Récit de la course : Grand Raid du Cro-Magnon 2006, par La Tortue

L'auteur : La Tortue

La course : Grand Raid du Cro-Magnon

Date : 3/6/2006

Lieu : limone (italie) (Alpes-Maritimes)

Affichage : 2803 vues

Distance : 87km

Objectif : Terminer

8 commentaires

Partager :

6 autres récits :

Le récit

Débuter un Cr d’un grand rassemblement zoo est toujours un exercice rigolo, allons-y donc !

Aéroport Nice cote d’azur en ce vendredi midi, je commence à le connaître celui-là, je suis le seul animal téméraire à monter dans la nouvelle dingomobile ! On a tout notre temps et on va flâner sur la grande corniche avec des pauses photos et des souvenirs d’enfance à raconter pour arriver au Cap d’Ail (commune limitrophe de Monaco) vers 16h00.

A la salle d’accueil, on apprend que le parcours sera modifié et que le départ est différé de 5 à 6h du matin ! Mais rien de plus, l’organisateur, au demeurant sympa, n’a pas l’air de contrôler la situation et vu les soucis qui semblent l’accabler, j’ai pas trop envi de l’enquiquiner avec mes questions. Le temps de boire un coup avec le bourrin et Cyril sur la plage et l’heure du départ du bus vers Limone approche. Oui, mais, les grenoblois (souris, blueb, festnoz) sont encore dans les bouchons. Je m’inquiète auprès de l’organisation, on m’annonce que les bus sont aussi retardés et c’est avec plus d’une heure de retard que notre troupe zootesque se retrouve presque au complet dans le bus. Il y a là : le festnoz, la souris, le blueb, le dingo, Cyril (un kikoureur), Alain (un copain du dingo qui finira 8ème !) et votre serviteur. Il ne manque que le bourin monté dans un autre bus, ltdb et le troll qui ont pris une navette plus tôt, ainsi que ray et gé qui ont prévu la super organisation comme toujours avec intendance roulante spéciale pour Gé conduite par Ray qui est toujours aux petits soins pour les mollets qui ont fait trembler hollywood. La progression du bus est très lente, la traversée de Monaco, pas encore débarrassé des restes du GP de F1, est apocalyptique et c’est finalement vers 22h que nous arrivons à Limone dans la confusion la plus totale ! Retrouvailles avec le reste de la troupe de zanimaux précédemment décrite.

Fais pas chaud chaud dans le bled ! La pasta partie « frugale » est expédiée rapidos. Les foux-furieux ont planté la tente dans la boue et près d’un ruisseau (bonjour l’humidité), Ray et Gé ont leur ring d’amour à roulette parfaitement équipé, le festnoz part s’isoler et nous nous retrouvons seuls avec la souris sur la place en attendant notre navette pour monter à l’hôtel. En fait notre chauffeur se restaure, j’en profite pour demander un rab de pâtes et boire une p’tit coup de rouge avec les autochtones (ce qui sera peut être une erreur….). On arrive enfin à l’hôtel vers 23h15, accueil charmant, et merci encore au chamois pour la piaule. On prépare nos sacs avec la souris pour le lendemain et après 4 petites heures de sommeil : bip bip ! C’est l’heure du petit dej, copieux et varié, un vrai bonheur ! Comme toujours avant le départ d’une course je vais faire un passage aux toilettes et dès cet instant, je sens que côté boyaux, ce n’est pas la grand forme-;-( la libellulite me guetterait-elle-;-)))

Le départ a été déplacé de 400 m de D+ plus haut que prévu. Le copain du chamois nous monte en voiture et c’est toujours dans le même joyeux bordel ambiant que nous débarquons sur le front de neige. Il fait 0 degré, mais le ciel est limpide et la journée s’annonce superbe. On ne sait toujours pas qu’elles sont les modifications du parcours et à 6h00 du matin, le départ est donné.

On attaque d’emblée une grimpette dont on devine le sommet. J’estime à 400 m de D+ la « bosse ». Après avoir suivit la route pendant quelques lacets, je décide de monter droit dans la pente comme la plupart des coureurs. Il faut dire aussi que depuis 4 ou 5 jours, je tousse comme un rat mort et que j’aimerais bien tester mes capacités pulmonaires sur cette montée sèche. En haut de la bosse, il y a regroupement général du zoo : le festnoz, ltdb, le blueb, la souris sont là. Seuls le dingo et le troll semblent parti comme des balles. Pas de nouvelles du Gé et du bourrin. Je suis monté très facile au niveau des jambes, mais je sens que les poumons ne sont pas très performants et qu’il me faudra éviter les inspirations profondes qui me déclanchent des quintes de toux. La pente se calme, et nous continuons avec le blueb et la souris sur le col de Tende. Au sommet, la bise nous cueille et on ne traîne pas dans le secteur. On se retrouve sur une partie roulante avec le blueb, il est très très en dedans et je sens qu’il se freine volontairement et que je lui sert de limitateur de vitesse. On papotte de choses et d’autre quand le boyaux qui me tiraillaient depuis le petit dej m’obligent à un arrêt urgent. Ca va mieux mais ce n’est pas ça encore.

Je retrouve le blueb dans la descente vers le vallon de la minière. Superbe passage le long d’une charmante rivière où j’observe quelques truites en poste dans le courant et je m’imagine bien revenir un de ces jours histoire de leur piquer le museau ! Il fait maintenant très chaud et je tombe le coupe-vent et la polaire pour me mettre en tenue de soleil avec mon t-shirt kikourou manche courte qui commence à être bien fatigué. Dans la descente on a retrouvé l’itinéraire initialement prévu et on arrive au ravito de la minière au bout de 3 heures de course. Si vous avez bien suivit, c’est donc le premier ravito, or sur le road book initial, on devrait en être au km 34 et au deuxième ravito. Comme on ne sait toujours pas officiellement la distance et le dénivelé qui ont été modifiés, je pense que l’on a fait environ 15 bornes et 1000 m de D+ en moins. Les estimations les plus diverses seront émises à l’arrivée sur ce sujet.

J’ai une stratégie sur cette course de toujours avancer et de limiter au maximum les arrêts au stand. Ma poche à caloreen est suffisamment remplie, aussi je prend un petit casse-croûte au jambon fromage et deux verres de coca et attaque la montée vers le pas de la Nauque. Le blueb reste derrière pour se ravitailler plus tranquillement. La montée est idéale, raide mais pas trop et surtout bien régulière. C’est sur ce genre de terrains que je suis le plus à l’aise. On peut prendre un rythme régulier et ce n’est pas les rochers ou les « escaliers » qui imposent la longueur et la hauteur de pas. Je sens que je monte bien, mais c’est tout surpris que je débouche au pas de la Nauque avec une vitesse de 500m de D+ à l’heure ! Waouh, j’ai les bonnes cannes ! Si seulement, j’arrêtais de tousser et d’avoir les boyaux qui jouent de la guitare, ce serait le top ! Au pas de la Nauque, la vue est superbe : « on voit la mer ! » elle paraît si loin et si proche à la fois, et surtout, tous ces sommets et toutes ces crêtes entre elle et moi…clic clac photo, et le temps de ranger le matos, je vois débouler le blueb. On continue donc notre ascension ensemble vers la corne de bouc. On rattrape la souris qui semble en difficulté et on attaque la longue descente bien technique tous les 3. Je suis surpris de voir que je descends bien moins bien que je le pensais. J’ai une certaine appréhension et surtout je commence à avoir très mal au pied droit dans les pentes. La souris en revanche a fait de sacré progrès depuis le Mercantour 2005. Jusqu’au ravito de l’Authion, il s’en suit une très longue partie assez roulante avec peu de dénivelé. On passe quasiment au pied de la cime du diable (je crois) que je reconnais à son calvaire au sommet ! La souris a aussi des soucis intestinaux et le blueb enclenche la deuxième. Je le vois s’éloigner progressivement et je ne cherche absolument pas à m’accrocher, trop occuper à gérer mes poumons, mes boyaux, mes pieds et maintenant ma hanche gauche qui me fait une drôle de douleur dès que je mets la patte sur un appui instable. Deuxième pause popo, décidément, je me fais une libellulite aigue ;-)

J’ai hâte d’arriver à l’Authion car je vais pouvoir y soigner mes pieds. J’y suis accueilli à bras ouverts par l’antilope et les parents du bourin qui ont disposé deux petits fauteuils pliants à la disposition des zanimaux. Quand j’arrive, le blueb repart. L’antilope est aux petits soins pour moi, elle va me chercher mon sac de rechange, me ravitaille. J’entreprends alors d’enlever les chaussures…la taches rouges visibles sur les chaussettes me font craindre le pire….j’enlève les chaussette et je comprends mieux pourquoi j’ai mal ! Ce ne sont pas des ampoules que j’ai, mais ce sont carrément deux arrachements profonds qui ont emporté derme et épiderme ! C’est pô beau du tout. Je pose 2 compeed, j’enveloppe tant bien que mal d’élasto et je traite en préventif avec de l’élasto quelques zones qui commencent à chauffer. Je revaseline le tout, remets des chaussettes propres et les chaussures. Je me lève un peu inquiet ! Génial ! Je sens quasiment plus rien ! Le moral est au beau fixe. Ça me fait plus que les boyaux, la hanche et les poumons à gérer, un vrai bonheur ;-) en parlant de boyaux, faut peut être que je mange quelque chose. Je n’ai absolument pas faim malgré les 8 heures de course, mais je me force à avaler une petite assiette de pâtes et deux verres de coca. Je fais le plein de caloreen. Je prends congé de mes hôtes (merci encore à eux) et je quitte mon pliant pour le laisser au bourin et à la souris qui viennent d’arriver. Ma stratégie d’arrêt ravito express en a pris un coup, car rien que le soin de mes pieds m’a pris 25 minutes et on a papotté avec l’antilope. Après 45’ d’arrêt, je repars avec à peu près 40’ de retard sur le blueb et 1 heure sur le dingo !

Forza la tortue !

Jusqu’à la baisse de la déa, j’alterne marche et course à un bon rythme sur un terrain toujours assez peu accidenté. Je reconnais, rattrape et double « George », un UFO qui avait fini le mercantour avec l’électron l’an dernier. Sans dénivelé, je ne tousse pas, mais j’ai toujours les boyaux à l’envers. Ce n’est que dans la longue descente vers Sospel que la délivrance intestinale arrivera, il était temps, j’étais de toute façon à court de PQ ;-) ! Et à partir de ce moment là, ça va être « super tortue » à l’attaque. Je « pète » la forme ! Je courre comme un dératé dans cette longue descente assez roulante. J’arrive à Sospel comme une balle. J’ai à peine le temps de resaluer l’antilope et d’avaler un verre de coca que j’entame plein pot le col suivant. Je remonte un nombre incalculable de concurrents dans cette pente raide mais régulière comme je les aime décidément. Une seule chose me gène : la chaleur. On est descendu à 400 m d’altitude, c’est le plein après-midi et ça cogne ! Mais je grimpe dans cette foret en compagnie d’un nouveau camarade de jeu : Emilio, avec qui on va se relayer régulièrement. Au col du castillon, je revoie pour la dernière fois l’antilope. Je passe sans m’arrêter et fonce vers le prochain ravito : le col des banquettes ! Il y a de longue portions roulantes que j’avale en courrant pas trop mal et en marche forcée dans les montée. A 500 m du col, je suis très étonné de tomber sur le blueb ! Honnêtement, et connaissant le dingo et son légendaire coup de mou au ¾ de la course, je pensais pouvoir le rattraper, mais jamais je n’aurais cru rejoindre le blueb ! Il m’apprend en fait que j’ai doublé le dingo sans m’en rendre compte au col de Castillon car il s’est tapé une hypo.

Au col des banquettes, on ne va pas faire…banquette justement. Le blueb attaque la polenta, moi un petit verre de soupe et en avant. Je compte bien monter et redescendre la dernière grosse difficulté de jour : la cime du baudon. 500m de D+ avec des passages bien raides. J’attaque plein pot, le blueb dans la roue. Sur la fin, je coince un peu, il prend le relais et on atteint le sommet au coucher du soleil en pile poil 1 heure. Encore du 500 m de D+ à l’heure ! Décidément, j’ai les bonnes cannes aujourd’hui. Certes j’ai bien une quinte de toux qui vient me perturber de temps en temps, mais j’avance quand même. La descente du baudon est très dangereuse et j’ai les genoux et les cuisses un peu flageolants, aussi je suis très prudent. Le blueb ne m’abandonne pas, super ! Une dernière petite bosse pour monter vers un relais TV qui surplombe la baie de Menton et il est temps d’allumer les frontales. Il est 10 h du soir et avec le blueb on se fixe une arrivée pour minuit. Il reste 12 bornes environ, quasi que de la descente, c’est jouable. Vouimé, le début de la descente dans le noir n’est pas très roulante et le balisage peu évident, ce qui fait que nous atteignons le dernier ravito à la Turbie à 11h10. On se loupe un peu dans le Turbie et on attaque la dernière descente par un sentier de chèvre sur le cap d’Ail ! Aie ouille, je suis cuitos. Le blueb sans pour autant prononcer un mot m’encourage à le suivre. Je perds 10 à 20 m dans les parties techniques mais dès que je peux je reviens sur lui ! Enfin, les rues du cap d’ail, on peut « dérouler » la foulée ! Les derniers escaliers, aie ouille ma hanche ! le chemin en bord de mer, 500m, 300m, je tente un « sprint » effréné, mais les genoux veulent plus se lever ! Minuit et 1 minute : la linge d’arrivée, main dans ma main avec le blueb ! Et zou, encore un grand moment de bonheur à mettre de côté pour nos vieux jours !

Alain et le festnoz nous accueille, le Gé qui est arrivé juste avant est sous la douche. Je suis excité comme une puce, mais j’ai terriblement mal aux cannes. Monter les quelques marches qui me séparent de mon sac sera très difficile. Le dingo est arrivé entre temps, une bonne douche, un bon repas, et hop, au lit ! Je n’avais absolument pas prévu de dormir cette nuit, pensant encore être en course jusqu’au petit matin. Ray me prête un duvet, et ayant repéré la veille le terrain de volley en sable, nous allons nous coucher avec le blueb à la belle étoile. La nuit est magnifique, douce. J’ai les cannes en feu, c’est la tempête de sentiments dans me petite tête de tortue. Je regarde les étoiles, contemple l’entrée du port de Monaco duquel le phare tribord (voyant vert) me fait des clins d’oeil, je vois les arches du stade Louis II, j’écoute le doux ronronnement des vaguelettes qui viennent lécher les galets, le moment est vraiment insolite ! Demain les propriétaires de Mercedes monégasques viendront fouler cette plage, et je suis là à rêvasser ! Géant !

J’ai du m’embourgeoiser avec les années, et ça faisait longtemps que j’avais pas dormi à la belle étoile. Aussi, la nuit sera agitée, très souvent réveillé par des douleurs aux jambes et quelques énergumènes avinés, mais c’est finalement le soleil et la chaleur qui me sortiront de mon duvet. Petit dej pantagruélique, avec quelques dames bénévoles aux petits soins pour les coureurs. La quantité et la qualité du buffet d’arrivée me feront oublier toutes les mauvaises pensées que j’ai eu au départ et sur le sentiment de grand flou général qui a précédé le départ.

Le troll et le bourin sont déjà repartis, mais je retrouve la souris qui a fini tranquillement à sa main. C’est le moment de goûter la nouvelle gourdasse bleue peaufinée par le toutou et offerte avec le sourire par Ray ! Excellente, bravo mon toutou !

Le soleil est maintenant assez haut, et ça cogne. Un bon bain de mer me fera un bien fou ! On est tous là sur la plage : heu-reux, à déguster ces bons moments. Cette matinée sur la plage sera un grand souvenir zootesque pour moi. LTDB est certes déçu mais il ne le fait pas trop montrer. Avant la remise des prix, on a le temps d’aller prendre un petit apéro bien frais. J’y enlève mes pansements aux pieds et découvre l’étendue des dégâts ! A part des bains de pieds à l’eau de Lourdes, je vois pas trop ce qui peut m’aider ;-)
Re-apéro à la remise des prix ! Alain fait deuxième V1 : chapeau ! Une bonne petite pizza à Monaco, puis les grenoblois nous quittent. Une dernière petite sieste à l’ombre sur la pelouse, et c’est Ray et Gé qui doivent partir ! On a le temps pour les avions, le dingo nous fait visiter avec la souris, le charmant petit village d’Eze. Un dernier adieu à l’aéroport et je me retrouve dans l’avion. Nantes 23h retrouvailles chaleureuses avec la famille ! ouf ! quel we !!!

Pour conclure, si je devais comparer avec le mercantour 2005, je dirais que ce sont deux courses qui ont été totalement différentes :
- le parcours est beaucoup plus « facile », surtout avec les 15 bornes du début en moins, avec moins de longs cols à grimper et beaucoup plus de parties roulantes où on peut courir pour gagner beaucoup de temps
- j’ai bien aimé le côté logistique du mercantour où l’on part et arrive du même endroit, avec une tente et un camping qui vous attend. En revanche le fait de relier la montagne Italienne à la méditerranée a quelque chose de génial.
- Côté paysage, le Mercantour m’a paru plus joli, mais peut être est-ce du au fait que c’était ma première course de montagne.
- Côté ravito, même si ceux de la cromagon sont très corrects, j’ai trouvé le Mercantour mieux, avec des ravitos souvent organisés dans des bâtisses en dur !
- Sur un plan personnel, cela a aussi été totalement différent. Au mercantour, je découvrais. J’y suis allé très prudemment et j’étais surtout heureux par le simple fait de progresser dans la course. Cette année, je savais au départ que sauf catastrophe, j’irais au bout. J’ai plus cherché la « performance », même si j’ai pris le temps de faire des photos et de contempler le paysage.
- L’an dernier, j’avais fait la nuit et les dernières heures avec la souris puis le dingo et la libellule, mais ma joie à l’arrivée était assez « personnelle ». Là, j’ai passé beaucoup de temps au début avec le blueb et aussi la souris et j’ai vécu un final extraordinaire avec le blueb sur les dernières heures et un véritable partage de la joie de la « victoire » ! de très grands moments gravés dans mon crâne de carapacé !
- Match nul entre les deux courses donc, chacune apportant son lot de joies et d’émotions.

Merci à tous ceux qui ont appelé ou envoyé des sms, même si je n’ai pas eu toujours du réseau et si je n’ai pas pu toujours répondre, ça fait vraiment chaud au cœur d’entendre le son de la voix d’un ami ou même le bip bip du sms car on sait que quelqu’un pense à nous !


Allez kenavo, les poteaux ! Il y aura d’autres challenges à relever mais pour un prochain Cr de tortue, il faudra attendre un peu car j’ai du repos à prendre désormais pour colmater quelques petites fissures qui commencent à apparaître sur ma carapace…


pour les photos, c'est là :
http://rapidshare.de/files/22812113/cro_rapidshare.zip.html

--------
Bien amicalement
La tortue
--------

8 commentaires

Commentaire de l'ourson posté le 05-06-2006 à 23:27:00

Bravo la Tortue ! Vraiment très fort mon Zami !! Repose toi bien maintenant car après tout ce programme bien chargé tu vas pouvoir laisser tes doigts de pieds un peu tranquille !!!
L'Ourson_vivement_ton_prochain_CR.....

Commentaire de akunamatata posté le 06-06-2006 à 09:05:00

Beau récit La Tortue,
Com' D'hab presque en direct live!

Commentaire de le_kéké posté le 06-06-2006 à 12:06:00

Bravo pour ta course la tortue, ton CR est vraiment sympa.
Signale nous si tu as des photos car on aimerait bien avoir qq illustration

A+

Commentaire de totoche58 posté le 06-06-2006 à 13:29:00

Une course tip top et un CR encore plus que cela ...Bravo à toi la tortue .

Commentaire de oufti posté le 06-06-2006 à 13:51:00

Bravo pour ta course et ton récit!!! Les problèmes de popo, c'est p'têtre à cause du rouge...

Commentaire de Cyr posté le 06-06-2006 à 13:58:00

Excellent,

Merci pour ce récit et pour l'acceuil de tous les animaux présent sur la course que je ne connaissais pas.

A bientôt

Cyril

Commentaire de devey posté le 06-06-2006 à 18:42:00

bravo la tortue

Commentaire de Kiki14 posté le 03-08-2006 à 10:35:00

Merci La Tortue pour ce captivant récit
quel courage ...j'ai bien aimé le passage des truites (j'suis obligé d'aller dans un lac artificielle et payant pour en avoir..!) et je partage tes blessures aux pieds (depuis ma dernière course)
et te dis un grand BRAVO et bonne reprise

Il faut être connecté pour pouvoir poster un message.

Votre annonce ici !

Accueil - Haut de page - Aide - Contact - Mentions légales - Version mobile - 0.1 sec
Kikouroù est un site de course à pied, trail, marathon. Vous trouvez des récits, résultats, photos, vidéos de course, un calendrier, un forum... Bonne visite !