JuCB a écrit:cedricmtpl a écrit:...mon entrainement relativement spécifique kmv ne me donne pas non plus un niveau spécialement bon en kmv mais il y a sans doute d'autres raisons (manque de volume, de talent)
moins de 45' au kv, moins de 2h au 2kv : il n'y a pas à rougir non plus.
Et je ne parle pas des victoires en V1 sur d'autres courses...
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Merci!
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Par contre c'est une seule victoire en V1 et quand même un peu un coup de chance vu que ma course a été cotée à 644, ce qui est peu pour un 1er V1 mais beaucoup pour moi, j'en suis quand même très content!
Pour revenir au sujet, j'aime bien le D+ et ça tombe bien je vis dans la vallée de l'Arve, c’est vrai qu'on rencontre très peu de plat dans les courses que je fais, du coup je m'étais dit que c'était inutile de faire un "vrai" entrainement course à pied. j'en reviens un peu maintenant en cherchant des axes de progression. Je vais dont essayer de m’entraîner un peu plus en vitesse dans des endroits plus roulants, mais c’est vrai que l'endroit le plus roulant où je m’entraîne donne quand même pas loin de 300mD+ pour 10km.
Mais bon, il faut pas se leurrer si je veux progresser encore un peu c'est aussi sur le volume qu'il va falloir jouer, c'est vrai que je vois des gens qui font bien moins moins de D+ que moi et qui me battent sur des trails très raides comme l'ultra tour du Môle mais ils ont un volume significativement plus élevé que le mien, après tout, avec le même nombre d'heures de mon entrainement typé D+, je serais peut être devant sur ce genre de course.
Pour répondre plus précisément à la question de départ, si on fait des trails de montagne, ça parait (à tort ou à raison) plutôt logique d'avoir un entrainement qui se concentre sur le même type de terrain avec le même ratio D+/km, non?
Le peu de fractionné court que j'ai fait sur du plat, je finissais par avoir mal quelque part (sans doute aussi par manque d'habitude) alors qu'en côte on arrive à faire de l'intensité sans aller bien vite et sans avoir de gros impacts pour les articulations.
Le seul truc c'est que comme le dit Marathonnerre, il ne faut pas négliger la descente. Quand on aime la montée, on a souvent plus beaucoup de forces pour bien travailler la descente, je perd beaucoup de temps et/ou de forces dans les longues descentes roulantes.