Kikourou.net

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Je dirais pas sauver mais AIDER.

M'a aider à passer des moments difficiles, à affronter des épreuves, à savoir résister à la douleur, à repousser mes limites, à toujours esperer.
Et cela, non seulement sur un plan physique mais intellectuel aussi.
Le sport d'endurance reste mon école pour apprendre à affronter la vie.

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De la cigarette
mais il y a bien longtemps

du déces de ma mère et donc d'une réelle dépression.
Vive la CAP !!

Du stress!

et toi corto ?

De la cigarette, mais aussi de l'ennuie, quand les enfants grandissent, font leurs activités sportives, mon mari qui lui aussi est à fond dans le sport...Donc voili voilou je passais mes week-end à m'ennuyer, à faire du ménage... et grâce au club de vélo de mon mari j'ai rencontré des filles qui couraient un peu le dimanche, je les ai suivis puis j'ai pris goût à la càp et je suis rentrée dans un club : l' Edac...et depuis je me sent super bien dans ma peau...CEla fera 3 ans que je cours...Super le sujet...ET TOI????

Sympa le sujet!

Commencé la CAP en Septembre 2007 et ça m'a permis de lacher pas mal de trucs assez néfastes à ma santé au départ
Puis, cet hiver, ça m'a permis d'éviter mon petit passage à vide hivernal

Le pb, C que ça te sauve d'un côté mais ça devient une telle addiction qu'après, qd tu es blessé ou que tu ne peux pas courir, il faut trouver autre chose pr te sauver!

(Quoi?Les Bonbons C pas la bonne solution? Ah )

de mon ex-femme!!!... et de la banalité!

Salut,
Le sport ma souvent permis de me tenir a l'écart de certaines M....(boissonn,cig),jamais sans abus mais quand même .
J'ai toujours pratiquer le sport et en même temps la fiesta avant 2002.
Aujourd'hui le sport me permet de canaliser mon dynamisme et d'avoir un mode de vie plus sains.
Un ti coup dèrrière les étiquettes de temps en temps mais rien de bien méchant .
Vive le sport !!!
JOY

dans l'odre brûlure au visage, chikungunya, tympan explosé, problèmes avec mes voisins, déménagement tout ça en 3 mois en 2006, bilan en juillet 2006 je m'inscrits à la diagonale des fous et me lance dans une course contre la montre pour la fin octobre (jamais couru auparavant). Abandon au 72ème Km. Depuis je continue ça m'évite de vieillir, de picoler, de glander et mes gosses sont plutôt fiers

j'aime bien ce genre de sujet, effectivement la course a pied m'aider a abandonner la cigarette consommée outrageusement pendant 20 ans. Maintenant elle continue de m"aider dans les moments difficiles et surtout je me dis souvent quand l'envie d'une clop revient 5 ans après ce serait con de perdre tout se bénéfice acquis.
enfin la course à pied m'a aussi permis de faire des rencontres de m'inscrire dans un club et de rencontrer des gens merveilleux.
en gros que du bonheur!!!!!!!!!!!!!

coucou
la CAP m'aide à me sentir en forme, me permet de partager des moments forts avec mes collègues d'entrainement, et surtout cela me permet de manger tout ce que je veux (plutôt 2 fois qu'1) sans prendre 1 gramme et ça , c'est cool !

Vaste sujet, oui, bien sûr! La CàP m'a juste sauvée de ma vie, de mes habitudes prises très tôt, de mes 20 à 60 clopes quotidiennes selon les périodes, de mon habitude à l'alcool, habitude prise très tôt, prise dans un environnement favorable comme le dit la si pratique et si hypocrite formule consacrée. Sauvé aussi du p'tit joint du vendredi soir qui s'est lentement transformé en petit joint de tous les matin, qui précède le p'tit des 9 heures, celui qu'on fume avant de celui de midi...

Bref, la CàP m'a-t-elle sauvée de mon environnement favorable et de ma propension à m'y précipiter au pas de course ? Oui, encore une fois, et non. Oui la CàP m'a sauvé, mais pas la CàP seule. Je dirais plutôt que c'est le sport et avant le sport, mon amour du grand air.

Je me suis mis à courir, pas par plaisir, non. C'était plutôt une corvée. Mais quand je me szuis décidé à ralentir l'herbe à Nico (avant de penser à vivre sans...) je me suis rappelé qu'il existait une vie en dehors des villes et des bistrots et me suis mis à randonner. Mais c'est dur de randonner quand en plus de fumer, on est obèse. Et mes sorties rando étaient plutôt rares, car conjuguer jour de congé à beau temps n'est pas toujours évident. La solution a mis un certain temps à m'apparaître. Courir de temps en temps, durant mes jours de travail. La solution fut ardue à mettre en place. Je me souviens de ma première semaine de course, j'avais téléchargé un truc sur le web, un programme de remise en forme pour rescapés de cliniques, pour survivants d'infarctus. 1' de course et 2' de récup. 5 répétition pour arriver à un quart d'heure après lequel j'étais mort, de fatigue et de douleur. La semaine suivante fut audacieuse, 2' de course avant les 2' de récup'...

Le 1 avril 2006, j'arrive à courir 12' sans m'arrêter, le 1er octobre de la même année, j'arrive au bout du Morat-Fribourg et dans moins de 3 semaines, je serai sur les Champszé, avec pas mal de kikoureurs et quelques autres aussi, qui ne sont pas kikoureurs mais coureurs tout de même.

La CàP m'a-t-elle sauvée ? Non ! Sauf qu'elle est devenue une sorte de colonne vertébrale d'une vie plus saine. Ma seule replongée dans le tabagisme a eu lieu alors qu'une paire de tendinites me bloquait dans mon fauteuil, et si j'apprend la prudence, ce n'est pas par sagesse, c'est par peur de ne plus pouvoir bouffer ma dose de bitume.

Epitaphe

chtigrincheux a écrit:et toi corto ?

Maintenant, j'ai répondu, je peux citer chtigrincheux...

Oui la course à Pied et le sport en général (Hand, Foot, Roller, VTT ) me permet de gérer le stress quotidien, les coups durs de la vie.

Sous sa forme solitaire, elle permet de faire le point et de s'isoler pour prendre les bonnes décisions.

Comme disait les Romains : "un esprit sain dans un corps sain"(Mens sana in corpore sano)

elle m'a sauvée plein de fois....d'abord de la vie géniale mais un peu réductrice de mère de famille...., puis à chaque déménagement: de la solitude, on ne reste pas longtemps tout seul quand on court....
dans les virages de la vie: un bon anti dépresseur pas cher et sain....
peut-être un des seuls éléments stables dans ma vie depuis les 25 ans que je pratique la CAP.....merci!!!!
vetchar_elle_est_pas_belle_la_vie?

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de mon boss qui me donnais tjrs du taf pendant ma pause dejeuner

manu

rapace74 a écrit:de mon boss qui me donnais tjrs du taf pendant ma pause dejeuner

manu

Il ne te court pas après avec sa pile de dossier en main ?

n p'tit coup de pouce......pour Corto!

Non... je suis toujours aussi con

DidierC a écrit:Non... je suis toujours aussi con

+1

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[quote="Epitaphe"]Vaste sujet, oui, bien sûr! La CàP m'a juste sauvée de ma vie, de mes habitudes prises très tôt, de mes 20 à 60 clopes quotidiennes selon les périodes, de mon habitude à l'alcool, habitude prise très tôt, prise dans un environnement favorable comme le dit la si pratique et si hypocrite formule consacrée. Sauvé aussi du p'tit joint du vendredi soir qui s'est lentement transformé en petit joint de tous les matin, qui précède le p'tit des 9 heures, celui qu'on fume avant de celui de midi...



Epitaphe tu me fous la chair de poule... parce que je me reconnais (enfin je reconnais celui que j'étais...) dans ton récit...

A la lecture de vos post j'ai l'impression que la CAP a été pour plusieurs d'entre nous un moyen de pratiquer une rupture, une rupture avec une absence d'hygiène de vie, rupture avec les habitudes, rupture après des épreuves sur lesquelles on ne peut pas gamberger éternellement, rupture avec les repères aquis; bref une bouée pour ne pas sombrer...
puis la CAP est devenue presque un incontournable, un genre d'addiction, un refuge de valeurs saines...
enfin j'ai l'impression, avec mon petit degré de vécu, que la CAP devient un mode de vie, pour ne pas dire un "art de vivre"...

de restructurer ma vie... à 49ans ; de dynamiser toute ma famille qui a suivi ,de gouter avec délice les bons moments et surtout surtout de savoir sourire à tout propos qui m'aurait fait bondir avant...
zen.... .. voilà çà m'a rendu ...zen

pfff..pourquoi j'ai pas découvert la CAP plus tôt

peut etre pas sauver,mais m'a aidé,dans beaucoup de choses notament dans mon travail : je suis educ sportif.

moi du cholestérole et autres conneries auccumulées suite aux surdose de prot et prise de masse lors de mon passé en muscu et force athlétique

Découverte en 2003, la course à pied version ultra était d’abord un moyen de perdre 3 kilos. Je sais 3 kilos c’est pas énorme mais à l’époque ça m’inquiétait plus que mes deux bouteilles quotidiennes de côtes du Rhône. Chacun ses angoisses culturelles.
Elle m’a aussi donné une raison supplémentaire d’arrêter mes 30 roulées quotidiennes depuis 17 ans. Malgré des rechutes régulières, c’est grâce à elle que j’arrive à me mobiliser pour m’imposer de nouveaux arrêts.
Elle m’a permis de diversifier mes obsessions. Du coup mes autres obsessions (qui ne regardent que moi m’emmerdez pas là dessus) étaient moins… obsessionnelles. Toujours ça de pris pour moi et mon entourage.
Je croix que ce sont les vrais bénéfices, ou plutôt les vrais cadeaux que la course à pied m’a offert.

Mais insidieusement, elle m’a fait croire aussi pas mal de conneries les premiers temps.
Entre autre que je pouvait devenir meilleur, sous prétexte que je relevais des défis un peu fous. Comme si des performances extrêmes pouvait suffisamment narcissiser pour échapper à ses démons.
Ça c’est comme l’alcool ou les femmes ou le vernis à ongles, ça dure qu’un temps quand on croit que le salut passe par là.

J’ai cru (enfin j’ai senti) aussi que ça apportait la sérénité sur un plateau ; sous prétexte que je suis bien, seul à courir là-haut avec juste de l’eau et l’immensité des montagnes. Mais le retour dans la plaine et la re-confrontation au monde des hommes a vite fait de remettre les choses à leur place. Ou impose la nécessité de re-courir sans cesse pour fuir. Et ça c’est une dépendance que je connaissait trop pour la renouveler.

Mais j’ai trouvé ma thérapie ailleurs.

Maintenant, la course à pied, je sais ce qu’elle m’apporte et je cours pour ça. Mais mon salut ne passe plus par là.

Manu.

la cap m'a remis dans accident de la route en 1991 jambe droite explosé .chirugie ,plaque et kiné ,qui m'a dit cap tranquillement .Et de cap en cap on arrive en 2008 ,et là ,la machine fonctionne encore ouf .Alors je profite , je profite

La CAP, c'est juste qu'elle fait partie d'un tout, comme mes enfants, on peut s'en passer une semaine au même titre que les pitchouns quand ils sont en vacances chez les grands parents, mais ils sont là par la pensée, bien présent.

Voilà pas plus,

Je m'y suis mis suite à un changement de poste au boulot. Je me suis retrouvé en horaire décalé et donc ne travaille plus le matin. Du coup, au bout d'un an, j'en ai eu marre de glander le matin, j'ai décidé de me lever en même temps que Madame (qui commençait à en avoir marre aussi de me voir glander) et de courir le matin.
Ca fait 2 ans que ça dure. Je suis fière de moi, ma compagne est contente, j'ai perdu du poids et je peux continuer à me goinfrer. Le bonheur quoi

Du stress,
De mon chef qui me persécute,
Du gâteau au chocolat trop bon pour résister,
D'une vie auto / boulot / télé / dodo top déprime,
C'est déjà pas mal ...

la cap je la pratiquait depuis toujours mais en dilettante, et puis la vie, une rencontre, une histoire d'amour, passionnelle, destructrice.... qui m'a mis sur le toit.... et toute cette rage, toute cette haine dont je ne savais pas quoi faire qui m empoisonnait..... alors je me suis mis a courir courir courir......... pour que mes jambes me fasses plus mal que mon p'tit coeur brisé..... et ca a marché......... aujourd hui il ne reste que le plaisir, le coeur est guerie, et les jambes se sont endurcies...............

La course m'a sauvée de moi-même, et du regard très négatif que j'avais sur moi... les gens de mon club de Choisy le Roi, mais aussi les actifs du val-de marne, m'ont apporté un miroir, dans lequel je me suis vue, dans lequel, j'ai appris à me regarder. Grâce à leur profonde amitié, ils m'ont permis de trouver une place et de m'y épanouir. Grâce à leurs encouragements, j'ai commencé à croire en moi, à avoir de l'ambition pour moi... et à m'aimer un peu.

La course m'a sauvé de quelqu'un qui ne me convenait, chose que je ne voulais pas admettre depuis déjà trop longtemps.

La course m'a fait rencontrer des gens extraordinaires, vous tous et ceux que j'ai pris en photo, avec un bonheur sans faille pendant quelques années, tout au long des courses.

J'ai trouvé l'homme dont je n'osais rêver aux 25 bosses, en courant, par un beau soleil d'août...

Vive la course!

Papillon a écrit:
La course m'a fait rencontrer des gens extraordinaires, vous tous et ceux que j'ai pris en photo, avec un bonheur sans faille pendant quelques années, tout au long des courses.

J'ai trouvé l'homme dont je n'osais rêver aux 25 bosses, en courant, par un beau soleil d'août...

Vive la course!

Tu as même trouvé la 26ème bosse
Bravo Papillon
Vive la Vie

JC

NO COMMENT

Vu son amour des bosses, il fallait bien qu'il m'en fasse une... et comme toute les bosses, c'est amoureusement qu'il l'escalade...

le sport m'a rendu malade (par excés; a 15A une sclérose en plaque (perte de tout ma coordination, motricité.......sensibilité, vue en partie, attrophie musculaire.....); et 10A à tout refaire: et today I RUN

PS/AIDES TOI LE CIEL T AIDERA....