Kikourou.net

Salut! Je suis nouveau.javascript:emoticon(':D')
Je me prépare pour la Saintélyon ; je privilégie la vitesse et je fait peu de km (maxi 12km), mais 5, 6 sorties/semaines.
Aprés 3 ans d'arrêt, tendinite voute plantaire (cause:surentrainement) et un semi en 1h22, je pense qu'il est possible de se préparer aux longues distances sans nécéssairement faire de sorties "longues".
Mais je manque d'expérience; et surtout j'hésite à faire une "petite sortie" vendredi. Quand faut-il s'arrêter avant un trail pour se recharger ?
Qu'en pensez-vous ? javascript:emoticon(':roll:')

Mon expérience et plus que légère en trail mais en vélo j'ai toujours pris l'habitude de me reposer à J-2 et de faire une petite sortie avec quelques sprint à J-1.
Là on a un problème étant donné que le départ est à 0h00.
En se qui me concerne je vais considérer vendredi comme J-1 et faire 40min avec quelques lignes droites.

J'espère avoir pu t’éclairer

On y est presque plus que 79,30 h avant le départ....

salut
pour ton soucis d sortie ou pas fait le au feeling.
si tu sors 5 :6 fois pa semaine de repos point tu n as besoin.
j-2 tu manges des pates, j-1 tu manges des pates et tu trotines pour chasser les fourmis ( En 3/4 tu les ecrases toutes), et J tu manges des pates et tu cours.

en conclusion ca ne te feras pas de mal si ta blessures te laisse tranquille.
c'est pas qq kilo de + qui feront la différence sur 68 bornes ( sauf si tu joue la gagne , là respect)
a bientot

La question que tu poses est celle du "tapering", en anglais dans le texte, ou de l'affutage, en bon français.

Il s'agit précisément de comment organiser la période pre-compétitive de façon à ce que la courbe de forme soit à son max le jour de la course et la courbe de la fatigue à son mini.

En période d'entraînement tu sollicites ton organisme un peu plus que ce qu'il est habitué à faire afin de déclencher des adaptations physiologiques (et mentales). De ce fait, tu accumules de la fatigue.

Donc, selon les spécialistes, avant un objectif majeur, il faut couper l'entraînement intensif environ 15 jours avant la compétition afin de récupérer. Ce qui ne signifie pas ne rien faire... au contraire. Durant la première semaine, il est essentiel de garder la structure de son entraînement habituel en conservant les séances de qualité (fractionnés, seuil) mais en divisant leur durée par deux. Durant la deuxième semaine, on allège encore en faisant sa dernière séance le mercredi, pour une course le dimanche.

A partir de ce dernier entraînement, repos et recharge glucidique sont au programme. A noter que l'essentiel de la recharge en glucide se fait dans la journée qui suit le dernier entraînement. Une ultime séance la veille de la course est donc plutôt contre-productive en terme de réserve de glycogène. A éviter même si on se sent des fourmis dans les jambes et qu'on a l'impression de faire du lard. De toute façon, il est trop tard pour compenser un éventuel déficit d'entraînement. Il vaut mieux faire du 'jus".

Alors restes zen et profites en pour préparer ton sac à l'avance (zut, j'ai oublié mes chaussures !!!) .

A samedi.

Karllieb