Récit de la course : Le Douze Cent 2024, par poucet

L'auteur : poucet

La course : Le Douze Cent

Date : 29/7/2024

Lieu : Veigne (Indre-et-Loire)

Affichage : 411 vues

Distance : 1200km

Objectif : Pas d'objectif

3 commentaires

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Douze Cents 2024 by Poucet

DOUZE CENTS 2024 by Poucet

Voilà une épreuve avec qui j’ai le bon feeling. Durant l’hiver, avant même le début des inscriptions, j’avais profité de mon inactivité forcée suite à l'opération de mon épaule droite pour étudier le nouveau parcours, réfléchir à un plan de route et à la logistique.

N’étant pas fan des longues heures d’attente j’ai choisi l’option d’un voyage le jour même, les horaires de trains me permettant d’arriver à St Pierre des Corps avec mon vélo non démonté d’arriver deux heures avant le départ. Évidemment, c'est toujours un peu risqué avec la SNCF et je n’étais pas très rassuré après les attaques ridicules du weekend précédent les JO et l’embrouille générale qui a suivi. Par bonheur tout c’est bien passé, j’ai débarqué à l’heure prévue en Touraine où régnait déjà une chaleur étouffante. Je me suis trouvé un petit coin d’ombre devant la gare pour poser mon barda et engloutir mon pique nique avant de roulotter tranquillement les 13 km jusqu'à Veigné. 

Avec 48 partants suite à quelques désistements de dernière minute , les formalités sont vite réglées et j’ai tout le temps de saluer les copains déjà sur la place. Je reconnais pas mal de monde mais il y a aussi des p’tits nouveaux, des anglais, des espagnols, un allemand. Et le grand sourire de deux féminines. 

En fait tout le monde sourit encore à l’heure du briefing. La météo promet d’être belle, le parcours s’annonce réjouissant, le van de Pascale et Jean Pierre nous offrira un peu de réconfort ici où là, toutes les conditions sont réunies pour nous permettre de vivre une belle aventure sportive.

Le premier groupe s'élance à 20h, je fais parti du second paquet qui part 20’ plus tard. Je profite de quelques roues à ma convenance pour avancer bon train sur les premiers kilomètres faciles. L'allégresse affichée par quelques uns dans les premières petites côtes laisse deviner des lendemains difficiles. Je lâche le groupe dans une traversée de village pour passer le gilet et actionner l’éclairage. Je repars seul dans la nuit douce, sur un rythme au diapason. Luc DSP, Francis et quelques autres me reprenne juste avant le premier contrôle d’Argenton où un petit ravito nous est proposé. Enfin ce qu’il en reste car les furieux de devant ont déjà bien nettoyé la table.

Durant toute la nuit je ferai le yoyo avec la bande à Luc. Nous roulons sur des tempo différents, et pourtant on se retrouve toujours. Les premières lueurs apparaissent quand un panneau m’indique Bourganeuf à moins de 30 bornes. C'est parfait, je suis sur place pour l’ouverture de la première boulangerie, conformément à mon plan de route.

A la sortie du village la petite route qui nous grimpe sur le plateau de Millevaches gratte un peu. Je retrouve quelques visages fatigués par la nuit, papote un moment avec Hervé Brangier qui souffre d’un pied et réfléchi déjà à un rapatriement anticipé. Quelques kilomètres plus loin Jean Pierre et Pascale nous accueillent à l’entrée de Vassivière avec du café et quelques gâteries. 

Nous poursuivons sur un tracé identique aux précédentes éditions, sans faire le petit crochet jusqu'au lac de Vassivière pourtant tout proche. C’est toujours aussi vallonné, les paysages sont bucoliques, je retrouve un Taoufik bien fringant pour quelques heures en commun. Puis un petit gruppetto avec Géraldine , Luc, Thierry D et Philippe M nous rattrape, le temps de quelques photos. La bosse à la sortie d’Ussel ne permet pas de rester homogène, mon timing prévoit une pause à Bort les Orgues et il faut donc appuyer sur les pédales. On ne profite malheureusement pas vraiment du joli plan d’eau créé par le barrage EDF, mais à défaut il y a bien un Aldi sur la trace à la sortie du bourg. La chaleur est étouffante, on se pause à l’ombre pour engloutir nos victuailles. J'ai déjà presque deux heures de retard sur mes prévisions, je repars sans tarder tandis que Taoufik préfère s’accorder une petite sieste.

La reprise est vraiment violente. J’aperçois un instant Géraldine à la sortie d’un cimetière, ravie d’avoir pu y remplir ses bidons, j’aurais aimé prendre un peu de temps pour papoter mais les premières pentes vers le col d’Aulac sont redoutables. Je ne connaissais pas ce col , il est vraiment difficile. L’approche en forêt est très longue mais la récompense est à la hauteur de l’effort fourni lorsque l'on débouche sur les grands espaces sommitaux qui offrent une vue extraordinaire sur le Puy Mary. La dégringolade sur Le Falgoux est grisante, à l’entrée du village Jean Pierre et Pascale nous attendent pour un petit coup de tampon et surtout un ravito bienvenu. 

Après Mary Jean Pierre en bas c'est Mary le Puy qu’il nous faut grimper . Par le côté le plus compliqué , sinon c'est pas marrant. Lors des précédentes éditions j’étais passé aux forceps. Cette fois j'avais les cannes perclus de crampes lorsque je suis arrivé dans le final et la pente s’est montrée plus forte que ma volonté. Le poids des ans ajouté à celui des bagages, j’ai dû mettre pieds à terre après le dernier lacet et pousser le vélo sur le dernier kilomètre interminable. Toujours très en retard sur mon timing je me suis quand même accordé un coca glaçons avant de m’engager dans la longue descente sous un ciel menaçant. La route était détrempée en bas, la température a chutée brusquement mais le profil cabossé a évité de se refroidir.     

La nuit n’était pas loin de tomber lorsque j’ai retrouvé Luc et le Grand Pascal en quête d’un plan bouffe. Si dans leur pratique du vélo les deux gaillards sont a l’opposé, ils se ressemblent par leur profil grand et sec. Et par leur humilité et leur courage, a l'instar de chacun des courageux baroudeurs ayant pris le départ.

Rien à se mettre sous la dent à Neuvéglise, mais j’avais bien noté qu’on pourrait trouver un bon plan à Chaudes Aigues. Sauf qu’avec deux heures de retard sur mes prévisions, il ne fallait pas traîner pour espérer trouver encore une terrasse accueillante. Finalement le centre bourg était encore bien animé, nous avons rejoint l'inséparable  trio Aleandro, Thierry et Antoine déjà attablé avec de belles pizzas prometteuses …

A table Luc est imbattable, c'est donc lui qui s’est remis en route le premier. Le Grand Pascal à préféré dormir ici, dans le même hôtel que le trio. J’ai terminé ma mega pizza tranquillement avant d’enfiler le gilet pour boucler les 30 bornes jusqu'à Nasbinal où j’avais réservé une chambre partagée avec Pascal PZ au gîte d’accueil NADA. J’avais prévu d’y être vers 22h, l’heure où j’ai quitté la pizzeria. Autant de temps à décompter de mon forfait sommeil. J’aime bien ce gîte NADA où j’ai déjà eu l’occasion de faire étape lors des deux dernières Traversés de France. Pascal bien plus costaud à même eu la chance de pouvoir partager le dîner avec les gérants … 

C'est évidemment un peu ballot de ne pas profiter des superbes paysages d’Aubrac, mais cette montée roulante dans la nuit toujours aussi douce n’était pas désagréable. Je suis retombé dans les feux à Luc à l’entrée du village. Luc a bifurqué vers le camping et j’ai rejoint ma piaule le plus discrètement possible pour quelques heures de sommeil après une loooongue douche réparatrice. Des ce premier soir  j'ai laissé tombé l’idée d’une petite lessive quotidienne … 

Mercredi Pascal est reparti le premier pendant que je faisais durer le plaisir du petit déjeuner au réfectoire du gîte. La route vers Bonnecombe avec ses pourcentages paisibles permet un démarrage en douceur, les premières lueurs du jour sont apparues à quelques kilomètres du col, me laissant le plaisir de déguster un peu d’Aubrac au petit matin.

Après une interminable descente je suis allé faire tamponner mon carton de route à la première boulangerie, à l’entrée de La Canourgue. La boulangère était très surprise que je ne prenne qu’un seul pain au chocolat. Si j’ai bien compris les précédents clients étaient Pascal PZ et Luc DSP …

Bref, ce pain au chocolat je l’ai dégusté sur la terrasse du premier café ouvert, avec deux doubles expresso. A ce moment j’ai vu passé un trio qui menait déjà bon train, parmi lesquels il m’a semblé reconnaître la barbichette de Jonas (???). Et pour ce qui me concerne, j’étais pratiquement revenu dans mes prévisions horaires.

Après avoir traversé le Causse de Sauveterre puis dégringolé sur Ste Enimie, les gorges du Tarn m’ont rappelé le superbe weekend de trail partagé avec Fafa en Mai dernier et ont illuminées le début de cette troisième journée. Ce coin est vraiment génial. Peu avant Florac nous avons bifurqué sur la gauche en direction du Pont de Mauvert, point de passage incontournable du Douze Cents. Mais Pascale et Jean Pierre nous attendaient un peu avant, au niveau de Cocures, avec des pâtes et de la pastèque. Le plan parfait. Du coup il y avait juste le niveau d’eau à faire au Pont de Mauvert avant d’aborder le très beau col de Finiels. 

Sur l’autre versant la supérette du Bleymard tombait à pic avant la suite. Je terminais mon encas quand le Grand Pascal s’est pointé. Je lui ai fait un petit topo pour la suite, apparemment il n’a pas été déçu. Pas très long et pas vraiment connu le petit col du Goulet est une vraie saloperie (dixit le Grand Pascal). C'est un soulagement de basculer pour une belle incursion ardéchoise, nouveauté 2024 …

Dans la traversée d’un village le trio des inséparables sirotait quelques rafraîchissements. Au bar la mémère de service s’appliquait à préparer le double Perrier menthe commandé par Philippe M ..  Saturé par le Coca, j’ai trouvé que c'était un bon plan. Surtout avec un Magnum amande en plus. Bien entamé, le Philippe était inquiet quant à la suite des réjouissances. Je me suis un peu fourvoyé en lui assurant que d’après mes souvenirs les cols de l'Ardéchoise étaient moins raides … Évidemment j’ai ravalé mon optimisme quand après avoir passé le pont sur la Borne je me suis engagé dans l’ascension vers le col du Chap del Bosc.  Redoutable le début !!!

Le contrôle suivant était fixé au cœur du petit village de Loubaresse où j'ai retrouvé Luc et sa moulinette imperturbable aux dernières lueurs du jour. Rien à se mettre sous les crocs sur les petites ardéchoises désertes. Une cinquantaine de bornes plus loin, le girophare du van est apparu dans la nuit noire comme une délivrance au pied du Gerbier de Jonc. Une nouvelle fois Jean Pierre nous a réconforté avec quelques sandwichs et du café. C'est le seul moment du périple où j’ai eu un peu froid. J'ai du enfiler le coupe vent, le buff et les gants avant de repartir en direction Le Puy où j’avais réservé une chambre à l’Ibis Budget. 

Il fallait au préalable aller pointer à Fay sur Lignon, joli petit village parait il. Il faudra revenir car tout était éteint à l’heure de mon passage. Le Jeudi était même bien entamé quand j’ai passé le panneau Le Puy. Dans la nuit je n’ai pas vraiment reconnu la ville charmante que j’avais eu le plaisir de traverser lors de la Via Podiensis. L’urgence était de rejoindre la chambre où Pascal PZ dormait déjà depuis un bon moment, afin de ne pas trop entamer le court temps de repos restant. J’aurai à peine dormi deux heures, mais profité d’une double douche et d'un copieux petit déjeuner. 

Le jour était levé lorsque j’ai enfourché mon vélo pour sortir de la ville par les avenues encore désertes, avant de suivre les méandres de la Loire sur un faux plat légèrement descendant. 

A Vorey nous avons quitté cet axe principal pour nous enfoncer le long du ruisseau de Chambeyron. Soudain la route s’est redressée, retour au 10% sur un tapis gravilloneux qui te colle sur place, finie la rigolade. Bref et intense, ce passage nous dépose sur un plateau bucolique ouvrant des vues superbes à 360 degrés. 

Malheureusement le plaisir ne dure pas longtemps car on retrouve vite sur une route avec beaucoup de circulation. Une petite aire de repos ombragée me fait de l’oeil alors que justement les miens se ferment tout seul. Je tente un petit rattrapage de sommeil mais entre les tracteurs, les camions et les bagnoles c'est a qui va pétarader le plus fort. Je me remet donc à la planche pour sortir de ce faux plat montant d’autant plus interminable qu’une petite brise s’est levée contrariant notre progression. Après Craponne l’itinéraire redevient plus paisible, on flirte avec les 1000m au niveau de Medeyrolles où débute enfin la descente sur Ambert, une belle bourgade qui arrive à point pour la pause de midi. C'est la fournaise en bas et aussi jour de marché. Les odeurs de bouffe sont plus fortes que les gaz d’échappement. Ça grouille de partout, je renonce à rentrer dans la foule pour m’offrir une plâtrée locale. Une boulangerie planquée dans une ruelle me permet de ne pas perdre trop de temps. 

La sortie de la ville est à nouveau bien pénible, je ne suis pas déçu de trouver enfin des voies plus tranquilles qui vont nous hisser par paliers successifs jusqu'au col du Beal, sommet de la randonnée à 1390m. Je pointe à 14h alors que j’imaginais passer sur le coup de midi. Pascale et Jean Pierre nous attendent pour un copieux ravitaillement, je prends tout le temps pour apprécier ce moment de réconfort. Le plus dur est fait, il faut maintenant gérer le retour sur Veigné.

Dans la descente un petit coin tranquille m’aura permis une petite sieste de 20’, suffisante pour retrouver un coup de pédale efficace face au vent de plus en plus sensible.

En fin d’après midi j’étais à Aigueperse pour l’avant dernier contrôle. Il était un peu tôt pour le dîner, j’ai décidé de rouler encore une heure pour rejoindre Ebreuil où j’avais repéré quelques restaurants. Au préalable il y avait un raccourci Openrunner bien saignant à la sortie du village de Chaptuzat … une fois engagé la dedans, autant aller au bout pour retrouver la route “normale”.

Après le pont sur l’autoroute la vue se dégage à nouveau, promettant une belle descente sur Ebreuil et quelques bosses ensuite. Au coeur de cette petite citée de caractère “Les plaisirs partagés” ne pouvaient pas mieux tomber. Plutôt que de laisser mon vélo devant la devanture, la jeune fille m’invite à rentrer mon barda dans l’arrière boutique. Avec son grand sourire elle m’explique qu’elle est adepte des Bikingman … Un circuit bien plus merchandising que nos BRM.  La surmédiatisation un brin artificielle de ce type d’organisation ne m’attire pas, mais je ne doute pas que pour le commun des cyclos ont trouve des émotions similaires . Bref, cette pizza du soir restera l’un des meilleurs moments de mon périple.

Sur les rives de la Sioule, Ebreuil se trouve au fond d’un trou. Pour sortir de là il faut grimper “la Bosse”, ça ne s’invente pas. C’est un peu long mais jamais difficile, parfait à l’heure de la digestion. J’aperçois quelques feux rouges déguerpir alors que j’arrive au sommet. La suite est un long toboggan jusqu'à Montluçon. Je rejoins Luc dans les derniers kilomètres et nous terminons tranquillement ensemble. Je jardine un peu pour trouver l’hôtel où je retrouve le trio des inséparables. Finalement il est tout juste minuit lorsque je me glisse sous la couette. Pascal ne dort pas encore (ou alors je l’ai réveillé), on convient de mettre le réveil à 4h30 …

Il reste un peu plus de 200 bornes pour rentrer, nous repartons tranquillement ensemble et nous retrouvons Luc quelques kilomètres plus loin, puis le trio nous rattrape. Le Van est garé au bord de la route, avec café, pain et confiture à disposition. C'est maintenant les espagnols qui se pointent et nous sommes un bon petit groupe rassemblé pour ce petit déjeuner inattendu.

Chacun repart a son rythme, le vent se lève à nouveau et j'ai pris le parti de ne pas forcer. Une belle boulangerie à l’entrée de La Châtre est parfaite pour le dernier contrôle, agrémenté d’un nouveau petit déjeuner. Luc s’installe également et m’impressionne une nouvelle fois par son appétit gargantuesque !!!

Sur le papier les 140 derniers kilomètres ne paraissent pas bien difficiles, mais pourtant ce n’est jamais complètement plat. Et puis ce vent contraire est vraiment décourageant. Il est midi trente lorsque je traverse Buzançais ..  a ma droite la traditionnelle boulangerie synonyme de ravito exprès, à ma gauche un petit resto qui affiche une formule bavette frites dessert. Je craque pour la deuxième option et je me pause pour un petit moment de bonheur, sans scrupules. 

En suivant l’Indre je reconnais les routes que nous avions empruntées sur les éditions précédentes. Puis Loches nous offre une variante pour une ultime pause Perrier menthe suivie d'un bon taquet pour sortir de la ville. Il reste à peine 30 bornes, qui me paraissent interminables. Les derniers kilomètres sont enfin un peu abrités mais la route est complètement défoncée  .. 

Et puis je croise le Président Jean Luc et sa copine de vélo tentée par la longue distance (et non pas sa maîtresse) venus à ma rencontre …  Je ne suis pas sûr de mériter autant d’attention, mais ce fut un grand plaisir que de glisser vers la salle des sports sous les applaudissements, avec un accueil aussi chaleureux. 

Mon plan de route prévoyait une arrivée pour 18h, avec une heure de marge sur le délai initial, et j’étais pile poil à l’heure. En retard systématique dès le deuxième jour, il aura fallu tailler dans les heures de sommeil pour compenser !!!  Le vin d’honneur a permis de faire durer le plaisir de se retrouver après cette belle balade qui laissera à chacun des souvenirs indélébiles !!! 

Hormis les petits jardinages pour corriger les coupes Openrunner farfelues (notamment dans les traversées de village) ou pour trouver les hôtels je n’ai pas fait de rab cette année. Heureusement car le poids des ans se fait sentir et la moyenne roulée baisse inexorablement … En attendant c'est une quand même une petite fierté d’afficher un Douze Cents *** au palmarès !!! Serais encore en état dans 4 ans pour tenter une quatrième ???

MERCI à Pascale, Jean Pierre et tous les gentils bénévoles qui nous ont offert cette belle semaine de vélo !!!!

MERCI spécial à François pour l’accueil à Veigné et la belle soirée partagée avec Christine et Michel 

ALBUM PHOTOS DOUZE CENTS 2024

3 commentaires

Commentaire de philkikou posté le 14-08-2024 à 09:23:56

Cette course contre la montre et tes nuits très courtes m’ont épuisé, je retourne me coucher pour récupérer !

Une nouvelle belle randonnée au long cours à ton palmarès, une année 2024 qui commençait par un passage sur le billard mais qui ne t’a pas empêché, voir permis, d’enchaîner de belles sorties à pied ou en vélo . Bravo à toi et aux organisateurs, impressionnant l’énergie et les heures qu’ils passent pour le plaisir de 50 fous roulants !

Commentaire de Arclusaz posté le 14-08-2024 à 11:31:47

ce parcours poussait Poucet dans ces retranchements mais il l'a fait ! d'ailleurs personne n'en doutait. Bravo

Commentaire de shef posté le 14-08-2024 à 16:23:16

Bravo !

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