Je continue avec mes questions d'éternel débutant
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Venant de boucler mon troisième mois consécutif à plus de 120 km, (167 en mai) ce qui ne m'était pas arrivé depuis 2011 (période de prépa de mon unique marathon qui reste un souvenir très mitigé), je me retrouve, comme beaucoup je suppose, dans une situation un peu inédite et donc avec beaucoup de questions.
Depuis début mai, j'ai recommencé les SL progressivement pour arriver à une heure et demi hier, finissant frais comme un gardon après quinze bornes courues en EF.
Là, tout de suite, je me sens prêt comme jamais à aller me frotter à mes chronos de référence mais des courses, ça n'aura échappé à personne, y'en a pas. Je vais aller me faire les 25 bosses le we prochain mais mon gros défi sera surtout de ne pas me perdre, ce qui serait bien la première fois
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Et par ailleurs, je pense que la première course qui s'ouvre et qui est confirmée, je me jette dessus comme un crève la dalle. Que ça soit un 10, un trail ou un semi.
Je me demandais du coup comment envisager la suite, sachant que par chez moi, il est toujours impossible d'avoir accès à une piste.
Est-ce que ça a du sens, sur la séance qualité de la semaine de faire chaque semaine un truc différent ?
Vendredi, j'ai fait du 30/30, si jeudi qui vient je fais des côtes et la semaine suivante du Fartleck, est-ce que ces séances isolées sont bénéfiques ? idem pour ma sortie hebdomadaire en terrain boisé. Est-ce utile de la faire une semaine en Fartlec, la semaine suivant en mode tortue si je suis un peu crevé, et la semaine d'après en mode énervé en poussant comme un âne dans les montées ?
Est-ce que ça donne un entraînement totalement incohérent, ou bien est-ce que l'alternance de footings en EF pure, de séances de qualités, toute différentes, puis de SL en EF fait progresser dans tous les cas ?