Kikourou.net

Que faire!!! quand on est bléssée...Quand on a trop mangé... Quand on travaille trop... Trois ans maintenant que je cours et lorsque j'ai une journée de repos je serai capable d ' aller courir même si la fatigue est là. Pourtant je n'aime pas me faire mal mais je pense que c'est plus psychologique.

Quelquefois, j'ai l'impression de faire n'importe quoi

QU'en pensez-vous

Eprouvez-vous la même chose...

Fleur a écrit:Que faire!!! quand on est bléssée...Quand on a trop mangé... Quand on travaille trop... Trois ans maintenant que je cours et lorsque j'ai une journée de repos je serai capable d ' aller courir même si la fatigue est là. Pourtant je n'aime pas me faire mal mais je pense que c'est plus psychologique.

Quelquefois, j'ai l'impression de faire n'importe quoi

QU'en pensez-vous

Eprouvez-vous la même chose...

Ma petite christelle,

Cela s'appelle l'influence des endorphines...
Disong que le mieux pour pallier à cela est de structurer son entrainement en fonction de quelques objectifs très précis dans l'année. En gros, suivre un plan d'entrainement.

Comme chacun le sait déjà, la récupération fait partie intégralement de l'entrainement. C'est presque le plus important. Il faut laisser son corps réccupérer avant de lui redemander de refaire un effort.

Maintenant, je peux sans aucun souci m'arrêter de courir pendant 3 semaines (ce que j'ai d'ailleurs fait entre mon marathon et le TGV) sans courir et sans remords... Tout est une question d'objectifs ultérieur.

Mon seul conseil, mais il vaut ce qu'il vaut, serait de structurer ton entrainement... cela évite le surentrainement, les blessures ... mais surtout de se faire plaisir...

Voili, voilou
Bon entrainement
agnès_...

Pour quelqu'un de rationnel, la réponse serait : "tu en fais trop !". A moins de viser la catégorie des cadors, trop courir risque d'entrainer des blessures voire pire, un ras le bol ! Pour éviter le sur-entrainement, je m'en tiens à un plan d'entrainement en fonction de mes objectifs du moment mais pas question de le respecter à la lettre, le plaisir doit rester l'objectif prioritaire. Ces plans me servent juste de garde-fou pour éviter d'en faire trop mais je m'autorise à en faire moins au gré de mes humeurs et de mes envies. Cela dit, je te comprends. Depuis que je cours plus intensément, j'ai parfois l'impression de ne pas en faire assez, au point que si je ne suis pas aller courir pendant plus de 24 h, c'est comme si ça faisait des semaines ! Pourtant, je ne peux pas dire que je suis un drogué de la CAP ! Je dois souvent me botter le cul pour sortir de mon fauteuil douillet avec un bon polar pour affronter les éléments. La 1 ere 1/2 h est parfois presque un calvaire mais après que du bonheur. Cela dit, comme la CAP c'est pas tout dans la vie, je me "console" en me consacrant à d'autres activités sportives hors CAP ou sociales sans oublier le temps passé avec ma famille et ma fille en particulier.

ma petite christelle

effectivement, tu présentes quelques uns des symptômes du surentraînement

Tu veux peut être trop en faire, il faut savoir écouter son corps, et la fatigue est un signal à ne pas négliger

Il faut donc accorder une place importante à ta récup et surtout au sommeil et d'ailleurs à cette heure ci tu devrais être couchée

tu verras demain après une bonne nuit çà ira mieux

Pour ma part, habitant une région alpine et mes enfants pratiquant le ski alpin en compèt, l'hiver est consacré aux trajets pour les emmener en course, aux trajets pour les emmener en entraînement, et aux trajets pour aller un peu skier pour moi aussi (pendant leur entrainement). Sans compter les organisations de course de notre club, les activités liées au club, reste peu de temps pour la course à pied. Alors dès que le printemps et les beaux jours le permettent, je prends la course à pied comme un moment pour moi, et souvent à cette époque ce moment passe en priorité sur le reste (ménage, rangement de la maison, et autres corvées...)Et j'avoue qu'au bout d'un moment je ne pense qu'à ça et je ne parle que de ça (au désespoir de ma famille). Et si le samedi matin je ne peux pas caser ma sortie avec mes amis ou seule, je n'arrive pas à "décrocher", à profiter de mon week-end. Et j'aurai tendance à faire moi aussi n'importe quoi. Alors comme dit Agnès les objectifs de participation aux courses me permettent de m'organiser un peu, même si je fonctionne pas mal au feeling. Pour moi aussi le plaisir est primordial. Et le top c'est que parfois mes enfants m'accompagnent en vélo Et lorsque l'hiver arrive, nous repartons sur les pistes de ski, les enfants devant et moi derrière qui essayent de suivre...
A bientôt
Béné38

Je trouve cela excellent de partager sa passion du sport avec sa petite famille

Récemment les enfants ont participé à des petites courses populaires dans leur catégorie et c'est une grande émotion

Il nous arrive également de courir avec une enfant à vélo à nos côtés

Je me reconnais assez dans le discours de Bourdonski ; sur la base d'un entrainement parfois structuré (mais pas trop) d'autre fois totalement destructuré (la veille du TGV, je me suis ainsi apercu que je n'avais pas fait une seule scéance de "course" en 6 semaines ) , je cours de plus en plus souvent à l'envie... et justement depuis le 1er juillet, je n'ai plus l'envie (5 scéances en 7 semaines , y'a mieux non ?) ; pourtant j'ai longtemps pensé que la course à pied était une drogue ; hors cette période de disette ne me pose pas plus de problèmes que ca

je souris au souvenir de quelques scéances de "barjot" effectuées au coeur de l'hiver dernier : pas grand monde dans les rues d'une ville de province à 23h

alors est ce que la course à pied est une drogue ? perso, je ne sais plus

L'Blueb_addicted_

Bonjour à tous

Je pense que l'on peut en effet devenir complètement accro . Et plus l'on s'entraine pire c'est ....Je commence juste à comprendre (ben oui j'suis blond ça aide pas ) suite à une blessure, que trop s'entrainer c'était vraiment pas raisonnable meme si le corps le réclame terriblement ( ou tout du moin son a cette impression). Lors de cette petite blessure qui m'a empeché de courir un peu plus de 15 jours les premiers jours ont été horribles.....Je comptais les jours toutes les heures et c'était douloureux autant d'un point de vue physique que mental. J'ai commencé la course à pied en novembre décembre 2005 et c'était la première fois que j eme retrouvais arreté plus d'i semaine .J'en ai parlé avec des kikoureurs qui m'on dit que je faisais n'importe quoi (ce qui n'est pas faux)et maintenant j'essaie de certes courir presque quotidienement mais peut etre moins longtemps et en variant un peu plus les types de courses mais rien à faire si je stoppe 2 3 jours je suis vraiment malheureux et en manque ....Est parce que dans mon cas la course à pied a remplacé la cigarette et qu'une dépendance a été remplacé par une autre ...Je ne sais pas ...Entout cas j'aime cette dépendance meme si j'essaie de la controler un tout petit peu

Voili, voilou

A plus

totoche88 NFL j-93

Le jeune Totoche est invité à acheter le coffret du petit chimiste au rayon jouets de sa grande surface préférée et à chercher la formule du patch transdermique pour se soigner ...

totoche

Vaut mieux reprendre la clope

Ronce et lolo'vous sortez maintenant!!!!!!

Merci ....

Totoche88-qui-fume-du-cerveau!!!!!!

Hello,

Moi c'est sur je fais n'importe quoi . Je suis capable de courir avec une (legere) tendinite. Le pire c'est que a condition de bien m'echauffer, de bien m'etirer et de boire beaucoup d'eau, elle finit pas guerir.

A+

Mumine

il faut prendre en compte également les motivations qui poussent à la course à pieds....

On peut voir totoche, c'est une alternative à la cigarette, et comme il le dit si bien c'est ni plus ni moins que de remplacer une dépendance par une autre....

Pour ma part, ce fut le prétexte après une importante surcharge pondérale (102 kg) de reprendre une meilleure hygiène de vie et de faire une activité physique régulière....

Alors c'est vrai que les endorphines nous rendent dépendant mais je pense qu'il y a une grosse part de psy, car lorsqu'on ne va plus courir, on a l'"impression" de régresser, de s'empâter, on se dit "oh lala je vais reprendre du poids...."

D'ailleurs parfois, je me dis encore "heureusement que j'ai la CAP" car si je ne courrais pas , bonjour les dégâts......
Peut être est ce le corps qui a une "mémoire de charge" un peu comme nos batteries de téléphone.