L'auteur : DavidSMFC
La course : 4 heures de Montevrain
Date : 1/9/2019
Lieu : Montevrain (Seine-et-Marne)
Affichage : 818 vues
Distance : 45.46km
Objectif : Pas d'objectif
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4 autres récits :
Récit complet et bientôt illustré également sur mon blog : 4 heures de Montévrain - Mes expériences sportives
Comment mieux commencer la saison que par la découverte d'une épreuve tout près de la maison sur un format qui m'attire depuis un moment ? C'est donc comme une évidence que je me suis inscrit pour la première fois aux 4 heures de Montévrain. D'habitude, je réserve mon premier dimanche de la saison à une randonnée aux 25 bosses avec des badistes mais cette fois, j'ai enfin l'occasion de découvrir cette course.
L'on peut s'y inscrire en solo, en duo ou jusqu'à 4 par équipe. Je ne cherche même pas à constituer une équipe, j'ai bien envie de tenter le coup en individuel pour faire des kilomètres un mois avant le Trail du Viaduc des Fauvettes. Ce n'était initialement pas prévu mais la veille, je prends part aux Foulées Bourronnaises où je parcoure 4,264 kilomètres en 16 minutes et 05 secondes, un bon échauffement sur un parcours assez difficile pour une course sur route.
Et je suis prévenu d'entrée, le parcours n'est pas facile non plus ici à Montévrain, dans le Parc des Frênes. J'arrive sur les coups de 8h00 sur place après un petit quart d'heure de route. Par chance, il reste une ultime place sur le parking situé tout près de la cour d'école dans laquelle se trouvent le village de l'épreuve.
Dès que je sors de la voiture, je croise quelques FunRunners dont Antonio, Pierro et Nicolas G. entre autres. Je les salue et je retrouve également Benoît Pey. qui a rejoint la Team FunRun à la rentrée ! C'est toujours un plaisir de les croiser avec leur solidarité et leur bonne humeur. Je pars ensuite récupérer mon dossard.
C'est le numéro 124 que je porterai aujourd'hui. Un gobelet nous est offert avec car il n'y aura pas de gobelets en plastique sur le ravitaillement. Cela tombe bien, j'avais pris dans mes affaires mon gobelet rétractable très pratique des Fauvettes, il sera plus évident à utiliser que celui que l'on nous fournit et surtout, il rentre dans la poche arrière de mon cuissard !
J'en profite pour faire un point sur ma tenue du jour : la casquette rouge Kikouroù, un classique ! Mon cuissard court donc et le tee-shirt du Marathon de Marne-et-Gondoire puisque l'objectif premier du jour sera d'atteindre les 42 kilomètres. L'objectif suprême étant d'en faire 50 mais c'est un doux rêve. Enfin, aux pieds, je chausse mes Asics GT 2000, adaptées au parcours roulant dans un parc même si ce ne sera pas du bitume.
Enfin, quelques discussions précèdent ma course puisque je croise avec plaisir quelques connaissances dont Arnaud, Nicolas M. et Clément, un camarade kikoureur. Après un moment d'hésitation, je décide de faire un tour d'échauffement en solo pour repérer le parcours. 2,273 kilomètres au programme d'après la mesure précise de la roulette. Un parcours très sympa, ludique avec une belle montée peu pentue mais qui cassera en fin d'épreuve. Je repère aussi un single très agréable et je prends le temps de lire les très nombreux panneaux souvent humoristiques qui sont placés tout le long du parcours.
C'est à 9h00 que le départ est donné, dans des conditions météo idéales. Contrairement à la veille, il ne fait pas très chaud, il fera jusqu'à 25°C maximum aujourd'hui avec un soleil présent par intermittence. C'est donc parti pour pas moins de 4 heures d'épreuve, cela risque d'être long !
Je profite d'entrée de jeu de très bonnes sensations, bien meilleures qu'à Bourron-Marlotte hier après-midi. Pour autant, je gère tranquillement la première moitié du parcours qui m'est plutôt défavorable. Après un court single sympa, nous attaquons la montée la plus rude du parcours, qui semble facile pour le moment. En haut, nous rentrons dans les bois.
Un peu plus loin, nous suivons le coureur qui mène le groupe de chasse puisque certains concurrents en relais sont partis comme des flèches. Malheureusement, il se trompe de chemin en prenant un virage trop tôt alors qu'il fallait longer la rubalise. Nous sommes obligés de passer sous celle-ci pour retrouver la trace. Ensuite, nous attaquons le petit single sympa qui précède le contrôle réalisé à cet endroit le plus éloigné de la boucle pour s'assurer que tout le monde y passe bien à chaque tour et ne coupe pas.
Au sortir des sous-bois suivants, je lâche un peu les chevaux, ayant de bonnes sensations. Je double Antonio de la FunRun à qui je confie que je suis clairement en train de m'emballer n'importe comment mais je vois que Clément me suit donc je poursuis mon effort. Nous finissons la boucle quasiment ensemble et je passe en tête parmi les solos. Certainement 15km/h sur ce premier tour, ce qui est vraiment une bêtise sur 4 heures mais peu importe, je suis là pour m'amuser et je me sens bien donc j'en profite.
Allez, nous poursuivons sur notre lancée sur les deux tours suivants et je passe en tête aux côtés de Clément en ayant bouclé les 3 premiers tours en 28 minutes et 57 secondes.
Cette situation est très grisante. Nous menons la course, à bien trop vive allure, mais nous creusons surtout l'écart sur nos poursuivants. Mon camarade de course a récupéré de l'eau au passage pour s'hydrater, grâce à l'assistance improvisée d'une connaissance à lui, un avantage certain par rapport à moi. Il recolle instantanément. Clément a des jambes de feu, c'est lui qui mène l'allure à présent et moi, je suis.
A la fin du quatrième tour, nous nous arrêtons tous les deux à la table de ravitaillement pour boire un coup, sans perdre de temps. Nous sommes efficaces et repartons de plus belle, un début de course dingue. Notre rythme est très bon et je sais très bien que je ne tiendrai pas l'allure longtemps mais ça me fait très plaisir que nous menions la course à deux et que je puisse suivre un Clément au taquet. Sait-on jamais, on pourrait faire se décourager nos poursuivants qui se battraient pour la troisième place. Mais je surveille à l'endroit où on les croise à chaque tour et ils maintiennent bien l'écart, ça va être rude. Épuisons-les alors.
En général, il me prend quelques longueurs dans la montée puis je reviens progressivement dans les sous-bois avant de le rattraper en fin de boucle, dans la partie plus descendante. Cela tient pendant 5 tours mais dans le 6ème, je sens bien que je ne suis plus en mesure de suivre l'allure imposée par Clément. Je préfère de moi-même relâcher un peu et progressivement baisser le rythme pour trouver le mien, celui que je puisse tenir plus longtemps qu'une heure de course.
Passage sur la ligne d'arrivée après 6 tours en 58 minutes et 57 secondes, après avoir bu, 2ème à 30 secondes de Clément. Quasiment 14km/h pendant une heure alors que Clément me disait avant la course qu'il n'envisageait pas vraiment de faire du 12,5 km/h sur ce parcours, même en début de course, ce vis-à-vis de mon objectif de 50 kilomètres... J'ai été de mon côté plus rapide que lors de la Course de l'heure disputée sur la piste de Montereau il y a un peu moins de 4 ans, c'est dire.
Pendant près de 3 tours entiers, je limite bien la casse en gardant Clément en point de mire et en conservant ma deuxième place mais je sais qu'à tout moment, je peux voir débouler mes poursuivants car j'ai quand même clairement baissé l'allure. Dans le neuvième tour, alors que Clément s'est un peu envolé, je subis un vrai petit coup de mou.
C'est le moment le plus violent de la course puisque je ne vois pas revenir un coureur mais 3 d'un coup ! Ils étaient 3 à se suivre de près et à me déposer tour à tour. Nous sommes dans la toute fin de la boucle, sur la partie dans l'herbe qui précède l'entrée dans la cour de l'école. Denis mène le train suivi par Sylvain et surtout Ludovic, que j'avais repéré depuis quelques tours, avec sa casquette à l'envers. Lorsqu'il me passe, je me rends compte qu'il a le dos bien sale et il me concédera à l'arrivée avoir pris une bonne gamelle à cause d'une racine en tout début de course.
Je passe donc de la 2ème à la 5ème place, ça fait mal. Je me retrouve juste derrière les 3 qui viennent de me dépasser mais je n'ai pas la volonté de les suivre car il est encore beaucoup trop tôt dans la course. 1 heure 31 minutes et 16 secondes de course pour 9 tours donc plus de 20 kilomètres parcourus. C'est encore bien trop rapide.
L'objectif va être d'éviter de dégringoler dans le classement à présent. D'à peine plus de 10 minutes au tour, je vais passer à près de 12 minutes au tour sur les deux suivants. Je discute avec un membre de Marne-la-Vallée Endurance, organisateur de l'épreuve, qui m'accompagne à ce moment avec son vélo. Je lui dis que je suis désormais en gestion après mon départ rapide et que je ne vais pas chercher à suivre les gars qui luttent pour le podium. Je me suis bien amusé à suivre l'ami Clément et maintenant, je limite la casse.
Ce n'est pas là que je flanche vraiment, je garde une allure de course correcte en gérant la montée et en relançant ensuite. Ma foulée reste bonne et je suis encore très lucide, je commence juste à grimacer davantage. Je suis très concentré sur ce que je fais depuis le début en gérant bien ma respiration mais là, j'entre un peu dans le dur. Je dépasse un concurrent de l'USTA, mon club d'athlétisme. Il fait partie, avec 3 autres camarades présents aujourd'hui, du groupe Trail du club donc je ne les connais pas puisque je suis dans le groupe Piste. On échange quelques mots puis je relance.
Au ravitaillement, je mange une de mes pâtes de fruit mais j'ai du mal à manger avec cet effort, je privilégie surtout l'hydratation en alternant les 4 boissons proposées : de l'eau seule, avec du sirop de menthe, avec du sirop de grenadine et surtout avec du sirop de citron. C'est plaisant cette variété tout en restant de l'eau, simplement avec du sirop. Je bois désormais tous les deux tours et même parfois à chaque tour.
11 tours achevés en 1 heure 54 minutes et 50 secondes, toujours 5ème.
Le gros coup de mou, c'est au début de la troisième heure de course que je le subis, après un peu plus d'un semi-marathon. On dépasse la distance parcourue au Cul d'Enfer donc la dernière fois que j'ai fait autant, c'était au Trail des Fantômes, à un rythme bien différent malgré mon départ, là aussi, rapide (mais à 10km/h quoi !).
Là, je vais mettre plus de 13 minutes par tour et me faire doubler par Vincent, du club de Val d'Europe, dès le début du 12ème tour. Cela faisait un moment que je n'avais pas perdu une place tiens ! Les écarts sont plus importants dans cette zone de la course donc il est difficile de rattraper des concurrents.
Ce que je ne sais pas, c'est que devant moi, Sylvain vit un coup de mou semblable puisque malgré la chute de mon allure, je ne perds quasiment pas de temps sur lui. Il va même rapidement se faire dépasser par un Vincent en pleine bourre qui s'empare de la quatrième place.
A la fin de mon treizième tour, voilà Clément qui déboule et me prend un tour d'avance. C'est qu'il est encore bien en jambes le bougre, ça fait plaisir ! Toujours en tête. De mon côté, 13 tours en 2 heures 21 minutes et 58 secondes, 6ème à présent.
Je suis vraiment dans le dur là. Je vais encore un peu ralentir et passer à 14 minutes au tour - pauses ravito comprises - sur les tours suivants. Je commence même à marcher très occasionnellement dans la montée pour essayer de mieux relancer en haut et retrouver des forces car les jambes commencent à être bien lourdes.
A la fin du 14ème tour, Denis et Ludovic me doublent chacun leur tour pour me prendre un tour eux aussi. Je m'arrête à nouveau boire au ravitaillement. Benoît Pey., en relais dans une équipe de FunRun, vient aux nouvelles pour savoir si ça va et me féliciter des 2h30 de course que j'ai réalisées. Je lui dis que je vais maintenant beaucoup marcher et essayer de relancer quand je le pourrai mais que je ne suis plus qu'en gestion jusqu'au bout, pour finir quand même.
Je suis convaincu par ce que je dis mais lorsque je repars, je cours immédiatement, bien décidé à ne pas marcher quand c'est plat ou un peu descendant. A partir de maintenant, je repars sur chaque boucle avec mon gobelet à la main, en buvant tranquillement au moment de franchir l'arche d'arrivée pour me faire pointer puis je repars tranquillement.
Là, je connais un petit soucis puisque dans la montée, j'ai le genou qui grince un peu, je ressens une légère douleur pas cool. Je me mets quasi instantanément à marcher et par miracle, la douleur disparaît sur la relance et ne reviendra plus ensuite. Étrange quand même. Je finis péniblement mon quinzième tour après 2 heures 49 minutes et 45 secondes de course, toujours 6ème. Allez, il reste moins d'1h15 d'épreuve désormais !
Là, j'ai un petit coup de mieux qui fait du bien au moral. Alors, la fatigue accumulée n'aidant pas, je n'accélère pas vraiment, je reste à 13/14 minutes au tour mais dans la tête, ça va mieux et sur certaines relances, je suis plus à l'aise. Je marche parfois un peu dans la montée mais jamais toute la montée et je repars avant le sous-bois. Les jambes tirent mais je sens que je vais aller au bout en limitant bien la casse. Je suis toujours 6ème sans savoir où sont mes adversaires directs donc je tiens le coup.
Péniblement, je fais un tour avec Arnaud et un ami à lui. Cela me rebooste un peu mais j'ai du mal à suivre des coureurs à qui j'ai pourtant pris deux tours ou plus pour d'autres. En revanche, je bénéficie ensuite de quelques repères. A la fin de mon 16ème tour, il est annoncé qu'il reste 58 minutes d'épreuve puis à la fin du 17ème tour, alors que je n'étais pas parvenu à savoir avec certitude combien j'en avais parcouru jusque-là, il est clairement annoncé à haute voix que j'ai réalisé 17 tours. Aaaaah, l'objectif est donc d'en faire encore 3 en un peu moins de 45 minutes pour faire mieux que le marathon. 20 tours, ce sera bien. Avec de la volonté, je pourrais même aller chercher les 21 tours mais non, je n'ai pas envie de subir encore pendant près d'une heure, ça ne vaut pas le coup.
Allez, je finis mon 18ème tour avec du soulagement, j'attaque vraiment la dernière ligne droite. Il reste 30 minutes de course, c'est assez large pour que je fasse mes deux tours restants et je peux même me permettre de traîner un peu pour ne surtout pas avoir un 3ème tour supplémentaire à faire. Le luxe ! Et en plus, je suis toujours 6ème, c'est cool.
Lorsque je m'arrête aux ravitos, j'échange quelques mots avec les deux Benoît P. que je connaisse... ! Benoît Pey., mon collègue à Chelles, engagé sur la course, qui s'apprête à faire son dernier tour. Et Benoît Ponton, l'organisateur de l'Oxy Trail qui s'inscrit même dans un club de Badminton cette saison ! Nous aurons l'occasion d'en parler un peu à l'issue de la course. Il rejoint le club de Vaires dont je connais bien le très sympathique président, Franck avec qui j'ai fait le Run & Bike d'Ozoir il y a quelques temps.
Et allez, c'est reparti, avec ma traditionnelle tactique du verre dans la main pour repartir et être pointé. Du coup, je marche un peu et lorsque je finis de boire, je me retrouve aux côtés d'un autre gars de l'USTA avec qui je vais discuter pendant près d'une demi-boucle à un rythme correct qui me convient bien. Lorsqu'il s'arrête pour attendre son collègue, j'en profite pour accélérer un peu afin de finir le tour à une allure un peu plus soutenue.
C'est à ce moment que je franchis le cap du marathon avant de me faire déposer par Benoît Pey. en fin de boucle. J'en profite pour remercier la Team FunRun dont j'ai reçu nombre d'encouragements pendant la course avec un merci particulier à Nicolas G. qui aurait dû participer à la course sans un petit pépin physique, Benoît Pey. et Antonio pour leurs nombreux "allez David !" très motivants !
Fin de mon 19ème tour, également toujours encouragé par les membres de l'organisation, une orga sans faille sur cette très chouette et conviviale épreuve. Je repars pour mon dernier tour, à 15 minutes de la fin de la course. En courant pendant toute la boucle, je pourrais arriver à temps pour repartir pour un 21ème tour. C'est donc délibérément que je ne cours surtout pas !
Je fais tout le début du tour en marchant, en faisant attention de ne pas gêner ceux qui courent encore. J'observe derrière moi et je vois arriver Clément, désormais 2ème de la course car Denis a fini très fort. Je relance brièvement à ses côtés, le temps de m'assurer que son poursuivant ne revient pas grâce à la vue plongeante sur la montée que l'on a avant d'entrer dans les bois. Une fois l'info transmise, je me remets à marcher.
Je marche jusqu'au point de contrôle où on me motive à relancer dans la descente. Allez, soyons fous, je ne vais pas finir en marchant tout du long quand même ! Mais que les jambes sont lourdes, je n'en peux plus. Démotivé, je me remets à marcher juste après avoir été dépassé par un autre coureur solo, Axel, qui a un tour de moins que moi à son compteur.
On échange quelques mots et quand je m'arrête de courir, il s'arrête pour me motiver à repartir ! C'est super sympa de sa part. Il me dit que je ne vais quand même pas m'arrêter à 4 minutes de la fin ! Allez, je relance pour lui faire plaisir et on finit ensemble. Enfin, ensemble, ou presque puisque je suis bien incapable de finir ce genre d'épreuve sans accélération finale ! Je m'y refuse pourtant rien que pour le fait qu'Axel m'ait attendu très gentiment mais il me dit d'y aller, lui n'étant pas en capacité d'accélérer.
Du coup, je finis les 200 derniers mètres à grandes foulées, bien requinqué, un 'sprint' final qui n'aura pas servi à rien puisque je sauve pour 12 secondes ma 6ème place devant un certain Alain ! OUF ! Et en plus, ça m'a fait du bien même si je suis cuit à l'arrivée. 4 heures 02 minutes et 43 secondes d'effort pour 45,46 kilomètres parcourus sur ce parcours difficile. Je finis 6ème sur 25 individuels !
L'après-course est sympa bien que je sois complètement cassé. C'est l'occasion pour moi d'échanger avec Ludovic avec qui j'ai fait connaissance, avec Benoît Ponton aussi, avec Clément dont j'assiste au beau podium et avec des membres de la Team Athlétik Laktik qui ont cartonné sur les courses relais ! Une très belle matinée de course. Encore merci à l'organisation pour cette belle épreuve et cet agréable parcours ainsi qu'aux connaissances croisées pour nos échanges et les encouragements reçus ! Je reviendrai, c'est certain, mais en solo, duo ou en équipe ? Telle est la question...
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