Kikourou.net

Bonjour,

Une amies qui commence la CAP rencontre des problèmes intestinaux durant ses séances. J'ai cru qu'elle était un cas isolé, mais apparemment, c'est un phénomène connu.

Avez-vous déjà rencontré ce type de problème ?

y a-t-il une façon d'y remédier ? (L'article ci-dessous est-il pertinent ?)
https://www.huffingtonpost.fr/2018/04/06/marathon-de-paris-2018-pourquoi-les-coureurs-ne-sont-pas-a-labri-de-derapages-intestinaux_a_23395513/

Merci pour vos retours

Si elle vient de commencer, il ne faut pas trop qu'elle se stresse avec ça, c'est peut-être juste un temps d'adaptation. Surtout pour de l'entraînement.

Par contre, il faut qu'elle y pense, qu'elle se demande comment "elle est du bide" hors course à pied et pouvoir peu à peu ajuster les trucs qui peuvent pour elle bien marcher.

sur le transit et le bide, moi je tendrais à dire qu'on est tous spéciaux.

Personnellement je suis très sensible à la quantité de liquides : à chaque fois que je fais un long voyage en voiture (et donc je bois moins), paf ça me dérègle.

Sergio_06 a écrit:Bonjour,

Une amies qui commence la CAP rencontre des problèmes intestinaux durant ses séances. J'ai cru qu'elle était un cas isolé, mais apparemment, c'est un phénomène connu.

Avez-vous déjà rencontré ce type de problème ?

y a-t-il une façon d'y remédier ? (L'article ci-dessous est-il pertinent ?)
https://www.huffingtonpost.fr/2018/04/06/marathon-de-paris-2018-pourquoi-les-coureurs-ne-sont-pas-a-labri-de-derapages-intestinaux_a_23395513/

Merci pour vos retours

Il y a beaucoup de combinatoires et de scénarios spécifiques sur ce sujet...
Sans évoquer la qualité de la nutrition, et la capacité à digérer certains trucs mieux que d'autres.
Comme le souligne l'article, l'intensité de l'effort influe sur la capacité du système digestif à étre sollicité...

Par ailleurs il faut en course, répliquer des méthodes d'alimentation déjà éprouvées auparavant...notamment les petites quantités lors d'effort intense.

Après on n'est pas égaux sur les capacités à digérer et privilégier certains aliments au détriment d'autres.

Par ailleurs la température joue aussi un role. plus il fera chaud plus il faudra aller vers des aliments simples à digérer et modérer les quantités. mais c'est basique..et intuitif.

Sûr qu'il y en a des tonnes dans ce forum sur ce sujet !
Bonne recherche!

Sergio_06 a écrit:Bonjour,

Une amies qui commence la CAP rencontre des problèmes intestinaux durant ses séances. J'ai cru qu'elle était un cas isolé, mais apparemment, c'est un phénomène connu.

Avez-vous déjà rencontré ce type de problème ?

y a-t-il une façon d'y remédier ? (L'article ci-dessous est-il pertinent ?)
https://www.huffingtonpost.fr/2018/04/06/marathon-de-paris-2018-pourquoi-les-coureurs-ne-sont-pas-a-labri-de-derapages-intestinaux_a_23395513/

Merci pour vos retours

La première chose à faire est d'abord de courir plus lentement. Il y a un rapport évident entre troubles intestinaux et FC élevée. Ca c'est une chose.

L'autre chose est de courir après avoir bien digéré. Donc assez loin des repas et avec un intestin presque vide.

Il n'y a qu'avec une (longue) expérience que peu à peu, on arrête d'avoir des soucis de wawas en entraînement de CAP. Mais déjà, courir moins vite, ça permet d'y remédier. A mon avis, comme tu dis que ton amie débute, elle doit courir beaucoup trop vite (à +85% de FCMax), pour rencontrer ce genre de problème que l'on a pas en stricte endurance (à 70% de FCMax).

Et bien sûr, on évite le pain complet, au repas avant la CAP.

Je rejoins Valdes en ce qui concerne l'espace de temps entre le dernier repas et le moment de la course à pied.
Laisser passer quelques heures avant de faire un footing puis commencer très lentement, sans stresser le corps.

les fibres et le sucré sont les plus problématiques (à très haute intensité, sinon tout passe !), préférer du gras. Par exemple, jamais de soucis après une fondue ou une raclette (on se sent un peu lourd, c''est tout). Au pire, si la raclette ou la fondue date de la veille au soir, on peut se retrouver à "péter de l'eau", ce qui n'est pas très agréable mais n'empêche pas de faire une belle sortie trail.

éviter à tout prix de se goinfrer d'abricots secs. une prune ou un cognac passera très bien à la place.

Vik a écrit:les fibres et le sucré sont les plus problématiques (à très haute intensité, sinon tout passe !), préférer du gras. Par exemple, jamais de soucis après une fondue ou une raclette (on se sent un peu lourd, c''est tout). Au pire, si la raclette ou la fondue date de la veille au soir, on peut se retrouver à "péter de l'eau", ce qui n'est pas très agréable mais n'empêche pas de faire une belle sortie trail.

éviter à tout prix de se goinfrer d'abricots secs. une prune ou un cognac passera très bien à la place.

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