Kikourou.net

Salut les kikoureurs et kikoureuses ,

c'est vrai que avant une course (peut importe la distance) , je suis souvent entrain de me poser la question :comment serai je , vais je faire un temps , vais je bien dormir la veille .je pense que de lever le pied quelques jours avt y fait .
Et vous qu'en pensez vous ???

T'as pas aussi un peu mal partout? Des douleurs toutes plus étranges les unes que les autres qui sortent d'on ne sait où. On est vraiment un peu barjot!
Je me souviens d'un coach qui disait à son poulain (je crois Agassi) avant un match: "N'oublie jamais qu'il y a des milliards de personnes sur terre qui n'en ont rien à foutre de si tu gagnes ou si tu perds"

Moi avant une course, je baille!!
J'ai logntemeps fait du judo et avant les compet' c'était pareil... on dirait que je sors de mon lit
Va comprendre... une façon d'évacuer le stress surement!!

Medz a écrit:Moi avant une course, je baille!!
J'ai logntemeps fait du judo et avant les compet' c'était pareil... on dirait que je sors de mon lit
Va comprendre... une façon d'évacuer le stress surement!!

Chacun son truc ... Moi je vais aux toilettes de façons répétées

the_hokeyeur a écrit:

Medz a écrit:Moi avant une course, je baille!!
J'ai logntemeps fait du judo et avant les compet' c'était pareil... on dirait que je sors de mon lit
Va comprendre... une façon d'évacuer le stress surement!!

Chacun son truc ... Moi je vais aux toilettes de façons répétées

Ah bah je suis pas le seul...

jollyjumper a écrit:
Ah bah je suis pas le seul...

Paraît que ce sont les meilleurs ...

Moi, avant une course, j'ai la courante ...

+1

FOOTING a écrit:Salut les kikoureurs et kikoureuses ,

c'est vrai que avant une course (peut importe la distance) , je suis souvent entrain de me poser la question :comment serai je , vais je faire un temps , vais je bien dormir la veille .je pense que de lever le pied quelques jours avt y fait .
Et vous qu'en pensez vous ???

Salut,

J'ai l'avantage d'être un nul en cap alors la seule chose qui m'importe est le ravitaillement: vais-je bien mangé ?

the_hokeyeur a écrit:

Medz a écrit:Moi avant une course, je baille!!
J'ai logntemeps fait du judo et avant les compet' c'était pareil... on dirait que je sors de mon lit
Va comprendre... une façon d'évacuer le stress surement!!

Chacun son truc ... Moi je vais aux toilettes de façons répétées

Tout pareil. Je suis hyper méga stressée (comme si je repassais un grand oral) et même si je sais bien que tout le monde s'en fout et que vu mes chronos ...

Donc comme j'ai super peur d'arriver en retard (nombreux rêves où j'arrive après le départ), j'arrive super (trop) en avance mais après ... oups, j'ai plein de temps devant moi pour faire faire des petits à la culture de mon stress. Alors je vais aux toilettes. Je fais la queue au moins 4 à 8 fois des fois, où sinon longue prospection de tous les fourrés et bosquets aux alentours

Au moins ça occupe le temps de l'attente.

trailer VSB a écrit:Je me souviens d'un coach qui disait à son poulain (je crois Agassi) avant un match: "N'oublie jamais qu'il y a des milliards de personnes sur terre qui n'en ont rien à foutre de si tu gagnes ou si tu perds"

voilà ou est le bon sens, à mon avis; on se prend la tête pour savoir si on va faire ce chrono, ou cette distance, alors que c'est juste une anecdote.
L'essentiel, c'est d'avoir du fun, juste ça

dinococus a écrit:

FOOTING a écrit:Salut les kikoureurs et kikoureuses ,

c'est vrai que avant une course (peut importe la distance) , je suis souvent entrain de me poser la question :comment serai je , vais je faire un temps , vais je bien dormir la veille .je pense que de lever le pied quelques jours avt y fait .
Et vous qu'en pensez vous ???

Salut,

J'ai l'avantage d'être un nul en cap alors la seule chose qui m'importe est le ravitaillement: vais-je bien mangé ?

Fais pas de trail !!! les ravitos ne sont pas nombreux

trailer VSB a écrit:T'as pas aussi un peu mal partout? Des douleurs toutes plus étranges les unes que les autres qui sortent d'on ne sait où. On est vraiment un peu barjot!
Je me souviens d'un coach qui disait à son poulain (je crois Agassi) avant un match: "N'oublie jamais qu'il y a des milliards de personnes sur terre qui n'en ont rien à foutre de si tu gagnes ou si tu perds"

Salut,
oui c'est vrai ça m'arrive dès fois de sentir des douleurs chelou
mais il parait que le corps humain à de la mémoire
@+

FOOTING a écrit:

dinococus a écrit:

FOOTING a écrit:Salut les kikoureurs et kikoureuses ,

c'est vrai que avant une course (peut importe la distance) , je suis souvent entrain de me poser la question :comment serai je , vais je faire un temps , vais je bien dormir la veille .je pense que de lever le pied quelques jours avt y fait .
Et vous qu'en pensez vous ???

Salut,

J'ai l'avantage d'être un nul en cap alors la seule chose qui m'importe est le ravitaillement: vais-je bien mangé ?

Fais pas de trail !!! les ravitos ne sont pas nombreux

La nature recelle de trésors gustatifs

Oui,
même si je sais que tout le monde s'en moque de mes résultats, je stress aussi car jusqu'à présent mes objectifs étaient d'arriver à terminer (à chaque fois c'était un record de distance ou difficulté) : chacun place la barre où il peut (car si j'ai toujours terminé, c'était au fond du classement sauf 2 fois un peu moins mal).
Résultats : courbatures , mauvais sommeil dans les jours qui précèdent.
Remède : je cherche encore...ma coach me dit qu'il faut destresser mais bon, elle en s'y prenant au dernier moment elle gagne et fait un temps canon à l'ecotrail c'est pt-être la solution : arriver en mode touriste ?

En fait c'est surement normal d'avoir un peu peur, on veut juste que tout se passe bien. Si on avait plus peur c'est qu'on s'en fout alors pourquoi on est là? Le tout est de transformer ce stress en quelque chose de positif, en une énergie à bien faire, à se donner à fond.

Moi les quelques jours avant une course (comme en ce moment avant le marathon de Paris) je me mets à avoir des douleurs un peu partout, alors que je n'ai jamais eu mal nulle part pendant toute la prépa.
Et le matin de la course je suis dans un état de léthargie avancée. Je serais capable de m'endormir n'importe où. Et j'ai très froid aussi (je veux dire : encore plus que d'habitude, moi qui suis déjà super frileuse! )

Comme Lapuce et d'autres, ce sont les douleurs fantômes qui m'embêtent le plus, sinon côté appétit, le matin même j'ai un peu de mal à avaler ma tambouille Aroche...
Le pipi de la peur, je le réserve avant un décollage parapente

Moi j'ai parfois la chiasse.

dinococus a écrit:La nature recelle de trésors gustatifs

M'ouais... Les bords de chemins de trails recèlent également tout un paquet de trésors pas très ragoutants

De mon coté, toujours une sensation de grosse fatigue et de jambes lourdes avant le départ...

Qu'est ce que j'ai rit en lisant le post !...le pipi de la peur, la chiasse, les douleurs fantômes... Je suis rassurée maintenant, du coup, la prochaine course, j'serais moins tendue

Ah le pipi de la peur que ça soit en CàP ou au hockey il est toujours là ...

oui, le caca nerveux, le pipi de la peur, le mal de bide, difficulté à s'endormir... je connais que trop bien.

L'avantage de ne pas faire de longues distances c'est que je ne suis jamais stressé , ça doit aussi être le fait de faire toujours la même chose, assis jusqu'à 30mn du départ, échauffement, accélérations et placement sur la ligne, forcément ceux qui partent pour des 80kms et plus ne sont jamais vraiment sûr de finir ça doit être dur mentalement

Il a été reconnu que les coureurs d'endurance étaient plus stressés que les sprinteurs...

ça doit être une histoire d'addiction aux endorphines ou je ne sais trop quoi...

Perso, je me suis mis au yoga et ça fait du bien ! relaxation+étirement+assouplissements...

Personnellement, je n'ai pas envie d'y aller !!! Je me demande ce que je fais là !!! J'ai envie de faire demi-tour !!!

Sûrement le passage de l'entraînement à la course est difficile à gérer chez moi, réussir à tourner la page...

Antoine26 a écrit:Personnellement, je n'ai pas envie d'y aller !!! Je me demande ce que je fais là !!! J'ai envie de faire demi-tour !!!

Sûrement le passage de l'entraînement à la course est difficile à gérer chez moi, réussir à tourner la page...

ça s'appelle le trac, ça...

le stress se ressent sous toutes ses formes...

Moi, c'est sur les "courtes distances" que j'angoisse le plus: quand il va
falloir faire monter le cardio, comme dans une séance rythmée, mais sans
intervalle ni temps de récupération... Et je suis toujours surpris
de voir à quel point on peut se faire violence avec un dossard.

Sur du long, l'approche est plus cool pour moi. L'allure est celle que je
pratique sur des sorties longues, je la connais bien. J'ai confiance en ma
préparation. Même si on n'est jamais sûr d'aller au bout, je me dis toujours que
le plus dur a été fait, que le reste n'est que du bonheur. C'est un vrai plaisir
de s'aligner sur du long.

Mais je trouve le fil intéressant: sur la ligne de départ, on a le temps de
cogiter. Mes plus grosses émotions, je les ai peut-être vécues sur la ligne de
départ. Trop fatigué à l'arrivée...

Au début j'étais très stressé avant les courses. Maintenant ça va bien mieux. Peut-être un peu d'expérience...

Par contre je suis effondré quand la course (longue) se termine. C'est comme une petite vie qui se finit là... Peut-être ne connaitrai-je l'extase absolue que le jour où je partirai avec un sac sur le dos pour marcher sans fin jusqu'à la fin de mes jours ?

Elcap a écrit:Par contre je suis effondré quand la course (longue) se termine. C'est comme une petite vie qui se finit là... Peut-être ne connaitrai-je l'extase absolue que le jour où je partirai avec un sac sur le dos pour marcher sans fin jusqu'à la fin de mes jours ?

+++

Tellement vrai. On parle beaucoup du stress avant course, mais jamais de la dépression après course, surtout après une épreuve longue qui s'est bien déroulée. L'an passé, gros vide d'un coup après le 56 km du Morbihan, ... sensation de ... plus rien devant ? Pas évident de se trouver un nouvel objectif et surtout de le réussir aussi bien ... Je veux dire c'est assez facile de se trouver un nouvel objectif mais sera-t-on sûr que le moment sera aussi merveilleux et intense que celui que l'on vient de vivre ?

Heureusement l'été dernier fût magnifique, je me suis mise à faire de longues sorties à vélo ou rando + photos. Cela m'a fait du bien d'arrêter de courir pour un temps et de tenter de vivre et de capturer l'instant présent à travers des images ...

valdes a écrit:Tellement vrai. On parle beaucoup du stress avant course, mais jamais de la dépression après course, surtout après une épreuve longue qui s'est bien déroulée. ... sera-t-on sûr que le moment sera aussi merveilleux et intense que celui que l'on vient de vivre ?

C'est bien connu, cela s'appelle une dépression post-accouchement

Marrant ce topic…

Avant course : je n’ai plus mal au ventre comme les toutes premières fois, on verra si dimanche ce sera toujours le cas. Y compris pour le long, même en sachant qu’il y a la possibilité de galérer voire de ne pas aller au bout. J’ai déjà abandonné une paire de courses, et en fait, si déception il y a, je sais maintenant qu’elle dure au plus quelques heures. L’abandon n’a pas de prise à long terme sur mon psychisme, ça ne change rien à mon état d’esprit ou à l’image que j’ai de moi, donc finalement je suis assez voire très décontractée au départ.

Post- partum : jamais eu de dépression non plus, sans doute parce que je fais beaucoup de courses, donc il y en a toujours une vers laquelle regarder ensuite, une fois une course finie. Et puis soyons honnête, quel bonheur de retrouver du temps pour d’autres trucs, ne pas devoir absolument s’enquiller des doubles sorties le week-end, pouvoir passer du temps à « glander », lire, boire des cafés ou des bières en terrasse. Franchement, j’aime largement autant les deux types de périodes, entraînement comme relâchement.
Mes dépressions post-partum, c’est généralement uniquement en rentrant de vacances, là ça peut être dur !

Alors moi je n'ai absolument aucun stress, la veille juste avant le départ, et les jours précédent, mon esprit ne s'embrouille d'aucun méandre lié à la course à pied que je vais faire.

Il m'arrive même de temps à autre, d'oublier ma montre ( en février semi de cannes) , au moment d'enclencher le chrono au départ je m'aperçois que je l'ai laissé à la maison, c'est dire le stress qui m'habite.

En fait il m'arrive souvent même de ne pas comprendre la majorité d'entre nous, puisque nous n'y gagnons pas notre vie, et que la course à pied est juste un loisir. Le dimanche pendant l'avant course, il m'arrive d'entendre certaines conversations entre coureurs et ils n'ont qu'un mot à la bouche c'est le chrono, le chrono et raconter leurs perfs, leurs temps, rares sont les coureurs qui parlent du plaisir, des paysages qu'ils ont vu, des sensations-ressenti de leur courses, le chrono, le chrono, rien que le chrono, et je dois avouer que certains m'exaspèrent avec leur chrono.

Moi mon objectif c'est de courir, de me faire plaisir, de ne pas me blesser et rentrer bien vidé. Le temps, même si je me fixe des créneaux, n'a aucune répercution sur mon moral, car il y a des jours sans et des jours avec.

Le stress n'a aucune emprise sur moi, et d'ailleurs j'ai tendance des fois à me dire, putain, faudrait te stresser un peu plus....

Cet après midi, je me suis même pris une place pour le parc des princes samedi 17 h, j'en profite.... je suis pas stressé........

En fait, vous savez quoi, vous, les heureux membres de la grande famille des "non stressé(es)" avant "déprimé(e)" après, je vous envie. Grave. J'aimerais être comme vous ; mais je pense que cet état psychologique avant ou après course est (peut-être) plus lié à la personnalité de chacun.

Pour ma part, je stresse pour tout. A l'examen de mon permis de conduire (la première fois, vu qu'il y en a eu d'autres), j'étais tellement tremblotante-bafouilleuse-morte-de-trouille que j'ai oublié de mettre le frein à main à d'un feu rouge, placé en haut d'une côte (le bougre) ... Evidemment après, la chose était pliée, comme l'avant de la voiture derrière.

Je stresse même des fois au cas où le taxi réservé la veille au soir ne soit pas là le matin ou qu'un super embouteillage m'empêche de prendre mon avion à temps, bref, ... tout le temps un rien me semble une montagne. Un peu moins maintenant avec l'âge et que je sais que je suis comme ça et que même si le super embouteillage est bel et bien là et m'empêche de prendre l'avion, et alors ? je prendrais le prochain, n'empêche, ma raison a beaucoup de mal à s'imposer parfois face à mon "émotivité", puisque c'est un peu de cela dont il s'agit ...

Donc je compose avec ce stress, la queue 8 x devant les wawas m'amène à parler aux gens qui font la queue aussi (pour les mêmes raisons ?) et j'oublie ainsi mon propre stress, la recherche du plus accueillant des fourrés relève de la même stratégie (parler avec le fourré, nan la j'déconne ).

pour être plus précis, il ne s'agit pas d'une déprime qui dure après course, mais du passage de la ligne.... sur course jusqu'a 10h, c'est souvent une libération de passer la ligne, trop "intense". mais sur des trucs de plus de 2 jours là c'est différent. C'est comme si j'étais passé dans une autre dimension et la ligne signifie l'arrêt de ce voyage intérieur. Une mort, un réveil... très désagréable, presque.

Elcap a écrit:pour être plus précis, il ne s'agit pas d'une déprime qui dure après course, mais du passage de la ligne.... sur course jusqu'a 10h, c'est souvent une libération de passer la ligne, trop "intense". mais sur des trucs de plus de 2 jours là c'est différent. C'est comme si j'étais passé dans une autre dimension et la ligne signifie l'arrêt de ce voyage intérieur. Une mort, un réveil... très désagréable, presque.

moi je crois avoir le même pb et j'appelle ça la décompression! la fin d'un objectif qui t'a occupé l'esprit pendant plusieurs semaine/mois, et donc il faut se libérer l'esprit qq jours avant de repartir vers un nouvel objectif...ça me le fait pour les concours, grosses échéances professionnelles et ça me le faisait aussi quand je faisais des compétitions, bon maintenant que je ne fais que des courses au saucisson, le stress de la course, je ne connais plus!

valdes a écrit:Donc comme j'ai super peur d'arriver en retard (nombreux rêves où j'arrive après le départ), j'arrive super (trop) en avance mais après ... oups, j'ai plein de temps devant moi pour faire faire des petits à la culture de mon stress. Alors je vais aux toilettes. Je fais la queue au moins 4 à 8 fois des fois, où sinon longue prospection de tous les fourrés et bosquets aux alentours

Au moins ça occupe le temps de l'attente.

J'ai souvent fait des "bon"résultats les courses où j'arrivais au dernier moment (oublie du natel obligatoire dans la voiture,à15 mn aller-retour de la ligne de départ,sortie en sprint des wc pour arriver au moment du top-départ,ou lever du lit un peu trop tardif)

D'être trop à l'avance,tu as le temps de stresser,et tu te fatigues psychiquement.
L'idéal est d'avoir le dossard le jour avant (la file d'attente avant-course,ça te bouffe une de ces énergie ) j'estime le temps nécessaire depuis le parking (si possible éloigé) ,et j'arrive assez tardivement,puis petit footing d'échauffement jusqu'au départ.

Au début, je me rappelle que j'étais un peu stressé par les compétitions! Peur de mal faire, de souffrir, de ne pas terminer...
Aujourd'hui, un peu de stress, un élément indispensable à la performance mais c'est vraiment léger! Sauf l'an dernier, au départ du championnat du monde de trail avec le maillot bleu sur les épaules, j'étais tendu comme une arbalette! Les quelques minutes sur la ligne de départ m'ont paru une éternité! Après quelques minutes, la course a repris le dessus!

En somme, je crois que rien ne remplace l'expérience et plus un évènement semble familier, moins il génère d'appréhension! Comme disait Arthur Ashe, " Une des clés du succès est la confiance en soi. Une des clés de la confiance en soi est la préparation."

valdes, malheureusement je stresse pour des tas d'autres trucs dans la vie...

bonsoir à tous,
moi, je ne dors pas du tout la nuit d'avant. Sur des épreuves sur 2 jours, c'est plutôt un problème. Ca m'énerve car j'ai l'impression que tous mes efforts les mois d'avant à l'entrainement sont totalement réduits à néant. Sur l'échappée belle, je suis arrivée mort de fatigue à cause de ma nuit blanche d'avant course. D'ailleurs, si certains ont des trucs ou conseils pour dormir, je suis preneur