Ultramontée Challenge : "Mon amie benne !"
Publié: 02 Jan 2011, 05:40
COMMUNIQUE
Le 1er challenge de dénivelé positif extrême, l’ « Ultramontée Challenge », aura lieu pour la première fois en 2011 en France.
Il a été créé fin 2011 de façon conjointe par les organisateurs de l’Ultramontée du Salève (UMS) et de la toute nouvelle Ultramontée du Lioran (UML).
L’Ultramontée du Salève, dont la première édition a eu lieu en 2010, a en effet inspiré la création d’une seconde Ultramontée en France, plus exactement en Auvergne, à la station du Lioran, l’un des plus beaux domaines skiables du Massif Central.
Ce challenge de dénivelé positif extrême, qui se déroulera pour la première fois en 2011, permettra aux meilleurs coureurs à pied de dépasser le dénivelé de l’Everest sans quitter le niveau de la plaine !
En effet, on s’attend à des performances supérieures à 10'000 m+.
PROGRAMME
- Première manche le 9 avril 2011 à l’Ultramontée du Salève à Etrembières/Monnetier-Mornex (Haute-Savoie). Les coureurs doivent atteindre le sommet du Salève le plus grand nombre de fois possible, le plus vite possible, durant le délai-limite de 6 h. Toutes les descentes sont effectuées en téléphérique. Les temps d’attente et de trajet ne sont pas chronométrés.
Lors de la première édition en 2010, le Lyonnais Yann Nourry a fixé le record masculin à 8 montées, soit plus de 5400m+, et la Suissesse Colette Borcard (SUI) le record féminin à 7 montées, soit plus de 4600m+.
- Deuxième manche le samedi 11 septembre 2011 à l’Ultramontée du Lioran (UML), en Auvergne, pays des Volcans et joyau des domaines skiables du Massif Central. Cette épreuve a été créée sur le modèle initial de l’UMS.
Les coureurs qui auront réalisé le plus grand nombre de points sur les deux courses se verront remettre, en plus des prix-souvenir propres à chaque épreuve, un trophée commun UMS/UML.
Pourquoi le concept de l’UMS est-il unique au monde ?
- aucun autre type de compétition au monde ne permet aux coureurs d’accumuler autant de dénivelé positif en continu sans descente à pied. Bref, c’est la haute montagne à portée de la plaine. Et qui plus est, sur une pente à fort dénivelé (+ 27,7% de moyenne) !
- enfin une épreuve dans un no man’s land du calendrier ! La date choisie pour l’UMS, le 9 avril 2011, répond à une attente des coureurs de montagne, habituellement sevrés de compétition jusqu’en mai-juin. Ce positionnement insolite dans l’année donnera à plus d’un coureur une impression de « décalage horaire » !
- enfin une course « family friendly » ! Les coureurs n’ont plus besoin d’abandonner leur famille pour participer à une épreuve. Nous ne voulons plus entendre de coureurs confier avec un air de culpabilité « heureusement que j’ai une femme compréhensive » ! A l’UMS, nous organiserons des animations spécialement destinées aux familles, et avons prévu une halte-garderie gratuite pour les enfants des coureurs.
- enfin une course d’endurance extrême à la portée de tout le monde ! Les épreuves d’endurance extrême connaissent un développement exceptionnel depuis les années 90 ; elles attirent des milliers, voire des milliers et des milliers de candidatures à chaque édition. L’UMS s’inscrit donc dans la tendance actuelle vers la quête de performances dépassant les limites de la référence traditionnelle du marathon. Cependant, l’UMS élimine les trois grands risques majeurs d’accidents liés à ces épreuves d’endurance extrême : a) pas de descente traumatisante b) pas d’effort répété sur un seul et même profil (bitume) c) pas de passage en haute altitude.
Preuve de son ouverture aux néophytes, il n’est stipulé nulle part dans le règlement qu’il faille faire un nombre minimum de montées pour être classé. Une seule suffit. L’idée sous-jacente est que chacun est amené à prendre ses responsabilités en s’arrêtant au niveau de ses capacités. Le sport, doit-on le rappeler, est une activité auto-responsable.
Pour les férus de compétition, rappelons que le spécialiste français Serge Moro a affirmé dans « Esprit «Trail » : « Contrairement aux idées reçues, une course toute en montée s’intégrera avantageusement dans n’importe quelle préparation à condition de la prévoir au moins trois semaines avant l’objectif principal. Elle ne raccourcira pas votre foulée, et vous donnera au contraire une meilleure aisance sur le plat. L’entraînement en côte qu’elle aura nécessité vous saura permis de renforcer votre musculature et de travailler à haute intensité cardio-vasculaire avec beaucoup moins de traumatismes que sur le plat ».
Pour les non-compétiteurs, rappelons qu’une étude menée aux Hôpitaux cantonaux universitaires de Genève a démontré que la marche ou la course en montée faisait perdre 10 fois plus de calories qu’un effort d’intensité équivalente sur le plat !
En résumé, il n’y a que de bonnes raisons pour se mettre à l’Ultramontée !
Pour plus d’informations :
Première manche : http://www.asj74.org/saleve, ums-asj74@sfr.fr, 04.50.79.06.89
Seconde manche : http://www.ultramonteedulioran.blogspot.com/, pierre.borel15@wanadoo.frfrancesca
En suivant, le témoignage de Zorglub 74 >>> pour bien réussir sa course !
Le 1er challenge de dénivelé positif extrême, l’ « Ultramontée Challenge », aura lieu pour la première fois en 2011 en France.
Il a été créé fin 2011 de façon conjointe par les organisateurs de l’Ultramontée du Salève (UMS) et de la toute nouvelle Ultramontée du Lioran (UML).
L’Ultramontée du Salève, dont la première édition a eu lieu en 2010, a en effet inspiré la création d’une seconde Ultramontée en France, plus exactement en Auvergne, à la station du Lioran, l’un des plus beaux domaines skiables du Massif Central.
Ce challenge de dénivelé positif extrême, qui se déroulera pour la première fois en 2011, permettra aux meilleurs coureurs à pied de dépasser le dénivelé de l’Everest sans quitter le niveau de la plaine !
En effet, on s’attend à des performances supérieures à 10'000 m+.
PROGRAMME
- Première manche le 9 avril 2011 à l’Ultramontée du Salève à Etrembières/Monnetier-Mornex (Haute-Savoie). Les coureurs doivent atteindre le sommet du Salève le plus grand nombre de fois possible, le plus vite possible, durant le délai-limite de 6 h. Toutes les descentes sont effectuées en téléphérique. Les temps d’attente et de trajet ne sont pas chronométrés.
Lors de la première édition en 2010, le Lyonnais Yann Nourry a fixé le record masculin à 8 montées, soit plus de 5400m+, et la Suissesse Colette Borcard (SUI) le record féminin à 7 montées, soit plus de 4600m+.
- Deuxième manche le samedi 11 septembre 2011 à l’Ultramontée du Lioran (UML), en Auvergne, pays des Volcans et joyau des domaines skiables du Massif Central. Cette épreuve a été créée sur le modèle initial de l’UMS.
Les coureurs qui auront réalisé le plus grand nombre de points sur les deux courses se verront remettre, en plus des prix-souvenir propres à chaque épreuve, un trophée commun UMS/UML.
Pourquoi le concept de l’UMS est-il unique au monde ?
- aucun autre type de compétition au monde ne permet aux coureurs d’accumuler autant de dénivelé positif en continu sans descente à pied. Bref, c’est la haute montagne à portée de la plaine. Et qui plus est, sur une pente à fort dénivelé (+ 27,7% de moyenne) !
- enfin une épreuve dans un no man’s land du calendrier ! La date choisie pour l’UMS, le 9 avril 2011, répond à une attente des coureurs de montagne, habituellement sevrés de compétition jusqu’en mai-juin. Ce positionnement insolite dans l’année donnera à plus d’un coureur une impression de « décalage horaire » !
- enfin une course « family friendly » ! Les coureurs n’ont plus besoin d’abandonner leur famille pour participer à une épreuve. Nous ne voulons plus entendre de coureurs confier avec un air de culpabilité « heureusement que j’ai une femme compréhensive » ! A l’UMS, nous organiserons des animations spécialement destinées aux familles, et avons prévu une halte-garderie gratuite pour les enfants des coureurs.
- enfin une course d’endurance extrême à la portée de tout le monde ! Les épreuves d’endurance extrême connaissent un développement exceptionnel depuis les années 90 ; elles attirent des milliers, voire des milliers et des milliers de candidatures à chaque édition. L’UMS s’inscrit donc dans la tendance actuelle vers la quête de performances dépassant les limites de la référence traditionnelle du marathon. Cependant, l’UMS élimine les trois grands risques majeurs d’accidents liés à ces épreuves d’endurance extrême : a) pas de descente traumatisante b) pas d’effort répété sur un seul et même profil (bitume) c) pas de passage en haute altitude.
Preuve de son ouverture aux néophytes, il n’est stipulé nulle part dans le règlement qu’il faille faire un nombre minimum de montées pour être classé. Une seule suffit. L’idée sous-jacente est que chacun est amené à prendre ses responsabilités en s’arrêtant au niveau de ses capacités. Le sport, doit-on le rappeler, est une activité auto-responsable.
Pour les férus de compétition, rappelons que le spécialiste français Serge Moro a affirmé dans « Esprit «Trail » : « Contrairement aux idées reçues, une course toute en montée s’intégrera avantageusement dans n’importe quelle préparation à condition de la prévoir au moins trois semaines avant l’objectif principal. Elle ne raccourcira pas votre foulée, et vous donnera au contraire une meilleure aisance sur le plat. L’entraînement en côte qu’elle aura nécessité vous saura permis de renforcer votre musculature et de travailler à haute intensité cardio-vasculaire avec beaucoup moins de traumatismes que sur le plat ».
Pour les non-compétiteurs, rappelons qu’une étude menée aux Hôpitaux cantonaux universitaires de Genève a démontré que la marche ou la course en montée faisait perdre 10 fois plus de calories qu’un effort d’intensité équivalente sur le plat !
En résumé, il n’y a que de bonnes raisons pour se mettre à l’Ultramontée !
Pour plus d’informations :
Première manche : http://www.asj74.org/saleve, ums-asj74@sfr.fr, 04.50.79.06.89
Seconde manche : http://www.ultramonteedulioran.blogspot.com/, pierre.borel15@wanadoo.frfrancesca
En suivant, le témoignage de Zorglub 74 >>> pour bien réussir sa course !