L'auteur : Overnight
La course : Grand Trail des Deux Amants - 53 km
Date : 9/4/2017
Lieu : Pitres (Eure)
Affichage : 2558 vues
Distance : 53.6km
Matos : T-shirt
Short
Sac Trail
Salomon Xwings2
Objectif : Battre un record
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Retour sur le Grand Trail des 2 amants.
Préparation
Cette année, c'était ma première course de la saison sur un terrain que je connais pour y avoir participé en 2016. Aucune course depuis 4 mois mais un entraînement très proche de ce que j'avais fait en 2016 et donc l'envie de venir faire mieux histoire de valider une petite courbe de progrès.
La préparation se passe pour le mieux, le marathon en 3h15 si si je vais le tenter... Oups c'est pas tout a fait ça... le trail des 2 amants en 6h et même en 5h50 il va voir ce qu'il va voir... RAS jusqu'à 14 jours de l'objectif où je me bloque le dos à faire danser la petite en la portant à une soirée, suivie d'une session de 3h de trail le lendemain.
En fait, 7 côtes bloquées sur le flan droit qui vont tirer sur le reste de la mécanique jusqu'à ce que je me décide d'aller faire un tour chez l'osthéo à J-5.
Un genou se met aussi à couiner un peu, et la dernière semaine c'est le talon qui me fait souffrir (mais seulement à la marche) alors que c'est bien un endroit où je n'ai habituellement rien de méchant.
Une petite gastro pas trop méchante à J-7 là-dessus et pour tout dire c'est pas super confiant que j'aborderai du coup les derniers jours.
La météo s'annonce chaude, du coup à J-1, je fais une dernière sortie de 40mn à 14h histoire d'habituer un peu le corps à courir par un temps que j'apprécie guère.
Est-ce que ces petits désagréments auraient dû pousser à partir prudemment... sûrement, mais c'était pas l'idée du jour. Je me trouve d'ailleurs une bonne excuse en me disant qu'il vaut mieux que je profite de la fraîcheur pour avancer et puis le briefing du départ qui parle d'un single d'entrée de jeu me pousse à partir assez vite par peur de bouchonner un peu (bon quand on voit la suite y a de quoi bien rire)
Jour J, je passe faire un crochet récupérer Laila et covoiturer jusqu'à Pitres. Bon bah le voyage est beaucoup plus court qu'à mon souvenir (forcément en discutant et cette fois pas de brouillard sur la route donc ça va tout seul:))
Arrivée, retrait des dossards, où bubulle me hèle sans que je parvienne à le localiser dans un 1er temps:D, côté organisation RAS, très rapide pas de soucis, une gourde souple en cadeau.
Je perds Laila de vue et décide de retourner à la voiture chercher la ceinture cardio que j'ai oublié ainsi que des épingles à nourrice tout en faisant un semblant d'échauffement. Je croise au passage un coureur (lui est sur le 25kms) du tout nouveau club de trail qui est né à côté de chez moi et auquel je viens juste de souscrire. On se souhaite bonne chance puis je reviens au gymnase.
Je retrouve bubulle en discussion avec Emilie et Romain, avec lequel j'avais partagé quelques trop brefs kilomètres de Off GR2, je sors retrouver Laila voire si elle a pas besoin d'épingles à nourrice pendant qu'elle se fait interviewer repérée par son palmarès:D et puis c'est le moment de partir.
La course
Laila, l'air de rien, ennuyée par quelques blessures et pas au top, ne va pas faire semblant de courir... elle file se glisser devant et au départ je la vois qui s'éloigne très rapidement en tête des filles.
Je démarre avec bubulle et boucanier, mais cette année je pars tout de suite assez fort. Oublié les récents petits soucis, la météo même pas peur, 53 bornes c'est rien, 1800 d+/- c'est bon c'est tout plat, le parcours c'est bon je connais.... GO !
Non pour tout dire, je pars au rythme que je m'étais dis...
Le ressenti ne me choque pas, le cardio que je ne mettais plus depuis longtemps m'alerte tout de suite que c'est trop vite... mais j'ai décidé de ne pas m'en occuper plus que ça comme je n'ai plus trop de repère.
Je rattrape rapidement Stéphane avec qui j'avais partagé un morceau du parcours l'an passé (mon vttiste sur la course 2016). Cette année il fait pacer pour un ami et ne comptait pas trop pousser, mais je ne m'attendais du coup pas à me retrouver avec lui sur un rythme somme toute élevé.
J'hésite un peu à stabiliser l'allure pour rester avec eux... le kilomètre parcouru avec eux en 5'09 devrait aller dans ce sens, mais non, je continue de pousser pour monter à 12kms/h avant d'attaquer la 1ère bosse.
Comme l'an passé, je suis un des premiers à marcher et ça ne change vraiment pas grand chose, on bascule, dans la descente j'ai des fourmis dans les jambes... je suis un peu bloqué par celui qui me précède et me calme un peu en décidant de rester derrière car l'air de rien on ne traîne pas. Arrivé en bas les 2 devant tournent à gauche, je me pose pas trop de question et emboîte le pas mais m'interroge quand même sur cet enchaînement sans en faire étalage.... et puis d'un coup, il y en a un qui était un peu + en avant qui fait demi tour (aïe aïe aïe... on s'est planté à 4 ou 5 dont un maillot kikou je croyais avoir reconnu mais j'ai comme un doute après coup...).
On redescend et 2min30 après avoir quitter le chemin on revient dessus en voyant toute une colonne de personnes qui nous ont passés devant... Je regarde dans ceux qui sont en train d'arriver si je ne vois pas un visage familier... non... Je me dis que je vais peut-être retrouver bubulle du coup dans ceux juste devant, à défaut au moins Stéphane...
ll y en a un qui repart assez fort de notre petit groupe sur le bord de Seine que je suis à distance jusqu'à ce qu'il tombe... Il se relève sans mal et on repart du coup ensemble... Le gars plein de bon conseil que je suis, lui dit que ça sert à rien de vouloir revenir trop vite, la route est encore longue et on aura bien le temps de revoir les coureurs passés. Sauf que dans la catégorie, fais ce que je dis mais pas ce que je fais je suis pas mauvais...(faudrait pas trop repasser sous les 12kms/h à plat)
L'air de rien ça avance bien sur le plat et on a bien du mal à reprendre du monde. Par contre, dans la côte pour monter à Senneville, c'est le mode pacman enclenché (y a le temps pour revenir ? Ah bah oui c'est déjà oublié et je quitte mon compagnon d'erreur de trajet)... je redouble beaucoup de monde à ce moment là et assez vite (une quinzaine de coureurs à la louche)... Arrivé en haut d'ailleurs, je me souvenais du temps de passage et constate que malgré l'erreur de parcours (sûrement un peu atténué par le départ + direct il me semble), je vois que j'ai une petite minute d'avance sur mon temps 2016.
C'est ce que je voulais, mais une descente et une remontée + loin alors que je retrouve Stéphane et son binôme, je vois en même temps dans cette bosse que même si je lève un peu le pied, je ne peux pas faire bien mieux.
La descente bien raide qui suit, je me contente de rester sagement derrière celui qui me précède ce qui est d'ailleurs pas mal dans ce passage bien technique qui n'est pas trop de mon goût et en bas... surprise.. on ne file pas tout droit mais on va longer des rochers sur la droite. Pas bon du tout pour le chrono ça, mais très belle variante bien casse patte au passage avec un sacré raidard pour revenir sur le chemin de l'an passé (Une surprise qui fait mal mais plaisir aux yeux c'est l'essentiel ).
On revient ensuite sur du plus roulant, où je redistance Stéphane avec encore un bon rythme qui me permet de passer encore quelques coureurs avant d'arriver à Daubeuf...
Descente sur Daubeuf, roulante, donc ça envoie... et derrière une nouvelle variante en quittant le village. Un peu le même scénario que l'an passé... je suis devant un groupe et j'ouvre la voie toujours un peu sur le même rythme. On reprends la 3ème féminine (mais je suis incapable de dire si elle était devant dès le départ ou pas.... je pense quand même avoir terminé de rattraper l'erreur de parcours), ainsi qu'un gars torse nu... qui repart d'un coup à un gros rythme juste impossible à suivre (je ne le reverrai pas d'ailleurs).
J'essaie de me calmer un peu avant de reprendre la bosse suivante, à ce petit jeu, je sens que ça recolle derrière et surprise c'est Romain... il a pas l'air bien mieux que moi pour tout dire et d'ailleurs on se dit que bubulle va nous reprendre avant la fin... on prend la bosse... et c'est vraiment là que je prends conscience que ça va vraiment être très compliqué de faire aussi bien qu'en 2016 sauf si surprise je réussissais à moins baisser de rythme après le marathon mais là ça s'annonce mal... Je le vois bien... la bosse l'an passé je l'avais en grande partie courue... là je la marche essentiellement... je perds malgré tout Romain qui semble souffrir un peu + encore et décide donc de poursuivre seul.
Le passage dans le champs de Colza avant le ravito ne vient que conforter ça... je ne suis pas à niveau... je lutte même un peu pour maintenir ma position et je cours bien moins que l'an passé.
Ravito... Même chose que l'an passé... Un saucisson à manger, j'évite le coca cette fois, remplissage de la poche à eau... et j'embarque encore du saucisson pour avoir un peu de salé à grignoter en + de mes barres de pâtes d'amendes et fruits secs. Je repars un peu moins vite, encore une fois la côte qui suit me semble + difficile à gravir même si la relance derrière est pas si mal.... je me sens d'ailleurs très seul... le gars devant moi à une ligne droite d'avance sur moi et derrière pareil...
Retour dans Daubeuf, cette année pas de point classement.... avec les lignes droites entrecoupées de zigzag j'ai quand même réussi à récupérer un gars à bâtons... la bosse pour sortir du village écrase les perspectives : j'ai l'impression que je vais en reprendre rapidement 7 ou 8 alors que rien du tout oui !! Mais absolument rien ! Finalement il y en a 2 dont je me rapproche mais que c'est long et laborieux...
Personne semble à la fête car derrière pareil, ça semble compliqué aussi.
Un peu avant le 30ème kms, je commence à rentrer dans le dur sérieusement avec un point dans l'estomac (sûrement une crampe) qui me fait souffrir en descente et voilà que je cours avec un doigt enfoncé dans le ventre dès que ça descend (la classe...), on croise des bénévoles... je me sens vraiment KO à cet endroit et voilà que le gars me rappelle, je me retourne et Laila dans une voiture m'annonce son abandon car les tendons trop douloureux (dur dur ce passage... j'étais content de ne pas la voir au loin, me disant qu'elle devait faire sa course bien devant et allait nous claquer un truc )... ça tergiverse un peu dans la tête... je me doute que je vais finir dans le dur, que le chrono 2016 est sûrement en train de s'évanouir pour de bon, que la pauvre Laila va m'attendre 3 plombes avant qu'on reparte mais bon il faut tenir.
Retour dans Daubeuf, je ressors très près de mes 2 prédécesseurs désormais. Je trouve par terre une pochette transju'trail et hèle mon prédécesseur pour savoir si c'est à lui (du coup, il attend quelques secondes bien que ça ne soit pas à lui et on fait la bosse ensemble).
On fini par revenir sur celui qui est juste devant et cette fois c'est bon c'est bien à lui... On discute un peu et puis le retour d'une personne me réveille un peu et j'emboîte son pas sur la partie plate avant de reprendre la partie bien casse patte.
Finalement, il a beau avoir fait la jonction, il ne semble pas si facile que ça et dans la bosse avant le ravito il décroche un peu me disant qu'il n'a plus de jambes (il est pas le seul). La 3ème féminine revient alors, je lui confirme au passage qu'elle est du coup 2nde et par contre je sens que son rythme n'a plus grand chose à voir avec le mien. Je lui souhaite bonne route au sommet, sentant bien que je n'ai plus la force de suivre. Ravito, où une personne de plus me passe assez nettement malgré que je ne m'y arrête pas vu qu'il me reste assez d'eau et je monte avec bien du mal.
On revient sur Senneville et là les crampes me prennent sérieusement aux cuisses... je m'arrête, repars, m'arrête de nouveau en essayant d'étirer un peu, de boire... ça revient un peu, assez pour trottiner mais ça sent vraiment pas bon cette histoire ! Petite descente, grosse hésitation à un croisement avec le balisage sûrement du 25kms.. on est 3-4 du coup à tergiverser sur le chemin à prendre... il me semble qu'il faut bien continuer à descendre mais l'hésitation des autres me fait douter. Finalement, l'un qui part dans le mauvais sens revient rapidement pour dire que c'est barré et donc hop la descente passe encore plutôt bien (personne du petit groupe ne tente de passer c'est donc pas si mal).
Et là, paf, la côte d'Amfreville, bien raide, en plein soleil... je gère la montée et ça n'avance pas (pas le seul on dirait puisque le petit groupe reste toujours sagement en retrait).
Et finalement à mi pente, j'entends Stéphane qui me dit que ça n'a pas l'air d'aller (et oui plus de jus!)...
Il est revenu très rapidement et s'éloigne tout aussi vite imité sur le haut de la bosse par son binôme qui me donne une petite tape dans le dos au sommet. Je tenterai bien de les suivre ensuite le temps de la descente, mais les crampes sont insupportables ce qui rend le début de descente très dure à gérer surtout dans la portion la + pentue, je dois m'arrêter 3 ou 4 fois et du coup je me fais encore doubler.
Les bénévoles proposent de l'eau gentiment, je dois avoir le regard perdu à ce moment là comme si je cherchais le ravito mais non j'ai encore suffisamment.
La montée suivante c'est pas mieux, je retrouve un de ceux qui s'était trompé de chemin avec moi au départ (celui qui était tombé) qui vient de me reprendre mais il a pas l'air mieux non plus... on monte littéralement au ralenti... on se fait quand même doubler une fois (seulement je dirai), et puis au sommet, tant bien que mal, ça repart pas très vite mais assez pour faire un petit groupe de 3 en reprenant celui qui nous avait laissé dans la bosse.
Je me surprend même dans le faux plat avant le ravito à distancer mes compagnons assez nettement et profiter du ravito pris un peu plus rapidement pour en repasser 2 de +.
Et puis seul, personne devant, personne derrière... j'arrive sur la fameuse section de la voie ferrée et cours (enfin marche une bonne portion) bien côté ballaste comme indiqué lors du briefing.
J'ai juste le temps d'apercevoir quelqu'un qui en finit avec la ligne droite au moment où je l'attaque (autant dire que l'écart est conséquent et c'est pas à ma vitesse d'escargot que je risque de revoir quelqu'un devant). Derrière, j'aperçois quelqu'un assez loin aussi et je ne le sais pas encore mais c'est bubulle qui est en train de revenir. Dernière longue montée, que je prends en douceur, je gère, juste en vue d'en finir ce qui n'est pas encore gagné même si à ce moment là je n'en doute plus trop.
Je surveille derrière, et sans trop de surprise je découvre bubulle en contrebas. A ce moment, je n'ai aucun doute que je vais être le prochain sur sa liste de pacmanisé, d'ailleurs je suis presque surpris de le voir que maintenant (je m'attendais à ce qu'il me récupère déjà au ravito précédent) et c'est donc qu'il doit être dans un timing un peu moins rapide que l'an passé.
Je le vois revenir rapidement et tente juste de gérer pour essayer de basculer avec lui et tenter de l'accrocher quelques minutes. Victime lui aussi d'une crampe, ça me permet de passer le chemin du hobbit comme il l'appelle en sa compagnie.
La descente arrive et je le laisse passer... chaque moment à relancer la machine se paie assez violemment et ça ne fait pas exception... Dans la descente, je le vois bubulle, il est pas bien loin, je serai presque tenter de refaire l'effort pour rester un peu encore avec mais non... les crampes deviennent trop violentes, j'ai l'impression d'avoir les cuisses dans des étaux et sur le bas de la descente le laisse énormément de temps... l'ultime bosse me permet de mesurer l'écart creusé... derrière j'entends que ça revient maintenant aussi.. et je vais devoir en laisser passer encore 2 dans la descente qui suit.
Je tente sur le bitume d'accrocher un 3ème comme une moule à son rocher... ça marche le temps de rallier la guinguette... et puis voilà que mon ouvreur se met à marcher.
Du coup, je passe mais très rapidement je lâche à mon tour... dur de se faire d'avantage violence quand la douleur est là, qu'il n'y a plus d'objectif particulier.
Alors oui, je laisse faire, je laisse revenir mon ouvreur comme 3-4 personnes de plus... Un seul dans le lot fait encore bonne impression (comprendre qu'il court tout le temps et à un rythme qui ressemble encore à quelque chose), les autres ne font pas bien mieux mais s'éloignent petit à petit.
Mon ouvreur essaie bien de me motiver mais on fait un peu l'élastique et lui aussi finit par s'éloigner. Pour donner une idée, les kms passent entre 7'24 et 8'02 au km... oui oui les mêmes qui passaient entre 5'09 et 4'55 dans l'autre sens... Bim le mur
Finalement, je vais finir les 300 derniers mètres à marcher, je surveille et je vois que plus personne ne va revenir donc c'est bon je peux ranger l'esprit de compétition (euh bon ok je l'avais déjà laissé il y a un moment mais quand même je n'ai plus envie de me faire doubler), dernière ligne droite en marchant, ça me change de l'an passé finit au sprint, là je commence déjà à récupérer ce qui est pas du luxe.
Le speaker me demande si j'ai vu la 3ème féminine mais non désolé, elle finira pas loin mais je ne l'aurai pas vu de la course.
Arrivé, je retrouve Bubulle et Laila qui a la gentillesse de m'aider au ravito... je suis vraiment KO et je vais prendre mon temps avant de repartir à rester discuter un moment en essayant de récupérer un peu. Jam arrive a son tour et puis on finit par lever le camp non sans mal pour moi j'avoue... Dans la voiture, le thermomètre donne du 27°, je comprends mieux les traces de sel:)
Que dire...
D'abord sur la course, pas de surprise ça reste très bien organisé même si le balisage était peut-être un chouilla moins précis cette année. En tout cas un gros engouement mérité cette année sur le 53kms, une variante bien sympa par les falaises et même pour le départ c'est pas plus mal d'éviter le bitume.
Des bénévoles sympa, un peu de public par moment pour donner du courage, des coureurs qu'on apprécie revoir ou connaître un peu mieux
De mon côté, la plus grosse claque prise sur une course jusque là, ça remet les choses en place : j'étais venu tenter, j'ai pas été déçu de résultat : jamais fini aussi loin de ce que j'imaginais au départ. Départ un peu rapide (en fait le cardio était + élevé sur les 4 premiers kilomètres mais après ça se tenait), la chaleur... et peut-être une forme moins bonne que je voulais le croire... Question hydratation j'ai eu l'impression de boire beaucoup et de m'alimenter mais manifestement ça ne suffisait quand même pas... bref... il faudra que je revienne pour corriger le tir quoi
Pour le coup, une bonne leçon d'humilité de prise... A bien garder en tête dès la Trans'ju en juin et surtout la CCC.
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2 commentaires
Commentaire de bubulle posté le 20-04-2017 à 09:19:52
T'es quand même parti comme un timbré..;-). Bon, certes, t'es pas un vieux V2 diésélisé, ça se comprend, mais faut pas faire ça sur la CCC, hein (ça ne risque pas, vu la première "bosse" là-bas).
Nous voilà donc à 1 partout, mais je ne doute pas que l'an prochain, je me prends une belle mine. Mais on y revient sans problème, à cette course, n'est-ce pas ?
Commentaire de Overnight posté le 20-04-2017 à 22:44:18
Non non la CCC c'est terre inconnue (dénivelé, kilométrage, durée, nuit dehors)... Assez de challenge à relever pour ne pas s'ajouter d'handicap supplémentaire :D
L'an prochain on verra... Je finirai ptet par faire l'ecotrail aussi un jour :) auquel cas je ne jure de rien sur mon état au GTDA :P.
Mais, oui on y revient sans soucis... J'aime bien nos courses des yvelines mais j'avoue que quelques points de vue, quelques passages techniques et 2/3 côtes bien sèches font pencher mon coeur en Normandie :P
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