Récit de la course : 100 km du Spiridon Catalan 2003, par millepattes
L'auteur : millepattes
La course : 100 km du Spiridon Catalan
Date : 8/11/2003
Lieu : St Esteve (Pyrénées-Orientales)
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Distance : 100km
Objectif : Pas d'objectif
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7 autres récits :
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Le récit
Je commençais à regretter de m'etre inscrit à ces 100 km de St Esteve, quand j'ai vu le dénivellé du parcourt. Etant un très, très mauvais grimpeur, la moindre difficulté devient souvent pour moi un calvaire, ce que je redoutais encore plus sur cette distance. Mais mes entrainements, les ayant fait dans les chemins de campagne, sur terrain bosselés en prévision, je prenais largerement confiance. De plus sur mes sorties de 30 km je rallongeais et prenais la route avec un bon pourcentage de cote. Ma préparation fut basé à 20 km tous les soirs sur la moyenne minimum de 12 km/h au début de mon programme , puis à 12,5 à 13 km/h sur la fin . J'alternais la VMA sur 200 m en 40' en début de programme puis des 300 m entre 58' et 1 mn sur la fin. Et des 5 x 1000 m à 15 km/h. J'ai arreté la VMA a près le marathon de Vannes, après c'était uniquement des 2 x 3000 et 2 x 5000 m à 15 km/h. Voilà pour l'entrainement
Je suis arrivé à Perpignan vendredi après-midi à l'hotel après avoir bien tourné en rond, puis je suis allé retiré mon dossard à St Esteve. Je fut aussitot acceuilli chaleureusement par M. PESCARO sachant que j'étais l'organisa teur des 24h00 de Saint-Fons. Il me fut , comme beaucoup, tres difficile de trouver la salle pour prendre le repas , car parmis les organisateurs personnenes à me donner l'itinéraire pour m'y rendre. J'ai du m'arreter sur le par king d'un supermarché pour demandé ma route. Un couple de retraités me demandant de les suivre en voiture, me guiderent et me laisserent à 1 km de c e lieu. En arrivant , je trouva une salle éclairé , completement vide ( de monde ) avec tables et couverts, mais pas un chats. 4 personnes discutaient sur un banc à l'extérieur. En demandant avec étonnement du peu de personnes présentes, si la bouffe etait bien à cette endroit, MMI me reconnu. Ouf enfin un UFO ! il etait accompagné de deux charmantes personnes, et la conversation commença. Trouvant cette salle plutot morne, étant déjà bien en rogne d'avoir cherché mon chemin pour trouver une salle vide, je décidais de ne pas rester. Avant de partir, je décidais apres indication de MMI d'aller frapper à la porte de la chambre de LT DB, juste au dessus. Une personne ouvrit la porte, tiens c'est pas lui ? puis j'entendis un grand fou rire, c'etait lui. Après, nous descendimes lui pour manger moi, pour repartir à l'hotel. Je decidais de manger à Flunch et parti me coucher, en revant d'une performance le lendemain. Debout 6h00 du mat, petit dejeuner à 6h30 et depart pour St Esteve à 7h30. Une fois sur place, quelques étirements , le Zebre ( Lionel ) mon accompagnateur vélo arrive. Il était dans la famille ce week end et n'as pas hésité à perdre une journée et faire je crois 150 km pour m'accompagner, merci infiniment Monsieur le Zebre, merci Lionel. J'etais bien , pas stressé et meme décidé faire ce que je peux et si possible en moins de 9h30, malgré le dénivellé. Je pensais partir, assez cool à 11 km/h, le temps d'un tour pour reconnaitre ce circuit et improviser sur les 90 km qui restait. Comme par mon habitude je suis aller serrer les mains de mes a mis, les UFO et le copain de LTDB dis < tiens il a le N'°1 >. Ben oui il en faut un et j'ai du m'inscrire le premier pour l'avoir, mais c'est vrai que j'etais fier d'avoir ce numéro, sans prétention aucune, et dans l'espoir qu'il me porte bonheur. Le départ est donné, je pars tout simplement sans me soucier des autres avec une très grande sérénité. Au deuxième km le Zebre me rejoint , puis je regarde devant et vois un groupe qui se détache d'environ 6 personnes, en pensant que c'etait les équipes. Puis commençait derrière eux à s' échelonner les coureurs , un compte vite fait, je suis 15ème. Le classement n'as pas beaucoup d'importance ici, mais ça donne quand meme un ordre d'idée, pour la suite. Surtout que ma stratégie pour cette course, n'etait pas de faire une perf sur ce circuit, mais de finir à une bonne place et pourqoi pas dans les 10 premier ? ben oui on peux toujours rever ;-(((. Au fil des km , je me rends compte de l'état de la route et du dénivellé, ben pas une course pour moi, mais bref , maintenant qu'on est là ! Puis commence les ennuis à partir du 6ème km, je commence à avoir mal, sous les mollets. Ben 3 jours sans courir, ce n'est pas mon habitude. 2 jours oui, mais la veille d'une course, je fais toujours 30 à 45 mn, juste pour retrouver des sensations et se rassurer pour le lendemain. A la fin du premier tour passé en 17ème position, mes pieds sont enkilosés. Je cours , mais je n'ai plus de pieds, j'ai mal , si ça commence comme ça !!! 15 km demi-tour au ravitaillement , j'ai des difficultés à courir , j'ai comme une boule sous le pied gauche qui me gène. Heureusement Lionel est là pour m'encourager, un sacré Zebre celui-là . L'un de mes meilleurs élève, il fait tout ce que je lui demande et pourtant, parfois les entrainements ne sont pas faciles, mais il les fait sans broncher. De plus je coure avec ma ceinture et je trouve que le dosage en sucre de mon bidon est trop élévé. Je me suis entrainé avec ce produit acheté en pharmacie, mais j'ai du trop le dosé. J'ai des douleurs au ventre, mais c'est supportable. Passe le 2ème tour, j'ai tellement mal que je ne pense meme pas à arreter mon chrono à chaque tour. Puis je décide de me reprendre et à faire comme pendant l'entrainement, faire le vide. Pendant ma préparation, j'ai fait toutes mes sorties dans un état semi-conscient , un genre de yoga et qui m'a permis de courir à des al lures que je ne faisais pas avant. Je passe au 24ème km avec presque plus aucunes douleurs, je ressens de nouveau mes pieds, je peux enfin me concentrer sur ma course. Lionel en profites pour me faire prendre conscience de la beauté du circuit, c'est vrai qu'il est agréable et ces aller-retour nous permettent de croiser tout le temps du monde. Je passe au 30ème kilo en 2h30'39, Je revis tout va bien. Je montes les difficult&s avec aisance et m'amuse meme à accélérer pour arriver plus vite que Lionel avec son vélo. Lionel de temps en temps me signale que je coure trop vite, ben les 12 km/h se tranforment en 13 , 13,5 voir meme 14km/h sur certaines portions. 40ème kilo passéé en 3h19'36 je viens de tourner au 10km en 48'56 ''66. Puis arrive le marathon, indiqué au sol, 3h30' , ben c'est pas mal ça ! Aller petit comme me dit Lionel, j'alterne entre ma gourde de produit sucré et la gourde d'eau , je ne mange pas, pas besoin, en plus je n'ai pas l'habitude. Je continue à regarder les coureurs qui me précèdent et vois que la distance commence à diminuer. J'ai un moral d'enfer, surtout quand Lionel me dit de ralentir, mais je me sent bien à 13 km/h et ça ratrappe le temps perdu dans les cotes. 50ème kilometre 4h08'07, ça fait 48'31''46 sur10 km. Dois je commencé à accélérer comme me la conseillé par exemple Phil à un moment, Lionel avant le départ, ou moi meme dans mes prévisions ? ben je pense continuer comme ça, 9 à 10km/h dans les montées et 13 à 14 sur le plat. Jusqu'à présent tout c'est bien passé et je ne suis pas à l'abri d'un coup de pompe. Un petit reproche à l'organisation, c'est de ne pas connaitre notre classement. Nous le dire au passage, je ne pense pas que ce soit quelque chose d'énorme à faire et ça peux nous motiver pour la suite. Un petit message ou un clin d'oeil aux UFOS que je croise , ou une petite tape dans le dos pour ceux que je double, c'est sympa. Je commence à rever, car meme si les 2 ou 3 premier prennent de l'avance , je vois à chaque demi-tour de moins en moins d'écart avec certains coureurs qui me précedent. Leur visage commencent à se crisper , le soufle commence à se faire entendre, par contre moi, rien. De temps en temps, une petite douleur dans les mollets, mais au niveau cuisses tout va bien. Car là c'est la cata, dès qu'elles commencent à se crispés, ça devient difficile à courir et j'en sais quelque chose. Quand je pense que je viens de passer preque 1 ½ an à me trainer et revenir comme ça, en pleine forme avec seulement 12 semaines de préparation !!! J'ai bien tenté un 6h00 puis un 12h00 , mais il y avait toujours un bobo, pour me freiner. Bon pensons à la course. Je ne me rappelle plus à quel moment les coureurs du 10km ont commencés, mais je me rappelle bien par contre, m'amuser à les suivrent . Idiot comme méthode, mais il y a des moments d'euphories incontrolables malheureusement. 60ème kilo passé en 4h57'27 et donc 49'20'14 au 10km. Christine la Présidente de la section athlétisme qui m'accompagne en général dans toutes mes courses prends le relais du Zebre. Elle a quand meme un record sur semi en 1h36mn ben c'est beau, pour une petite bonne femme comme elle. Je continue ma chevauchée , elle aussi me demande de me calmer, Lionel lui ayant passé la consigne de m'avertir quand ma vitesse dépassait le 13 km/h. Arrive le 70ème kilo 5h49'14, ça fait 51'46''98 au 10km, j'ai ralenti, je pense que c'était dans les 2 cotes au retour, que j'ai grimpé avec moins de fougue. Lionel reprends le vélo et me voilà reparti pour les 30 derniers kilomètres. Au 62ème kilo Lionel m'annonce que je suis dans le temps de mon record. Je savais que j'étais bien, mais jamais je n'ai imaginé un seul moment à poser la question, ni a croire en etre là , ni me donner un temps final. Le temps etait arreté, ma montre je la regardait de temps en temps pour controler ma vitesse et seulement par habitude, il fallait que je courre et c'est tout . J'ai regardé Lionel et je lui dis < tu crois ? >. Il me dit : < tu es dans un temps de 8h20 > !!!! Oupss ! No possible ! Je me suis trompé hier pour les ornières, c'est après les 70 que je les ai mise. Je croisais les UFOS , mais je me rappelle que mes yeux étaient fixés au sol 2 metres devant moi, ou loin devant et plus rien n'existait. J'entendais les encouragements de mes mis UFOS. J'arrivais encore à dire de temps en temps < aller > mais que trop rarement. C'est vrai que dans ces moments là , le reve, les espoirs, la famille, la vengeance et tant d'autres choses nous passent par la tete et ce ne so nt plus nos yeux qui nous guident mais le domaine de l'irrationel. Les coureurs qui me précède commencent à lacher prise, l'écart fond à vue d'oeil, je reve, je continue à rever, d'une bonne place. Mais aurai-je assez de ressources, assez de km, pour les rattraper ??? 80ème kilo 6h39'21 , les 10 km en 50'07''00, je continue à avancer, pour moi, je tourne à peu près pareil à chaque tour, avec des pointes à 13,5 Km/h. Lionel me dis de ne pas m'exciter, mais je lui fais remarquer que je suis bien à cette vitesse. Je m'arrose de plus en plus la tete et les jambes, pour les refroidir, si je dois faire un plus gros effort, autant etre bien. Je surveille les bénévoles au pointage, car parfois ils discutent et il ne faudrait pas qu'il me loupe. Je n'ai toujours rien mangé, je n'ai pas faim non plus, je ne bois peut etre pas toutes les 20mn, comme prévues, mais j'alterne toujours l'eau et la boisson sucrée. Mes jambes vont bien, pas de douleurs autres que celles qui figurent dans le manuel du parfait centbornard. Aller petit , ça se termine, maintenant ce sont les memes distances qu'à l'entrainement. Christine qui a pris le relais continue à me dire que je suis toujours dans les temps de mon record 8h20'37 établi en 98 aux CF de St Vit. 90ème kilo 7h30'20 , passage en 50'58''88 pour les 10 km. Lionel fait le dernier tour avec moi, il me booste , me dis que c'est possible et que si j e courre les 10 dernier à 12 km/h je suis en 8h20. Pourtant meme en 52 mn c'est encore bon ? ben non, il veux 50 mn !!! Malgré une petite accélération, obligée quand on entend de telles paroles, c'est dur, au dernier passage j'ai vu 2 coureurs qui au 50ème kilo, avaient au moins 4 kilomètres d'avance et maintenant il sont tout près. Un je peux essayer le plus près, mais l'autre ??? de plus je ne connais pas ma place. Ver s le 91ème km, je croise CANALS ROVIRA qui termine son dernier tour, je tends la main, il me la tape en signe amical, sympa, je l'encourage et lui de meme. Je continue et j'arrive ( je crois ) à répondre aux encouragements des UFOS qui savent que j'en termine. J'essaye de me concentrer, Lionel, me harcèle ;-)))) avec ses encouragements, mais il sent que je faiblis, je dois tourner en 26 ? 27 mn au 5 km. Lionel continue à me déchirer les tympans < aller petit faut y croire, rappelle toi, il y a un an ou tu étais, bats toi, tu peux y arrivé >. Au 95,5ème kilomètre, je dis à Lionel : < Chutttt, je fais ce que je peux >. Désolé mon Lionel, mais aujourd'hui je me rends compte que sans t oi, je n'aurai jamais si bien couru. De temps en temps j'ai quelques sursauts de vitesse puis arrive les dernières cotes. 96,5 km, je viens de reprendre un coureur, que j'avais en point de mire, je relance, je sens que la tete et les jambes suivent. Lionel, continue ses encouragements, je n'entends plus que lui, < aller petit > ben oui tiens ? ça me rappelle quelque chose. Puis le déclic, grace à qui ??? ben oui à Lionel, 4 mots on suffit : < il reste 3 kilometres >. C'est quoi 3 kilomètres, la cavalerie est prete, les sioux sont sur le pied de guerre. Je remets le turbo en route, j'accèlere, Lionel le bougre me donne des frissons < aller mon Alain, aller petit, tu va le battre ce record >. Maintenant je suis à 13 km/h , puis à 14 , puis à 15 km/h dans la dernière descente. Dernière ligne droite, tout le monde m'acclame, Lionel, Christine, Nicolas, cris à tete, je sprint comme un fou, c'est fini !!!!!!!! !!!!!!
Dans mon élan, j'atterris dans les table de pointage, situé dans le virage, 4 m plus loin. FINI , ben non il vous reste un tour ? GLOUPS, KOIIIIIIII ???? La mort du petit cheval, j'étais dans un autre monde le temps d'une seconde. Je me rappelle avoir vu Lionel comme un fou, leur faire voir sa montre avec le nombre de kilomètre, puis moi meme leur montrer la mienne qui indiquait 100, 07 km. On s'excuse, on a du se tromper. Ben pour l'excuse pas besoin, l'erreur est humaine, mais je ne serais pas reparti de toute façon. Dernier 10 km en 49'40. Je rejoins Lionel, Christine, et Nicolas, pour leur tomber dans les bras, à les embrasser, les remercier, les ? continuer à les embrasser, les serrer dans mes bras, les ?? Bon stop. Pensont aux autres UFOS. Je savoure quelques instant cette course merveilleuse, ce record inattendu et puis d'avoir aussi porté fièrement le maillot UFO. J'attends pour leur serrer la main, les 2 coureurs que j'avais doublé peu de temps avant, et nous partons prendre la douche. J'apprendrais que le 7ème à fini 13ème à Millau cette année. Je ne me rappelle plus à quel moment je retrouve L'toro, il m'apprends qu'il a abandonné. Je vais voir pour le classement, 8h19'00 je suis 5ème et 1er V2. Une coupe, un diplome et je vais à l'arrivée pour attendre mes amis UFOS.
CONCLUSION : sans préférences
Un vrai regret pour Jmod, qui m'a suivi de pas très loin pendant au moins 50 km , je pense que les 9h00 sont à poré de main et en tout cas je te le souhaite tès vivement. Un homme attachant et qui mérite d'avoir comme ami. Merci pour tes encouragements répétés, du pur bonheur.
Ltoro, toujours souriant, avec sont béret du zoo, et que j'ai revu sur l'autoroute à un poste d'essence le dimanche avec sa compagne. Un vrai plaisir, un grand moment passé près de toi. Vivement que l'on se retrouve, pour ma part j'en reve deja. Phil, ben oui, j'ai porté le maillot UFO, avec fierté, j'espère qu'il continuera à faire des heureux comme moi. J'ai trouvé ta foulée super souple, je t'ai trouvé d'ailleur très bien tout le temps, tu es venu pour te faire plaisir et trouver du plaisir et je pense que tu as réussi. Merci pour tes encouragements, on se connait depuis tres longtemps, tu es un vrai ami, je te dois beaucoup, merci à toi.
Mmi, voilà un phénomène, à mettre dans ses amis et à encourager, nouveau au forum, mais à garder impèrativement. Bravo à toi, régulier tout le long, quelques difficultés sur la fin, mais toujours le clin d'oeil, l'encouragement, le mot gentil. Tu vaux beaucoup mieux.
LTDB , de la hargne, du courage, une vrai pile électrique, il faut y croire plus que ça, tu va bientot nous montrer ta vrai personnalité . Merci à toi , et à ta gentillesse, ton sourire, tout ça me manque déjà.
Le Zebre, ben je lui dois tout, ma course c'est la sienne, je suis peut etre encore trop ému, pour te dire et te remercier pour ce que tu as fais pour moi, pour m'exprimer et dire ce que je ressens. Sans toi, cette course aurait été monotone, tu as su me faire prendre conscience de mes possibilités, me donner la force de me battre , de battre mon record et revenir à un bon niveau. Je ne regrette pas de t'avoir dit de venir t'entrainer avec moi, aujourd'hui je te dois beaucoup, merci Lio.
Merci au Schadock pour son appel samedi soir, et à tout ceux qui ont pris de nos nouvelles. Je me suis étonné à pouvoir courir encore à des allures que je n'aurai pas imaginées avant la course. De grand moments de bonheur à chaque croisement de la dame asiatique, un phénomène de gentillesse et d'encouragements. Désolé j'ai oublié ton nom pour l'athlète en fauteuil qui m'a encourager en me disant < aller millepat tes > pour moi ce fut un grand moment d'émotion. De plus il a crevé 2 fois je crois, toutes mes félicitations. Ainsi que tous les noms des gens que j'ai rencontrés et que je ne connaissais pas, Par contre je ne m'imagine pas non plus quel aurait été mon temps final, si j'avais couru ce 100 km sur un circuit plat. Bon, meme si je ne dois pas refaire une telle course, comme m'a dit OIGNON, je ne suis pas encore pourri. ;-))))))
PORTER le maillot UFO qui va loin et vite, abonner vous au mag, il faut que la famille UFO s'agrandisse et bientot le monde de la route nous enviera. Pour ceux qui peuvent venir ou le vendredi 21 ou le 28 novembre je ferais un apéro. J'attends de savoir ou il y aura le + de monde pour l'organiser. Merci de m'avoir lu.
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