L'auteur : DavidSMFC
La course : Triathlon de Jablines S
Date : 24/9/2017
Lieu : Jablines (Seine-et-Marne)
Affichage : 1458 vues
Distance : 15.4km
Objectif : Pas d'objectif
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3 autres récits :
Retour sur mon premier triathlon sur le format S du Cross-Triathlon de Jablines ce jour.
Récit disponible sur mon blog :
Une très belle découverte
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Cela fait longtemps que j'y pense mais c'est tout début juillet que j'ai franchi le pas ! Je vais participer à mon premier triathlon, le 24 septembre à l'Ile de Loisirs de Jablines-Annêt ! Deux formats sont au choix et je m'engage pour le plus court, le S, n'ayant aucune expérience de la discipline et n'étant pas certain d'être très à l'aise dans l'exercice de nage en eau libre.
Car oui, un triathlon, c'est un enchaînement de 3 sports, logique vu l'intitulé. Le vélo, j'ai l'habitude d'en faire, jamais en compétition mais j'aime ça donc ça devrait aller surtout qu'à Jablines, c'est du VTT. La course à pied, j'en fais régulièrement, je prévois de refaire quelques courses courtes donc je devrais y être préparé, pas trop de soucis. Par contre, la natation, c'est une découverte totale !
Plus la course approche, plus je commence à appréhender la première des trois épreuves de ce Cross-Triathlon, les 400 mètres de nage ! J'aime bien nager, je vais de temps en temps faire des longueurs en piscine mais jamais en eau libre car ce n'est pas trop mon truc. Et en plus, les dernières semaines précédent le Triathlon, je ne nage pas du tout.
J'ai acheté une combinaison après avoir vu des photos d'éditions précédentes de la course où tout le monde en porte : fin septembre, l'eau de la base de Jablines doit rarement être bien chaude. En plus, la fin d'été est assez fraîche donc je porterai une combinaison. Sauf que je n'ai eu qu'une seule occasion de l'essayer, lorsque je suis allé à cette même base de Jablines au mois de juillet avec un groupe des stages sportifs chellois. J'ai été dans l'eau avec mais je n'ai pas vraiment pu nager donc je reste complètement dans l'inconnue.
Sinon, le reste de ma préparation, c'est plutôt une prise de renseignements. Je lis plusieurs fois le règlement de l'épreuve, je consulte très régulièrement le sujet "Nos triathlons à venir" sur le forum Kikouroù où je participe également aux discussions. J'ai très hâte d'y être et en même temps, j'appréhende un peu car je vais être dans une découverte totale.
Cependant, j'ai profité d'une semaine de stage de Badminton en Franche-Comté début août pour aller faire un peu de bénévolat sur le Triathlon de Dole où j'ai pu m'imprégner un peu de l'ambiance du triathlon ainsi que de son fonctionnement. Ce n'est pas du tout la même chose que d'en être participant mais c'est déjà une bonne première approche.
Ce dimanche 24 septembre, après un peu de Badminton le matin avec les enfants du club de Croissy (quoi ? pour une fois que je suis dispo le dimanche matin, je ne peux pas ne pas y aller ! promis je joue archi tranquillou !) et juste après le déjeuner, je pars en direction de Jablines accompagné par ma mère qui profite de cette très belle journée ensoleillée de début d'automne pour venir me voir sur mon premier triathlon, ça me fait plaisir ! (J'en profite pour la remercier pour les photos qui vont suivre !)
Nous arrivons sur place peu après 13h00. Je pars récupérer mon dossard et le sac coureurs au numéro 106. Débute la préparation logistique et vestimentaire d'avant-course. Il ne faut rien oublier. Je repère à vélo la boucle de course à pied puis j'entre dans le parc à vélos après validation par les arbitres. En triathlon, il y a un règlement assez strict à respecter, on entre dans le parc à vélos en tenue avec le dossard (et ses trois attaches) et le casque sur la tête (jugulaire attachée).
Aux côtés d'autres participants, je commence à préparer toutes mes affaires en observant ce que font les autres. Le concurrent qui est à côté de moi a placé une serviette au sol (c'est un terrain de Football synthétique sur lequel nous sommes donc il y a du sable) et ses affaires par-dessus, je profite de mes deux serviettes pour le copier, l'une en-dessous et l'autre pour m'essuyer entre la natation et le vélo, nickel.
J'ai installé mon vélo à sa place, dans le bon sens, j'y mets une gourde remplie d'eau et j'ai au niveau de la tige de selle un autocollant avec mon numéro de dossard fourni par l'organisation. Je dispose mon casque de vélo, mon tee-shirt, mes chaussures (je vais utiliser la même paire pour le vélo et la course, mes Asics Gel-emperor 2) et chaussettes ainsi que mon porte-dossard sur la serviette, à côté de mes affaires de natation (lunettes, bonnet fourni par l'orga là aussi et la combinaison).
Là, sacrée coïncidence, voilà que s'installe à deux places à droite de moi Eric, le responsable du magasin Running Conseil de Pontault-Combault où je passe acheter du matériel avant mes grosses courses à pied.. Il prend lui aussi part à son premier triathlon aujourd'hui. Mais ce n'est pas tout car peu après, à ma gauche ce coup-ci mais juste à côté de moi, Franck vient poser son vélo et ses affaires ! Franck, c'est le badiste avec qui j'ai disputé et gagné le tournoi de Saint-Maur en Double Hommes en juin dernier et contre qui j'ai joué (et perdu par contre !) en interclub en fin d'année 2016. Il participe lui aussi à son premier triathlon. Nous sommes près de 300 participants mais par pur hasard, je suis entouré par deux connaissances ! C'est super car du coup, nous discutons et le temps passe vite et bien avant le briefing qui précède la course.
A 14h45, l'organisateur de la course nous briefe dans le parc à vélos avant que nous ne recevions les dernières consignes de la part du juge-arbitre. Nous nous dirigeons ensuite vers la plage avant le départ de l'épreuve, à 15h00. Dernières explications par rapport au parcours et tous les participants masculins individuels rejoignent le sas. Les filles et les relayeurs prendront le départ quelques minutes après nous.
A 15h00 pétante, le départ de la course est donné ! Nous nous élançons pour 400 mètres de natation dans une eau à environ 18 degrés. Il fait une météo superbe avec soleil et grand ciel bleu et une température extérieure supérieure à 20 degrés. Au moins, ce n'est pas désagréable d'aller à l'eau.
Placé tout à l'arrière du sas au départ, je laisse partir le peloton avant de m'élancer tranquillement en fond de groupe. Je n'ai pas spécialement envie de me retrouver dans le flot de nageurs pour prendre des coups, boire la tasse et me retrouver ballotté dans les vagues des autres concurrents. Je me fiche un peu de perdre du temps maintenant, j'ai pour simple objectif de sortir de l'eau dans les temps. La barrière horaire est de 25 minutes, cela devrait le faire !
Nous nous élançons en ligne droite en direction d'une première grosse bouée triangulaire rouge autour de laquelle nous devrons tourner pour nous diriger vers la droite. Nous entrons dans l'eau en courant puis nous mettons progressivement à nager. Le départ est plutôt bon puisque grâce à ma combinaison, je n'ai pas froid et tout se passe bien mais dès que je me mets à nager, une mauvaise sensation me saisit puisque sur mes premiers mouvements de crawl, j'ai l'impression d'être complètement oppressé, j'ai beaucoup de mal à prendre ma respiration et cela m'inquiète fortement.
Heureusement, cela finit par passer et je me retrouve un peu plus à l'aise. En revanche, je comprends immédiatement que je vais être incapable de nager comme en piscine. J'essaie de mettre la tête sous l'eau, en vain, donc je retire mes lunettes de devant mes yeux et je nage la tête hors de l'eau. J'essaie d'être le plus efficace possible dans mon crawl, je sais que je ne tiendrai pas 400 mètres comme ça mais au moins, j'avance.
De temps en temps, je ressens un contact au niveau de mes pieds ou je touche quelqu'un devant ou à côté de moi mais globalement, je m'en sors plutôt bien à ce niveau, en queue de peloton. Je tiens mon crawl jusqu'à la bouée puis je profite du virage pour me reposer un peu en avançant tout doucement sans vraiment nager en tournant vers la droite.
Nouvelle ligne droite pour rejoindre une bouée similaire avant un ultime virage vers la droite pour retourner vers la plage. Là, je me mets sur le dos, sans mouvement de bras, pour les reposer et gérer ma respiration, ce qui est le plus dur pour moi. Je me rends compte que j'avance plutôt pas trop mal. Je vois aussi qu'il n'y a pas grand monde derrière moi et que je suis vraiment parmi les derniers mais pas de panique, j'avance et j'ai encore de la marge quand même.
Je tente de refaire un peu de crawl, je bois la tasse et je me remets sur le dos, jusqu'à la deuxième bouée rouge. Mes mouvements de jambes sur le dos sont assez efficaces donc je ne m'en sors pas trop mal. A mes côtés, certains alternent comme moi entre dos et crawl tandis que d'autres sont essentiellement en brasse. Après le virage, je remarque que je suis toujours aux côtés d'Eric, comme depuis le début de la course.
Sur la dernière ligne droite qui nous ramène vers la plage, je suis totalement en gestion. Sur le dos, j'ai de bonnes sensations même si forcément, je ne suis pas hyper efficace. Quand je le sens, je me remets en crawl. J'avance beaucoup mieux comme ça mais c'est aussi beaucoup plus fatigant. De temps en temps, je vérifie aussi que je ne parte pas trop vers le bord de la ligne imaginaire qui relie les différentes bouées que nous devons laisser sur notre droite car tous les concurrents sont bien plus au large que moi.. Mais mon avancée est plutôt droite donc pas de soucis.
Les derniers mètres sont pénibles mais j'en vois le bout et je sais que je vais réussir à sortir de l'eau dans les temps. Il s'avère en fait que je sors au bout d'environ 13 minutes : large ! Je galère un peu sur la fin en posant les pieds dans le sable dès que possible sauf qu'il y a là beaucoup d'algues qui me donnent l'impression d'avoir les pieds bloqués dans un filet. Mais je parviens à sortir de l'eau et à rejoindre le plage pour passer sous l'arche jaune sous lequel nous devons obligatoirement passer.
Après le franchissement de l'arche, nous avons quelques dizaines de mètres à parcourir en courant. J'ai chaud, j'étouffe presque donc j'ouvre la fermeture de ma combinaison pour respirer correctement en trottinant jusqu'au parc à vélos pour la transition menant à la partie cycliste de l'épreuve.
Je finis par entrer dans le parc où j'essaie de reprendre au mieux mon souffle. De ma sortie de l'eau à ma sortie de l'aire de vélos, je mets environ 5 minutes avant de monter sur mon VTT. Le temps de retirer ma combinaison, péniblement mais sans panique puis je me pose pour mettre mon casque, mes chaussettes, mes chaussures de Running, remettre ma puce à la cheville gauche après l'avoir retiré pour enlever la combinaison et enfin mettre mon tee-shirt et mon porte-dossard autour de la taille avec le dossard dans le dos pour l'épreuve de vélo.
J'avais déjà enfilé mon cuissard court avant la natation sous la combinaison donc je n'ai rien à mettre en bas et pour le haut, c'est mon tee-shirt de la Trifouillette d'il y a deux semaines que je porte. Il est violet donc je suis ainsi assez facilement repérable pour ma mère. Avec le porte-dossard, le style n'est pas très soigné mais... qu'importe en fait !
Allez, je saisis ma selle, je descends mon VTT du porte-vélo puis je commence à courir en tenant mon vélo par le guidon pour sortir de l'aire sans perdre trop de temps. Je franchis la ligne où se situe l'arbitre avec son drapeau à partir de laquelle nous pouvons monter sur notre vélo. Je suis un peu gêné par la concurrente qui me précède mais c'est parti !
C'est une longue partie de Pac-man de onze kilomètres qui débute. Pendant tout le parcours vélo, je ne vais faire que dépasser des concurrents sans jamais me faire doubler (à une exception prête mais j'y reviens après !).
Je décide de partir fort contrairement au rythme des concurrents qu'il y a autour de moi. Je dépasse d'entrée pas mal de monde et je mets un maximum d'intensité dans mon pédalage en prenant le soin de bien choisir mes vitesses selon le profil. Globalement, c'est un parcours très roulant mais il y a quelques passages un peu plus techniques.
Il y a quelques portions encore un peu humides et boueuses des nombreuses et grosses averses que nous avons eu la semaine passée. Ces derniers jours, il fait beau, donc c'est loin d'être catastrophique. Il y a quelques petites bosses sympas et des chemins assez ludiques, ce que j'aime mais les singles font que l'on se retrouve parfois bloqués derrière des concurrents plus lents. Mais c'est comme ça, je n'avais qu'à être plus efficace en natation !
Au moins, je prends beaucoup de plaisir car personne ne me rattrape quand je parviens à déposer beaucoup de monde en profitant des lignes droites plates ou descendantes pour accélérer nettement et revenir sur d'autres cyclistes. J'ai le sentiment d'être assez efficace et je ne calcule pas vraiment mes efforts : 11 kilomètres, c'est relativement court !
Dans une ligne droite, j'assiste à une belle gamelle devant moi, deux coureurs se rentrent dedans et l'un d'eux se retrouve bien projeté au sol sur la gauche du chemin. ça a l'air d'aller, je trace ma route et je continue de jouer à Pac-man. Je ne sais pas combien de places je remonte sur la partie vélo mais c'est bien conséquent.
Il n'y a qu'une seule personne qui me double à un moment donné, au moment d'une relance après un virage très serré. Je me colle à sa roue et le suit jusqu'à ce que nous passions étrangement par-dessus un morceau de rubalise.. Je réagis instantanément, ce n'est pas bon signe, j'imagine que nous sortons du parcours. Deux spectateurs placés là sont incapables de nous indiquer le chemin et nous prenons à gauche pour retrouver le chemin sur lequel nous aurions du être plus tôt car il fallait tourner à gauche avant la rubalise sauf qu'elle a été couchée donc est difficilement visible.
Sur la relance, je dépasse quatre nouveaux concurrents et je continue comme ça jusqu'à la fin du parcours vélo. J'insiste pour bien respirer en soufflant fort et je ne lâche rien, sans moment de répit, juste parfois ralenti par ceux qui me devancent et que je finis par dépasser dès que je le peux. Ils font souvent bien l'effort de se serrer sur la droite pour que je puisse passer mais ce n'est pas toujours évident dans les chemins les plus étroits.
Nous nous rapprochons du bord de l'eau et revoyons quelques spectateurs en bord de chemin, ce qui est plutôt bon signe. Encore quelques virages, une petite descente et nous filons vers le parc à vélos pour la deuxième transition avant d'attaquer la dernière partie de la course. Je descends du vélo sans m'arrêter avant d'entrer dans le parc à vélos en courant. Il est difficile de courir efficacement mais je ne veux pas perdre de temps.
Je perds quelques petites secondes au moment de reposer mon vélo sur le porte-vélo puis je retire mon casque avant de faire pivoter mon porte-dossard afin qu'à présent, il apparaisse devant moi, comme cela doit être le cas pour la course à pied. J'ai mis environ 30 minutes pour faire les 11 kilomètres de vélo et pour la transition qui précède la course.
C'est parti, je m'élance pour quatre kilomètres de course à pied afin d'en terminer de ce Cross-Triathlon de Jablines. Les sensations sont très spéciales sur les premières dizaines de mètres, je sens que je n'ai pas ménagé mes jambes jusqu'à maintenant et que je vais avoir du mal à être efficace en course, ce qui est pourtant mon point fort parmi les trois disciplines de l'épreuve.
Cependant, malgré une vitesse inférieure à celle que je suis habituellement capable de tenir sur ce genre de distances en course, je vais passer quatre kilomètres à dépasser sans cesse des concurrents qui peinent en courant doucement ou même parfois en marchant.
Nous attaquons une première boucle, exactement ce que j'ai repéré à vélo avant la course. Je m'applique sur ma respiration et j'avance avec une plutôt bonne foulée sans être capable d'accélérer vraiment. Je ne me trouve pas très efficace mais ce qui est certain, c'est que je dépasse là encore énormément de concurrents malgré la courte distance. Je ne crois pas avoir été dépassé par qui que ce soit sur cette épreuve et physiquement, je me sens dans un état correct globalement.
Le parcours est assez sympa, loin d'être monotone. Les kilomètres passent plutôt vite. Je zappe les deux ravitaillement en eau car j'ai envie d'être efficace malgré le fait que je sois très loin au classement et que je n'aille pas aussi vite que ce dont je suis capable sur une simple course. Je n'ai pas du tout l'habitude de ce type d'effort après une épreuve de natation et une épreuve de vélo mais par contre, j'ai l'habitude de faire une distance courte en course à pied. En effet, j'ai participé à 3 courses de ce type les 3 week-ends avant celui-ci sur des parcours assez vallonnés (4,3km à la foulée bourronnaise puis 7km à la trifouillette puis 5km à la foulée des brettes, toutes les trois au mois de septembre).
Pas grand chose à raconter si ce n'est que je rattrape régulièrement des coureurs et des coureuses qui semblent épuisés et peu à l'aise en course à pied. Je finis la première boucle où je récupère un bracelet (appelé "chouchou") rouge qui nous permet de filer directement vers l'arrivée quand nous terminons le deuxième tour. Cette deuxième boucle est plus courte car nous retrouvons rapidement le parcours que nous venons de faire mais sans les premières centaines de mètres. Je termine la course à pied en environ 16 minutes.
Je profite de ces dernières minutes de course et je file vers l'arrivée. Dernière ligne droite, j'entends les encouragements de Franck et de ma mère qui prend mon finish en vidéo. J'en termine en 1 heure 3 minutes et 37 secondes à la 100ème place individuelle sur 264 classés. Je finis à un poil moins de 15 minutes du premier de la course, deux minutes après Eric et six minutes après Franck.
Une très chouette découverte ! Ce ne fût pas facile avec une nage très pénible mais finalement pas catastrophique puis j'ai commencé ma partie de Pac-man du début de l'épreuve de VTT jusqu'à l'arrivée. J'ai dépassé pas loin de 100 personnes pendant l'épreuve et j'ai pris beaucoup de plaisir grâce à un parcours bien sympa et une météo parfaite.
Je ne me sens pas prêt à faire plus long pour la partie natation, il y a vraiment beaucoup de boulot sur cette discipline. Il va falloir que je m'entraîne le plus possible. En revanche, pour le vélo et la course à pied, je suis bien boosté par ma course du jour. Duathlon, Run and Bike, voilà des épreuves que j'envisage très volontiers, en VTT ou en vélo de route. Affaire à suivre...
En tout cas, même si tout n'a pas été parfait, c'est une première géniale pour moi dans l'activité Triathlon. Beaucoup de plaisir, ravi d'avoir pu croiser Eric et Franck et toujours autant la soif de compétitions, ça fait plaisir !
Prochaine échéance dans deux semaines : les 50 kilomètres et environ 1500 mètres de dénivelé positif du Trail du Viaduc des Fauvettes. Ma troisième participation à cette course après avoir énormément apprécié les éditions 2015 et 2016. Cette année, c'est une édition exceptionnelle pour la dixième du TVF avec seulement 3 fois la boucle à parcourir (puisqu'elle fera environ 17 kilomètres) contre 5 fois une boucle de 10 kilomètres habituellement.
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