Modérateur: Modos
Kirikou69 a écrit:De retour au boulot aujourd'hui, bravo à tous pour vos performances du mois de juillet avec une mention spéciale à Nini.
Deux semaines à faire des chateaux de sable sur la plage n'ont pas arrangées ma condition physique et dire que je me suis inscrit au marathon du Montcalm samedi : ca va être très chaud.
Kirikou69 a écrit:De retour au boulot aujourd'hui, bravo à tous pour vos performances du mois de juillet avec une mention spéciale à Nini.
Deux semaines à faire des chateaux de sable sur la plage n'ont pas arrangées ma condition physique et dire que je me suis inscrit au marathon du Montcalm samedi : ca va être très chaud.
Nini a écrit:Si vous avez "2 min"... Voici mon CR :
L'histoire commence un soir de juillet sur la terrasse de la maison... Florent m'annonce que le Mont Blanc par la voie italienne ne sera possible parce que les conditions se sont dégradées à cause de la chaleur et qu'il devra modifier son grand tour du beaufortain en passant par la voie normale.
Il est chagriné de ce changement. Je lui propose alors de faire un petit bout avec lui : la montée jusqu'au refuge de Tête rousse. Il ne répond pas et quelques secondes plus tard, il se retourne avec un sourire radieux : " et si tu le faisais avec moi ?"
J'avoue qu'au début je n'étais pas très enthousiaste... Nos échecs de l'année dernière sont trop présents... Je ne voulais pas lui faire rater sa boucle en n'allant pas au sommet. Je doute... Est ce que je suis capable d'y arriver ? Ce sommet n'est-il pas maudit et inaccessible pour moi ?
Florent, comme il sait bien le faire me convaint d'accepter.
Pendant qu'il peaufine l'organisation, il faudra que Stanislas gère les enfants dans la vallée 24h..., je m'élabore des portes de secours dans la tête. C'est hors de question qu'il rate... Si je ne suis pas bien, je resterai au refuge en l'attendant.
Florent commence son Grand Tour du beaufortain. Les détails sont bien réglés, il est en forme, se fait plaisir. La nuit précédant le Mont Blanc, Stanislas et Héloïse vont le ravitailler afin que je puisse faire une nuit correcte avant le Mont Blanc... Florent nous fait zapper un ravito au petit matin pour que je me repose. La pression monte.
Le jour J arrive. Mardi matin Stanislas me pose devant la gare du TMB de St. Gervais. Il me tend le billet qu'il vient de m'acheter, il me le tend avec une tension palpable en me disant qu'il n'accepterait de revenir me chercher que si j'avais fait le sommet. Je sais qu'il plaisante, mais pas tant que ça... Les enfants m'embrassent et m'encouragent. Le moment est fort.
Ils repartent car doivent ravitailler Florent et lui donner son sac d'alpinisme. Je me retrouve sur le quai de la gare bien seule au milieu des touristes... Habillée pour aller en haute montagne, un sac à dos énorme, je me sens étrangère et déconnectée du monde qui m'entoure.
Je monte enfin dans le TMB qui me conduit au nid d'aigle. Des suédois entrent à la gare suivante. Ha! Des alpinistes ! Je ne suis plus seule. Sauf, qu'ils engagent la conversation et comme je parle anglais comme une vache espagnole, ça ne va pas très loin...
Après une heure de voyage j'arrive enfin ! Je stresse... Je me retrouve pour la 1ère fois seule en montagne, sans Florent. L'itinéraire ne me pose pas de problème : il est facile, et l'année dernière j'ai eu l'occasion de le mémoriser. Je me retrouve rapidement seule. Quelques randonneurs font le chemin inverse. La météo annoncée n'est pas top, des orages sont prévus et je me mets à flipper. Qu'est ce que je fais si un orage éclate, là, maintenant ? Et si ça arrive quand Florent monte au refuge et que moi je suis à l'abris... Je cogite sévère... Et je n'ai personne pour me rassurer... Florent court, Stanislas gère le ravito et les enfants, maman, je vais pas l'inquiéter avec mes tergiversations ( elle est déjà assez soucieuse !) . Il faut que je gère. Christian, alias Bubulle m'annonce l'avancée fulgurante de Florent, ça m'enlève un poids.
La présence d'un guide suisse qui descend plan plan me rassure aussi. Je pense que si il ne s'active pas, c'est qu'il est sur que l'orage ne viendra pas tout de suite et que par conséquent j'aurai le temps d'arriver au refuge de Tête rousse et Florent également.
Je monte au refuge de tête rousse en 2h30 avec un sac à dos bien chargé. Je bois un petit thé, lis une BD. Florent arrive finalement 2h après moi. Il a taillé la route pour éviter l'orage ( qui arrivera d'ailleurs beaucoup plus tard que prévu !).
Nous voilà tous les 2, sains et sauf à l'abri... Ouf ! Mais il faut se rendre à l'évidence rapidement. Nous ne partirons pas faire le sommet cette nuit pour 2 raisons : Florent s'est épuisé à courir vite pour fuir l'orage, et justement, cet orage annoncé avec grande probabilité ne nous permet pas de partir à l'assaut du sommet
Heureusement des places sont libres au refuge. Nous prenons donc la nuitée, le repas du soir et le petit dej ( aie... Ça fait mal à la tirelire...). Nous partirons à l'aventure la nuit suivante !
Nous partageons notre repas avec des hollandais super sympas : un père, son fils et leur guide. On plaisante sur les "montagnes" de la Hollande, et il nous rétorque avec humour qu'en 30 ans la Hollande a tout de même formé 8 guides !
Dès le repas terminée, à 19h15 nous partons nous coucher. Nous sommes crevés tous les 2 ! Et nous nous endormons rapidement. Le refuge est très confortable. Nous sommes réveillés à 4h par nos compagnons de chambre qui partent pour le refuge du goûter. Ceux ci feront une nuit supplémentaire avant de partir pour le sommet.
A 7h nous nous levons pour prendre le petit dej. Et oui, 7h... On est dans un refuge, pas à l'hôtel !!!
Je me sens fatiguée, dès le réveil. Les orages annoncés la veille ont eu lieu dans la nuit et beaucoup ont renoncé à faire le sommet. On attend fébrilement le bulletin météo de 8h30. Les minutes s'écoulent lentement. Il faut que ce soir il fasse beau, sinon on n'a plus qu'à redescendre
La météo tombe comme un couperet : orage possible en 1ère partie de nuit... Comme d'habitude, je suis négative et me dit que ça ne va pas le faire; pour Florent, ça va aller.
La journée est très longue... Nous sommes perdus dans une purée épaisse de nuages. Puis, en fin d'après midi le ciel est presque totalement dégagé. Florent m'annonce que les orages probables ne viendront pas !
Nous faisons connaissance avec 2 copains : Mathieu et Laurent. Ils nous ont monté une frontale depuis St. Gervais que Stanislas leur avait filé. Ils n'ont jamais fait de montagne. Ils pensent aller au sommet en suivant une cordée de guide... Ils se rendent compte, a posteriori, que même si le Mont Blanc est donné pour être une course facile, elle ne se réussit pas comme ça. Il faut de l'expérience. Ils nous demandent finalement de venir faire le sommet avec nous. Nous acceptons, ils sont sympas et nous sentons bien que leur plan "suivons un guide" ne marchera pas.
Entre lecture, discussion avec un américain complètement déjanté ( enfin, Florent, moi j'écoute), la journée se passe. Le ciel est devenu clair.
21h.30, le refuge est désert. Tout le monde dort. Florent et moi nous préparons dans la salle commune. La tension monte... Nous sommes rejoint par Mathieu et Laurent.
22h07, les crampons sont chaussés, nous partons. Droit dans la pente, je retrouve le bruit des crampons dans la neige, j'adore ! Nous sommes assez vite au niveau du couloir, la 1ère difficulté à passer. Il est en neige principalement, mais au milieu il y a un ruisseau ... Nos compagnons savent qu'il ne faut pas trainer mais Laurent hésite un peu au niveau de la rivière. Ouf, ils sont de l'autre côté, à notre tour maintenant ! Je suis la 1ere de la cordée. La corde passe par le câble et Florent est 5m derrière moi, encordé. La neige est passée à un bon rythme, je suis surprise par la rivière et j'ai un bref moment d'hésitation puis mets les 2 mains dans la flotte, les crampons sur le rocher, ça tient. Reste le petit bout de neige de l'autre côté, encouragée par Florent je cours. C'est passé, il est 00:10.
Nous déchaussons nos crampons. Il nous faut monter la longue arête du goûter. A la frontale, le chemin n'est pas facile à trouver. Heureusement, Florent connait son chemin et nous guide parfaitement. Je suis admirative, je ne sais pas comment il fait. Il fait nuit noire, ils sont avares en marques rouges et pourtant nous grimpons à rythme cool sans se tromper. Une volée de cailloux tombe dans le couloir. Nous sommes normalement hors de danger ici mais vu le bruit entendu Florent craint que ça ricoche vers nous. Nous obéissons immédiatement au "couchez-vous!" de Florent. La tête sur le rocher, les mains sur la nuque, Florent me protège en se mettant sur moi. La montée d'adrénaline est terrible. Ôn attend quelques secondes sans bruit. C'est pas tombé ici. Mais fallait pas être dans ce couloir à ce moment... Laurent qui a relevé la tête un instant ( pas bien...) a vu un caillou énorme dévaler. Ils n'en reviennent pas et réalisent réellement la dangerosité de ce couloir et la part de chance qu'il faut avoir en le traversant.
1:20 nous voilà à l'ancien refuge du goûter. Il est totalement fermé, même les toilettes.... Grrrr, il fait froid à cette altitude pour faire pipi dehors, mais bon, pas le choix !
Il y a du vent et nous sommes dans le brouillard. Le 1er s'estompera par moment, le second ne nous quittera que dans de longues heures.
Nous remettons nos crampons et c'est là que commence la course pour la plupart des gens. Nous sommes en avance sur les autres puisqu'ils prendront leur petit dej au refuge à 00h30. Nous sommes seuls.
L'arête de neige après le refuge du goûter, puis c'est la montée au dôme du goûter. Je la trouve plus longue que l'année dernière. J'ai un léger mal de tête qui pointe... Je ne dis rien, essaye de forcer ma respiration. Mais lorsque Florent me demande si ça va, je dois lui dire... Je le vois bien inquiet... Et si c'était le mal des montagnes... Fréquemment il me demande et le mal empirant j'avale un aspegic. Merci Mathieu ! Bon, la prochaine fois pense au verre, ce sera plus pratique, lol !!!
Le mal de tête se maintien. Ni plus ni moins. Je me rassure en me disant que ça ne doit pas être le mal des montagnes.
4290m. On est au dôme, moyennement rassurés. Nous avons il y a peu croisé une cordée de 2 jeunes qui descendaient. Ils nous ont dit qu'ils renonçaient car il y avait trop de vent après le dôme et que les traces étaient nombreuses et ils ne savaient pas où passer. Nous avions pris la décision d'aller voir nous même. Et heureusement, ça passait très bien. Probablement peu expérimentés, seuls, ils ont paniqué. Certes il y a du brouillard et le vent dépote, mais les traces sont toujours là et Florent nous guide.
J'attaque une partie que je ne connais pas. Je suis toute excitée. Il y a une partie descendante, ça fait du bien puis un bout de replat. On attaque ensuite la montée au refuge Vallot. L'altitude commence à se faire ressentir. Pas tellement par une respiration difficile mais plus par des jambes de plombs. Les mollets sont lourds, durs, ils répondent de moins en moins bien.
A 4h59 nous entrons dans le refuge Vallot. Il y a un peu de monde mais pas trop. Ce refuge qui a tout d'une cabane est glauque... On y rentre en crampon, la chaleur humaine qui y règne contraste avec le dehors. L'odeur y est infecte... Des détritus laissés par des alpinistes jonchent le sol. Certains s'habillent, d'autres font la popote, certains gisent sous une couverture de survie...
Nous mettons une couche supplémentaire et Florent grignote un bout. J'essaye d'avaler une pâte de fruit, mais je chope des crampes, envie de vomir. Je demande au chef si je me force ou pas. Il me dit de ne pas manger si ça passe pas, ce que je fais. C'est bon, j'ai des réserves, y a qu'à aller taper dedans, ça fera pas de mal !!! Lol
Nous sortons difficilement ! Le refuge s'est blindé d'un coup. On est serré comme des sardines! J'essaye de sortir, mais avec les crampons dans des escaliers peu larges, j'ai du mal. Je me fais engueuler par un guide qui me dit d'avancer." C..... Si t'étais pas en plein milieu pour rentrer je pourrai sortir !"
Je finis par dire wait ! Et peux enfin sortir !
Nous contournons le refuge. Et là, grosse claque ! Le jour se lève il a chassé les nuages ! Quelques frontales jalonnent la voie. Des cordées sont presque au sommet ! C'est magnifique. Trop plein d'émotions, je verse mes 1ères larmes. Le sommet est là, à portée de main ! C'est énorme. Je me rends compte que comme personne n'est malade, on va y arriver. Je n'ai plus mal à la tête. Je suis heureuse. Enfin ! Mais la route est encore longue, très longue.
Ça grimpe sévère après Vallot. C'est l'arête des bosses. La 1ère est pentue et longue, la seconde plus petite se dresse comme un mur. Les jambes crient stop, mettre un pas devant l'autre est une épreuve. Florent tire la corde qui me relie à lui pour que j'avance. Mathieu qui est derrière moi me pousse gentiment pour que j'avance quand je m'arrête trop souvent. Je souffre. Mais il faut avancer. J'ai l'impression de ne pas m'arrêter tant que ça mais en en reparlant après coup, ils ont dit que je me traînais ! Lol
Et après ces 2 bosses, ce n'est pas fini. Il y a l'arête finale. Elle est pas large... On est haut !! C'est pas le moment de faire un faux pas. C'est magnifique. On croise alors le maire de la commune où je bosse. Parce que j'ai oublié de vous dire... Retour en arrière. Au refuge de tête rousse, je l'aperçois. Je vais donc le saluer. Il ne sait pas que je fais de la montagne, moi non plus je ne savais pas qu'il en fait. La probabilité de trouver quelqu'un de connu est quand même faible ! On l'a recroisé au refuge Vallot, il en sortait quand on y rentrait. Et là, Florent le reconnait. Ils ont fait le sommet, nous encouragent. Je suis dans le pâté, mais j'entends surtout le guide qui annonce 20,30 min...
Je me remotive. Il est là, à portée de crampons... Florent nous stoppe, nous invite à regarder ces derniers pas à faire. On ne sera là qu'une fois pour la 1ère fois !
Je ne veux plus m'arrêter et essaye de tenir un rythme, faible, mais un rythme !!!
Une russe assise sur l'arête ne veut plus avancer. Il lui reste une vingtaine de pas à faire. Florent parle à son mari en anglais, lui dit qu'elle doit se lever et me suivre. Je lui fais signe de venir. Elle se lève et nous suit.
Je pleure déjà. Les yeux embrumés. J'éclate en sanglots quand le dernier pas est fait. Il est 7h25. Au bout de 9h30 d'efforts, c'est la libération. J'embrasse Florent qui m'étreint et me félicite. L'émotion est énorme. Je ne vois pas ses yeux, mais je sais qu'il pleure lui aussi. C'est un moment de pur bonheur. Plus rien n'existe. La terre pourrait s'effondrer. Il n'y a, l'espace d'un instant que lui et moi, ici, au sommet du Mont Blanc.
Nous allons ensuite féliciter nos amis avec qui nous avons partagé cette aventure. Oui, des amis, il y a 24h on ne se connaissait pas et l'aventure que nous avons partagé nous a liés à tout jamais !
Il fait un froid terrible à cause du vent. Le soleil illumine la mer de nuage que nous surplombons largement. Il n'y a que ce sommet et nous ! Rien d'autre autour ! Nous sommes là, à nous féliciter. Les sourires fendent les visages de tous !
Il faut penser après quelques photos à redescendre. Nos doigts sont gelés...
La descente est longue, très très longue. Se croiser avec ceux qui montent doit attirer toute notre attention. Les accidents arrivent souvent à la descente ( 80%, hein Florent!). Nous arrivons enfin au refuge du goûter.
Juste après le refuge, nous croisons Jay, l'américain qui fait tout en solo. Il est heureux, vraiment, que nous ayons réussi. Il nous recommande la prudence pour la descente. Nous lui souhaitons bonne chance pour la suite de son périple.
Je mets un temps fou pour descendre l'arête du goûter. J'en ai plein les jambes, j'en ai marre. J'ai peur de faire un faux pas, d'envoyer des pierres plus bas... Je redouble de prudence encouragée par Florent, Mathieu et Laurent.
De plus le couloir approche et ça me stresse. Quelques pierres tombent. Ni plus, ni moins que d'habitude. Les alpinistes traversant ce couloir font pour beaucoup preuve d'imprudences. Ils traversent, tranquilles ! N'entendent-ils pas les pierres tomber ? On hallucine.
C'est notre tour. Comme à l'aller, pas de précipitation. Des pas assurés et rapides. Nous traversons le couloir sans encombre. Puis c'est au tour de Mathieu et Laurent. Mathieu, complètement flippé par les pierres entendues la veille court presque. Florent leur hurle de ne pas se précipiter... Mais ils taillent la route.
Ils arrivent vers nous. L'épée de Damoclès qui était au dessus de nos têtes vient de disparaître. Nous relâchons tous la pression. On a réussi ! Sain et sauf !
Le reste, c'est de la montagne à vache, enfin presque. Florent nous impressionne. Il court presque dans la descente.
Nous arrivons au Nid d'aigle où nous reprenons le TMB. Nous refaisons la course et rions du passage du couloir !
L'heure dans le train est pénible. Il fait chaud, nous sommes debout, serrés les uns contre les autres.
A l'arrivée à la gare de St. Gervais, Stanislas et les Loulous sont là pour nous accueillir. Les filles pleurent à chaudes larmes, Louis saute dans tous les sens et Stanislas nous félicite chaleureusement. Ils sont tous très fiers.
Je finis ce CR en vous remerciant tous. Avec votre soutien à distance vous nous avez porté et je suis contente d'avoir partagé cette merveilleuse expérience avec vous !
Stanislas a passé 48h, qui n'ont pas été de tout repos. Et je ne l'en remercierai jamais assez.
Et merci à toi Florent, sans qui je n'aurai jamais fait ce sommet. Tu as cru en moi, en nous et nous avons écrit là haut une page importante de notre vie de couple. Je t'aime.
TomTrailRunner a écrit:Arclusaz a écrit:TomTrailRunner a écrit:quand je dis qu'il faut décentraliser les off !!!!!!
des partants cette semaine à midi
dispo pour 1 tour ou 2 du Parc vers 12h15-12h30 n'importe quel jour de la semaine (sauf aujourd'hui because don de plasma et jeudi car c'est le 15 aout).
Mais, à mon rythme de sénateur alourdi par les excès de lonzo et de canistrelli....
Bon vendu pour mercredi : 2 tours du parc en partant à 12h15 (je m'échaufferai sur un premier tour départ 11h55).... rythme très cool obligatoire pour moi (J-9 mercredi de l'UT4M)
D'autres partant (Jean-phi bien sur)
Arclusaz a écrit:mercredi 14 aout
- Parc de la tête d'or
- Endurance plate
- 1h20 (départ 11h55 porte Bd de Stalingrad) ou 1h (départ 12h15 porte du lycée du parc)[/size]
- Tom, Jean-phi puis Arclusaz ; Khioube tbc
nicolo5 a écrit:je me prépare pour les 50 km du st jacques. avis aux amateurs
jean-phi a écrit:Nous nous y croiserons donc !
ejouvin a écrit:jean-phi a écrit:Nous nous y croiserons donc !
Oh comment tu annonce la couleur. Tu annonce déjà que tu vas le doubler en chemin
jean-phi a écrit:Que je te double toi suffira parfaitement à mon bonheur !
ejouvin a écrit:A ce petit jeu, on va se "griller" tous les deux
turtlerunforfun a écrit:+ 1 présent demain au parc.
jean-phi a écrit:Sac enfin acheté, celui dont je rêvais, efin j'espère !
Comme une bonne chose n'arrive jamais seule, kikoncroisedoncemidi chez TDR ? M. Tidgi en pleine razzia sur les gels ! Du coup on en a profité pour aller parfaire sa préparation hydrique (je devrais dire alambic ) au café pas très loin !
tidgi a écrit:On pourra même aller plus loin une prochaine fois et se faire un resto (parce qu'il n'y a pas que la CAP dans la vie
tidgi a écrit:jean-phi a écrit:Sac enfin acheté, celui dont je rêvais, efin j'espère !
Comme une bonne chose n'arrive jamais seule, kikoncroisedoncemidi chez TDR ? M. Tidgi en pleine razzia sur les gels ! Du coup on en a profité pour aller parfaire sa préparation hydrique (je devrais dire alambic ) au café pas très loin !
Mais ce fut un plaisir Ravi d'avoir mieux fait connaissance avec le vainqueur de la NDC 2009...
On pourra même aller plus loin une prochaine fois et se faire un resto (parce qu'il n'y a pas que la CAP dans la vie - comment çà c'est un forum de CAP ).
TomTrailRunner a écrit:ah, j'aurais mieux fait de venir avec vous plutôt que faire un truc naze à partir de St Cyr !!!!
Trixou a écrit:Si vous acceptez les nouveaux je serais bien content de vous accompagner demain midi
Trixou a écrit:Si vous acceptez les nouveaux je serais bien content de vous accompagner demain midi
TomTrailRunner a écrit:Trixou a écrit:Si vous acceptez les nouveaux je serais bien content de vous accompagner demain midi
Pas de soucis : il y à juste quelques gages à assumer et autant de bières à offrir au plus grand du groupe : désolé c'est la coutume
TomTrailRunner a écrit:Jean-phi : T-shirt XS, short XS
Arclusaz a écrit:TomTrailRunner a écrit:Trixou a écrit:Si vous acceptez les nouveaux je serais bien content de vous accompagner demain midi
Pas de soucis : il y à juste quelques gages à assumer et autant de bières à offrir au plus grand du groupe : désolé c'est la coutume
mefie toi Tom, pour le plus grand, d'après les fiches, il y a 3 ex-aequo....
va falloir prendre des mesures demain (mais je crois que tu me dépasses)
jean-phi a écrit:bonne petite sortie, nous étions 7 plus une féminine cachée ! Bien sympa cette virée dans la tête d'or avec un Arclusaz très affûté et très en forme ! Il a fait exploser le groupe !
Ce doit être le saucusson corse qui l'a dopé, c'est pas possible !
Pour Thierry et moi, 1h18 et 13 kms et... 77 de D+ !
TomTrailRunner a écrit:jean-phi a écrit:bonne petite sortie, nous étions 7 plus une féminine cachée ! Bien sympa cette virée dans la tête d'or avec un Arclusaz très affûté et très en forme ! Il a fait exploser le groupe !
Ce doit être le saucusson corse qui l'a dopé, c'est pas possible !
Pour Thierry et moi, 1h18 et 13 kms et... 77 de D+ !
La féminine a fini par se vautrer (promis je ne l'ai pas poussée)
1h15 ; 12 km et 15 D+
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