)
Affichage : 2180 vues
Distance : 12km
Objectif : Pas d'objectif
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4 autres récits :
Un allez retour pour la ligne rouge.
Note avant la lecture : ce CR est un peu particulier, car cette course s'est insérée dans une semaine un peu particulière. Amis kikoureurs le CR de la course ne débute réellement que le dimanche matin.
Bonne lecture et un gros merci à Supersteph69, Raideur69, et particulièrement à Marie69.
Le tour du plan d'eau est une course de village que j'ai fait l'année dernière. Le parcours était charmant mais pas roulant. L'ambiance formidable. Bref ce genre de course sans enjeux et où on prend beaucoup de plaisir à courir.
Le vendredi d'avant ma chérie me propose une petite course pour Fred et/ou le tour du plan d'eau. J'hésite un peu le cumul me paraît gonflé et puis je ne suis pas vraiment entraîné depuis juin
je n'ai pas travaillé ma vitesse, beaucoup d'endurance (à vélo) et pas mal de muscu mais au niveau de la course à pied pas grand chose.
Dans le même temps Photogone se propose de nous co voiturer. Bref tout est fait pour que j'aille courir avant les partiels. Pourtant je suis réticent à cette idée mais je ne veux pas encore dire non.
L'avant course
Article sur le secret de la ligne rouge paru sur le site ultrafondus « Lors de votre montée en charge, vous devrez rechercher votre ligne rouge. Au-delà de ce point, c'est l'autodestruction. Tout s'écroule comme un château de cartes »
Mener une vie d'étudiant passe, mener une double vie d'étudiant passe encore, mener une triple vie d'étudiant à bloc et de coureur d'ultra passe encore. Mener une quadruple vie est la ligne rouge arrive plus vite que prévu.
Mardi matin il est 6h30. Cela fait plus de 3 heures que je suis penché sur mon mémoire et la feuille est toujours vide le document est vide mon esprit est vide.
Je vais me blottir contre celle que j'aime, je ne veux pas la réveiller, je m'effondre. C'est l'heure de passer à la caisse. 2006/2007 je me suis menti pendant 1 an. J'en ai trop voulu et je n'aurai rien. Je me suis menti à moi, à mes parents, à mon coach. Je n'ai pas été aussi assidu que j'aurais du l'être et mon travail universitaire ou plutôt mon non travail n'est pas digne d'un étudiant en master. J'ai bien la tenue mais je n'en ai pas la tenue. Je suis las de tout ce mensonge, las simplement las. Les semaines qui ont précédé j'avais volontairement ignoré les signes avant coureur, la baisse de la libido, la fatigue chronique. « Mais non doc je contrôle » pffffff tu parles je passais tout doucement mais surement la ligne rouge.
Ce matin je craque , mon esprit craque, mon corps craque, je souffre. J'ai mal et j'ai honte. J'aimerai tellement ne pas exister mais quelqu'un est là, quelqu'un qui lit en moi comme dans un livre. Je ne peux pas refuser de vivre alors je continue à faire battre le cardio à maintenir en activité cette coquille vide que je suis devenu.
8h je retrouve mon patron, je suis ruiné, un fantôme. Je ne sais plus vraiment où j'en suis. T'es vraiment un gentil patron, patron. Merci de m'avoir aidé à faire le point. Serge suspend tous les entraînements. Plus de sport juste mon boulot et mon mémoire. Tout ce mardi j'ai mal mais je remonte doucement la pente. Le soir je m'attelle à la tache je finis enfin la rédaction de l'introduction il est 2h30 du matin.
Mercredi
5h le réveil sonne, dans une heure je pars avec mon patron sur un chantier. J'aime cette vie en déplacement, les rencontres qu'on y fait, de vivre son travail. Je prends quelques livres pour avancer ma rédaction.
18h passées fin de la journée de travail. Presque 12h de travail pour mon cher patron. Je ne fais plus de muscu mais je manutentionne, je monte je descends les escaliers. Alors pas d'entraînement mais je bouge.
19h30 le resteau après une copieuse pizza et un délicieux crumble je suis repu. Certains s'étonnent de faire du gras mais une Corsica et une 4 fromages c'est pas light n'est ce pas patron?
21h30 nous sommes dans nos chambres. Je veux travailler sur mon mémoire, je le veux et je m'endors sur le lit sans défaire les draps et à moitié habillé.
Jeudi
2h47 j'ouvre l'oeil je veux travailler mais je me rendors
6h j'ouvre l'oeil et je commence à lire. J'ai récupéré, je me sens mieux. Finalement s'éloigner de Lyon a été salvateur.
6h30 petit déj de goinfre pour tenir sur le chantier
7h30 nous sommes sur le chantier. On monte des paquets de stores ça fait travailler les biceps et puis les jambes aussi.
18h fin du chantier, retour éprouvant sur Lyon.
20h De retour à Lyon. Nous nous retrouvons avec ma chérie. Diner léger un peu de travail et je m'endors avec une seule priorité faire le plein d'énergie. Demain et pendant les 48 heures qui vont suivre ma vie ne sera que science po. Effectivement pendant 48 heures je n'ai jamais autant écris que pendant l'année écoulée. Marie s'active pour gérer le quotidien, taper et j'écris, j'écris... Je mange aussi, je me goinfre j'engloutis des tablettes sur tablettes de chocolat et du pain beaucoup de pain. Je ne suis plus un coureur j'écris juste et j'alimente la machine. Pendant 48 heures Marie a supporté ma gloutonnerie. Pendant 48h ma vie j'ai eu l'impression d'être lancé dans un ultra manger dormir et écrire au lieu de courir.
.
Samedi soir dernier repas léger quelques patates deux oeufs un peu de compote et basta puis une petite marche digestive dans Lyon. J'ai mal aux chevilles, les jambes sont lourdes bref que du bon si demain je dois courir.
Il est 23h15 après 90min passées au téléphone mon mémoire est fini ou presque. L'excitation est à son comble et pendant que le souffle calme de ma chérie me berce je ne trouve pas le sommeil, la jeune femme qui dort à mes cotés est exceptionnelle , j'ai une chance inouïe qu'elle m'ait choisi au milieu de la masse. Et au milieu de la masse, je n'aurais jamais imaginé rencontrer une telle pépite. Bon si j'essayais de dormir au lieu de m'exciter sur les évaluation de puissance à l'aune des externalisations.
Après cette semaine de folie, cette année de folie je ne raccrocherai pas les baskets.
Demain matin j'irais courir même si je ne sais pas ce que ça va donner.
Dimanche matin
4h47 j'ouvre l'oeil. En temps normal dans 13 minutes je me lève . Alors pour 13 minutes de sommeil de plus ou de moins je me lève. J'essaye de ne pas la réveiller. Je commence à faire mon sac.
5h je commence la cuisine, trop tard elle s'est réveillée. Déjà tu es dans ta petite tenue Rdlight, tu es la plus mimi au réveil.
Petit déj correct des pates et des oeufs pas renversant mais je ne pars pas le ventre vide.
Une douche je finis de préparer mon sac, je ne serai jamais parti aussi léger sur une course.
6h30 nous partons rejoindre Photogone qui nous a proposé de nous convoyer. Comme d'hab notre reporter de choc charge son véhicule d'une main de maitre ou presque pour aujourd'hui . S'il y a une leçon que j'ai retenue de la Thounight c'est de ne surtout pas se mettre dans les pattes de photogone lors du chargement. Alors j'admire l'artiste.
En sortant de Lyon j'apperçois Eugène qui fait ses 20 kilomètres quotidien. La vie est pleine de signes. Je me souviens de ses mots peu de temps avant le marathon de Lyon « passé le trentième tout le monde à mal aux jambes mais il faut respecter les autres coureurs tu ne peux pas abandonner, tu n'es pas comme ces stars qui sans panache abandonnent si le chrono est mauvais, non être marathonien c'est aller au bout à chaque fois »
7h35 nous sommes aux Roches de Condrieux. « Au rond point à droite puis au feu à gauche » Je connais vaguement le coin.
Instants de nostalgie
Il y a un an déjà... Il y a un an j'étais Viennois, il y a un an je révais de semi en 1h30, il y a un an je courais en pensant saintélyon. Il y a un an il y avait bien des choses différentes d'aujourd'hui. Il y a un an courir un semi en 1h30 était presque à ma portée. Il y a un an je courais presque vite. Aujourd'hui je randonne longtemps.
L'avantage d'arriver avec Photogone c'est qu'on le droit au pass VIP , on est chouchouté, on nous propose les viennoisseries, le café . Je comprend un peu mieux les difficulté du plus rigolo des photographes à faire descendre les chronos
Ce matin même si le petit dèj est loin je décline. Ce qui ne manque pas de suprendre certaines personnes un peu mauvaise langue sur les bords.
L'avantage d'être prems c'est de voir la mise en place et y a pas à tortiller ça claque. La petite foulée fait ça très bien. Certe il s'agit d'une course de village mais elle a tout d'une grande.
7h50 Première inscription en senior ô rage ô désespoir. Ha non les espoirs c'est ma chérie depuis hier.
Je retrouve la charmante petite brune de l'année dernière mais ça ne me fait plus rien si ce n'est sourire en pensant à mon CR.
Nous partons faire une pseudo sieste. Y a de la champignone qui semble un poil tendu malgré ses affirmations contraires et sous couvert de la sieste j'essaye de contrôler l'excitation qui fait que je suis tendu comme un string un soir de surboum, spéciale dédicace à mon Biru.
Oui excitation de revenir dans le monde de la course bitume et du court. Je ne sais pas du tout où j'en suis et puis revoir tous ces visages... Un an déjà ...
Finalement nous allons quand même nous changer. Je suis un peu long mais j'ai un handicap sur mademoiselle. Je n'ai que mon short sur moi.
Départ ensemble pour l'échauffement. Après 10 minutes je me retrouve seul avec mes petites douleurs.
Certaines estiment que 10 min de footing c'est suffisant. Il me faut bien 30 minutes pour que la mécanique se mette en marche. Je continue ma reco du nouveau parcours ça présente pas trop mal on verra bien, le cardio est un poil haut mais les jambes répondent bien les douleurs tibiales s'estompent.
Retour vers le départ, je stresse, je sens le coup du je rate le départ. En fait c'est juste bon on va mouiller le buff et tant pis pour le look j'aurais pas chaud.
Je ressemble à un kéké dans toute ma splendeur, tout ça pour un chrono qui sera loin des gars de devant. A l'échauffement j'ai croisé Da Silva, nous avons le même age lui cours, moi je randonne.
La fin de l'échauffement est un peu foireuse pas de PPG, pas d'accélération et surtout je me pose comme une grosse larve et le cardio redescend.
9h25 je suis derrière la ligne pas devant mais pas trop loin. Je tourne la tête, je cherche des têtes connues mais à part Marie il n'y a personne qui a l'air sympa. Ici on est là pour courir.
Petit bisou dernier mot d'encouragement pour ma chérie finalement on va voir ce que ça donne chacun sa course.
9h30
Coup de sifflet et c'est parti. Je vais directement à l'extérieure mais je me fais quand même bloquer. « Arhg bande de ... Saleté de coureurs même la distance ne leur fait pas peur », grrrrrr
Bon je me sors de la masse et hop je dois être dans les quarante premiers. Je suis bien mais je me sens trop rapide.
Effectivement ça va pas le faire, premier kilo en 3 minutes 44 oula coco faut lever le pied. Nous remontons en direction du port.
7 minutes 33 et deux kilomètres je vais exploser, je vais exploser, je suis dans un faux rythme mais pas moyen de lever le pied.
3 minute 57 ça devient correct mais j'ai toujours mes trente secondes d'avances je suis dans le verger c'est super sympa. Une pensée pour ma crosswaman adorée qui va s'amuser dans quelques secondes. Nous revenons sur le parking je me cale à l'ombre et je rame et j'ai une barre monstrueuse sous les cotes, je pense aux séances d'abdos chez raideur. C'est pas un léger mal de ventre qui va me ralentir. En plus j'éructe tant et plus, je me demande bien si je vais pas vomir mais en même temps j'ai pas l'impression d'être chargé.
Peu avant le 4ème kilomètre le ravito je marque la pause.Ça y est je ne suis plus dans la course.
Un verre et un sucre, une douche et hop j'ai maintenant 30 secondes de retard sur une moyenne de 4 minute du kilomètre. Ce chiffre s'est imposé car c'est plus facile de compter et de multiplier même complètement carbonisé. Maintenant je relance tranquillement dans le dévers qui m'avait destabilisé l'année dernière et c'est toujours... aussi inconfortable.
La balade se prolonge le long du plan d'eau. Tient c'est goudronné maintenant et il y a une maison. Le parcours quitte enfin le goudron le mec à coté de moi court avec un t-shirt du marathon héro. On papote un peu de cette course que je n'ai pas couru. Passage de cloture je m'efface pour laisser passer la première féminine qui semble surprise. Bon d'accord je suis un poil carbo, un poil au point d'hésiter à mettre les warning car j'ai vraiment mal mais bon comme disait un vieux que j'aime bien tout le monde souffre... alors je vais pas lacher.
Je continue ma discussion avec ce marathonien. Bon gré mal gré on avance. Petit saut par dessus les rochers. On continue la balade. Je me fais remonter et j'accroche la roue. Nous revoilà dans le verger. Je souffre, je suis à bloc mais je suis venu distribuer des pains alors mes poings frappent l'air et ça modifie ma foulée je me bats, je m'accroche je souffre mais je remonte
Un signaleur nous encourage et je répond un Trankillllll sortie d'endurance en pensant au grand géant orange. Le gars derrière moi souffle comme un boeuf et lache un connard entre deux halètements. Je me marre mais depuis cinq cents mètres je sens le coup de froid arriver . Les jambes frissonnent, puis les bras. Oula pas bon mais on continue.
A la sortie du verger un gars se retrouve vers le signaleur, il a pas l'air bien non plus. Bon je reviens avec mon marathonien direction le ravito petite bosse on s'arrache.
Retour au ravito re-pause, j'ai l'air beau avec mon buff, complètement carbonisé, des troupeaux me passent mais je suis complétement cramé
Relance je me traine enfin je sais plus je ne déclenche plus le chrono.
J'avance et je sais que je vais bientôt rentrer. Je sens un gars dans ma roue. Petite pensée pour ma chérie que ce genre de lécheur gonfle. Pour l'instant je m'en fout.
On sort du plan d'eau je lève la tête au ciel qui est très beau une énorme pensée pour mon grand père et Brigitte et oui il n'y a pas mort d'homme, je suis bien vivant et la vie est belle après la ligne rouge la ligne bleu pour seul limite...
Les années passent mais j'ai toujours l'impression d'être sur la Rivièra.
Maintenant je rentre à la maison. Passage sous le pont puis remonté, je raccourcis la foulée et m'envole. Yala ya de la joie, un épongeage.
L'autre est encore dans ma roue grrrrr ça va finir par me gonfler marre de tirer et de prendre le vent de face. J'entends un coureur qui remonte. YES je prend la roue, l'autre décroche. On discute et maitenant place à la collaboration. Lui est V2 et moi senior pas de concurrence alors on va bosser en équipe. Il veut remonter sur un coureur et moi j'en ai deux en ligne de mire.
Petite descente et grosse douleur sous le pied AÏE.
Alors go et voilà j'ouvre la route. On remonte, on remonte et on passe. Plus que 1500 mètres. On maintien l'allure. On discute pour savoir qui va passer le premier sur la ligne. Il est hors de question que je le passe mais il insiste. On rentre sur le stade je manque de me mettre une boite et de taper un mur. C'est les risques du métier quand on a deux pieds gauches.
Voilà la piste et j'arrive pas à pousser je plafonne. On roule ensemble, je lui prend la main et on franchit la ligne. Le vieux roublard s'arrête j'avance et je pose mon dossard avant lui grrrrrrrrrrrr.
Fin de la course
Petite tombola, dossard rendu et je trouve enfin ma chérie qui roublarde me file un verre percé.
Tient si je coupais le cardio 55 min et des poussières. J'ai deux mollets en bétons. J'avais déjà senti cette pointe dans le mollet gauche pendant la course.
Je suis content de ma course, je l'ai finis. La gestion a été à chier, les allures foireuse je suis monté à presque 5 minute du kilo. Bref j'ai fait de la merde mais après cette semaine de folie le simple fait d'être en vie c'est génial. J'attends la miss et finalement nous repartons trottiner.
AÏE mon pied ouille mes jambes. J'ai l'impression d'être à l'étroit dans mes baskets et les quadris brulent. Nous repartons tout doucement ça va mieux mais je veux retrouver mes tongues.
Retour au stade passage d'eau froide sur les jambes bof.
Puis orgie gastronomique, y a pas à tortiller la course ça ouvre l'appétit et encore une fois le buffet est une réussite. D'ailleurs je m'interroge sur la capacité d'engloutissage de yahourt des petits gabarits.
Ensuite le protocole comme l'année dernière ça dure longtemps et certains s'esquivent avant la fin . Toutes les catégories sont récompensées. Coupe pour tous et lot pour tous. De voir les sourires la satisfactions des coureurs est totale. Je suis presque repu.
Retour vers le stand de Pascal pour le retour on papote, les shorts se taillent. Je me sens bien avec ma petite chérie tout contre moi. Par contre coach je me sens en manque de muscu si tu vois ce que je veux dire =>
30 minutes de route avec le plus gentil des photographes qui bichonne les jeunes. J'admire son courage. Comment il fait pour supporter Marie. Elle est intenable, 7Km et j'ai déjà envie de l'étrangler mais son rire et cette complicité non je n'y arriverais pas. Par contre une petite leçon de natation...
J'oublie l'idée de faire la sieste sur le chemin du retour car Pascal donne quand même bien des coup de volant et à l'arrière on est secoué, à moins que ça soit pour provoquer un rapprochement avec ma voisine . Le pauvre Morgan se fait tailler en beauté.
Retour à Lyon.
C'était un beau dimanche pour être en vie.
Pascal est un chauffeur au sens de l'humour toujours aussi décapant. D'ailleurs si tu fais la séance photo perso la 3eme miss en partant de ... non pas taper chérie c'est une blague il n'y a que toi.
Mon mémoire est rendu.
La vie c'est comme un ultra parfois ça fait mal et il faut juste s'accrocher et attendre que ça passe. Après la pluie le beau temps.
De retour vers la ligne bleue.
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13 commentaires
Commentaire de rapace74 posté le 03-09-2007 à 20:07:00
quelle belle declaration d'amour ce debut de CR ;-)))))))) bravo qd meme pour ta course meme si ton temps est mediocre!!!!!!!!! bon je fais le cake mais je n'y arriverais pas....
a bientot mat
manu
Commentaire de NoNo l'esc@rgot posté le 04-09-2007 à 00:41:00
Matthieu, je te préfère après la pluie, et j'crois que 'tite Marie aussi...
Merci pour ce récit lofoque comme souvent, bien à ton image en tout cas !!!
Comme d'hab, ça m'a bien fait marrer, surtout, garde la même ligne... de conduite ;-)
L'escargot_toujours_fan !
Commentaire de Khanardô posté le 04-09-2007 à 08:48:00
Ah, un récit du Thunder !
Un peu en demi-teinte, mais bon...
Eh oui, c'est dur dur de tout devoir mener de front...
Un peu de repos en Ardèche ?
Commentaire de Baobab posté le 04-09-2007 à 12:15:00
Beau CR, honnête etgénéreux, comme à ton habitude. Je ne me lasse pas de te lire.
A bientôt
Commentaire de photogone posté le 04-09-2007 à 12:17:00
Salut l'ami
Bravo pour ton cr tu es en forme
bien sur les coups de volant encore y en avaient ils, c'etait pour vous rapprocher
pour la séance photo je te tiens au courant.
Au fait ne mange pas pas trop attention au kgs
et Morgan qui ne sais plus ou il en ai ds ces pompes MDR
Bon ne changer rien vous êtes formidables les jeunes.
@+
Commentaire de taz28 posté le 04-09-2007 à 12:33:00
Toujours autant d'émotions perceptibles dans tes lignes Thunder ...
Oui tu es bel et bien vivant, et on aime ça..
Oui tu es bel et bien amoureux et on savoure avec toi..
Oui tu es toujours un gamin infernal, mais tu y arriveras :-)
Bisous à toi et Marie...
Taz
Commentaire de bigout66 posté le 04-09-2007 à 12:33:00
Slt Thunder,
ah lala ton récit me ramène quelques années en arrière à l'époque où j'étais encore étudiant. snif.
Ton cr est vraiment super sympa et m'a bien fait rire.
Dommage pour le chrono mais après tout le stress de ces derniers temps, ça doit te sembler vraiment secondaire.
@+ ;-)
Commentaire de agnès78 posté le 04-09-2007 à 21:02:00
mon petit mathieu...
après avoir lu ton récit et celui de ta douce, je me dis que la miss est fin prête pour adhérer au CPNH... Pour l'instant on est 3... bientôt 4 avec ta chérie!
Bonne continuationggg!
gros bisous
agnès
Commentaire de agnès78 posté le 04-09-2007 à 21:02:00
mon petit mathieu...
après avoir lu ton récit et celui de ta douce, je me dis que la miss est fin prête pour adhérer au CPNH... Pour l'instant on est 3... bientôt 4 avec ta chérie!
Bonne continuationggg!
gros bisous
agnès
Commentaire de Gibus posté le 04-09-2007 à 21:29:00
Salut Thunder
1° course depuis la thounight
tu devais etre en manque
t'as tjs la niaque, c le principal
a bientot
Commentaire de chtigrincheux posté le 05-09-2007 à 15:16:00
Pas mal d’années nous sépare mais que de points communs .Toi par contre tu as découvert la course à pieds bien plus tôt .Elle est salvatrice et permet de faire son trie cérébrale je nomme cela « masturbation cérébrale » mais bon…….
Accepte toi car d’autres on confiance en toi ,si elle t'a choisi c’est parce que tu es au dessus du lot et non pas par pitié ou bonne conscience …… Ne baisse jamais la tête car cela fais toujours plaisir à quelqu’un
Commentaire de patate posté le 08-09-2007 à 09:29:00
Matthieu
Je les aimes tes CR sale gosse et peut être même que celui la , car il traite aussi de choses plus intimes, moins CAP, me plait davantage.
Belle introspection en tout cas, belle analyse mais aussi beau CR comme d'habitude
A très bientot enfin je l'espère
Noël et tite patate
Commentaire de vial posté le 03-10-2007 à 21:20:00
Thunder j'ai bien lu "condrieu" et "verre percé" sacrilège quel gâchis! Ou bien n'ai je retenu que le pire de ton récit
hé la prochaine fois, pouor l'échauffement méthode ardéchoise, va s y en vélo (en tandem car j'ai cru comprendre que tu as trouvé une compagne de route.)
Un temps viendra ou tu pourras courir pour décomprésser de la vie active et non de la vie étudiante. Mais quelle est la plus active des deux?
Souvenir à vous deux
Et encore de nombreux kilomètres ensemble.
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