choisir ses courses avant son objectif majeur
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Le débat revient comme un marronnier....
Comment choisir ses courses intermédiaires avant son objectif majeur ?
Faut-il choisir une progressivité dans la distance des courses au fil de la saison ?
Comme d’habitude dans la vie la réponse tranchée n'est sans doute pas celle de la raison !!
En effet si pistes de réponse il peut y avoir, elles seront nécessairement à pondérer avec le niveau de fatigue , le timing de récupération propre à chacun , sans oublier les aléas du quotidien
Pour ma part même si cela va pouvoir surprendre je ne crois pas que des trails court nerveux sont à placer en début de programmation de son agenda annuel des courses
Je pense qu'il est important de démarrer par des compétitions assez longue assez proche de la modélisation horaires de ses propres sorties longues ( sans se mettre la pression sur le résultat ) en se calant sur du 70-75% de Fc max .
L'idée étant de se donner du rythme et profiter des ravitos et ....de la beauté des paysages hivernaux
C'est je pense à 2 mois de l'objectif quil devient judicieux de placer 2 ou 3 courses courtes "nerveuses" qui s'inscriront dans la problématique du moment d'un travail de soutien de la VMA
A 5 semaines de l'objectif majeur (S.5) il s'agira alors de placer de nouveau un trail long sur la base très approximative de 15 et 20% en moins de la distance de l'objectif majeur
Cette course sera suivie d'une semaine de surcompensation (S.4) avant de démarrer le cycle de l'affutage
************
Exemple totalement fictif de modélisation
J'insiste ...
Tout ce qui suit est à pondérer avec le niveau de fatigue , le timing de récupération propre à chacun ( d'où l'intérêt de l'analyse des données comme la variabilité de la FC , le test de Ruffier ...) , sans oublier les aléas du quotidien
le compétiteur fictif : un traileur résidant en montagne
l'objectif majeur : le 27 AVRIL TRAIL ARDECHOIS de 57 km 2400m de D+
> janvier
course de ski alpinisme ou ski de fond ou trail blanc (25- 30 km) ( 2 voir 3 sur le mois sinon)
> début février :
un trail long (trail blanc )
> fin février :
un trail trail court "nerveux" qui s'inscrira dans la problématique d'un cycle à dominante d'un travail de soutien de la VMA (mais pas que ... !!)
> début mars :
nouveau trail court
> fin mars :
à S-5 de l'objectif majeur ( 5 semaines avant l'objectif majeur) un trail de 30 à 40 km maxi ( sur le parcours en reco sur une partie par exemple) ou les réglages vont se mettre en place au mieux ( ravito, allures, etc ..)
Avril :
à S-4 : une semaine de surcompensation
De S-4 au jour J : zone d' affutage
Alain
Comment choisir ses courses intermédiaires avant son objectif majeur ?
Faut-il choisir une progressivité dans la distance des courses au fil de la saison ?
Comme d’habitude dans la vie la réponse tranchée n'est sans doute pas celle de la raison !!
En effet si pistes de réponse il peut y avoir, elles seront nécessairement à pondérer avec le niveau de fatigue , le timing de récupération propre à chacun , sans oublier les aléas du quotidien
Pour ma part même si cela va pouvoir surprendre je ne crois pas que des trails court nerveux sont à placer en début de programmation de son agenda annuel des courses
Je pense qu'il est important de démarrer par des compétitions assez longue assez proche de la modélisation horaires de ses propres sorties longues ( sans se mettre la pression sur le résultat ) en se calant sur du 70-75% de Fc max .
L'idée étant de se donner du rythme et profiter des ravitos et ....de la beauté des paysages hivernaux
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C'est je pense à 2 mois de l'objectif quil devient judicieux de placer 2 ou 3 courses courtes "nerveuses" qui s'inscriront dans la problématique du moment d'un travail de soutien de la VMA
A 5 semaines de l'objectif majeur (S.5) il s'agira alors de placer de nouveau un trail long sur la base très approximative de 15 et 20% en moins de la distance de l'objectif majeur
Cette course sera suivie d'une semaine de surcompensation (S.4) avant de démarrer le cycle de l'affutage
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Exemple totalement fictif de modélisation
J'insiste ...
Tout ce qui suit est à pondérer avec le niveau de fatigue , le timing de récupération propre à chacun ( d'où l'intérêt de l'analyse des données comme la variabilité de la FC , le test de Ruffier ...) , sans oublier les aléas du quotidien
le compétiteur fictif : un traileur résidant en montagne
l'objectif majeur : le 27 AVRIL TRAIL ARDECHOIS de 57 km 2400m de D+
> janvier
course de ski alpinisme ou ski de fond ou trail blanc (25- 30 km) ( 2 voir 3 sur le mois sinon)
> début février :
un trail long (trail blanc )
> fin février :
un trail trail court "nerveux" qui s'inscrira dans la problématique d'un cycle à dominante d'un travail de soutien de la VMA (mais pas que ... !!)
> début mars :
nouveau trail court
> fin mars :
à S-5 de l'objectif majeur ( 5 semaines avant l'objectif majeur) un trail de 30 à 40 km maxi ( sur le parcours en reco sur une partie par exemple) ou les réglages vont se mettre en place au mieux ( ravito, allures, etc ..)
Avril :
à S-4 : une semaine de surcompensation
De S-4 au jour J : zone d' affutage
Alain