L'auteur : chjou2
La course : Verdon Canyon Challenge Ultrail - 102 km
Date : 28/6/2008
Lieu : Aiguines (Var)
Affichage : 3154 vues
Distance : 102km
Objectif : Pas d'objectif
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Octobre 2007, dans les jours qui ont suivi La Diagonale des Fous, après avoir pris le temps de digérer mon abandon, je décide rapidement d’y retourner en 2008. Hors de question de rester sur un échec !!!!!
En analysant ma préparation à cette course, je pense avoir démarré celle-ci trop tard dans la saison (avril), de n’avoir pas assez fait de dénivelé et surtout de ne pas mettre entrainé sur des terrains ressemblant quelque peu à ceux de La Réunion.
Pour 2008, je me mijote donc un petit planning sur mesure qui démarre dès le mois de janvier.
J’essaye d’être très progressif dans ma préparation passant de 19 kms pour mon 1er trail (La Nartuby) à 32 pour le deuxième (Balcons d’Azur) puis 50 pour le troisième (les Allumés de la pleine Lune). Se rajoutera ensuite un trail off bien sympathique d’une trentaine de kms dans les calanques entre Marseille et Cassis et me voilà fin prêt à attaquer le 1er objectif de ma saison le Verdon Canyon Challenge (102,5 kms pour 6150m de D+ et 6000 de D-). Tous les récits que j’ai pu trouver sur le net montrent que cette course est très dure et ses sentiers semblent se rapprocher sensiblement de ceux de La Diagonale, exactement ce qu’il me faut !!!!
Vendredi 27 en début d’après-midi, départ en compagnie de mon copain Gilles, qui participera au 35 kms, pour Aiguines. Nous allons tranquillement récupérer nos dossards (ou nous apercevrons rapidement Did06 très stressé pour son premier 100 bornes) puis nous filons à coté de Moustiers prendre possession des chambres que nous avons loué. A quelques heures d’une telle course, malgré la difficulté de cette épreuve, je suis vraiment très serein. Certainement deux raisons principales à cela :
- ma préparation s’est déroulée comme dans un rêve.
- l’expérience emmagasinée sur La Diagonale des Fous malgré mon abandon me permet de bien appréhender ce type de course et de ne pas renouveler certaines erreurs.
Nous passerons ensuite une super soirée en table d’hôtes ou nous rigolerons comme des petits fous jusqu’à minuit. Cela m’évite un peu de gamberger et ayant bu un bon petit rosé fruité, je m’endors comme un bébé.
Samedi 7h30, après un petit déjeuner en compagnie d’un autre participant au 100 kms, nous prenons avec Gilles la direction d’Aiguines pour une journée qui s’annonce….chaude !!!!
En effet, la chaleur est déjà présente et ne laisse rien augurer de bon pour la suite de la journée.
8h30 nous retrouvons Did06, toujours aussi tendu, et attendons patiemment le pointage de tous les concurrents. Bizarre ce pointage interminable ou l’organisation appelle au micro un par un tous les participants : surprenant, je n’ai jamais vu cela.
9h30 ou plutôt 35 ou 40 à cause du pointage, c’est le départ.
Ayant étudié longuement le profil, je décide de partir prudemment car nous démarrons d’entrée par 5 kms de montée avec 840m de D+. Gros bouchon dans le village, rien de grave cela nous permet de partir cool, cool……..J’effectue cette montée au train, bien calé derrière les concurrents me précédant, ne doublant personne. Did et Gilles sont justes derrière moi et cette montée se passe vraiment bien. Nous avons déjà un aperçu des paysages que nous aurons toute la journée avec une vue magnifique sur le lac de Ste-Croix. Sublime !!!!!!
1h20 plus tard le sommet est atteint, il commence déjà à faire chaud, et j’attaque alors la descente. C’est là que j’avais décidé de démarrer réellement ma course. Et hop c’est parti……..je dévale la pente comme un cabris malgré les pierres et double à ce moment là un grand nombre de concurrents. Sur la dernière partie de la descente…….aie…….un petite alerte avec une belle torsion de la cheville………….pfffffffff…………..il faut te calmer Christophe…….tu fais un cent bornes merde…..fais pas le barjot là……..je décide sagement de ralentir et de prendre moins de risques. Qu’est-ce que vous voulez, je suis incorrigible, mais les descentes c’est mon truc….. Bon l’air de rien quand même, le temps que la cheville chauffe, je boite bas !!!!!!! Gilles revient sur moi et nous arrivons ensemble au premier ravitaillement de Petite Forêt (10,5 kms en 1h50). Je prends le temps de refaire le plein du camel et de mes gourdettes car le salut aujourd’hui passera par une super hydratation. Par contre le ravito de l’organisation semble très léger pour une telle course et cela sera récurrent sur la totalité du parcours. Heureusement qu’avec mes gels et mes barres je suis pratiquement autonome !!!!! Pas mal de concurrents nous dépassent alors, ne s’arrêtant que très peu de temps au ravito.
« Laisse les faire » dis-je à Gilles « le temps que nous perdons là, nous le récupérerons au centuple plus tard ». Juste avant de repartir, nous apercevons pour la dernière fois Did qui arrive au ravito et semble déjà fatigué. Le soleil tape de plus en plus, heureusement pour l’instant, nous passons souvent sous des arbres ce qui nous permet d’être assez souvent à l’ombre. Nous continuons à descendre, passons le ravitaillement Cavaliers puis attaquons à longer le Verdon à flanc de falaise sur une petite corniche avec juste une petite corde pour vous retenir en cas de problème. Je suis bien, j’en profite pour admirer le spectacle magnifique de ces gorges et j’en prends plein les yeux : que la nature est grandiose !!!!!!!
Et là soudainement, gloupppsssssssss………………d’un coup se dresse devant nous un véritable mur pour arriver à la Sortie Vidal, en gros 400-500m de D+ pour à peine 2 kms………des échelles, des cordes………là je dois reconnaître que je commence à serrer les dents mais malgré tout, j’arrive à garder un bon rythme et finalement l’un dans l’autre cette montée terrifiante ne se passe pas trop mal. Gilles est toujours là et nous attaquons une succession de montée-descente qui nous mènera avec toujours des vues fantastiques sur les gorges, au pied du Col d’Iloire.
Et c’est reparti pour une bien belle montée heureusement pas trop longue. Je commence à ressentir la chaleur mais je sais qu’il y a un ravito juste au sommet alors je m’accroche et m’arrache vraiment pour grimper sur un bon rythme. D’un coup, je me retourne……..plus de Gilles, il a disparu en quelques mètres (j’apprendrai après qu’il a eu un énorme coup de barre).
J’atteins enfin le sommet (28 kms en 5h45) et prend le temps de souffler une quinzaine de minutes car je commence à ressentir une certaine lassitude. Allez hop, il faut repartir, j’aperçois une dernière fois Gilles qui arrive au ravito : il me dit qu’il est moins bien mais qu’il finira sans problème (il ne lui reste que 7 kms) et me souhaite bonne chance en me disant que j’étais vraiment « fada » et qu’il ne savait pas comment j’allais pouvoir tenir 102 kms. Le fait d’avoir fait ces 28 premiers kms à deux m’a permis de ne pas voir le temps passer mais maintenant je suis seul. Je me lance alors dans une belle descente qui me permet de me refaire une petite santé. Les kms défilent et j’arrive au km 38 Carrière. Commence alors pour moi un véritable chemin de croix avec une montée d’environ 4 kms pour 890m de D+. Dès le début, je sens que je suis moins bien. La pente est plus que raide et malheureusement je n’ai plus de jambes. A ce moment là je me demande ce que je fous là, putain Christophe tu « fais chier » à te mettre dans des galères pareilles……..j’en peux plus, en plus dans cette montée pas un arbre, aucune ombre, le cagnard est à son maximum…..la galère quoi…….je suis à deux doigts d’exploser…….. il faut que je stoppe ………ouppsss…..ni une ni deux je m’allonge, me met la casquette sur les yeux et j’essaye de faire le vide dans ma tête……
Je me repasse alors deux phrases qu’il faut toujours garder au fond de soi sur ce genre de course :
- après un coup de moins bien vient toujours un coup de mieux.
- un coup de pompe est pratiquement toujours lié à une mauvaise gestion de l’alimentation ou de l’hydratation.
Je décide donc d’ouvrir ma plus grosse barre énergétique, l’avale lentement en prenant soin de bien boire. Le fait de souffler, m’a déjà permis de me calmer, je me relève et repars très lentement. Plusieurs concurrents me dépassent mais finalement je m’aperçois qu’au fil des pauses des uns et des autres je les rattrape un peu plus tard et cela me redonne un peu le moral. Au milieu de cette montée, un de ces concurrents que j’ai déjà croisé plusieurs fois me lance en me doublant « allez suis moi je te donne le tempo, accroche toi »……très sympa mais malheureusement pour l’instant je n’ai vraiment pas les jambes pour le suivre et je préfère finir la montée à mon rythme (vous verrez plus loin dans mon récit que cette personne aura une importance capitale sur ma course !!!!) Dans l’immédiat la galère continue et je suis obligé de m’arrêter régulièrement, les jambes me brûlent et pour l’instant je ne vois vraiment pas le bout du tunnel…….Dring, dring………le téléphone sonne et là vous pouvez pas savoir ce que ça fait du bien de pouvoir parler à quelqu’un……c’est Oliv de CLM, bien entendu j’essaye de ne pas trop lui montrer que je suis à la rue, il m’encourage, me passe le bonjour de tous les CLM qui sont de leur coté au marathon du Mont-Blanc, grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr….lorsqu’il raccroche, j’ai de nouveau les crocs………Oliv du fond du cœur un immense merci pour ce coup de fil………….allez maintenant on va se la finir cette « putain » de montée………….de loin j’aperçois d’immenses poteaux métalliques Edf qui me font dire que le sommet n’est plus très loin, la pente est beaucoup moins raide et je recommence à avoir la « gniaque ». Je reçois un coup de fil : c’est Did et il m’annonce qu’il a abandonné, merde ça me fais « chier » pour lui. Il faut que je la finisse cette course…….Ca y est enfin, je bascule dans la descente, oufffffffff…..un moment diabolique de passé (j’avais déjà connu cela à La Réunion avec la montée du Taibi) La descente se passe très bien, je reprends mon rythme de croisière et redouble presque tous les concurrents qui m’avait repris dans la montée.
J’atteins enfin le ravito de Mayreste qui marque presque la mi-course (49 kms) en 11 heures tapantes. Je suis beaucoup mieux, je refais une belle pause d’un quart d’heure, m’alimente bien, me remet un peu de nok sur les pieds, enfin pour tout dire tout va beaucoup mieux. Il est 20h37 et le soleil commence à disparaître, il fait beaucoup plus doux, moi qui adore la nuit, tous les signaux sont de nouveau au vert……. Je repars tout seul et me lance dans une nouvelle série de montée-descentes qui dans l’ensemble ne sont pas trop pentues et relativement agréables à faire, je me régale !!!!!! Dring, dring, dring ……..le portable ne passait plus dans les gorges et d’un coup je reçois plusieurs messages, Latortue, Collange, Bogey, Fab, Vince……. tous les CLM sont derrière moi et cela me fait un bien énorme. Merci à vous tous !!!!!! Le Bastidon est atteint à 21h46 et après un arrêt très bref ou je sors ma frontale, je repars immédiatement direction Le Chalet de La Maline ou est prévu un ravitaillement pâtes. Il fait maintenant nuit et je rejoins un, non une concurrente. Son rythme me convenant à peu près, je décide de rester avec elle.
22h43 nous arrivons à La Maline. Là pour la seule fois de tout le parcours, je prends une chaise et mange une bonne assiette de pâte. Manger chaud me fait le plus grand bien. De son côté la concurrente avec lequel je suis arrivé n’est pas au mieux, elle a les pieds en sang et remplis d’ampoules, c’est la dernière fois que je la verrai. Nous sommes nombreux à ce ravito et la plupart des raideurs font une grosse pause. Au bout d’un quart d’heure (je m’oblige à ne pas faire plus de pause car après j’ai toujours du mal à repartir), je profite du départ de deux coureurs pour ne pas repartir seul. Je me cale derrière eux mais petit à petit je m’aperçois que leur tempo ne me convient pas. Nous avons une belle descente et je me sens bien. Oui mais voilà je sais qu’après cette descente, il y a le dernier gros morceau de cette course avec une montée de 10 kms pour environ 1000m de D+. Alors j’hésite à partir seul à ce moment là….je passe….je passe pas……….l’instant de quelques secondes je réfléchis à la stratégie à prendre….finalement je reste bien calé derrière eux bien que leur rythme soit un peu lent pour moi mais je préfère rester prudent, la course est encore longue. Et soudain, le concurrent qui m’avait proposé de le suivre dans cette maudite montée, arrive en courant, nous passe illico en nous lançant un « ça va les gars », je vois bien que les deux autres n’y vont pas et le laisse partir, alors de nouveau ça se bouscule dans ma tête, et si cette fois-ci, maintenant que j’ai les jambes, je le suivais………allez c’est parti ma décision est prise, j’accélère et le rattrape en quelques mètres. Il doit être à peu près 23h30 et nous ne le savons pas encore mais nous passerons finalement les 10 dernières heures de course ensemble !!!!!!!!
Dès le début, nous commençons à discuter « moi c’est Manu » me lance-t’il « Rapace74 sur Kikourou et toi ? »
Nous attaquons alors la dernière grosse montée du parcours et je lui dis que s’il veut partir il y aille car je compte me la monter au train. « Mais non » me dit-il « on va se la faire ensemble, suis mon rythme et si je vais trop vite tu me le dis» Le rêve, tout ce qu’il me fallait quoi, nous effectuons plus d’une heure trente d’ascension et je ne m’en suis presque pas rendu compte tellement cela m’a paru facile. Le sommet est atteint et à ce moment là nous avons tous les deux la même réflexion : c’est bon nous irons au bout !!!!! Quels moments sublimes, c’est trop bon de sentir qu’il ne peut plus rien vous arriver même s’il reste encore 32 kms à effectuer. Nous enchainons les kms, n’arrêtant pas de discuter, retrouvant sa femme et sa fille à chaque ravito (un grand bravo à elles deux car elles l’ont suivi tout au long du parcours et même la nuit…..chapeau bas) Petit à petit, nous rattrapons un grand nombre de concurrents et continuons tranquillement notre route tous les deux. Dans la descente en direction de la table d’orientation d’Aiguines, nous doublons la troisième féminine et le hasard faisant bien les choses, il la connaît. Elle est blessée au genou et nous lui proposons de nous suivre. Nous faisons maintenant route à trois puis bientôt quatre, un concurrent que nous avons rattrapé prenant le petit train. Tout défile comme dans un rêve, les kms passent et je suis vraiment bien. Aux ravitos de la table d’orientation, nous décidons de nous remettre de la crème nok et les deux autres concurrents décident de repartir avant nous. Une nouvelle fois, nous nous retrouvons donc tous les deux pour aborder la dernière boucle du parcours qui va nous amener le long du lac de Ste-Croix. Et c’est là que nos galères vont commencer. Cette dernière partie sera vraiment très mal balisée et nous aurons le plus grand mal à trouver notre chemin à plusieurs reprises.
Les grosses bouboules quoi, quand au bout de 75 kms vous devez par moment deviner tout seul ou il faut aller : je n’aime pas critiquer les organisateurs car je sais qu’il doit être très difficile d’organiser ce genre de course mais là je me permets de leur mettre un gros carton rouge. Dès la sortie d’Aiguines, nous nous perdons une première fois laissant vingt bonnes minutes au passage, puis quelques kms plus loin nous avons le plus grand mal à trouver notre route, il aurait fallu avoir des yeux derrière la tête pour trouver les balises mises en place : incompréhensible !!!!!!!! Heureusement dans notre malheur que nous sommes deux car cela nous permet de nous entraider et il y en a toujours au moins un des deux qui trouve le bon chemin. Malgré tout, la fatigue aidant, nous sommes un peu énervé par tout cela. Nous croisons un groupe de six coureurs qui en finissent avec la boucle et qui sont aussi en colère que nous !!!!!! Bon malgré tout cela, nous continuons notre progression autour du lac et arrivons à Bauduen à 12 kms de l’arrivée. Agrrrrrrrr…..çà commence à sentir bon !!!!
Encore deux petites montées, de la rigolade par rapport à ce qu’on a vécu et on pourra laisser éclater notre joie. J’en ai déjà des frissons partout et suis obligé de me calmer un peu car l’émotion me gagne déjà. La montée après Bauduen est franchie, 5 kms, 4 kms…..les larmes me montent et il faut vraiment que je fasse un effort pour me contenir, je repense à certains moments délicats de la course et je suis en train de réaliser que j’ai réussi mon pari : 102 kms et 12 000m de dénivelé cumulé……INCROYABLE….pour quelqu’un qui ne courrai pas il y a trois ans quel chemin parcouru, 3kms………une dernière montée sur Aiguines, quelques petits mots avec Manu pour se dire mutuellement que l’on a passé un moment extra ensemble, vous savez ces moments de communion entre deux personnes qui restent gravés quoiqu’il arrive…….2 kms……j’en peu plus (non pas trop de fatigue mais je veux exploser, crier ma joie) elle est ou cette arrivée, 1 km……on y est, on est au pied du château d’Aiguines….500m on aperçoit la femme de Manu, sa fille et un copain Jérome qui viennent à notre rencontre……400m, 300m nous courons tous ensemble en criant comme des petits fous
200m je vois ma femme, Gilles et Sylvie sa femme qui m’attendent, ça y est on va franchir cette foutue ligne que l’on rêvait de voir depuis 102 kms, 100m je laisse passer Manu avec sa femme et sa fille pour qu’il finisse devant moi, tout à fait normal avec tout ce qu’il a fait pour moi. Il est 8h55 le 29 juillet 2008 et après 23h24m42s d’efforts sur des terrains hyper techniques et une chaleur étouffante, je réalise que je viens d’accomplir un truc ENORME (il n’y aura que 47 participants dans les délais sur 253 partants) !!!!!!!!!
Une dernière poignée de main avec Manu et voila le Verdon est fini !!!!!
En conclusion, je dirai que j’ai vécu 24 h que je ne suis pas près d’oublier et qu’hormis une grosse galère dans cette fameuse montée, j’ai franchi relativement sereinement ce Verdon tout cela étant de très bon augure pour La Diagonale des Fous qui reste l’objectif principal de ma saison.
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9 commentaires
Commentaire de Fimbur posté le 02-07-2008 à 17:52:00
Salut Chjou2,
bienvenue sur Kikourou, merci pour ton récit et bravo pour cette performance.
Après 3ans de course à pied seulement ! Chapeau !
Au plaisir de se croiser
Fimbur
Commentaire de DidierC posté le 02-07-2008 à 19:46:00
Bravo super récit, une bonne locomotive ce rapace74,normal il est de la Yaute, tu as bien fait de pas le lâcher...
Commentaire de claude 34 posté le 03-07-2008 à 00:34:00
Un grand bravo, pour ta course et pour ton cr. J'ai suivi le fil sur tous ces problèmes d'organisation. Mais à lire tous les cr, vous avez tous vécu une sacrée aventure... Je crois bien que ça va finir par me donner envie...
Merci
Commentaire de laurent05 posté le 03-07-2008 à 09:54:00
bravo pour ta course
et bonne chance pour la suite
bonne récup
a+
laurent
Commentaire de lolo' posté le 03-07-2008 à 13:51:00
Tres bonne gestion de course.
Je pargtage ta joie meme si mon aventure c'est arrétée au km 49
Et à bientôt à la Réunion pour le décrassage ;-)
pace e salute
lolo
Commentaire de rapace74 posté le 03-07-2008 à 13:52:00
salut christophe
oui en effet c'etait une belle balade "des gens heureux" cette fin de parcours!!
encore bravo pour avoir fini , merci de m'avoir accompagné en fin de parcours et laissé passé devant a l'arrivée (tu le meritais tout autant que moi)
bonne fin de prépa GRR et on essaye de se faire un bout de chemin la bas!!!!!!!!!
manu
Commentaire de gdraid posté le 05-07-2008 à 09:56:00
Que dire, chjou2, après la lecture de tant de récits ?
Qu'il y a des coureurs comme Manu et toi, trop extraordinaires, voire extraterrestres !
Respect pour votre maîtrise durant près de 24h00, d'éléments aussi difficiles, que ce terrain si particulier, en pleine chaleur.
JC
Commentaire de LOPEZ posté le 05-07-2008 à 10:29:00
Salut
bravo bravo!!!!
c'est un rêve de pouvoir faire ce 102KMS
Peut-être un jour!!!
Encore bravo
Natacha
Commentaire de jac posté le 10-07-2008 à 00:14:00
Salut ,
Bienvenu sur kikou bravo pour ta course,et m.... pour la diagonal j'attend ton cr a bientôt sur les sentiers
jac
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