Problèmes d'estomac après l'arrivée ???
Publié: 01 Fév 2007, 21:58
Bonjour,
je cours depuis 4 ans et quasiment après l'arrivée de chaque course de plus de 20km, j'ai de "gros problèmes" de remise en route de mon système gastrique...
En effet, dans le 1/4 d'heure à l'heure qui suit, je "rends" le peu de chose à rendre (un peu d'eau, un peu de gel...), je deviens blanc et encore plus faible...
Cela est apparemment dû au retour de l'afflux sanguin vers les organes concernés, et signifierait que "l'irrigation sanguine" a été trop fortement diminuée, donc que l'effort a été trop intense... Dixit ce que j'ai pu trouver sur Internet.
Si sur des distances moyennes il m'arrive de faire toute la course à 90 ou 92% de ma FCM (sans gêne aucune d'ailleurs), sur marathon, je cours en moyenne à 83% (bravo la précision) en finissant aux alentours de 86/88%, et, pour les 2 marathons que j'ai couru en 2006, il m'a fallu attendre 8 heures après l'arrivée pour pouvoir manger quelquechose, c'est à dire avoir envie d'avaler quelquechose et le garder... pour le premier, et 6 heures pour le 2ème... (merci aux matheux qui vont me conseiller d'en faire encore 3 pour faire disparaître le problème...
J'ai essayé pas mal de trucs différents pour tenter d'atténuer ce souci:
- continuer de courir à vitesse réduite après l'arrivée
- boire et manger tout de suite quelquechose
- avaler 2 spasfon et rester au calme dans un coin
mais pas vraiment de succès...
Exceptionnellement, dimanche dernier, à l'arrivée du Trail Hivernal du Sancy, j'ai été "border line" (je ne vous préciserai pas le niveau maxi de la remontée gastrique !) en avalant un compote de pomme 5 minutes après avoir franchi la ligne d'arrivée, technique suggérée par un ami cycliste.
Pour ceux qui ont comme moi la chance de ne pas laisser trainer des globules dans des parties du corps où il n'y en a pas besoin... merci de m'indiquer vos ruse et/ou solutions pour éliminer ce désagrément, ou tout au moins l'atténuer.
A noter que pendant les courses de plus de 2 heures, je bois de l'eau additionnée de poudre blanche... pas chère (100% maltodextrines), et que je prends un gel énergétique tous les 5 à 10 km, voire un coup de fouet pas loin de l'arrivée si j'agonise...
HIBOU TURBULENT.
je cours depuis 4 ans et quasiment après l'arrivée de chaque course de plus de 20km, j'ai de "gros problèmes" de remise en route de mon système gastrique...
En effet, dans le 1/4 d'heure à l'heure qui suit, je "rends" le peu de chose à rendre (un peu d'eau, un peu de gel...), je deviens blanc et encore plus faible...
Cela est apparemment dû au retour de l'afflux sanguin vers les organes concernés, et signifierait que "l'irrigation sanguine" a été trop fortement diminuée, donc que l'effort a été trop intense... Dixit ce que j'ai pu trouver sur Internet.
Si sur des distances moyennes il m'arrive de faire toute la course à 90 ou 92% de ma FCM (sans gêne aucune d'ailleurs), sur marathon, je cours en moyenne à 83% (bravo la précision) en finissant aux alentours de 86/88%, et, pour les 2 marathons que j'ai couru en 2006, il m'a fallu attendre 8 heures après l'arrivée pour pouvoir manger quelquechose, c'est à dire avoir envie d'avaler quelquechose et le garder... pour le premier, et 6 heures pour le 2ème... (merci aux matheux qui vont me conseiller d'en faire encore 3 pour faire disparaître le problème...
J'ai essayé pas mal de trucs différents pour tenter d'atténuer ce souci:
- continuer de courir à vitesse réduite après l'arrivée
- boire et manger tout de suite quelquechose
- avaler 2 spasfon et rester au calme dans un coin
mais pas vraiment de succès...
Exceptionnellement, dimanche dernier, à l'arrivée du Trail Hivernal du Sancy, j'ai été "border line" (je ne vous préciserai pas le niveau maxi de la remontée gastrique !) en avalant un compote de pomme 5 minutes après avoir franchi la ligne d'arrivée, technique suggérée par un ami cycliste.
Pour ceux qui ont comme moi la chance de ne pas laisser trainer des globules dans des parties du corps où il n'y en a pas besoin... merci de m'indiquer vos ruse et/ou solutions pour éliminer ce désagrément, ou tout au moins l'atténuer.
A noter que pendant les courses de plus de 2 heures, je bois de l'eau additionnée de poudre blanche... pas chère (100% maltodextrines), et que je prends un gel énergétique tous les 5 à 10 km, voire un coup de fouet pas loin de l'arrivée si j'agonise...
HIBOU TURBULENT.