Mon premier ultra : les enseignements
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Je suis très heureux et très fier d’être finisher mais j’ai aussi tiré quelques enseignements de cette première expérience.
Mon entraînement était il adapté?
Non. mon entraînement correspondait plus à un entraînement pour un 100 kms que pour un ultra-trail.
Exemple d’une semaine d’entrainement : http://wp.me/p49nvm-15K
Le nombre d’heures d’entrainement course à pied et vélo était suffisant mais il aurait fallu plus de rando course avec du dénivelé.
La meilleure préparation aurait été 15 jours à randonner dans les montagnes.
J’ai également beaucoup souffert des cuisses donc j’en déduis que mes exercices de renforcement musculaires sont insuffisants.
Ai je bien géré l’enchaînement de mes trois jours de trail?
Non. J’ai trop forcé le premier jour sur l’étape de 57 kms que je finis avec des cuisses tétanisées.
Sur le 90 kms du lendemain, j’ai donc subi la course en avançant au mental. Heureusement, mes jambes sont revenues, comme par magie, le troisième jour pour finir dans l’euphorie.
Ai je bien géré la logistique?
Oui. j’avais tout le matériel nécessaire pour ce type d’ultra-trail par étape sac, bâtons, matelas…Je n’ai oublié que ma serviette de bain donc rien de vital! http://wp.me/p49nvm-19z
Ai je bien géré l’alimentation?
Oui. J’ai mangé et bu suffisamment pour ne pas me déshydrater et éviter l’hypoglycémie. J’avais un litre de boisson isotonique dans ma poche à eau (hydrixir menthe) et de l’eau pure dans mes flasques. J’aurai pu transporter en moyenne un litre de liquide en moins.
L’alimentation solide : barre céréales et compote pomme-banane en course + tucs-saucisson-chips-bananes au ravitaillements.
Ce que je retiens :
- l’entraînement doit être plus spécifique et ne pas se limiter à la recherche d’un volume d’heures.
- pendant la course, ne pas rester seul trop longtemps, la synergie du groupe est essentielle. Les papotages sont un bon remède contre la douleur mais…il faut rester attentif à la signalisation! (je me suis perdu sur la première étape : deux kilomètres de plus et 20 minutes de perdu GRRR…).
- ne pas compter les kilomètres mais se fixer des étapes (les ravitaillements, les villages traversés…).
Mon entraînement était il adapté?
Non. mon entraînement correspondait plus à un entraînement pour un 100 kms que pour un ultra-trail.
Exemple d’une semaine d’entrainement : http://wp.me/p49nvm-15K
Le nombre d’heures d’entrainement course à pied et vélo était suffisant mais il aurait fallu plus de rando course avec du dénivelé.
La meilleure préparation aurait été 15 jours à randonner dans les montagnes.
J’ai également beaucoup souffert des cuisses donc j’en déduis que mes exercices de renforcement musculaires sont insuffisants.
Ai je bien géré l’enchaînement de mes trois jours de trail?
Non. J’ai trop forcé le premier jour sur l’étape de 57 kms que je finis avec des cuisses tétanisées.
Sur le 90 kms du lendemain, j’ai donc subi la course en avançant au mental. Heureusement, mes jambes sont revenues, comme par magie, le troisième jour pour finir dans l’euphorie.
Ai je bien géré la logistique?
Oui. j’avais tout le matériel nécessaire pour ce type d’ultra-trail par étape sac, bâtons, matelas…Je n’ai oublié que ma serviette de bain donc rien de vital! http://wp.me/p49nvm-19z
Ai je bien géré l’alimentation?
Oui. J’ai mangé et bu suffisamment pour ne pas me déshydrater et éviter l’hypoglycémie. J’avais un litre de boisson isotonique dans ma poche à eau (hydrixir menthe) et de l’eau pure dans mes flasques. J’aurai pu transporter en moyenne un litre de liquide en moins.
L’alimentation solide : barre céréales et compote pomme-banane en course + tucs-saucisson-chips-bananes au ravitaillements.
Ce que je retiens :
- l’entraînement doit être plus spécifique et ne pas se limiter à la recherche d’un volume d’heures.
- pendant la course, ne pas rester seul trop longtemps, la synergie du groupe est essentielle. Les papotages sont un bon remède contre la douleur mais…il faut rester attentif à la signalisation! (je me suis perdu sur la première étape : deux kilomètres de plus et 20 minutes de perdu GRRR…).
- ne pas compter les kilomètres mais se fixer des étapes (les ravitaillements, les villages traversés…).