Kikourou.net

Il faut bosser le renforcement musculaire des cuisses et les descentes, pour ce trail 20 km pour aller en haut du petit ballon et 25 km de descentes (presque tout le temps) pour revenir à Rouffach
Dur dur et en plus cette année il y aura la neige

Salut, c'est du Trail du Petit Ballon (68 ) Haut-Rhindont tu parles

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looping_né_par_là-bas

Salut! je suis un trailer novice, mais je voudrais te faire partager mon expérience.
J'ai fait 3 sorties avec 850 m de d+d- chacune.
La première en essayant de ralentir dans les descentes. Des courbatures profondes pendant 6 jours.
Les 2 autres en essayant de me relacher dans les descentes quitte à me laisser prendre de la vitesse. ZERO courbatures.
trail de Paris: 1450m de D+D-. c'est incroyable ce que j'ai remonté comme terrain dans les descentes! 1100ème au 21km, 300ème au 63ème dans le secteur qui comprend l'essentiel du dénivelé.
Je suis lourd (85kg avec le sac) alors c'est plus difficile pour moi de me ralentir. il vaut mieux pour moi se laisser aller et de temps en temps me freiner un peu fort (mais faut anticiper) plutôt que de mettre le frein à main sur l'ensemble de la descente.
Il est bon de s'entraîner dans les descentes à les passer le plus relaché (mais en étant tonique, réactif: relaché ne veut pas dire mou). Il est bon d'avoir dans son entraînement des séances intensives même sur le plat pour avoir la disponibilité motrice, la tonicité, la rapidité de pied parfois qui permettent d'aller vite, même dans les courbes et les obstacles au sol et aussi avoir la possibilité d'encaisser des montées en pulsation:
Paradoxalement, mes pulsations montaient davantage en descente qu'en montée, mais cela vallait le coup si j'en juge par le terrain gagné (je récupérais sur le plat en baissant tout de suite la vitesse et en marchant dans les montées).
Et quel plaisir d'aller vite et de changer le tempo de la course.
Bon courage!

salut les web joggers

cette donnée est confirmée par les plus grands traileurs, notamment Vincent Delebarre, qui dit qu'un trail se gagne en descente et non dans les montées.

Une musculation adaptée et l'affaire est dans la poche.

et d'où vient cette facilité pour l'homme de mieux grimper, l'explication est là :

en 1875, lors de la belle époque de la prostitution sur Paris, nombre de filles de joies avait pour paroles accrocheuses " alors on monte chéri ? " . Et l'homme s'exécuta facilement.

Cela est donc resté dan sles descendance.

bon, je re

bye

titi de paris a écrit:Une musculation adaptée et l'affaire est dans la poche.

Avoir de bons cuissauds certes mais surtout bien travaillé le relâchement.... et une bonne lecture des trajectoires pour anticiper au mieux me semble primordial...

Salut,

Pour info un post interessant pour progresser en descente (lire en particulier les interventions de titifb).

J'ai teste, ca marche

Joe One a écrit:

titi de paris a écrit:Une musculation adaptée et l'affaire est dans la poche.

Avoir de bons cuissauds certes mais surtout bien travaillé le relâchement.... et une bonne lecture des trajectoires pour anticiper au mieux me semble primordial...

D'accord avec Joe one, une bonne lecture des trajectoires permet effectivement de pouvoir se relacher plus facilement, et d'anticiper, donc de moins subir.
Skieur et vétetiste à la base, ça aide pour l'anticipation et la lecture des trajectoires. Par contre, je perds du temps quand ça monte

Beh pour la descente, viens dans le nord.
On est pas trop mauvais. Par contre je ne comprend pas pourquoivous parlez des cuisses alors que c'est le coude qui travaille le plus



Bon OK je sort

auvermarc a écrit:

Joe One a écrit:

titi de paris a écrit:Une musculation adaptée et l'affaire est dans la poche.

Avoir de bons cuissauds certes mais surtout bien travaillé le relâchement.... et une bonne lecture des trajectoires pour anticiper au mieux me semble primordial...

D'accord avec Joe one, une bonne lecture des trajectoires permet effectivement de pouvoir se relacher plus facilement, et d'anticiper, donc de moins subir.
Skieur et vétetiste à la base, ça aide pour l'anticipation et la lecture des trajectoires. Par contre, je perds du temps quand ça monte

Je suis comme toi, je gagne du temps en descente mais j'en perd en montée .... C'est parfois difficile à admettre en course mais j'en ai pris mon parti et du coup je le gère mieux.
Le relachement musculaire et l'anticipation sont les éléments que j'essaye de mettre en place.
Il n'est pas nécessaire de regarder ses pieds pour bien descendre... il faut se concentrer sur les point d'appuis et les pieds iront vers ces points.
Ensuite l'entraînement est primordial