laulau a écrit:Même si je reconnais l'énorme boulot,y'a quand même quelque chose qui m'interpelle, c'est que tu associes dénivelé positif avec technicité. Une grosse montée sur un bon sentier raide n'est en rien technique alors qu'un trail sans gros dénivelé peut l'être beaucoup plus.
Tu classes au même niveau de "technicité" des courses sur route telles que la montée de l'Aubisque ou la montée du Plat d'Adet (technicité zéro pour moi !)que les Templiers
L'ossaloise (mi-route mi-piste) n'est pas technique non plus et est voisine sur ce classement de trails où il faut souvent regarder où on met les pieds.
Enfin, voilà mon avis ! à débattre !
Je pense que tu as survolé le post (déjà un peu touffu il est vrai).
Je me voyais mal faire des inter-classements (c'est long tout ça). C'est à chacun de les faire. Je ne mélange rien, c'est juste une affaire de présentation ... sommaire sur ce coup-là.
Technicité, difficulté, ne sont d'ailleurs pas les bons mots pour expliquer le classement tel qu'il apparait. Comme quoi on peut manquer de vocabulaire, même quand on aime le français.
Trouver des mots donnerait d'autres remarques. Les épreuves figurant en tête sont des épreuves soit techniques, soit difficiles (dénivelé), soit les deux. L'état du terrain y entre pour une bonne part, mais je n'ai pas trouvé le moyen de le dépiauter du reste. Nonobstant sa combinaison avec les autres paramètres de difficulté est intégrée et s'exprime pour partie à travers le résultat obtenu.