Récit de la course : Off - Stage Préparation Embrun 2008, par La Tortue

L'auteur : La Tortue

La course : Off - Stage Préparation Embrun

Date : 13/4/2008

Lieu : Riez (Alpes-de-Haute-Provence)

Affichage : 1978 vues

Distance : 0km

Objectif : Pas d'objectif

9 commentaires

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Un stage de préparation triathlon dans le Verdon

Voilà plusieurs mois qu’on en parlait de ce stage de préparation que le papy nous a concocté pour faire du volume avant Embrun et pour lever un certains nombres d’interrogations ; notamment :comment va se comporter ma lourde carapace sur les routes de montagne et comment vais-je nager en combinaison, ailleurs que dans une piscine, en l’occurrence dans le lac de Ste Croix.

 

Jour 1 : tour du lac de Ste Croix en vélo. Froid au départ mais soleil magnifique : 88 km, 1300 m D+, 3h22 pour 26,2 de My.

Rien de bien méchant, mais de longs faux plats dans lesquels je ne suis pas trop mal, même si je trouve ça bien longuet toutes ces côtes qui sont beaucoup plus longues que celles que je pratique habituellement. Au passage de magnifiques vues sur le lac et la rencontre de triathlètes de Pontarlier aussi en phase de préparation.

 

Vue sur le lac de Ste Croix

 

Petite cerise sur le gâteau du papy pour finir : une grimpette à 16% sur 2 km dans laquelle je vais utiliser mon 32/25 pour en venir à bout doucement mais à ma grande surprise sans caler.

Après-midi : golf 9 trous avec l’écrevisse

 

le golf des lavandes à Digne les bains

 

 

Jour 2 : tour des gorges du Verdon en vélo. Frais et humide: 126 km, 2800 m D+, 5h08 pour 24,4 de My

Ca y est, je monte mon premier « col ». Pas bien long, mais quand même 5 km de montée continue environ. Je passe bien cette première difficultés en appliquant scrupuleusement les conseils du papy (alterner période de relance en danseuse en balançant bien le vélo de gauche à droite, et période de roulage assis sur l’avant de la selle). La journée sera une succession de montées et de descente jamais très longues (5 km environ) mais avec des pourcentages parfois bien raides. Je commence à apprendre à gérer ces longs efforts et malgré une chute due à un saut de chaîne, j’arrive à suivre le papy à quelques centaines de mètres derrière. Les vues sur les gorges sont magnifiques et parfois vertigineuses.

 

Vue depuis le point sublime

 

 

 

Dans la dernière ascension, je reviens fort sur le papy qui a un gros coup de moins bien car il s’est fait une grosse hypo. Chose qui ne risque pas de m’arriver en raison des stocks que j’ai toujours avec moi dans ma bouée abdominale ;-) En revanche, une grosse lacune que je n’arriverais pas à corriger durant cette semaine, c’est ma nullité en descente. Sur des routes souvent mouillées et n’étant pas en confiance, je dois à chaque fois laisser partir le papy qui file comme un champion, se jouant des virages et des lacets grâce à des trajectoires lumineuses que je lui envie. Et, on finit par la même bosse à 16% que la veille que je ne passe pas trop mal malgré les 4h de selle.

 

Jour 3 : CAP (12 km environ) et natation (1500m). Beau temps ensoleillé

On commence par 37’ de footing au bord du lac pendant lesquels j’ai bien du mal à faire glisser un pantagruélique petit-dej. Burps !

Ensuite on s’équipe pour nager. Le lac est d’un bleu limpide, mais l’eau est très très…fraîche, pour ne pas dire glacée. On nous l’annoncera à 11°. J’apprécie l’efficacité de ma combinaison car je n’ai absolument pas froid au corps, En revanche, j’ai beaucoup de mal à passer les pieds, les mains et le visage, mais au bout de 10’ j’arrive à nager à peu près normalement pendant 45’ environ pour une distance que j’estime à environ 1500m. Le papy, lui n’a pas pu aller au-delà des chevilles et promet de dévaliser le DKT d’Aix pour s’acheter un équipement pour la nage en eau polaire.

 

La plage de Ste Croix et sa base nautique

 

Après la natation, j’ai les pieds tellement engourdis par le froid que les 10 premières minutes de footing seront faites avec des douleurs aux chevilles. Une fois chaud, le papy nous fait faire un exercice de course avec foulées bondissantes en côte. Le temps que je pige à peu près le truc, j’ai les quadriceps en feu !

Après-midi : golf 18 trous avec l’écrevisse

 

Jour 4 : Trail dans les gorges du Verdon avec une boucle au départ de la Palud et parcours du sentier Martel. Temps estival (pour moi en tout cas !). 30 km environ, 1600 m D+ environ, 5h50.

Paysage magnifique, passages super techniques, beauté sauvages de ces gorges austères et je retrouve quelques sensations trail de montagne que je n’avais plus connues depuis l’UTMB. Clic, clac, de nombreuses pauses photos pour immortaliser ces paysages grandioses et la rencontre avec un couple de chamois dérangé par notre passage matinal. Mais, n’ayant fait aucun travail de D+ ces derniers mois, j’ai les cuisses un poil fatiguées vers le km 20, et je ferais les derniers km en alternant marche rapide en montée et trottinage sur le plat et en descente (tactique UTMB en somme).

 Papa et maman chamois perturbés par notre passage

 

 le papy fait le guignol dans un pierrier

C'est beau, n'est-ce pas ?

 

 Vue vertigineuse depuis les échelles

 

Jour 5 : natation. Temps couvert et venteux. Le lac est recouvert d’un clapot assez marqué et l’eau est beaucoup moins avenante que mardi. Et elle me parait encore plus froide. Grâce à son équipement de scaphandrier, le papy arrive à se mettre assez facilement à l’eau, en revanche, j’ai beaucoup plus de mal que mardi. Finalement, j’arrive à nager à peu près normalement, mais le papy, n’arrivant pas à mettre la tête dans l’eau renoncera assez rapidement. Finalement, pas à l’aise avec ce clapot et dans cette eau trouble, je renoncerais aussi au bout de 30’ et 1000 m environ, n’ayant pas trop de courage pour continuer seul. Enseignement intéressant toutefois, il va me falloir travailler la nage en milieu naturel, pour apprendre à maîtriser le clapot et mieux m’orienter.

Pour se réchauffer, on termine par un petit footing de 15’ et une séance de musculation/stretching.

Après-midi : golf 9 trous avec l’écrevisse

 

Jour 6 : Le papy avait titré dans son programme « l’apothéose au sommet du Ventoux ». ce ne fut pas l’apothéose mais l’apocalypse (voyez les photos, elles parlent d’elles-mêmes !) 162 km de vélo, 8h (environ, car nos péripéties vont rendre le calcul du temps de pédalage difficile), pour 3800 m de D+.http://www.openrunner.com/index.php?id=50441 

La journée débute pourtant sous un beau soleil. Départ de Apt pour une boucle jusqu’au Ventoux avec 1 fois l’ascension jusqu’au sommet par Sault et une fois l’ascension jusqu’au chalet Reynard par Bédouin. Mais dès le premier petit col (11 km quand même !), je ne suis pas bien du tout. Je n’ai pas eu le temps de m’échauffer sur les 6 km de plat du début et je trouve les pourcentages assez méchants déjà par moment. Je broies un peu du noir, en me disant que je ne verrais jamais le sommet du Ventoux avec des guiboles comme aujourd’hui dans lesquelles je ressent encore la fatigue dans les quadriceps suite au trail de l’avant-veille Le papy est obligé de pas mal m’attendre, mais dans la descente jusqu’au pied du Ventoux j’arrive à me refaire un peu la cerise. Enfin, nous y voilà : on attaque le mont Ventoux par Sault (le côté le plus « facile ») : une pancarte « sommet 26 km ! » pfiout, quand même !!!. Je vais enfin savoir comment se comporte ma carapace sur un vrai col de montagne. Heureusement, mes jambes tournent bien sur les premiers km qui sont à 4/5% sur un revêtement superbe. Et puis au bout de 6/7 km, on rentre dans la forêt. Les pourcentages sont un peu plus difficiles mais à aucun moment je ne serais obligé de passer sur le 32 et je vais tout faire sur le 42 en alternant 21/23/25 comme me l’a appris le papy. Dans les derniers km pour arriver au chalet Reynard, les pourcentages sont faibles et j’arrive même à rentrer sur le papy en roulant à 18/20 km/h. Au chalet, il reste 6 km pour aller au sommet, et la route est fermée à la circulation mais un cycliste nous dit que ça passe en vélo. Bon, allons-y ! Avec le recul, je me dis qu’on a été complètement fadas ! En effet, après quelques km où les pourcentages deviennent bien costauds, la route est recouverte de quelques centimètres de neige fondue, avec seulement le passage laissé par les roues d’un 4x4 qui devait descendre du centre de télédiffusion du sommet. La trace « déneigée » fait juste la largeur d’une roue de bagnole et les fortes rafales de vent m’empêchent de bien la suivre. Quand les roues du vélo passent dans la neige, ça fait un drôle de bruit sous les pneus et je ne suis franchement pas rassuré. La raison m’incite à faire demi-tour, mais le papy est devant et comme on est dans une purée de poix complète, impossible de savoir où il se situe exactement. Je le retrouve à quelques centaines de mètres du sommet. Nous avons du mettre pied à terre car le vent et la neige rend tout pédalage impossible. Bon, maintenant qu’on est plus qu’à 100 m, autant aller au sommet et essayer de s'abriter contre le batiement de TDF. Une chose positive toutefois, j’ai réussi à monter « à ma main » en gérant mon effort sur la durée. Ce sera une joie de bien courte durée. En effet, là haut, j’estime les rafales à plus de 100 km/h et croyez moi, en tant qu’habitant du pays nantais (pays pourri !), je connais bien les coups de vent, mais là, c’est digne d’une jolie tempête à la pointe du Raz. Une rafale manque même de m’arracher mon vélo des mains. En luttant contre le vent, on atteint difficilement le bâtiment contre lequel on s’abrite quelques instants.

 

Devant le bâtiment TDF, le papy numérote ses abatis

 

Au sommet du Ventoux ou du Venteux !?

 

 

Le papy pense redescendre du même côté, mais vu que le vent nous « pousse » sur l’autre versant, on décide finalement de redescendre comme prévu sur Malaucène ! Erreur…grave !!! En effet, si le versant sud est que nous venons d’escalader a été régulièrement dégagé pour pourvoir accéder en 4x4 à l’antenne TDF, le versant nord ouest n’a pas été déneigé et en plus, le vent a accumulé la neige par paquets assez impressionnants. On va donc se faire au moins 4 ou 5 km à vue de nez en poussant ou en portant nos vélos, en luttant contre le vent, parfois sous quelques flocons qui tombent encore et en marchant ou trottinant dans la neige fraîche qui atteint parfois les 50 cm, avec des congères de 2m de haut sur le bord de la route. C’est surréaliste ! A un moment, j’ai même craint une éventuelle avalanche ! Inutile de vous dire qu’on est frigorifié. J’ai mal au dos à pousser le vélo et je me ramasse 2 fois sur les fesses. Enfin, on rejoint la route déneigée, mais il va falloir d’abord enlever la glace qui s’est accumulée sous les cales !!! Je ne sais pas combien de temps on a perdu dans cette partie, mais au moins 1 heure je pense.

 

Pour info, je mesure 1.87 m sans le casque, ça donne une idée de la hauteur de la congère !

 

 

 

 Mon vélo et ses belles roues toutes neuves n'avait jamais vu ça

 

 

Maintenant, que nous avons rejoint la départementale déneigée, on remonte sur les vélos. Mais alors que le papy file à nouveau comme le vent dans la longue descente de 20 km, je suis tétanisé sur mon vélo par le froid et par la…trouille ! Je revis ces passages au sommet et je n’arrive pas à chasser les idées négatives. En plus, le vent souffle en rafale et secoue méchamment mon grand gabarit qui offre beaucoup trop de prise. Plusieurs fois, le papy doit m’attendre. Gelé et les doigts tellement engourdis que j’ai du mal à freiner et passer les vitesses, on passe enfin Malaucène. Il pleut maintenant, mais la pente remonte, ce qui n’est pas pour me déplaire car au fil de km je me rends compte que je suis bien plus à l’aise en montée qu’en descente et en plus, en montant, je n’ai pas froid. Je reste sagement callé dans la roue du papy pendant quelques km histoire de finir de me requinquer. En effet, comme on est un peu maso, on a décidé de refaire l’ascension jusqu’au chalet Reynard (15 km) mais cette fois par le versant sud, en passant par Bédouin. La météo est toujours aussi pourrie, mais dès les premières pentes, la route sillonne dans la forêt et on n’est pas trop gêné par le vent. Ce versant est beaucoup plus rude. La pente est annoncée à 9% et surtout, il n’y a jamais de replat pour souffler quelques instants. Le papy qui avait fait une pause technique me reprend et me dépose dans la forêt. Je peine, mais je ne suis pas dans le rouge du tout. Certes, je suis sur le 32/ 23 ou 25, mais je mouline bien et j’arrive à tenir les 9/10 km/h. A 5 km du sommet, profitant d’une des rares épingles plates et larges, je m’arrête quelques instants pour manger une barre et boire un coup. Je repars toujours à mon petit rythme régulier et alors que je pensais le papy loin devant, je le vois debout sur les pédales, faisant des zig-zags inquiétant 200 m devant moi. Je ne tarde pas à le rejoindre, et je m’aperçois qu’il subit un joli coup de mou. Il ne reste que 2 ou 3 km aussi, je pense qu’il va réussir à prendre la roue de la grosse tortue, mais force est de constater qu’il est en panne sèche. Je l’attends, je lui file le peu d’eau qu’il me reste et je repars doucement en l’encourageant pour qu’il me suive. Nib ! le papy est cuitos, et comme je me sens des ailes à l’approche du « sommet », je descend 1 ou 2 dents et je fini fort sur le chalet Reynard réussissant même à relancer, chose que je n’avais pratiquement pas faite de toute la montée (bon, il faut dire que relancer en danseuse sur le 32/23, ça donne un peu l’impression de pédaler dans la semoule !). Là aussi, même si je n’ai pas été bien rapide, je suis content de la façon dont j’ai gérer mon affaire, et j’aimerais bien savoir ce que j’aurais donné sur le même parcours avec une météo plus favorable ? En attendant le papy au sommet, je vais faire le plein au bistrot où le patron n’arrive pas à croire qu’on ait pu passer le sommet tout à l’heure et revenir ici !

Maintenant, c’est la longue descente jusqu’à Sault (celle que l’on a faite en montant tout à l’heure, vous suivez ?) A nouveau 20 km à se les cailler sous une pluie battante qui cingle le visage et pique les yeux. Le papy descend tranquillement cette fois ce qui fait que j’arrive à le garder à vue.

En entrant dans Sault, je….crève ! Manquait plus que ça. Le papy appelle bichounette pour lui annoncer notre retard pendant que je répare difficilement car je tremble de partout. Au bout de 1 ou 2 km, commençant à connaître mon papynou tête en l’air, je lui demande, s’il a bien toujours le zip-lock que je lui ai prêté tout à l’heure avec mon téléphone et mes clefs de bagnole. A voir sa tête, je me rends compte que non et avant même que j’ai le temps de l’engueuler ;-) et qu’on est le temps d’élaborer une stratégie sur la conduite à tenir, le voilà qui fait demi-tour à toute vitesse. Je décide de continuer tranquillement car nous avons déjà fait cette portion tout à l’heure et je sais qu’il y a encore une bosse à passer et je sens que je vais la monter doucement. Hélas, j’ai pourtant suivit les panneaux indiquant « Apt », et je ne sais pas comment je me m’y suis pris, mais toujours est il que je me suis gouré de route et que je me suis rallongé de 8 bon km, mais sur une route plus facile que l’autre car pratiquement toujours en descente. Sur le plat final, je suis surpris de rouler encore à plus de 35 à l’heure malgré la pluie, le froid et la fatigue !

J’arrive enfin à ma voiture où Bichounette et la papy’s tribu nous attend ! Hélas, point de papy ! J’attends, transi, n’osant pas demander l’hospitalité dans la voiture de Bichounette tellement je suis dégueulasse et dégoulinant. Les minutes passent ! Je commence à m’inquiéter pour le papy surtout, mais aussi pour mes clefs de bagnoles ! Ne les auraient-ils pas retrouvées à Sault ? Je m’imagine,  bloqué ici, sans clef !? Je montre à Bichounette la route par laquelle il devrait arriver et elle part à sa rencontre. Au bout d’au moins 30’, je vois enfin mon papy arriver. Je suis en hypothermie complète. Je me change rapidement, sous l’averse qui redouble. Coup de fil à l’écrevisse qui est morte d’inquiétude et séparation rapide avec la papy’s family. Une fois à peu près sec, je mets le chauffage à fond et je m’arrête à la première boulangerie que je dévalise ! Car je suis à court de barres depuis le chalet Reynard (60 km environ et par ce froid, j’ai brulé ma dernière barre depuis longtemps !). Quelle caillante mes amis ! Ce soir encore, plusieurs heures après et malgré un bon bain chaud, j’ai encore l’extrémité des doigts engourdis pour taper ce Cr.

 

Quelle dernière journée et quelle semaine ! Comme je le disais au papy, ça nous fera des souvenirs pour nos vieux jours !!!

 

Bilan :

1/ merci au papynou et à Bichounette. Une super organisation sur toute la semaine qui nous a permis de bien nous entrainer tout en assumant un minimum nos obligations familiales.

2/ la météo ne fut pas tip-top, mais par rapport aux conditions d’entraiment auxquelles j’ai été soumis tout cet hivers, j’ai trouvé la semaine globalement bonne.

3/ sportivement : en plus d’une belle charge de travail qui devrait porter ses fruits ultérieurement, je reviens avec pas mal de réponse à mes questions :

            a/ oui ! j’ai réussi à monter mes 86 kg en haut du Ventoux, certes à ma main et tranquillement mais sans me cramer et ça me laisse de l’espoir pour l’Izoard. Il va falloir maintenant confirmer ça en mai, juin, juillet en allant bouffer encore quelques cols ; et surtout des descentes pour apprendre à y récupérer sans perdre trop de temps

            b/ j’ai bien supporté les enchainements quotidiens, hormis le lendemain du trail où le manque d’entrainement, en descente notamment, m’a un poil grillé les cuissots, mais quelques jours de repos et ça devrait disparaitre

            c/ le peu de natation qu’on a pu faire m’a permis de constater mes difficultés à nager en milieu naturel, même si je suis assez content des sensations que j’ai eu en nageant avec la combi. Les Tri de préparation et quelques entrainements en mer à la Baule devraient me permettre de mieux gérer tout ça.

            d/ on a pas fait beaucoup de CAP, mais à chaque fois les sensations ont été bonnes et il va falloir voir dimanche prochain comment mes papates vont se comporter au marathon d’Azay le Rideau.

  

Voili, voilou, encore une étape de franchie ! Et maintenant ??? :

La tortue approchera-t-elle son record sur marathon, se noiera-t-elle lors de son premier triathlon, passera-t-elle des cols alpins au dessus de 2000 m ????

Vous le saurez en lisant les prochaines aventures de « La Tortue en route vers le 15 août ! »

 

Kénavo les poteaux !!!

 

Bien amicalement,

La tortue

 

9 commentaires

Commentaire de Mustang posté le 21-04-2008 à 23:09:00

un reportage à couper le souffle!!! bravo !!! bravo !!!!

Commentaire de L'Dingo posté le 21-04-2008 à 23:21:00

la vache! doublé par l'mustang.
j'ai pourtant été rapide pour parcourir ce CR de mes Taf#... préférées :-))). Total Respect je dis.!!! Bon , pour la peine j'y retourne pour me delecter de ces cartes postales de vacancs :-)))))

Commentaire de hagendaz posté le 22-04-2008 à 09:54:00

belle prépa et dans la bonne humeur

Commentaire de laurent05 posté le 22-04-2008 à 10:00:00

belle prépa pour un super challenge

Commentaire de akunamatata posté le 22-04-2008 à 19:26:00

ach, vous etes des hommes inoxydables, mieux que les ironmen !
Mais que deux vous etiez ?

Commentaire de LtBlueb posté le 22-04-2008 à 23:36:00

des fous , ces deux là sont fêlés du casque :)))
quelle épopée et quelles zolies photos :))

merci pour le résumé des aventures !

Commentaire de gdraid posté le 23-04-2008 à 09:36:00

Quel stage infernal, dans ce merdier glacial du Ventoux, pour le Papy et toi, La Tortue !
Nombre de cyclistes chevronnés y auraient laissé leur peau, ou plus simplement abandonné.
Quelle chance vous avez eu de retrouver tes clés de voiture...
JC

Commentaire de l'ourson posté le 24-04-2008 à 14:28:00

Euh....... c'est à couper le souffle ce CR !! et quelle météo... ;-(( ...encore plus pourrie qu'à Nantes ;-)))
Bravoooo bravooo bravooo :-)))

Commentaire de agnès78 posté le 25-04-2008 à 08:44:00

magique! Vous êtes dingues! mais j'adore!
Merci...
bises et bonne fin de prépa!
agnès

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